Occurences de l'expression
n
pour BOURSAULT, Edme
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
MARIE STUARD (1691)
- Euric, dans ce palais ne m'accompagnez pas, v.1 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Un ordre exprès du Duc conduit ici mes pas. v.2 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Son coeur brûle en secret d'une nouvelle flamme ; v.3 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Ou quelque grand dessein doit rouler dans son âme. v.4 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Pour me le confier il m'a mandé trois fois : v.5 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Mais toujours quelque obstacle a retenu sa voix. v.6 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Quoique l'ambition ou l'amour entreprenne v.7 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Ce secret de son coeur n'échappe qu'avec peine. v.8 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Il me rappelle encore avec empressement ; v.9 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Et je veux profiter de cet heureux moment. v.10 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- S'il me parle en ce lieu, quoiqu'il puisse m'apprendre v.11 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Le Comte de Morray peut aisément l'entendre v.12 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Dans l'endroit concerté j'ai déjà pris le soin, v.13 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- De conduire moi-même un fidèle témoin. v.14 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Pour le bien de l'État, le comte y devrait être. v.15 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Seigneur, en ce moment il nous entend peut-être. v.16 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Je viens vous répéter les serments qu'il a faits, v.17 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- De porter votre sort plus loin que vos souhaits. v.18 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Si jusqu'à son hymen Elisabeth l'élève, v.19 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Si par la mort du Duc cette action s'achève, v.20 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Sans cesse de son trône infatigable appui ; v.21 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Vous douterez qui règne ou de vous ou de lui. v.22 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Je me fie à sa loi. Qu'il se fie à mon zèle. v.23 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Vaincu par ses raisons je lui serai fidèle. v.24 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Un serment solennel après de grands combats, v.25 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Vient de m'associer à tous ses attentats v.26 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Je vous l'ai déjà dit ; c'est avec violence v.27 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Que j'embrasse le crime et quitte l'innocence : v.28 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Mais en vain ma vertu révolte ma raison ; v.29 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Les remords désormais ne sont plus de raison. v.30 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Le duc dont la conduite est suspecte à la Reine, v.31 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Se creuse un précipice où j'ai peur qu'il m'entraîne : v.32 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Quoique de ma fortune il ait été l'appui, v.33 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Pour essai d'injustice, insensible à la gloire, v.35 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Déjà de cent bienfaits j'ai perdu la mémoire ; v.36 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Et lorsqu'on est ingrat, et ne savez-vous pas bien, v.37 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Que les autres forfaits ne coûtent presque rien ? v.38 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Quelqu'un vient : c'est le Duc. Soit qu'il aime ou qu'il conspire, v.39 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Seigneur ? v.41 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- De grâce employez tous vos soins v.41 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- À voir si dans ce lieu nous sommes sans témoins. v.42 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Haï d'Elisabeth, je ne fais point de doute v.43 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Que je ne sois perdu si quelqu'un nous écoute. v.44 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Depuis déjà longtemps ce palais malheureux v.45 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour les gens de ma sorte est un lieu dangereux. v.46 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Il faut près de la reine être flatteur et traître : v.47 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Jusqu'ici tout mon crime est de n'avoir pu l'être ; v.48 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mais puisque de mon zèle on s'ose défier v.49 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Il faut l'être une fois pour ma justifier. v.50 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, nous sommes seuls. Tout paraît favorable? v.51 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- D'un effort généreux vous sentez-vous coupable ? v.52 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Avant que de répondre interrogez-vous bien, v.53 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et si vous héritez ne me promettez rien. v.54 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour peu que la fortune à mes voeux soit contraire v.55 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Vos jours sont en danger, je ne puis vous le taire : v.56 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et pour tout privilège, en un degré si haut, v.57 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Je vous traîne avec moi sur un même échafaud. v.58 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Un coeur tel que le mien n'a point l'art de surprendre. v.59 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, me voilà prêt. Que faut-il entreprendre ? v.60 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Mon zèle, et vos bienfaits me le font mépriser. v.62 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Que le sort à son gré vous flatte ou vous outrage, v.63 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Je n'oublierai jamais que je suis votre ouvrage ; v.64 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Et que par vos bontés je me vois dans un rang v.65 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Digne d'un plus grand home, et d'un plus noble sang. v.66 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Je n'examine point la main que vous opprime : v.67 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Pour défendre vos droits je crois tout légitime : v.68 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Rien n'est plus sacré que ce que je vous dois ; v.69 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Et la reconnaissance est ma première loi. v.70 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Ainsi que vos bontés mon zèle est sans limites. v.71 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Oui, Seigneur : Et bientôt par mes soins empressés v.73 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Vous connaîtrez à quel point ? v.74 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Comte de Newcastle, je vous ouvre mon âme. v.75 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Je suis las d'obéir aux ordres d'une femme. v.76 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Depuis qu'Elisabeth règne sur les anglais v.77 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- L'injustice triomphe, et fait taire ses lois. v.78 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pembroc, qui le premier la fit proclamer reine, v.79 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Ne fut pas à couvert de son injuste haine : v.80 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dès qu'il l'eut affermie en son auguste rang v.81 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour le prix de son zèle elle eut soif de son sang ; v.82 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et d'un si ferme appui priva son diadème, v.83 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, des maux passes perdons le souvenir : v.85 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Il en est des présents, et qu'il faut prévenir. v.86 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Depuis combien de temps une reine innocente v.87 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Dans les fers, dans l'opprobre est-elle gémissante ? v.88 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Verrons-nous sans horreur un ouvrage si beau v.89 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Achever ses destins par la main d'un bourreau ? v.90 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- La fière Elisabeth, princesse illégitime, v.91 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Qui n'eut point vu le jour sans le secours d'un crime, v.92 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- À l'injuste rigueur des ses injustes lois ? v.94 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Que dira l'avenir d'une audace si grande ? v.95 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Donnons à la vertu l'appui qu'elle demande. v.96 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Des maux dont on l'accable interrompons le cours. v.97 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- C'est de notre valeur qu'elle attend du secours. v.98 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- J'aurais moins tardé à lui montrer mon zèle v.99 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Si j'avais cru trouver un ami si fidèle : v.100 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mais dans une occurrence où tout doit m'effrayer, v.101 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour me rendre coupable on met tout en usage : v.103 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Il n'est point là d'ami qui n'ait plus d'un visage : v.104 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Tel qui m'offrait son sang me refuse son bras v.105 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et mes plus grands bienfaits n'ont fait que des ingrats. v.106 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Suivons les mouvements que le ciel nous inspire. v.107 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- D'une reine odieuse il veut finir l'empire. v.108 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Injuste aux étrangers, cruelle à ses sujets, v.109 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Elle est d'intelligence à remplir nos projets : v.110 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Et pour nous dérober au joug qui nous opprime v.111 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- S'il faut que malgré nous il nous échappe un crime, v.112 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- De quoi que notre esprit puisse être combattu, v.113 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- C'est une crime force qu'approuve la vertu. v.114 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- S'il vous manque, Seigneur, un bras pour le commettre, v.115 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Pour le bien de l'état je puis tout me permettre : v.116 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Ne laissez point languir mon zèle impatient. v.117 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- L'esprit d'Elisabeth, inquiet, défiant, v.118 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Tend des pièges secrets que jamais on n'évite v.119 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- À moins qu'on n'entreprenne aussitôt qu'on médite. v.120 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- En de plus dignes mains transmettons son pouvoir, v.121 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Avant qu'elle ait le temps de s'en apercevoir. v.122 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Enfin prescrivez-moi ce qu'il faut que je fasse. v.123 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Non, non, je ne veux point mériter sa disgrâce. v.124 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Les plus heureux forfaits ne sauraient me tenter. v.125 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dans l'auguste Stuard l'aime la vertu même, v.127 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Son frère (si ce nom lui doit être permis) v.129 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Est le plus dangereux de tous ses ennemis. v.130 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour ne pas offenser la beauté que j'adore v.131 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mon coeur n'exhale point le feu qui le dévore : v.132 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Quoiqu'il porte en tous lieux les traits qui l'ont frappé, v.133 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Jamais de mon amour rien ne m'est échappé : v.134 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Entre une reine et moi le ciel met tant d'espace, v.135 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Que je n'ose à ses yeux étaler mon audace ; v.136 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et n'était le secours que j'attends de vos soins v.137 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Jamais un feu si pur n'aurait eu de témoins. v.138 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Vous ne pouviez, Seigneur, dans un sein plus fidèle v.139 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Déposer le secret d'une flamme si belle. v.140 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Tout mon sang répandu pour vous prouver ma foi v.141 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Ne s'acquitterait pas de ce que je vous dois. v.142 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Offrez-moi le moyen de vous faire paraître? v.143 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Gouverneur des Cinq-Ports, vous en être le maître. v.144 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Oui, Seigneur, je le suis ; Et c'est par votre choix v.145 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Que puis-je ? Commandez. Et quoi que je hasarde? v.146 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- J'attends que pour sa fuite un port me soit ouvert. v.149 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Ma vie est enchaînée à cette confidence : v.150 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Avec tant de zèle et de reconnaissance, v.151 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Avec tant de bontés, tant d'ardeur, tant de foi, v.152 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mes déplorables jours vous sont plus chers qu'à moi. v.153 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Je ne les risque point quand je vous les confie. v.154 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Je ne puis condamner une si noble envie : v.155 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Mais de ce grand dessein l'événement douteux v.156 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Expose votre tête au sort le plus honteux. v.157 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Souvent de tels projets ont des suites cruelles ; v.158 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Des soldats corrompus sont rarement fidèles ; v.159 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Et vous n'ignorez pas, Seigneur, que sur ce point v.160 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- La reine est inflexible et ne pardonne point. v.161 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- À la cour, où la foi n'ose presque paraître, v.162 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- L'espoir de s'agrandir fait aisément un traître. v.163 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Tout est perdu pour moi si je ne me perds pas. v.165 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Des juges dévoués, sans honneur, sans naissance, v.166 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- D'une reine adorable ont proscrit l'innocence : v.167 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- L'injuste Elisabeth, maîtresse de son sort, v.168 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dans ses cruelles mains tient l'arrêt de sa mort. v.169 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dès demain la clarté lui peut être ravie : v.170 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- La temps presse. Un moment décide de sa vie. v.171 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, à ces raisons je n'ose m'opposer : v.172 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- La grandeur du péril les doit autoriser. v.173 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Pour dérober sa vie au sort qui la menace v.174 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Encore un coup, Seigneur, je suis prêt ? v.176 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- D'avoir dans mon malheur un ami tel que vous ! v.177 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Comte, puisque pour moi votre ardeur est si grande, v.178 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- L'effort dont j'ai besoin, et que je vous demande, v.179 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- C'est d'aider à mon zèle à mettre en liberté v.180 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- C'est d'aider à mon zèle à sauver une reine, v.182 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Qui par les droits du sang est votre souveraine. v.183 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Celle qui sur son trône ose imposer ses lois v.184 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Si je sors d'Angleterre, et qu'on vous y retienne, v.186 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Je sais que votre tête y répond de la mienne ; v.187 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mais sous un ciel plus doux accompagnez nos pas : v.188 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Suivez notre fortune en de meilleurs climats : v.189 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Vous ne laissez ici ni maîtresse ni femme : v.190 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et si l'ambition est sensible à votre âme v.191 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Quel rang n'aurez-vous point dans la paisible cour v.192 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- De ce port cette nuit doivent sortir vingt voiles ; v.195 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et sans doute le ciel nous offre ce secours, v.196 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour mettre en sûreté de si précieux jours. v.197 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pendant l'obscurité, le calme et le silence, v.198 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Du Comte de Morray trompons la vigilance : v.199 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour être de l'Écosse l'injuste possesseur, v.200 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- À son ambition il immole sa soeur. v.201 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Le criminel amour dont il a reçu l'être, v.202 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Le condamne ? v.203 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, je crois le voir paraître : v.203 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Laissez-moi de son coeur pénétrer les secrets. v.204 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Hé bien, Seigneur? v.206 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Souffrez que mon coeur se déploie v.206 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et que j'étale ici la grandeur de ma joie. v.207 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Rien ne s'oppose plus au succès de mes feux : v.208 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Mon plus grand ennemi met le comble à mes voeux v.209 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- À l'hymen où j'aspire une voie est ouverte : v.210 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et mon rival lui-même aide à hâter sa perte. v.211 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Un sincère témoin de tout ce qu'il a dit, v.212 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- En va faire à la Reine un fidèle récit. v.213 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Nous triomphons. v.214 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Seigneur, j'ai toujours le même zèle v.214 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Mais prêtez de la force à mon coeur qui chancelle ; v.215 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et puisque le silence est encore à mon choix, v.216 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Laissez-moi vous parler pour la dernière fois. v.217 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- J'entreprends une route où j'ai peu d'habitude : v.218 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- J'y marcherai, Seigneur, avec incertitude. v.219 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Au milieu du chemin que vous m'avez trace, v.220 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Je puis me repentir de l'avoir commencé. v.221 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Quand je songe à l'horreur qui suit le nom de traître, v.222 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Des retours d vertu me font craindre de l'être. v.223 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Quoique par vos conseils vous m'avez inspire, v.224 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- J'ai peur d'avoir promis plus que je ne ferai. v.225 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Mon âme chancelante, incertaine, confuse, v.226 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Tantôt s'offre à la honte, et tantôt s'y refuse ; v.227 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et je vois trop de risque à vous y confier, v.228 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Si je n'ai votre appui pour me fortifier. v.229 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Avez-vous vers le crime un penchant si rapide, v.230 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Que rien ne vous arrête ou ne vous intimide ? v.231 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Votre soeur immolée, il ne sera plus temps v.232 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- D'honorer sa vertu de regrets impuissants. v.233 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Nous savons vous et moi qu'elle n'est point coupable ; v.235 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et si quelque tendresse excitait vos remords, v.236 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Jugez en quel péril je me verrais alors. v.237 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Il faudrait que mon sang ? v.238 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- D'un soupçon qui m'outrage épargnez-moi la honte. v.239 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ai-je pu mériter qu'on me traite si mal ? v.241 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Depuis qu'à mes desseins j'ai vu le crime utile, v.242 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour acquérir un trône il n'est point de forfaits, v.244 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Qui ne changent de nom quand ils ont du succès. v.245 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Tant qu'un lâche devoir a réglé ma conduite, v.246 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- En quel rang ma fortune a-t-elle été réduite ? v.247 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et lorsque sans effroi je me suis écarté, v.248 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- À quel degré d'honneur suis-je d'abord monté ? v.249 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour m'exclure à jamais de la toute-puissance, v.250 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ma soeur m'oppose en vain les droits de la naissance. v.251 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- L'Angleterre exceptée, en tous les autres lieux, v.252 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Le règne d'une femme est un règne odieux : v.253 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- La plus ferme couronne un moment sur sa tête, v.254 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Dans l'État le plus calme excite une tempête : v.255 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Un sceptre ne sied bien quand dans la main des rois ; v.256 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et le trône chancelle à moins qu'il n'ait son poids. v.257 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Seigneur, d'elle et de vous la naissance inégale. v.258 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Décide en sa faveur de la grandeur royale : v.259 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et si j'ose, entre nous, vous le dire tout bas, v.260 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- La vôtre a des défauts que la sienne n'a pas. v.261 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et quels défauts ? Allez, ce n'est qu'une manie. v.262 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Il y manque, il est vrai, quelque cérémonie ; v.263 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Mais un roi m'a fait naître ; et pour l'être aujourd'hui v.264 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- De quelque doux espoir dont ma soeur s'entretienne, v.266 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- S'il épousa sa mère, il adorait la mienne ; v.267 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et par l'ordre du ciel il nous donna le jour, v.268 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- A l'une par devoir, à l'autre par amour. v.269 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Il est vrai. Mais, Seigneur, par une loi sévère, v.270 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Aucun de vos pareils ne succède à son père. v.271 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et d'ailleurs, le feu roi, quoiqu'on ait entrepris, v.272 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- N'a jamais avoué que vous fussiez son fils. v.273 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Qui ? Ma valeur, mon audace : v.274 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Mon ardeur de régner et de remplir sa place : v.275 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Si le ciel m'eut fait naître en un degré plus bas, v.276 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- De si beaux mouvements ne me dureraient pas. v.277 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour m'en convaincre mieux, s'il faut encore plus faire, v.278 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- J'en crois jusqu'à l'amour que je n'ai pu vous taire. v.279 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Si j'étais né d'un sang qui fut moins glorieux, v.280 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Aurais-je sur la reine osé porter les yeux ? v.281 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Non que vers ses appas un fol amour m'entraîne ; v.282 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ce qui m'est plus sensible Elisabeth est reine v.283 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- À tous les rois voisins elle impose ses lois, v.284 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Étonne l'univers du bruit de ses exploits ; v.285 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- L'Écosse où je commande, unie à l'Angleterre, v.286 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Je ne craindrai au plus qu'un éclat de tonnerre ; v.287 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et lorsque sur le trône on ne trouve monté, v.288 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Qui ne craint que la foudre est bien en sûreté. v.289 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Vos fidèles conseils à qui je m'abandonne, v.290 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ne peuvent balancer l'amour qu'elle me donne, v.291 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et je ne réponds pas qu'avant la fin du jour, v.292 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Je ne trouve le temps d'expliquer mon amour. v.293 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Ne me détournez point si vous me voulez plaire. v.294 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et concevez-vous bien ce que vous allez faire ? v.295 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- D'un amour qui lui plût son coeur encore frappé, v.296 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Pour faire de son trône une heureuse conquête, v.298 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Attendez que du Duc elle ait proscrit la tête ; v.299 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et gardez-vous, Seigneur, de laisser entrevoir? v.300 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et pourquoi plus longtemps différer mon espoir ? v.301 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Si l'union des coeurs n'ait de la ressemblance, v.302 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quel parti sous le ciel a moins de différence ? v.303 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Elle n'épargnera rien dans l'espoir de régner ; v.304 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et qu'est ce qu'à mon tour on me voit épargner ? v.305 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour affermir son trône, et lui donner du lustre, v.306 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Elle le cimenta du sang le plus illustre : v.307 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Outre l'appas flatteur de cette ressemblance, v.310 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour rendre nécessaire une telle alliance, v.311 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- La sort d'intelligence avec nos attentats, v.312 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- A déjà pris le soin de joindre nos états. v.313 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quel prince dans l'Europe a la même avantage ? v.314 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Mais l'Écosse, Seigneur, n'est pas votre héritage. v.315 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Le roi votre neveu, quoique jeune et soumis? v.316 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et si je perds la mère aurais-je soin du fils ? v.317 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Je lui laisse le jour tant qu'il m'est nécessaire ; v.318 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Mais enfin, ce fut moi qui m'immolais son père : v.319 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et lorsqu'au premier crime on s'est autorisé v.320 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Un second à commettre est beaucoup plus aisé. v.321 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- On va hardiment affronter l'infamie. v.322 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Le main d?jà coupable en est plus affermie ; v.323 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et je n'ignore pas ce précepte si beau, v.324 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Que l'asile d'un crime est un crime nouveau. v.325 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Seigneur, c'en est assez. Surpris de vous entendre, v.326 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Je ne consulte plus quel parti je dois prendre. v.327 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Quoique fasse le sang, il faudra peu d'effort v.328 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Pour mettre un si grand coeur au dessus des remords. v.329 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Je vais trouver le Duc, et servir votre haine. v.330 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et pour hâter sa perte allez trouver la reine : v.331 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et faite avec art entrer dans vos discours, v.332 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Que de ses jours sacrés il veut borner le cours v.333 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Enfin, pour la contraindre à la reconnaissance, v.334 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Du zèle le plus pur empruntez l'apparence. v.335 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Accoutumez son soeur? v.336 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Ah ! Seigneur, hâtez-vous v.336 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Et venez de la Reine apaiser le courroux v.337 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Je ne puis deviner qui conspire contre elle ; v.338 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Mais elle est résolue à punir un rebelle, v.339 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Un perfide, un ingrate digne de sa fureur v.340 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Et pour qui son estime est changé en horreur. v.341 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Venez par vos conseils dissiper vos alarmes, v.342 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Qui d'un si beau destin empoisonnent les charmes ; v.343 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Pour détourner l'orage, ou pour le prévenir, v.344 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Elle vous fait chercher pour vous entretenir. v.345 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Dans cette occasion montrez-lui votre zèle. v.346 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Et quelle âme assez basse ose être encore rebelle ? v.347 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Vous a-t-on dit le nom du coupable ? v.348 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Seigneur, v.348 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Je n'ose en soupçonner le Reine votre soeur. v.349 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Mais un des officiers qui doit répondre d'elle, v.350 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- A sans doute à la Reine appris quelque nouvelle. v.351 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Il l'a vu en secret, et même en ce moment v.352 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Elle lui parle encore en son appartement. v.353 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Votre avis est le seul que la Reine veut suivre. v.354 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Qui trouble son repos est indigne de vivre. v.355 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Voilà mon sentiment que rien ne peut changer. v.356 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- De quelque part qu'il vienne écartons le danger. v.357 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Allons trouver le Reine, et lui faisons entendre v.358 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Qu'il faut exécuter l'arrêt qu'elle a fait rendre. v.359 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- La nature outrage a beau s'en émouvoir, v.360 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Sa voix est impuissante où parle mon devoir. v.361 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Auriez-vous jamais cru qu'insensible à mes grâces, v.362 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- De tant de conjures il eût suivi les traces ? v.363 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Lui, que j'ai tant de fois comblé d'honneurs, de biens, v.364 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Prodigue de ses jours attente sur les miens ! v.365 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- En quelque rang qu'il soit je lui ferait connaître; v.366 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Que je sais du plus haut précipiter un traître ; v.367 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Que jamais un sujet qui viole sa foi, v.368 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ne dérobe sa vie aux rigueurs de la loi ; v.369 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Que plus à mes bontés il était redevable, v.370 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Plus son crime est énorme et ma haine équitable. v.371 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et qu'après l'injustice où l'ingrat se résout, v.372 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ma tendresse irritée est capable de tout. v.373 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Elle n'égale pas la grandeur de son crime. v.375 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il voulait, le perfide, attenter à vos jours, v.376 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Pour faire réussir ses nouvelles amours. v.377 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Ses amours ! Juste ciel, que m'apprend-on encore ? v.378 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Il l'adore : Qu'entends-je ? v.380 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- D'un ministre d'État serait un fugitive ? v.381 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Quoi ! Pour mon ennemie il a l'âme obsédée ! v.382 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Eh faut-il que si tard j'en soit persuadée ! v.383 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Depuis plus de dix mois confus, sombre, interdit, v.384 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Son infidèle coeur m'en avait assez dit : v.385 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Mais le mien trop facile à se laisser surprendre, v.386 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À ce langage obscure ne voulait rien comprendre v.387 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Enfin, voyant l'ingrat m'éviter tous les jours, v.388 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- De ma faveur pour lui j'interrompts le cours. v.389 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Si d'un coup si cruel il eût senti l'atteinte, v.390 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Il l'aurait recouvrée à sa première plainte. v.391 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À ceux qui la briguaient ne pouvant l'accorder, v.392 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je lui laissais le temps de la redemander. v.393 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Dans la crainte où j'étais de la trouver coupable, v.394 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et mon coeur de concert avec sa trahison, v.396 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- De parti de mes sens avait mis ma raison. v.397 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À moins que cette nuit sa fureur me prévienne, v.398 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je jure que sa mort devancera la mienne, v.399 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et que pour lui porter de plus sensibles coups, v.400 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Mais yeux se repaîtrons d'un spectacle si doux. v.401 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- J'aurais plus de rigueur qu'il n'a d'ingratitude. v.402 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- On ne peut lui trouver un supplice trop rude. v.403 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Par un crime si grand il viole à la fois, v.404 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Tout ce qu'ont de plus saint les plus augustes lois. v.405 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il trahit son devoir, vos bienfaits, sa naissance ; v.406 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il est sans foi, sans zèle et sans reconnaissance : v.407 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et l'on peut, Madame, en cette occasion, v.408 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Prendre contre un ingrate trop de précaution. v.409 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Ne souffrez près de vous que ceux dont le pur zèle? v.410 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et les rois savant-ils quand on leur est fidèle ? v.411 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Environnés partout de gens intéressés v.412 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ils n'ont point de défauts qui ne soient encensés : v.413 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À tous leurs mouvements une foule importune> v.414 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- D'un pas précipité court près la fortune ; v.415 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et ceux qui devant eux se présentement le plus, v.416 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Le font moins pour les voir que pour en être vus. v.417 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Si je choisis quelqu'un j'éprouverai peut-être, v.418 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- De ce devoir vous-même acquittez-vous si bien, v.420 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Que de la pat du Duc il ne m'arrive rien. v.421 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je vous en donne l'ordre, et e soin vous regarde. v.422 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Euric, pour commander ma garde, v.423 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Du Comte de Morray je viens de faire le choix : v.424 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ayez soin cette nuit d'obéir à sa voix. v.425 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je l'ordonne. v.426 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Charmé de cette confiance, v.426 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Je jure que vos jours sont en pleine assurance, v.427 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et que vos ennemis n'iront point jusqu'à vous, v.428 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Qu'on ne m'ait vu, Madame, expirer sous leurs coups. v.429 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Si l'on ne m'a trompé, nous touchons presqu'à l'heure, v.430 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Que pour sa trahison le Duc croit la meilleure. v.431 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Pour flatter ses désirs Newcastle est d'accord, v.432 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- De lui faire en secret ouvrir le premier port ; v.433 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et moi, pour découvrir ses injustes pratiques, v.434 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Je vais pourvoir à tout. Pour vous, qui tant de fois v.436 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Parûtes consommé à l'étude des rois : v.437 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Qui dès vos jeunes ans réduite à vous contraindre; v.438 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Avec tant de succès apprîtes l'art de feindre ; v.439 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Songez que le silence est nécessaire ici. v.441 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Comte, pour cet ingrat la mort aura des charmes. v.442 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Des yeux qui l'ont séduit il obtiendra des larmes. v.443 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Pour lui faire un destin qui soit plus rigoureux, v.444 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ne donnons le trépas qu'à l'objet de ses feux. v.445 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ce sera pour ce traître une douleur mortelle, v.446 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- D'adorer votre soeur, et de vivre sans elle : v.447 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et ce qu'aura d'horrible un si funeste sort, v.448 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ainsi ma cruauté, sans permettre qu'il meure, v.450 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Jouir de ma vengeance et de son désespoir. v.453 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À languir dans la honte on pourrait le contraindre v.454 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Si de sa perfidie on n'avait rien à craindre. v.455 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Pour nous rendre le joug et le culte romain, v.456 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- La Flandre est toute prête à lui tender la main. v.457 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Peut-être est-ce pour lui que le prince de Parme, v.458 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Aux ravages d'Ostende a cent voiles qu'on arme : v.459 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et vous n'ignore pas que pendant une nuit, v.460 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Un peu de vent en poupe en ce lieu les conduit. v.461 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Pour éteindre en son sang le fureur qui l'anime, v.462 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Laissez-moi le surprendre en commettant son crime : v.463 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Vous n'hésiterez plus à vouloir son trépas, v.464 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Quand de la trahison vous ne douterez pas. v.465 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Hé bien, Lancastre, hé bien ; tu vois ce qui se passe : v.466 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Dirait-on que le Duc eût une âme si basse ? v.467 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Parle sans me flatter ; jet e fais le témoin, v.468 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Si mes bontés pour lui pouvaient aller plus loin. v.469 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je croyais sur son coeur ma puissance absolue. v.470 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- À quoi, Lancastre ? Apprends que plus j'ai de bontés, v.472 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Plus je lui dois de haine et de sévérité. v.473 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je ne lui devais pas tant de marques d'estime, v.474 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Qui sans doute en secret lui reproche son crime ; v.475 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et plus de mes bienfaits, il fut favorisé, v.476 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Plus il est criminel d'en avoir abuse. v.477 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je la lui rendrai mieux qu'il ne me l'a rendue, v.479 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et doublement coupable il me fera raison, v.480 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- De son ingratitude et de sa trahison. v.481 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Pour en banner d'abord ce qu'elle eut de tendresse ? v.483 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Et pour peu qu'il en reste à vous parler de lui, v.484 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Pour fléchir votre coeur est-ce un trop faible appui ? v.485 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Quand vous la sentirez vous demander sa grâce, v.486 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Prompte à le garantir du sort qui le menace, v.487 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- La main qui l'éleva le soutiendra toujours : v.488 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Il vous dois sa fortune, et vous devra ses jours. v.489 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Non, Lancastre, ma haine est due à son outrage. v.490 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Il fait de ma tendresse un trop mauvais usage v.491 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Plus je lui fais du bien, plus je m'en fais haïr ; v.492 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et ce qu'il tient de moi, lui sert à ma trahir. v.493 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Te représentes-tu combien de fois le traître, v.494 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Que de mon lâche coeur j'avais rendu le maître v.495 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- S'est avec ma rivale insolemment joué v.496 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- De l'indiscret amour que j'avais avoué ? v.497 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Combien d'heureux moments, dont je leur tiendrai compte v.498 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Ont-ils passé tous deux à jouir de ma honte ? v.499 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et tous deux de concert abusant de ma foi, v.500 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Combien de fois le jour triomphaient-ils de moi ? v.501 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Mais je mérite assez le tourment qui me gêne : v.502 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- J'ai moi-même en ces lieux attire cette reine ; v.503 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Chacun pour la sauver faisant des voeux secrets v.504 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je la fis amener, sure d'en mieux répondre, v.506 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Plutôt dans ce palais que dans la Tour de Londres ; v.507 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et c'est là que le Duc la voyant chaque jour, v.508 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Pour ses yeux criminels à conçu tant d'amour. v.509 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Prisonnière, c'est peu : coupable, condamnée, v.510 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Qui croirait que pour elle on m'eut abandonnée, v.511 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et qui, Lancastre, et qui ? Tu le sais, un ingrat, v.512 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Préféré par moi-même à plus d'un potentat v.513 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Si le Duc de Norfolk, que peut-être on opprime, v.514 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- N'est peut être envers vous que de ce dernier crime, v.515 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Jamais aucune loi n'a fixé de tourments, v.516 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Dont on ait vu punir les crimes des amants. v.517 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Cependant pour sa mort j'aperçois qu'on affecte, v.518 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Une si grande ardeur qu'elle est un peu suspecte. v.519 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Quand d'un crime d'état on se croit assure, v.520 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- On a fait son devoir dès qu'on l'a déclaré : v.521 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Empêcher qu'au coupable on ne laisse la vie, v.522 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- C'est trop montrer, Madame, ou de haine ou d'envie ; v.523 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- E t pour sauver le Duc si les remords sont vains, v.524 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Vous verrez que le Comte a de plus hauts desseins, v.525 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Il est jeune et sensible : et vos charmes ... v.526 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Mes charmes ne font point de honteuse conquête. v.527 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- S'il osait me tenir les discours que tu tiens, v.528 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je lui vendrais bien cher de pareils entretiens. v.529 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Ton soupçon est injuste, et cela ne peut être. v.530 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Il sait trop quel il est pour s'oser méconnaître v.531 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Madame, pardonnez si j'ai cru que sa foi? v.532 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Ma vie aux mains d'un traître est trop mal assurée. v.534 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Quoi ! Madame, si tard n'être pas retirée ? v.535 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Pendant qu'un plein repos règne dans vos États ; v.536 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Vous qui le procurez, vous n'en jouissez pas ! v.537 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Donnez quelque relâche aux soins qui vous dévorent. v.538 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Vous exposez des jours que l'univers adore. v.539 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- L'intérêt de l'État m'impose cette loi. v.540 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Quelque soin que je prenne, il est toujours des traîtres v.542 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Qui suivent à grands pas leurs coupables ancêtres. v.543 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Tous qui ne craignez point qu'on vous manque de foi, v.544 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Sans avoir mes raisons, vous veillez comme moi. v.545 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Avez-vous eu du ciel un plu grand privilège ? v.546 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Aux rigueurs du destin quelle vis exposai-je ? v.547 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Madame, et que m'importe, enfin, par quel secours, v.548 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Du malheur qui me fuit je termine le cours ? v.549 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- À qui depuis six mois mes jours sont-ils utiles ? v.550 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Je donne à l'État que des désirs stériles. v.551 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Depuis que ma conduite est suspecte vos yeux, v.552 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Et poursuivi partout du remord qui me gêne, v.554 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- De ne plus mériter les bontés de ma reine, v.555 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- On doit peu s'étonner, quand tout m'ose trahir, v.556 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- S'il n'est point de repos dont je puisse jouir. v.557 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Pour vous, de qui les jours tous rayonnants de gloire, v.558 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- De tant d'heureux succès embellirons l'histoire v.559 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Vous ne pouvez, Madame, en avoir trop de soin v.560 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Conservez-les longtemps, le trône en a besoin. v.561 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Plus un règne si doux nous étale de charmes, v.562 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Plus à notre tendresse il en coûte d'alarmes. v.563 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Sur nos front désolés peint notre désespoir. v.565 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Préférez le repos à vos soins politiques. v.566 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Demain vous vous rendrez aux affaires publiques. v.567 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Demain ? v.568 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- C'est assez, Duc. Votre zèle est si grand. v.568 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Qu'on ne peut résister à ce qu'il entreprend. v.569 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Je viens de reconnaître à ce conseil sincère, v.570 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Que malgré mes soupçons je vous suis toujours chère : v.571 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Et que je ne pouvais pour mon propre bonheur, v.572 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- En de plus dignes mains déposer ma faveur. v.573 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Je vous la rends. Demain, pour jouir de ma grâce, v.574 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Reprenez aux Conseil la principale place. v.575 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Je vous fait après moi le premier en tout lieu. v.576 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Méritez mes bienfaits par votre zèle. Adieu. v.577 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Le perfide est contraint, ma présence le gêne. v.578 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Ma trompez-vous mes sens ? Ai-je entendu la Reine ? v.579 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Quelle profusion fait-elle en ma faveur ! v.580 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Et que lui reste-t-il à m'offrir que son coeur ? v.581 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Pour prix de ses bienfaits faut-il être infidèle ?... v.582 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Pardon, belle Stuard, si mon âme chancelle : v.583 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Et si pour un moment ébloui d'un faux jour, v.584 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Le devoir dans mon coeur a fait taire l'amour. v.585 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Eh ! n'ai-je pas juré que je perdrais la vie, v.586 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Avant que de souffrir qu'elle vous fut ravie ? v.587 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Je vous tiendrai parole ; ou mon sang répandu v.588 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Aura fait pour le moins tout ce qu'il aura dû. v.589 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Dans son appartement la reine est retirée, v.591 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Seigneur ; et tout conspire à remplir vos souhaits. v.592 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Nous sommes assurés des portes du palais. v.593 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- D'écossais généreux une troupe intrépide, v.594 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Doit servir à sa reine, et d'escorte et de guide. v.595 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Ces moments fortunes ne se retrouvent pas. v.596 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- De la reine captive allez hâter les pas. v.597 (Acte 2, scène 5, NORFOLK)
- Je vous attends. v.598 (Acte 2, scène 5, NORFOLK)
- Avant que de ce lieu tu ramène l'aurore, v.599 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- Attends qu'un long espace entre la reine et nous, v.600 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- Sauve de sa fureur une reine si belle. v.602 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- Je suis trahi sans doute, Euric revient sans elle. v.603 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- À la reine d'Écosse a-t-on manqué de foi ? v.604 (Acte 2, scène 7, NORFOLK)
- Seigneur, elle vient après moi. v.605 (Acte 2, scène 7, EURIC)
- Touché de la frayeur dont son âme est atteinte, v.606 (Acte 2, scène 7, EURIC)
- Je devance ses pas pour dissiper sa crainte. v.607 (Acte 2, scène 7, EURIC)
- Un peu d'émotion mêlée à ses attraits, v.608 (Acte 2, scène 7, EURIC)
- Venez, venez, Madame ? v.610 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- Ah ! Duc, que j'appréhende v.610 (Acte 2, scène 8, MARIE-STUARD)
- De vous rendre funeste une bonté si grande ! v.611 (Acte 2, scène 8, MARIE STUARD)
- Si la reine en secret fait observer nos pas, v.612 (Acte 2, scène 8, MARIE STUARD)
- En voulant me sauver ne vous perdez-vous pas ? v.613 (Acte 2, scène 8, MARIE STUARD)
- Vos jours en sûreté, quoique je puisse craindre, v.614 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- Mon sort sera plus beau pour chercher à m'en plaindre. v.615 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- Profitons du secours que nous offre la nuit. v.616 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- Sortons, Madame? Ô Ciel ! D'où vient un si grand bruit ? v.617 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- Quelle disgrâce ! Ah ! Duc, votre perte est certaine. v.618 (Acte 2, scène 8, MARIE-STUARD)
- Hola, Gardes ? À moi : l'on veut trahir la reine. v.619 (Acte 2, scène 9, KILLEGRE)
- Le bras que tu saisis t'a comblé de bienfaits. v.621 (Acte 2, scène 9, NORFOLK)
- C'est le duc de Norlfolk qui cent fois ? v.622 (Acte 2, scène 9, NORFOLK)
- Je suis sujet, Seigneur, et ce devoir l'emporte. v.623 (Acte 2, scène 9, KILLEGRE)
- Quel désordre, si tard, ose-t-on faire ici ? v.624 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- C'est vous, Duc ! Juste ciel ! Mon ennemie aussi ! v.625 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Qui ? Moi, votre ennemie ? Eh, Madame ? v.626 (Acte 2, scène 10, MARIE-STUARD)
- Enfin, ingrate, enfin, tu t'es donc fait connaître ? v.627 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- À démentir mes yeux ose appliquer tes soins. v.628 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ce sont, pour ton malheur, de fidèles témoins. v.629 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ils ont vu ton faux zèle, et combien ma présence v.630 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Coûtait d'inquiétude à ton impatience: v.631 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ces yeux qui pour le tiens n'ont jamais eu d'appas, v.632 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ont vu ta perfidie, et verront ton trépas. v.633 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Qui suivaient à grand pas leurs coupables ancêtres : v.635 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Et c'en était assez pour te faire sentir, v.636 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Que je voulais ta mort moins que ton repentir v.637 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Gardes, sans balancer, entraîner ce perfide. v.638 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Il faut que de son sort ma vengeance décide. v.639 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Songez-vous aux remords que vous vous préparez ? v.640 (Acte 2, scène 10, MARIE-STUARD)
- Qu'on les mette tous deux en des lieux séparés. v.641 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ces coupables amants trouveraient trop de charmes, v.642 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- À pouvoir l'un de l'autre adoucir les alarmes : v.643 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Jusqu'au moment fatal où l'on doit les punir, v.644 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Laissons au désespoir à les entretenir. v.645 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Vous dont le zèle ardent vient ici de paraître, v.646 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ayez soin d'assembler demain à mon réveil v.648 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Les Pairs accoutumés à tenir mon conseil. v.649 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Non, Madame, les Pairs ne viennent pas encore. v.650 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- Tant qu'a duré la nui votre esprit agité, v.652 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- N'a laissé nul repos à votre majesté. v.653 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- A-t-on donné mon ordre ? Amène-t-on le traître ? v.654 (Acte 3, scène 1, ELISABETH)
- Madame, ils vont entrer tous deux. v.656 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- Ils ont pour ce perfide une haine mortelle. v.658 (Acte 3, scène 1, ELISABETH)
- Comtes, depuis longtemps je connais votre zèle. v.659 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Vos voeux les plus ardent vont au bien de l'État ; v.660 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Et d'un ingrat sujet vous savez l'attentat. v.661 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Content de vos soins, et princesse équitable, v.662 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Il vient. Souvenez-vous que ce billet fatal v.664 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- L'accuse, le convainc d'un crime capital : v.665 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Et que traître une fois, il est de la justice v.666 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- D'empêcher désormais que l'ingrat me trahisse. v.667 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Vous alliez contre nous servir nos ennemis. v.669 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Si le Duc de Norfolk nous déclarait le guerre, v.670 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Contre un héros si grand que ferait l'Angleterre v.671 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Qui prendrait son parti dans un pareil malheur, v.672 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- La voyant attaquée avec tant de valeur ? v.673 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Le ciel, qui des États prend toujours la conduite v.674 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Il a mis un obstacle avec juste raison? v.676 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Madame, un tel discours n'est guère de raison. v.677 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Cette faible valeur dont je vois qu'on se joue, v.678 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- N'a rien fait jusqu'ici que la gloire n'avoue, v.679 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et pour nous épargnez des discours superflus, v.680 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Votre État chancelait, et ne chancelle plus v.681 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- La mort qu'on ma prépare est le digne salaire? v.682 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et qu'as-tu fait, ingrat, qu'un autre eut pu faire ? v.683 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Quel autre encore plus loin eut porté ses exploits, v.684 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Si je l'eusse honoré de tes mêmes emplois ? v.685 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Ne me reproche point quelque faible victoire, v.686 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Dont je faisais du bruit pour te combler de gloire : v.687 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Tant je goûtais de joie à trouver un moyen v.688 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- De t'acquérir un nom qui fut digne du mien. v.689 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et n'aurait pas acquis l'infâme nom de traître. v.691 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Au gré de votre haine avancez mon trépas ; v.692 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mais de noms odieux ne me noircissez pas. v.693 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- En quelque lieu du monde où l'on m'ait vu paraître, v.694 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Jamais à mon devoir on ne m'a vu traître : v.695 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- C'est un crime trop bas au rang où je me vois, v.696 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour tenter la vertu d'un home tel que moi. v.697 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et quand d'une princesse odieuse, coupable, v.698 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Jet e nommai le juge, et te crus équitable, v.699 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Séduit par le pouvoir de ses honteux appas, v.700 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Pour lui sauver le jour ne ma trahis-tu pas ? v.701 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Les Pairs qui depuis toi l'ont mieux examinée, v.702 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- D'une commune voix l'ont d'abord condamnée. v.703 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- En donnant cet arrêt n'ont-ils pas consulté ? v.704 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Oui, Madame, vos voeux et non pas l'équité. v.705 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour moi, qui ne cherchais qu'à vous montrer mon zèle v.706 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Dans le funeste emploi que je reçus contre elle, v.707 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et qui par vos discours instruit de sa fureur, v.708 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Avait conçut pour elle une invincible horreur ; v.709 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Contre tous ses appas m'étant mis en défense, v.710 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sa beauté sur mon coeur n'eut aucune puissance ; v.711 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et ma sévérité repoussant tous ses traits, v.712 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Envisageait son crime et non pas ses attraits. v.713 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je voulus pénétrer dans le fond de son âme : v.715 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mes souhaits sur ce point furent tous accomplis, v.716 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et j'en développais jusqu'au moindre replis. v.717 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Qui trouvai-je ? Parlons : la vérité l'ordonne. v.718 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Loin d'aucun attentat contre votre couronne ; v.719 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Loin d'une avidité à verser votre sang v.720 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour s'ouvrir une voie à votre auguste rang ; v.721 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je trouvais dans l'opprobre une reine incapable. v.722 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De former un d?sir qui put être coupable. v.723 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je trouvai la vertu que l'on tyrannisait v.724 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sans se plaindre un moment des maux qu'on lui faisait. v.725 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je vis la cruauté, le mensonge, la haine v.726 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Poursuivre le trépas de l'innocente reine, v.727 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Qui préférant la gloire à de fragiles biens, v.728 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour conserver vos jours eut donné tous les siens. v.729 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Enfin, je fus surprise dans cette conjoncture v.730 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De voir tant d'injustice, et si pue de murmure ; v.731 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et mon coeur de retour de sa prévention, v.732 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ne put se refuser à la compassion. v.733 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je ne présumais pas qu'une princesse illustre v.734 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- M'eut confier son nom pour en tenir le lustre, v.735 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et par quelle raison l'aurais-je présumer ? v.736 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- À flatter l'injustice étais-je accoutumé ? v.737 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- J'ai tâché, les effets ont dû vous en instruire, v.738 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- D'augmenter votre gloire, et non de la détruire. v.739 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mon corps percé de coups vous est un sûr garant v.740 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Qu'entre vos pairs et moi le zèle est différent. v.741 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ces pairs, qui vers le crime ont des pentes rapides, v.742 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De votre sang peut-être un jour seront avides. v.743 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et quel affreux chemin leur faites-vous frayer ? v.745 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Assassins d'une reine, à la moindre querelle, v.746 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ils feront contre vous ce qu'ils ont fait contre elle : v.747 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et ce crime impuni va suffire aux anglais v.748 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Va ? Tu noircis en vain de juges équitables. v.750 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Jamais de perfidie ils n'ont été coupables. v.751 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Animés d'un pur zèle ils périraient pour moi v.752 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Est-il quelque grandeur que je t'ai interdite ? v.754 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Jusques dans tes défauts je trouvais du mérite. v.755 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Si le trône à tes yeux eut offerts des appas v.756 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Pour t'y faire monter jet e tendais les bras. v.757 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Mon coeur que tu charmais, avide de te plaire, v.758 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Te montrais le chemin qui te restais à faire. v.759 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Je t'aimais : je fis plus, je t'en fis un aveu v.760 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Vois maintenant, vois, lâche, où tu te précipites ! v.762 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Vois quel était ton choix, et vois ce que tu quittes ! v.763 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Envisages de près, pour t'accabler d'ennuis v.764 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- L'échafaud qui t'attend et le trône où je suis. v.765 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Quel indigne beauté vient de te rendre traître ! v.766 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Proscrite, abandonnée ? v.767 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Quel spectacle à nos yeux allez-vous étaler, v.768 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De quelles nations obtiendrez vous l'estime ? v.770 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- On opprime une reine, et vous souffrez ce crime ? v.771 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- D'une injuste poursuite on n'est pas à couvert v.772 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Dans l'asile sacré que vous avez offert ! v.773 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Lorsqu'à quitter son trône elle se vit réduite, v.774 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Étais-ce en Angleterre où l'adressait sa fuite ? v.775 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour l'attirer à vous ne jurâtes-vous pas ? v.776 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De la rendre paisible au sein de ses États ; v.777 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et de faire à l'Écosse une guerre immortelle v.778 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Si jamais à sa reine elle était infidèle ? v.779 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Qui de votre injustice aurait eu du soupçon ? v.780 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Vous avez oublié cette auguste leçon, v.781 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que si la vérité si souvent violée v.782 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour le malheur du monde en était exile, v.783 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Il faudrait qu'en tout temps par un glorieux choix v.784 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Elle se retrouvât dans le bouche des rois. v.785 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Laisse-là mon devoir, et songe au tien, perfide. v.786 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Ton trépas ? v.787 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Son aspect n'a rien qui m'intimide : v.787 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Souvent pour votre gloire ou pour vois intérêts v.788 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Contre vos ennemis je l'ai vu d'assez près. v.789 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et pour la vérité qui m'est cent fois plus chère, v.790 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Quelque honteux qu'il soit il ne m'alarme guère. v.791 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que sans trahir l'État j'abandonnais ces lieux. v.793 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Arracher au supplice une reine innocente v.794 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ce n'est pas un forfait dont mon coeur se repente/ v.795 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je jure que tranquille en son funeste sort v.796 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sans se plaindre de vous elle attendait la mort : v.797 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sans avoir son aveu je ménageai sa fuite ; v.799 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Qu'à ce dessein fatal, que le ciel a rompu v.800 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Elle s'est oppose autant qu'elle a pu : v.801 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que jamais de mon coeur un désir téméraire v.802 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- N'a fait connaître au sien qu'il cherchait à lui plaire ! v.803 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que mon respect pour elle égale ses appas ; v.804 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et qu'enfin si je l'aime, elle ne le sait pas. v.805 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Du plus énorme crime avoir été capable, v.806 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- C'est donc envers l'État ne pas être coupable ? v.807 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et de mon coeur tranquille avoir troublé la paix, v.808 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Ce n'est pas à ton gré le plus noir des forfaits ? v.809 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- De ton sang odieux tu me vois plus avide v.810 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Que tu ne fus ingrat, que tu ne fus perfide ; v.811 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Deux fois digne de mort, que n'est-il à mon choix v.812 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- De te faire à mes yeux mourir autant de fois ! v.813 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Au moins ma volonté, qu'il faut qu'on accomplisse v.814 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Est que pour chaque crime on invente un supplice ; v.815 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et que par des tourments dont tu n'expires pas, v.816 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Tu tentes à loisir les horreurs du trépas. v.817 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Hé bien, assouvissez votre cruelle envie. v.818 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Au milieu des tourments laissez durer ma vie. v.819 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Par l'espoir du salaire animez vos bourreaux v.820 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- À me faire éprouver des supplices nouveaux. v.821 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je n'ai pas attendu que ma mort fut si proche, v.822 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour m'avouer ingrate et m'en faire un reproche ; v.823 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mais né votre sujet, nourri dans votre cour, v.824 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mon respect, malgré moi, m'interdisait l'amour. v.825 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Tandis que de mon sang j'ai pu payer vos grâces, v.826 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Partout où l'on m'a vu j'en ai laissé des traces : v.827 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et ma reconnaissance écrite en tant de lieux, v.828 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Assure à ma mémoire un destin glorieux. v.829 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Si mon coeur qu'avec soin vous cherchez à confondre, v.830 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- À vos tenders bontés n'a pu si bien répondre ; v.831 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Vois cette lettre, vois. Peux-tu la méconnaître. v.835 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Sauvez le sang de tant de rois v.836 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Que s'apprête à répandre une main odieuse : v.837 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Pour s'immortaliser on ne peut faire un choix v.838 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- D'une action plus glorieuse. v.839 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Résolus de prêter la main v.840 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- À votre généreux dessein, v.841 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- De nos meilleurs vaisseaux la mer sera couverte ; v.842 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et s'il faut dans la suite un puissant secours, v.843 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Nous finirons la paix, et ferons guerre ouverte, v.844 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Tu pâlis, malheureux, et ton crime t'alarme. v.846 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Cette coupable lettre est du prince de Parme. v.847 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Ridolf, ce confident par toi-même choisi, v.848 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Arrêté de ma part s'en est trouvé saisi. v.849 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Rien. Ce billet surpris rend ma mort légitime. v.851 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Non que prêt à mourir en victime d'État v.852 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je puisse être accusé d'aucun autre attentat, v.853 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que d'avoir essayer d'obtenir un asile, v.854 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Où la reine d'Écosse eut un abri tranquille. v.855 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Examinez l'écrit qui paraît à vos yeux : v.856 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Examinez ? v.857 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Les Pairs l'examineront mieux. v.857 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ils doivent s'assembler dans la sale prochaine. v.858 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Comme ta trahison ma vengeance est certaine. v.859 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour en jouir plus tôt je veux dès ce moment, v.860 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Exposer ma rivale au plus cruel tourment. v.861 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Hola ? Faites venir la reine prisonnière v.862 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ma joie en t'accablant ne serait pas entière, v.863 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Si le même courroux qui termine ton sort v.864 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Lui laissait ignorer ma vengeance et ta mort. v.865 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- C'est un plaisir pour moi qu'aucun autre n'égale, v.866 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De trouver cette voie à punir ma rivale ; v.867 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et puisqu'on ne peut rompre un si honteux lien, v.868 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De te percer le coeur pour mieux trouver le sien. v.869 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je sais que ton malheur va lui coûter des larmes ; v.870 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que c'est à ton amour offrir de nouveaux charmes ; v.871 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mais de ma cruauté ce sont les derniers traits : v.872 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Plus tu seras sensible à ce qu'elle a d'attraits, v.873 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Plus au gré de mes voeux la mort qui t'en sépare, v.874 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- À ton coeur attendri va paraître barbare. v.875 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Voici cette beauté si digne de ton choix : v.876 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Montre-lui ton amour pour la dernière fois. v.877 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Empêchez seulement qu'aucun d'entre ou ne sorte, v.879 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Il y va de vos jours à répondre des leurs. v.880 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Hé bien, Duc ! Vos bontés augmente mes malheurs. v.881 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Quelle fatalité vous inspirera l'envie, v.882 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- De prodiguer vos jours pour conserver ma vie ? v.883 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- J'ai fait ce que j'ai pu pour vous en empêcher ; v.884 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Et tout ce que j'ai fait ne vous a pu toucher. v.885 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- J'attendrai le trépas l'âme ferme et tranquille, v.886 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si mon sang répandu vous devenait utile ; v.887 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Mais tel est de mon sort l'inflexible courroux, v.888 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Que je me sacrifie, et ne fais rien pour vous. v.889 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Que dis-je ? C'est moi seul dont le secours funeste v.890 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Fait que dans ce moment nul espoir ne vous reste, v.891 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si jamais de vos jours je n'avais pris soin, v.892 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Peut-être votre mort serait-elle encore loin. v.893 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Le ciel qui dans nos coeurs voit tout ce qui se passé, v.894 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Du zèle qui m'anime a condamné l'audace ; v.895 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et n'a pu consentir que vous dussiez vos jours v.896 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Aux efforts impuissants d'un si faible secours. v.897 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- De son juste courroux je suis la seule cause : v.899 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Innocente à vos yeux de meurtres, d'attentats, v.900 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Il est d'autres forfaits dont je ne le suis pas. v.901 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Pour vous, qui renoncez au rang le plus auguste v.902 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Lorsqu'il faut y monter par une voie injuste. v.903 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Vous qui de la faveur si longtemps revêtu, v.904 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- N'eûtes pour ennemi que ceux de la vertu ; v.905 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Qui de tous les bienfaits dispensateur fidèle, v.906 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Des ministres d'État devîntes le modèle ; v.907 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Et laissâtes à tous l'exemple généreux, v.908 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- De répandre les dons qu'ils retiennent pour eux ? v.909 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Vous, enfin, qui sans fraude ayant été mon juge v.910 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Vouliez à l'innocence assurer un refuge, v.911 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Madame, j'en sais que je ne vous dis pas, v.913 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Il serait condamné de votre propre bouche : v.915 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et j'ai peur qu'avec moi vous ne fussiez d'accord, v.916 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Que l'on me rend justice en me donnant le mort. v.917 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Tant que votre bonté présume qu'on m'opprime, v.918 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je me flatte en mourant d'emporter votre estime ; v.919 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et si j'avais parlé, vos mépris éclatants, v.920 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Joindraient trop d'amertume au trépas que j'attends. v.921 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Moi, des mépris ! Ah ! Duc, qu'un tel soupçon m'offense ! v.922 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Je puis manquer de tout, hors de reconnaissance. v.923 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- C'est moi qui vous expose aux mouvements jaloux? v.924 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Madame ? À quel affront qu'Elisabeth me livre, v.926 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Pour un plus grand sujet puis-je cesser de vivre ? v.927 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Des peuples à venir votre nom respecté v.928 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Va mettre pour jamais le mien en sûreté. v.929 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Heureux si le destin qu'il faut que je subisse, v.930 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Quand mes tristes jours je fais un sacrifice, v.931 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Me peut faire expier pour un trépas si doux, v.932 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- De supprimer l'aveu d'une ardeur inutile, v.935 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si je n'eusse espéré que d'un crime si grand, v.936 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- J'obtiendrai le pardon au moins en expirant. v.937 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Montre qu'aucun dessein n'est entré dans mon âme ; v.939 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- A fait aller mon coeur plus loin qu'il n'a voulu. v.941 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- J'ai brûlé, j'ai languis ; j'ai plus fais, j'ai su taire v.942 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Cet amour malheureux, ce crime involontaire : v.943 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et j'attends pas respect à vous le faire voir, v.944 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Qu'un trépas assuré m'interdise l'espoir. v.945 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- À quelque ignominie où l'on m'ait condamnée, v.946 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Je n'ai point oublié de quel sang je fus née v.947 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Pour en trouver la source en mes premiers aïeux, v.948 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Il faudrait remonter au temps des faux dieux. v.949 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Et le reste d'un sang dont le force féconde, v.950 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- A depuis deux mille ans donné des rois au monde, v.951 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Au rang le plus sublime a d'assez justes droits, v.952 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Pour devoir n'écouter que les soupirs de rois. v.953 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Je ne m'attendais pas, pour surcroît de misère, v.954 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Au surprenant aveu que vous venez de faire : v.955 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Il ne me restait plus qu'à me plaindre de vous. v.957 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Si votre coeur sensible au malheur qui m'opprime v.958 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- A pris en ma faveur des sentiments d'estime ; v.959 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Si des attraits proscrits vous ont fait soupirer ; v.960 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Quel moment prenez-vous pour me le déclarer ! v.961 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Si d'un feu qui me perd j'eusse été mieux instruite v.962 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Ce que la médisance osera publier v.964 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Chez tous les rois voisins va me calomnier. v.965 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- On dira que le juge épris de la coupable v.966 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- À l'objet de ses feux s'est montré favorable ; v.967 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Et que dans un arrêt qu'un tel juge a dicté v.968 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- L'amour eut plus de pratique n'en eut l'équité. v.969 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Ah Duc, qui de mes maux avez vu la constance, v.970 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Quel indice cruel contre mon innocence ! v.971 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Quelque juste envers moi qu'ait été votre arrêt v.972 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- L'amour auprès d'un juge est un grand intérêt. v.973 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Que ne chassiez-vous, Duc, cet amour de votre âme ? v.974 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Que ne bannissiez-vous? v.975 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Si les hautes vertus ont droit de tout charmer v.976 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Était-il de mon choix de ne pas vous aimer ? v.977 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Tant que j'ai de la reine ignorer l'injustice v.978 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- De sa haine pour vous on m'a vu le complice : v.979 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Ennemi des forfaits qu'on vous ose imputer v.980 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Enfin, Madame, enfin, s'il faut parler sans feindre, v.982 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- D'un juge prévenu vous aviez tout à craindre ; v.983 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et pour être innocente à des yeux corrompus v.984 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Il ne fallait pas moins que toutes vos vertus. v.985 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- D'une secrète horreur j'eus longtemps l'âme émue ; v.987 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et contre Elisabeth un violent courroux v.988 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Ma déguisa l'ardeur que je sentais pour vous. v.989 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Plus entre vous et moi le ciel mit de distance v.990 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Moins à vous offenser je voyais d'apparence : v.991 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Sur la foi d'un respect qui ne me quittait pas, v.992 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si j'eusse osé prévoir qu'ils pouvaient me surprendre, v.994 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- En fuyant le péril j'aurais su m'en défendre ; v.995 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Mais votre auguste rang, et mon cruel devoir v.996 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Semblaient me dispenses de craindre et de prévoir. v.997 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je croyais être sûr en cherchant à vous plaire, v.998 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Que mon zèle tout seul m'obligeait à la faire : v.999 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et j'ignorais, Madame, en prenant ce parti, v.1000 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- L'amour le plus puissant qu'on ait jamais senti. v.1001 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Tout pur qu'est cet amour mes désirs ne prétendent? v.1002 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Les pairs sont assemblés, Seigneur, et vous attendent. v.1003 (Acte 3, scène 5, KILLEGRE)
- On me vient d'ordonner dans le même moment v.1004 (Acte 3, scène 5, KILLEGRE)
- De vous faire rentrer dans votre appartement, v.1005 (Acte 3, scène 5, KILLEGRE)
- Adieu, Madame. Une autre destinée v.1006 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Termine de vos jours la course infortunée. v.1007 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Quels que soient les tourments qui me sont préparés v.1008 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Mes maux les plus cruels sont ceux que vous aurez, v.1009 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Que la mort qui m'attend serait digne d'envie v.1010 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Si le jour que je perds vous conservait la vie ! v.1011 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Mais du sort le plus rude éprouvant le courroux v.1012 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Pour tout fruit de mes soins je meurs haï de vous. v.1013 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Ne me condamnez pas au plus grand des supplices : v.1014 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Vos vertus de mon crime ont été les complices : v.1015 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- En vain à mon respect je m'étais confié ; v.1016 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Peut-être que la reine après mon sort funeste v.1018 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- De vos jours précieux épargnera le reste. v.1019 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Puisse le juste ciel en finissant les miens v.1020 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Vous affranchir de maux et vous combler des miens. v.1021 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Puisse du juste ciel la sagesse profonde v.1022 (Acte 3, scène 5, MARIE-STUARD)
- Qui vous ôte avant moi des misère du monde, v.1023 (Acte 3, scène 5, MARIE STUARD)
- Pour remplir mon attente, et mes voeux les plus doux, v.1024 (Acte 3, scène 5, MARIE STUARD)
- M'appeler à la mort un moment après vous. v.1025 (Acte 3, scène 5, MARIE STUARD)
- Oui, Seigneur, je vous plains, une chute si prompte? v.1026 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- D'un home tel que toi la pitié me fait honte. v.1027 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- La reine attend l'ordre sacré v.1028 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Dont sa main autrefois vous avait honoré. v.1029 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Cette pompeuse marque, en ce lieu si chérie, v.1030 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Sous le fer d'un bourreau lui semblerait flétrie. v.1031 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Elle m'envoie exprès pour vous la demander. v.1032 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Mon sort est d'obéir, le sien de commander. v.1033 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Pour en faire un présent que l'avenir abhorre, v.1034 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- De cette illustre marque il faut qu'elle t'honore. v.1035 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Ton zèle pour l'État la rend digne de toi : v.1036 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tu lui viens d'immoler ton honneur et ta foi : v.1037 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Après ce coup d'essai, ton penchant pour le crime v.1038 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Te peut faire prétendre au rang le plus sublime ; v.1039 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Toi qui né dans la boue y serait demeuré v.1040 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Si ma compassion ne t'en eut retiré. v.1041 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tiens, reporte à la reine un présent, qui sans doute, v.1042 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Devait m'appartenir par le sang qu'il me coûte : v.1043 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Et pour jouir en paix de ton malheureux sort v.1044 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Hâte, si tu le peux, les moments de ma mort. v.1045 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tout méchant que tu sois, quelque effort que tu fasses, v.1046 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tu ne peux en un jour oublier tant de grâces : v.1047 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- De mes bienfaits passez le souvenir présent v.1048 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Est un bourreau secret dont tu n'es as exempt. v.1049 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Encore un coup, crois-moi, fais hâter mon supplice. v.1050 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Je t'en cause un trop grand si tu te rends justice. v.1051 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Des crimes de ta vie achèves le plus noir ; v.1052 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Et ne m'expose plus à l'horreur de te voir. v.1053 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Gardes, je voudrais bien dans mon malheur extrême, v.1054 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Pouvoir quelques moments réfléchir sur moi-même. v.1055 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Dans un lieu plus tranquille accompagnez mes pas. v.1056 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Sa présence est pour moi pire que le trépas. v.1057 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Ô ciel ! À quelle honte aujourd'hui je m'expose ! v.1058 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- À prévenir vos voeux la reine se dispose v.1059 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Tantôt dans la chaleur d'un aveugle courroux, v.1060 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Pour condamner le Duc elle a fiat le choix de nous : v.1061 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Sûre que notre voix à ses désirs propices v.1062 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Suivrait sa passion plutôt que la justice. v.1063 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Quatre autres vieillards, consommez dans les lois, v.1064 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Dont jamais la faveur n'a corrompu la voix, v.1065 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Auraient pu le soustraire à ce destin funeste v.1066 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Si je n'avais eu l'art de séduire le reste ; v.1067 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Par de légers bienfaits que j'ai verse sur eux. v.1069 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Je ne puis plus, Seigneur, faire un pas en arrière. v.1070 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Après mille bienfaits honteusement déçus, v.1072 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- J'assassine un héros dont je les ai reçus. v.1073 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Avant que de vous voir je détestais le crime ; v.1074 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Vous m'avez fait braver la honte qu'il imprime ; v.1075 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Un appas de grandeur a corrompu ma foi : v.1076 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- De méchant à méchant, quoique l'on se promette, v.1078 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- L'union la plus forte est toujours imparfaite, v.1079 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Et jusques sur le trône où vous serez assis v.1080 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Vous me feriez raison des mes forfaits trahis. v.1081 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Une belle action offre au moins pour salaire v.1082 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Mais des crimes perdus ne laissent après eux v.1084 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- À qui les a commis qu'une désespoir affreux. v.1085 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Quelle indigne pitié vous émeut, vous alarme ? v.1086 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Quoi dès le premier crime un remords vous désarme ! v.1087 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Est-ce le prix trop abject pour vous encourager v.1088 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Que l'espoir glorieux d'un trône à partager ? v.1089 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Ne donnons pas à l'amour de la reine v.1090 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- D'examiner l'arrêt qu'a fait rendre sa haine. v.1091 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Pendant que son courroux l'aveugle, et la séduit, v.1092 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Assurons notre crime, et cueillons-en le fruit. v.1093 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Allez secrètement faire tomber sa tête ; v.1095 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Pendant que de ma soeur, sujette aux mêmes lois, v.1096 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- J'irai sonder l'esprit pour la dernière fois. v.1097 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Quand je perds mon rival, une fureur égale v.1098 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Semble animer la reine à perdre sa rivale ; v.1099 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Et peut-être ce jour ne se passera pas v.1100 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Sans être signalé par un double trépas. v.1101 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Seigneur, je vois venir la reine. v.1102 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Ne vous opposez pas au penchant qui m'entraîne, v.1103 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Comtes. Quelque fierté que m'inspire mon sang v.1104 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Le repos de mon coeur m'est plus cher que mon rang. v.1105 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Pour éteindre une ardeur que j'ai laissé trop croître, v.1106 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- À de nouveaux mépris je veux forcer une traître. v.1107 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Faites venir le Duc, Gardes. v.1108 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Obéissez ou craignez mon courroux. v.1109 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Vous frémissez pour lui du sort qui le menace : v.1110 (Acte 4, scène 3, MORRAY)
- Et s'il pousse un soupir il obtiendra la grâce, v.1111 (Acte 4, scène 3, MORRAY)
- S'il l'obtient, vous saurez à quel prix, v.1112 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Et peut-être tous deux en serez-vous surprise. v.1113 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Jamais contre l'ingrat je ne fus plus émue. v.1114 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Je demande à le voir, et j'abhorre sa vue. v.1115 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Tantôt à ma douleur ne pouvant résister v.1116 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- De con coupable amour je cherchais à douter : v.1117 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Je l'ai joint à l'objet pour qui son coeur soupire, v.1118 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Dans l'espoir que la mort l'allait faire dédire ; v.1119 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Ou que dans un palais plein d'un nom redouté v.1120 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- L'infidèle, du moins, craindrait d'être écouté. v.1121 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Mais, méprisant la mort, et bravant ma puissance, v.1122 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Rien n'a pu le contraindre à garder le silence. v.1123 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- De l'air tendre et touchant dont il s'est exprimé, v.1124 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Jamais de plus d'amour on ne fut enflammé. v.1125 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- L'ingrat, qui me préfère une indigne rivale, v.1126 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Trouvait-il dans ses fers une fortune égale ? v.1127 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Si ce qu'il sent pour elle il l'eût senti pour moi. v.1129 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Le voici. Demeurez. Quoi que son air menace, v.1130 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Et pour peu qu'il s'échappe à braver mon courroux, v.1132 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Pour me venger de lui j'aurai besoin de vous. v.1133 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Un reste de bonté dont s'indigne mon âme, v.1134 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ma faire faire des pas que j'ai peur qu'on ne blâme. v.1135 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ceux que noircit le crime, et qu'ont proscrit les lois v.1136 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Souillent de leur aspect la majesté des rois. v.1137 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Je passe en ta faveur par dessus ces maximes, v.1138 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Quelque horreur que pour toi m'aient inspiré tes crimes : v.1139 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et pour récompenser d'assez faibles exploits v.1140 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Conçois-tu, malheureux, une infamie égale v.1142 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- À l'ardeur criminelle où ton Coeur se ravale ? v.1143 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Comblé par mes bontés et de gloire et de biens v.1144 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pouvais-tu choisir de plus honteux liens ? v.1145 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Depuis deux mois entiers que des lois légitimes v.1146 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Dans le reine d'Écosse ont puni tant de crimes, v.1147 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Qu'offrait-elle à tes yeux que d'indignes attraits ? v.1148 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Le jour qu'elle respire est un de mes bienfaits. v.1149 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- J'ai pu deux mois plus tôt trancher sa destine ; v.1150 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et tu n'ignores pas qu'elle était condamnée. v.1151 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Condamnée ! Eh Madame, ayez soins de vos droits ; v.1152 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Ce mot injurieux n'est point fait pour les rois. v.1153 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Dans le gloire suprême où la gloire les fait naître, v.1154 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Maître de tout le monde, il n'ont que Dieu pour maître. v.1155 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- La reine qu'on opprime, et dont il est l'appui, v.1156 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De tout ce qu'elle a fait n'est comptable qu'à lui. v.1157 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Mais fut-elle sujette, et non reine absolue, v.1158 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De quels crimes, Madame, est-elle convaincue ? v.1159 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Pour noircir sa mémoire apprenez-moi les tous ! v.1160 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- D'avoir fait lâchement massacrer son époux. v.1161 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- D'avoir dans mes états, où tout était tranquille, v.1162 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Attenté sur mes jours, violé son asile, v.1163 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Attiré l'étranger, corrompu mes sujets. v.1164 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Voilà quelle est ma plainte, et quels sont ses forfaits. v.1165 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- On vous trompe, Madame, elle a l'âme trop belle : v.1166 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Son plus austère juge est plus coupable qu'elle. v.1167 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Vous souffrez, cependant, qu'on l'envoie au trépas v.1168 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Pour des crimes forgés, que vous ne croyez pas. v.1169 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- à des pairs corrompus dont la vue épouvante v.1170 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Vous livrez sans scrupule une reine innocente. v.1171 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Votre haine obstinée à finir ses destins v.1172 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Érige un tribunal d'un amas d'assassins. v.1173 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Il en est un, Madame, où règne un autre juge v.1174 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Qui donne à l'innocence un éternel refuge : v.1175 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- La plus grand roi du monde y paraît sans appui ; v.1176 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et s'il n'a des vertus, rien n'y parle pour lui. v.1177 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Comme il est de son dieu la plus parfaite image, v.1178 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Dans ce degré sublime il lui doit avantage ; v.1179 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et devient responsable, après tant de bienfaits, v.1180 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Si vous pouviez, Madame, oublier votre haine, v.1182 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et voir sans passion une adorable reine, v.1183 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Devenue odieuse a force de vertus : v.1185 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Si par vos propres yeux vous vouliez la connaître, v.1186 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et non sur le rapport que vous en fait un traître, v.1187 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Qui pour essai de crime a conçu sans effroi v.1188 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- L'exécrable dessein d'assassiner son roi? v.1189 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Imposteur ! Le respect qu'ici vous devez rendre? v.1190 (Acte 4, scène 4, MORRAY)
- C'est un désespéré qui ne sait où se prendre. v.1191 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour se venger de vous, qui l'avez condamné, v.1192 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Il voudrait avec lui vous avoir entraîné. v.1193 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Effrayé du péril qui son crime lui montre v.1194 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Il s'attache en coupable à tout ce qu'il rencontre, v.1195 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et loin que le perfide implore ma pitié v.1196 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Il croit pas un mensonge être justifié. v.1197 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- En faveur d'un sujet que vous trouvez coupable, v.1199 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Si d'une reine auguste à qui le sang vous joint, v.1200 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- L'innocence est connue, et ne vous touche point ? v.1201 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Ce n'est point en amant, c'est en sujet fidèle, v.1203 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Qui voudrait en mourant vous pouvoir dérober v.1204 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Au crime où malgré vous on vous force à tomber. v.1205 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Jusqu'ici votre règne heureux de l'Angleterre, v.1206 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- A porté votre nom aux deux bouts de la Terre ; v.1207 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De l'aurore au couchant les plus augustes rois v.1208 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Briguent votre alliance, ou craignent vos exploits : v.1209 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Pour rendre désormais votre gloire immortelle v.1210 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- D'une reine opprimée embrassez la querelle : v.1211 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Elle est de même rang, de même autorité, v.1212 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Enfin de même sang que votre majesté. v.1213 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De vos sacrés aïeux laissez en paix la cendre : v.1214 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- C'est leur sang le plus pur qu'on s'apprête à répandre : v.1215 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Du fond de leur cercueil ils empruntent ma voix v.1216 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Pour vous représenter qu'on viole leurs droits. v.1217 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Méprisez les conseils des ces petites âmes v.1218 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Que le courroux du ciel a voulu rendre infâmes : v.1219 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Le soin de s'agrandir par d'injustes moyens? v.1220 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Je les veux suivre, Traître, et mépriser les tiens. v.1221 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Si je prends leur conseil, j'en connais le justice, v.1222 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ils m'animent tous deux à hâter ton supplice : v.1223 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Leur zèle impatient en presse d'appareil ; v.1224 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et je n'hésite point à suivre ce conseil. v.1225 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Va, lâche, va périr par une main infâme : v.1226 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Va prouver ta confiance à l'objet qui t'enflamme ; v.1227 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- En te précipitant du degré le plus haut, v.1228 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Va de ton sang impur rougir un échafaud. v.1229 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ce sang qu'en divers temps ont noirci tant de crimes, v.1230 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ce sang toujours rebelle à ses rois légitimes, v.1231 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- S'est vu par ses forfaits par l'acier d'un bourreau v.1232 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Privé plus d'une fois des honneurs du tombeau v.1233 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Qu'eut rendu mémorable une mort glorieuse : v.1235 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ton père et aïeul, dont tu sais le destin, v.1236 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- De la honte où tu cours t'ont frayé le chemin : v.1237 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- C'est sur un échafaud qu'ils ont cessé de vivre ; v.1238 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Tu dégénérais en manquant à les suivre, v.1239 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et le remords vengeur qui suit la trahison v.1240 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Fut toujours insensible à ceux de ta maison. v.1241 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Madame, je ne puis, à ce torrent d'injures, v.1242 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De mon coeur qu'on déchire étouffer les murmures : v.1243 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Tant que votre courroux m'a pris seul pour objet v.1244 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Je ne suis point sorti du devoir d'un sujet : v.1245 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Mais quand de mes aïeux on terni la mémoire, v.1246 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Quand de leur destinée on déguise la gloire ; v.1247 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Leur sans qui sans opprobre est venu jusqu'à moi, v.1248 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Me défend de manquer à ce que je leur dois. v.1249 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Mon père et mon aïeul, dont vous taisez les crimes, v.1250 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De leur religion volontaires victimes, v.1251 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Préférèrent les fers, la torture, la mort, v.1252 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Aux appas séducteurs dont on flattait leur sort. v.1253 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Voilà les grands forfaits dont ils furent coupables. v.1254 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Voilà les trahisons dont nous sommes capables. v.1255 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Voilà pour quel sujet le glaive d'un bourreau v.1256 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- A privé mes aïeux des honneurs du tombeau. v.1257 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Qui voudrait d'aussi près examiner de plus justes causes. v.1258 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Vous m'entendez. v.1259 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Oui, traître, et tu ne peux jamais v.1259 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Faire aller plus avant ma haine et tes forfaits. v.1260 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Je ne sais rien en moi susceptible d'outrage v.1261 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Qui ne ton lâche coeur n'ait éprouvé la rage. v.1262 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Quand j'aurais oublié tes autres attentats, v.1263 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ta dernière insolence est digne du trépas : v.1264 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Mais, perfide, ta reine est assez magnanime v.1265 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour porter sa clémence aussi loin que ton crime : v.1266 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- T'en laisser malgré toi le honteux souvenir v.1267 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- C'est la tourment affreux dont je veux te punir. v.1268 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ma bonté fatigue autant qu'elle doit l'être, v.1269 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour la dernière fois va parler, va paraître ; v.1270 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Si tu peux concevoir que effort je me fais v.1271 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Par un effort pareil mérite mes bienfaits. v.1272 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Prêt à voir par ta mort ma vengeance assouvie : v.1273 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Je ne hais point le vie. v.1274 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Si vous me la laissez, il me sera bien doux v.1275 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De pouvoir de nouveau la prodiguer pour vous. v.1276 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- D'un fidèle sujet l'infatigable zèle? v.1277 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et qui me répondra que tu me sois fidèle ? v.1278 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour le justifier que ton zèle soit grand v.1279 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Une fois violée est un mauvais garant. v.1280 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- C'est par un grand effort qu'un grand crime s'efface ; v.1281 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et j'en veux un de toi qui mérite ta grâce. v.1282 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Je ne te la promets qu'à ce prix. v.1283 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Commandez. v.1283 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Les pairs, dont l'équité s'est acquis tant d'estime, v.1284 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Eux, qui dans aucun sang n'autorisent le crime, v.1285 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour rendre à l'Angleterre un plus tranquille sort v.1286 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- De la reine d'Écosse ont tous signé la mort. v.1287 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ton nom manqué à l'arrêt qu'on a donné contre elle : v.1288 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et je ne croirai point que tu me sois fidèle v.1289 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Qu'en qualité de pair, zélé pour les États, v.1290 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Tu ne signe, comme eux l'arrêt de son trépas. v.1291 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Un refus échappé rend ta perte certaine. v.1292 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Réponds sans balancer. v.1293 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Gardes, qu'on me ramène. v.1293 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- C'est ma réponse. v.1294 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Ah ciel ! L'ingrat n'hésite pas ! v.1294 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Ma rivale à la mort va devancer tes pas, v.1295 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Traître. Dès ce moment pour contenter ma haine v.1296 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Allez y préparer cette coupable reine. v.1297 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Tant que ma lâcheté lui laissera le jour v.1298 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- L'ingrat qu'elle a charmé gardera son amour. v.1299 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Dût sa tête en tombant armer toute la terre v.1300 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Pour venir à grands pas fondre sur l'Angleterre, v.1301 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Comte de Newcastle, ne me revoyez pas v.1302 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Que vous n'ayez été témoin de son trépas. v.1303 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Ses ordres sont précis pour perdre sa rivale, v.1304 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Mais sa haine pour l'autre en paroles s'exhale : v.1305 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et s'il rendre en faveur il nous perdra tous deux. v.1307 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Un amour sans espoir dure peu dans une âme : v.1308 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Sa maîtresse en mourant fera mourir sa flamme ; v.1309 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et l'ayant condamné, s'il échappe au trépas v.1310 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- A son ressentiment nous n'échapperons pas. v.1311 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Ainsi, Seigneur, ainsi pour toute récompense v.1312 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Nous aurons la douleur d'opprimer l'innocence. v.1313 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Ne vaudrait-il pas mieux faire un plus noble effort, v.1314 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Et chercher des moyens pour détourner leur mort ? v.1315 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Le Duc avec plaisir épouserait la Reine v.1316 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- S'il voyait votre soeur à couvert de sa haine : v.1317 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Et dans leurs intérêt les nôtres confondus? v.1318 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Ah ! Perdons-les, vous dis-je, ou nous sommes perdus. v.1319 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Après de tels affronts, quelque effort qu'on se fasse, v.1320 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Il en reste une horreur qui jamais ne s'efface : v.1321 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- C'est par des flots de sang que l'on doit s'en laver ; v.1322 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et nous avons trop fait pour ne pas achever. v.1323 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Puisqu'au trône où j'aspire une voie est ouverte v.1324 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- De la reine d'Écosse allez hâter la perte ; v.1325 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et laissez-moi le soin, dût-il m'être fatal, v.1326 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- D'aller secrètement immoler mon rival. v.1327 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Que la reine en courroux tonne, éclate, foudroie, v.1328 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Il faut que de ma haine il devienne la proie ; v.1329 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et dût-elle sur moi le venger aujourd'hui, v.1330 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Je mourrai sans regret si je meurs après lui. v.1331 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Quand il faudra partir je n'ai rien qui m'arrête. v.1332 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Et qu'à leur premier ordre ils seront obéis, v.1334 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Quoique par mon trépas tous les droits soient trahis. v.1335 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Le Comte de Morray viendra-t-il ? v.1336 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Votre zèle, Melvin, est gravé dans mon âme. v.1337 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Vous avez de mon sort partagé le courroux, v.1338 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Et je vais au trépas sans rien faire pour vous. v.1339 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Et de ce rang suprême il ne m'est rien resté v.1342 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- De quoi récompenser votre fidélité. v.1343 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Victime d'un arrêt qu'a dicté l'injustice, v.1344 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- L'état où je vous laisse augmente mon supplice : v.1345 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Après un sort si rude il m'eut été bien doux v.1346 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- De combler de bienfaits? Et quoi, vous pleurez tous ! v.1347 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Témoins infortunés des malheurs de ma vie, v.1348 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- En voyez la fin avec un oeil d'envie ? v.1349 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Dans un long voyage ai-je trop peu souffert ? v.1350 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Faut-il verser des pleurs quand un port m'est offert ? v.1351 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Si vous aimez ma gloire épargnez ma faiblesse, v.1352 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Et ne m'accablez point à force de tendresse. v.1353 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Madame, vos bontés, mon devoir, votre rang, v.1354 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Ne demandent ici que des larmes de sang. v.1355 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Plut au ciel que le mien, plus ardent que tout autre, v.1356 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Que votre injuste mort nous a coûté de pleurs ! v.1358 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Et qu'un jour? v.1359 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Quelqu'un vient. Contraignez vos douleurs. v.1359 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Approche, ingrate sujet, dont la haine m'accable, v.1360 (Acte 5, scène 2, MARIE-STUARD)
- Viens me dire du moins que quoi je suis capable. v.1361 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Apprends-moi quel outrage et quels maux je t'ai faits. v.1362 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Cruel, mon souvenir n'est plein que de bienfaits. v.1363 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Quoi que l'on doute encore de qui tu reçus l'être, v.1364 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Pour enfant du feu roi je t'ai fait reconnaître ; v.1365 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Et sans approfondir si tu sors de son sang v.1366 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Je t'ai fait dans ma cour tenir le premier rang. v.1367 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Tu ne fais que trop voir que tu n'es pas mon frère v.1368 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Par les soins que tu prends à m'être si contraire. v.1369 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Si le sang qui t'anime était le sang d'un roi, v.1370 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Serais-tu sans honneur, sans tendresse, sans foi ? v.1371 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Élevé dans ma cour, ta criminelle audace v.1372 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Entre le trône et toi ne put souffrir d'espace : v.1373 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Pour m'en faire tomber par de sanglants effets v.1374 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- La mort de mon époux fut un de tes forfaits : v.1375 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Mais, ce qui de l'enfer est la plus noir ouvrage, v.1376 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Et par des trahisons, conduits avec art, v.1378 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- J'expire pour un crime où je n'ai point de part. v.1379 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Tu sais, toi qui l'as fait, que j'en suis innocente. v.1380 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Un trône prêt à choir n'offre rien qui me tente. v.1381 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Du ciel qui le foudroie appuyant le courroux v.1382 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- C'est son intérêt seul que je prends contre vous. v.1383 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Pour détruire une erreur dont j'abhorre le culte. v.1384 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Les liens les plus doux n'ont rien que je consulte : v.1385 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Et ce que votre haine appelle ambition v.1386 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Est un zèle épuré pour ma religion. v.1387 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Si ta religion l'acquiert le privilège v.1388 (Acte 5, scène 2, MARIE-STUARD)
- D'être envers une soeur perfide et sacrilège, v.1389 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- La mienne, si contraire à celle où tu t'es mis, v.1390 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- M'apprends à pardonner à tous mes ennemis. v.1391 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- On vient avertir qu'il faut quitter le vie. v.1392 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Séparons-nous en paix, c'est moi qui t'en convie v.1393 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Insensible aux affronts où l'on m'expose ici, v.1394 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Je pardonne à la reine, et ta pardonne aussi. v.1395 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Puisse mon sang verse par vos brigues secrètes v.1396 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Vous retirer bientôt de l'erreur où vous êtes ! v.1397 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Si par le juste ciel mes voeux sont écoutés v.1398 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- J'en vais faire pour vous qui me persécutez. v.1399 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Je sens dans mon coeur qui s'émeut, qui chancelle, v.1400 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- La voix de la nature au repentir m'appelle. v.1401 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Silence, indigne voix, qui me veux attendrir : v.1402 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Qu'importe pour régner que je sache périr ? v.1403 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Un prince ambitieux que la raison éclaire v.1404 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Doit faire une vertu d'un crime nécessaire ; v.1405 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Et préférer toujours, sans en être confus, v.1406 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Les utiles forfaits aux ingrates vertus. v.1407 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Comte, j'allais vous voir. Malgré toute ma haine v.1408 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Je ne puis résister au remords qui me gêne. v.1409 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- En vain ma politique en veut rompre le cours : v.1410 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Quelque effort que je fasse il me revient toujours. v.1411 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Je crois de toutes parts entendre le tonnerre ; v.1412 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Je crois voir contre moi tous les rois de la terre ; v.1413 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Rendrait mon nom infâme, et mon règne odieux. v.1415 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Quoi qu'ait fait votre soeur je lui donne sa grâce. v.1416 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- La clémence sied bien à qui tient votre place. v.1417 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Cette grande vertu, la plus digne des rois, v.1418 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Est le plus glorieux, le plus saint de leurs droits. v.1419 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Mais je doute, Madame, et ne puis vous le taire, v.1420 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Qu'on approuve jamais ce que vous allez faire. v.1421 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Et peut-on approuver l'implacable fureur v.1422 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Est-ce l'injuste espoir de régner après elle v.1424 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Qui vous rend frère ingrate, et sujet infidèle ? v.1425 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Quand j'impose silence à mon juste courroux v.1426 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Pour peu qu'à mon devoir je demeure fidèle v.1428 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Sis a vie en ces lieux fait revivre l'Erreur. v.1431 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Si de vos jours sacrés le ciel bornait la course v.1432 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- D'un déluge de maux elle ouvrirait la source : v.1433 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Vos sujets qu'elle hait, devenus ses sujets, v.1434 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Seraient de sa fureur les funestes objets. v.1435 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Ce trône qu'avec soin vos vertus affermissent, v.1436 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Où vous donnez des lois dont les méchants frémissent, v.1437 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Deviendrait pas son ordre un lieu d'impunité v.1438 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Où l'Erreur pour jamais serait en sûreté. v.1439 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- On verrait sous ses lois par des mains étrangères v.1440 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Arracher les enfants du tendre sein des mères, v.1441 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Pour leur faire sucer, éloignés de ces murs v.1442 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Avec un lait moins cher des préceptes moins purs. v.1443 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- En vous parlant ainsi je trahis la nature ; v.1444 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Mon sang qui se révolte en soupire, en murmure ; v.1445 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Je me sens comme vous accablé de remords ; v.1446 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Et pour les étouffer je fais de vains efforts. v.1447 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Mais si de ces desseins elle venait à bout v.1450 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Le carnage et l'horreur triompheraient par tout. v.1451 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Je prévois des malheurs qui seraient sans limites. v.1452 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Si ma main secourable ose briser ses fers v.1454 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Sa haine pour me perdre armera l'univers : v.1455 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Mais pour venger la mort, honteuse aux diadèmes, v.1456 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Tous les rois offensez m'accableront eux-mêmes ; v.1457 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Et pour le bien commun oubliant leurs débats v.1458 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Viendront d'intelligence envahir mes États. v.1459 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Ma crainte sur ce point égalerait la vôtre, v.1460 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Si les princes voisins se fiaient l'un à l'autre. v.1461 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Un roi qui s'affaiblit offre une occasion v.1462 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Qui de ses ennemis tente l'ambition. v.1463 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Pour ses propres États chacun garde ses forces ; v.1465 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Et vous verrez de loin leur impuissant courroux v.1466 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Borner sa violence à se plaindre de vous. v.1467 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Quoiqu'il en soit, Madame, il est temps de résoudre v.1468 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Si vous voulez lancer ou retenir la foudre. v.1469 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Ma soeur touché à son terme, et dans quelques instants v.1470 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- On voudrait la sauver qu'il ne serait plus temps. v.1471 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Suivez votre penchant sans aucune contrainte. v.1472 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Vos dernières raisons ont dissipé ma crainte. v.1473 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Qu'elle meure. Et pourquoi me ferai-je un effort v.1474 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Pour conserver la vie à qui cherche ma mort ? v.1475 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Si je lui rend le jour me rendra tout son zèle. v.1477 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Il est assez puni de savoir mon arrêt : v.1479 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Et s'il faut m'expliquer, quoi qu'ait fait son audace, v.1480 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Un pardon généreux ma l'acquiert à jamais. v.1482 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Madame? Croyez-moi, placez mieux vos bienfaits. v.1483 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Plus fidèle que lui, s'il faut prendre les armes, v.1484 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Je mettrai votre trône à l'abri des alarmes. v.1485 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- La Duc dont vos bontés ont voulu faire un roi, v.1486 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Ingrat à votre amour vous a manqué de foi. v.1487 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Que tout autre que lui vous eût montré son zèle ! v.1488 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Insolent ! Vous sauriez jusqu'où va mous courroux v.1490 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Si je pouvais sans honte éclater contre vous. v.1491 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Si je laisse impuni l'affront que vous me faites, v.1492 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- L'intervalle est plus grand, quoiqu'il manqué de foi, v.1494 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Entre vous et le Duc, qu'entre le Duc et moi. v.1495 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Pour joindre à ce mépris de plus sensibles peines, v.1496 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- D'un criminel si cher allez rompre les chaînes : v.1497 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Je lui cause des maux où je prends trop de part. v.1498 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Portez-lui le pardon ? v.1499 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Il est mort ! Ah, perfide, qu'entends-je ! v.1500 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Un si juste trépas le punit et vous venge. v.1501 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Coupable envers l'État si lâchement trahi, v.1502 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Condamné par ses pairs, haï de vous ? v.1503 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Ah traître ! Dans mon coeur tu sais ce qui se passe. v.1504 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- À la reine d'Écosse allez porter sa grâce, v.1505 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Lancastre. Ce perfide, ennemi de sa soeur, v.1506 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- M'a peut être engagée à servir sa fureur. v.1507 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Qu'on la ramène. Et toi je veux que tu périsses. v.1508 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Interdit, pénétré d'une juste douleur, v.1510 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je ne paraît ici que pour vous faire horreur. v.1511 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je ne m'offre à vos yeux que pour grossir la foudre v.1512 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dont il faut vous armer pour me réduire en poudre. v.1513 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je me serai puni, mais mon sang répandu, v.1514 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et pour voir avec fruit ma trahison punie, v.1516 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Il faut que je périsse avec ignominie. v.1517 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Quel sujet vous anime à tenir ce discours ? v.1518 (Acte 5, scène 5, ELISABETH)
- D'une reine innocente on a tranché la jour. v.1519 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tendre sa tête auguste à l'acier du bourreau : v.1523 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et mes remords trop lents n'ont point formé d'obstacle v.1524 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Au barbare succès d'un si triste spectacle. v.1525 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Eussai-je pour tout crime approuvé son trépas v.1526 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ma main à m'en punir ne balancerait pas : v.1527 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ce que je dois souffrir puisque j'en suis la cause. v.1529 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Moi, Madame. Un aveu si honteux v.1530 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Vous anime à ma perte, et c'est ce que je veux. v.1531 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- J'offre à votre justice une digne matière. v.1532 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ne la trahissez point, faites-la toute entière. v.1533 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ce monstre dont la vue infecte vos regards, v.1534 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Cet ennemi public, haï de toutes part, v.1535 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Jusqu'à vous aimer a porté son audace, v.1536 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Plus coupable que moi mérite moins de grâce. v.1537 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- C'est lui qui par l'appas d'une criminel espoir v.1538 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A séduit ma vertu, corrompu mon devoir, v.1539 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Imprimé dans mon coeur l'effroyable maxime v.1540 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Qu'un crime couronné perdait le nom de crime. v.1541 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Assassin de son roi, sa rapide fureur v.1542 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A par une autre voie assassiné sa soeur ; v.1543 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et si l'on ne prévient sa détestable envie v.1544 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Leur fils en son pouvoir doit trembler pour sa vie. v.1545 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Traître, qui de mon trône as fait tomber l'appui, v.1547 (Acte 5, scène 5, ELISABETH)
- Ton sang, pour le venger, répandu goutte à goutte ? v.1548 (Acte 5, scène 5, ELISABETH)
- Pour commencer sa peine ordonnez qu'il m'écoute. v.1549 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- La douloureuse mort de son auguste soeur, v.1550 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Si de mes trahisons le repentir extrême v.1552 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Vous n'avez plus à craindre aucun trouble intestine ; v.1554 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tout cède à l'ascendant de votre heureux destin. v.1555 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Faites que la pitié succède à votre haine : v.1556 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Des larmes d'une reine honorés une reine : v.1557 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- L'adorable Stuard vient de finir son sort ; v.1558 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Au funeste appareil de son cruel supplice v.1560 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Elle arrête le ciel qu'on lui fait injustice : v.1561 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Que pendant sa prison, quoiqu'elle ait enduré, v.1562 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Jamais contre vos jours elle n'a conspiré ; v.1563 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et que du fond des coeurs ayant seul connaissance v.1564 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dieu, qu'on ne trompe point, savait son innocence. v.1565 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Là, de tendres soupirs s'étant joints à sa voix, v.1566 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Seigneur, écoutez-moi pour la dernière fois, v.1567 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dit-elle. Je suis mère, et mon coeur qui soupire v.1568 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Croit que pour vous toucher ce nom seul doit suffire. v.1569 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Un fils que de mes pleurs j'ai souvent arrosé, v.1570 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Au plus grand des malheurs est peut-être exposé : v.1571 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ce sang de tant de rois le déplorable reste, v.1572 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Est peut-être élevé dans un culte funeste. v.1573 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dans un péril si grand devenez son appui. v.1574 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Contre ses ennemis déclarez-vous pour lui. v.1575 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Montrez-vous en le père ; et pour faveur insigne v.1576 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Avant que de régner faites qu'il en soit digne. v.1577 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- J'implore pour tous deux votre divin secours : v.1578 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et je vous recommande et mon âme et ses jours. v.1579 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pendant que de son coeur la tendresse s'explique, v.1580 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- L'abominable objet de la haine publique, v.1581 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Par une indignité qu'elle n'attendait pas, v.1582 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ose se présenter pour lui lier les bras. v.1583 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Sensible à cette opprobre, une modeste plainte v.1584 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A trahi la douleur qu'elle tenait contrainte : v.1585 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Réserve, a-t-elle dit, cet infâme lien v.1586 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour fléchir quelque nom moins fameux que le mien : v.1587 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Quoique jusqu'au tombeau la fortune me brave v.1588 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je veux mourir en reine et non pas en esclave ; v.1589 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et malgré le silence où s'obstinent les rois v.1590 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Jusqu'au dernier soupir je soutiendrai leurs droits. v.1591 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ses filles, cependant, les yeux baignés de larmes, v.1592 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- De son pudique sein font entrevoir les charmes. v.1593 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour ouvrir un passage à l'acier criminel v.1594 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dont la reine innocente attend le coup mortel, v.1595 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Par un cruel devoir, dont la rigueur les tue, v.1596 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Quelques moments après elles voilent sa vue, v.1597 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et cachent pour jamais les malheureux appas v.1598 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Qui sans l'aveu du coeur ont fait tant d'attentats, v.1599 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Leur zèle consommé par ce dernier service, v.1600 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et la victime prête à ce grand sacrifice, v.1601 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Plus on est attentif à ce lugubre aspect, v.1602 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Plus on sent de pitié, de terreur, de respect. v.1603 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tous les coeurs sont touchés ; tous les yeux sont humides ; v.1604 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et tous les gens de bien plaignant son triste sort v.1605 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- D'un éloge funèbre accompagnent sa mort. v.1606 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Enfin, Madame, enfin, humblement prosternée v.1607 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je pardonne, dit-elle, à qui m'a condamnée ; v.1608 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Aient le coeur plus austère, et les yeux mieux ouverts ; v.1610 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- L'innocence à la mort ne soit plus exposée. v.1612 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pendant ces derniers mots le ministre inhumain v.1613 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Qui d'un glaive funeste avait armé sa main, v.1614 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Fidèle exécuteur de votre injuste haine, v.1615 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A tranché le destin de cette grande reine. v.1616 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Mais, ô prodige affreux ! Qui me vient de troubler ! v.1617 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Prodige, dont vous-même avez lieu de trembler ! v.1618 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Deux fois sur l'échafaud la tête bondissante v.1619 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A répété deux fois qu'elle était innocente ; v.1620 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et dans tous les esprits répandu tant d'effroi v.1621 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Que tous les spectateurs ont frémi comme moi. v.1622 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour venger son trépas l'ardeur qui les anime v.1623 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A choisi son bourreau pour première victime ; v.1624 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et si votre pouvoir n'arrête ce transport, v.1625 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tous ses juges, sans doute, auront un même sort. v.1626 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour moi qui désormais aurai honte de vivre, v.1627 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Il faut qu'à leur fureur mon désespoir me livre ; v.1628 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et pour mieux me punir, s'ils épargnent mes jours, v.1629 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- C'est à votre justice où sera mon secours. v.1630 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je l'attends. v.1631 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Qu'on le suive, et que l'on m'en réponde. v.1631 (Acte 5, scène 5, ELISABETH)
- Hé bien, sens-tu, méchant, que ton coeur se confonde ? v.1632 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Te sens-tu dans le crime assez bien affermi, v.1633 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Monstre, que dans ces lieux les enfers ont vomi ? v.1634 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- De tes lâches projets la fortune se joue. v.1635 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- On ne vous a rien dit que mon coeur désavoue. v.1636 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- À qui veut que le crime éternise ses ans v.1637 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Les forfaits les plus noirs sont les plus éclatants. v.1638 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Le roi que fit ma soeur par son hymen funeste, v.1639 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- A péri par mon bras, et vous savez le reste. v.1640 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Je n'ai rien oublié pour la perdre après lui. v.1642 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- La mort qu'elle a soufferte est mon dernier ouvrage ; v.1643 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Et son fils, à son tour eut assouvi ma rage : v.1644 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- J'en avais donné l'ordre, et j'allais être roi v.1645 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Si le sort inconstant ne m'eut manqué de foi. v.1646 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Vos droits à l'Angleterre étant peu légitimes, v.1647 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Et les miens à l'Écosse étant crimes sur crimes, v.1648 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Pour les mieux affermir je cherchais les moyens v.1649 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- D'unir mon sceptre au vôtre, et vos crimes aux miens. v.1650 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- La ciel cruel aux uns, et favorable aux autres v.1651 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- S'oppose à mes desseins, et secondes les vôtres : v.1652 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Tous deux enfants de roi par un semblable sort v.1653 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Il vous élève au trône, et me livre à la mort. v.1654 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Mais s'il croit la choisir son attente est trompée. v.1655 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Quoiqu'on ait par son ordre arraché mon épée, v.1656 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Son aveugle colère a manqué de prévoir v.1657 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Que j'avais, malgré lui, ma mort en mon pouvoir. v.1658 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Lorsqu'on tombe d'un trône où l'on a dû prétendre, v.1659 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Voilà sans balancer le parti qu'on doit prendre. v.1660 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Faites tous un effort pour tromper ses projets. v.1661 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Il est trop peu puni pour de si grands forfaits. v.1662 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Il mérite, le traître, une plus longue peine. v.1663 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- L'endroit où j'ai frappé rend votre attente vaine : v.1664 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Et j'ai la gloire, au moins, dans un sort si fatal, v.1665 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- De mourir autrement que n'est mort mon rival. v.1666 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Que la haine et l'amour ont d'injustes maximes ! v.1668 (Acte 5, scène 7, ELISABETH)
- Et qu'un coeur déréglé, qui suit leurs mouvements v.1669 (Acte 5, scène 7, ELISABETH)
- Se condamne soi-même à de cruels tourments ! v.1670 (Acte 5, scène 7, ELISABETH)
- Héros trop malheureux ! Trop malheureuse reine ! v.1671 (Acte 5, scène 7, ELISABETH)
- Victimes tout ensemble et d'amour et de haine, v.1672 (Acte 5, scène 7, ELISABETH)
- Ne vous reprochez point votre injuste trépas : v.1673 (Acte 5, scène 7, ELISABETH)
- Vous goûtez un repos dont je ne jouis pas. v.1674 (Acte 5, scène 7, ELISABETH)
ÉSOPE À LA COUR (1701)
- Que direz-vous, messieurs, à moins d'être indulgents, v.1 (Prologue, scène 1, UN PETIT GÉNIE)
- De voir d'abord paraître un marmot sur la scène ? v.2 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Est-il à présumer que je vaille la peine v.3 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- D'amuser tant d'honnêtes gens ? v.4 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Au bonheur d'être grand j'aurais tort de prétendre ; v.5 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- C'est un bien qui m'est interdit : v.6 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- L'auteur pour son génie ayant voulu me prendre, v.7 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Se faut-il étonner que je sois si petit ? v.8 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Je laisse aux grands esprits à choisir dans l'histoire v.9 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Des événements de grand poids. v.10 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- C'est un si vaste champ que le champ de la gloire, v.11 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Qu'on y peut arriver par différents endroits. v.12 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Les grecs et les romains ont épuisé les voiles v.13 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Des Racines et des Corneilles : v.14 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Pouvoir déraciner des coeurs v.17 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Les vices qu'on y développe. v.18 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- "Quel petit génie est-ce là ? " v.19 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Diront ceux qui sont las des fables : v.20 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- "Pour qui nous croit-il prendre, en débitant cela ? " v.21 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Pour qui ? Pour des gens raisonnables ; v.22 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Pour des gens de bon goût, qui, loin d'être l'appui v.23 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Des impertinences d'autrui, v.24 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Sont ravis de les voir pour s'empêcher d'en faire. v.25 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Les plus judicieux conseils v.26 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- À nous porter au bien servent moins d'ordinaire v.27 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Que les fautes de nos pareils. v.28 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Ne vous attendez pas à des éclats de rire v.29 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Dans ce qu'on va représenter : v.30 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- L'intention de la satire v.31 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Est d'instruire et non de flatter. v.32 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Quoique depuis Ésope, il plaise aux destinées v.33 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Avoir fait écouler plus de deux mille années, v.34 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- (ou la chronologie a tort) v.35 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Tous les hommes étant des hommes, v.36 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Ceux des siècles passés et du temps où nous sommes, v.37 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Ont toujours eu quelque rapport. v.38 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Si quelqu'un, par hasard, d'un mauvais caractère, v.39 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- S'y trouve si bien peint qu'il soit presque parlant, v.40 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Il ne tient qu'à lui de bien faire, v.41 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Il ne sera plus ressemblant. v.42 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Je ne vous dis rien de l'ouvrage ; v.43 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Sans vous le demander, il est sûr de l'avoir. v.45 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Mon but, en le faisant, fut l'honneur de vous plaire : v.46 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- C'est le plus digne salaire v.47 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Que j'en puisse recevoir. v.48 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Non, je ne puis garder plus longtemps le silence, v.49 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- Ma haine pour Ésope a trop de violence. v.50 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Crésus, infatué d'un objet si hideux, v.51 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Le voyant de retour, nous néglige tous deux. v.52 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Notre zèle est suspect, quelque pur qu'il puisse être ; v.53 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- De l'esprit de ce prince il s'est rendu le maître : v.54 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Pour l'obséder lui seul il l'éloigne de nous ; v.55 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Prenons l'occasion qui nous en est offerte. v.58 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- Nous avons de sa fourbe un fidèle témoin ; v.59 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- À détromper Crésus appliquons notre soin. v.60 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Qu'attendez-vous ? v.61 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- J'attends que nous lui voyions faire v.61 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Ce qu'avant son voyage il faisait d'ordinaire. v.62 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Ébloui d'un trésor qu'il ne pouvait trop voir, v.63 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Il l'allait visiter le matin et le soir. v.64 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Ne le détournons point de sa première route, v.65 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Et craignons qu'en ce lieu quelqu'un ne nous écoute. v.66 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Des états de Crésus ayant fait tout le tour, v.67 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Avec un bien immense il en est de retour ; v.68 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Et son trésor grossi grossira la tempête v.69 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Qui demain, au plus tard, doit écraser sa tête. v.70 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Soyez dans votre haine aussi ferme que moi. v.71 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Parlez bas ; il vient avec le roi. v.72 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- Trouvez-vous au conseil à l'heure accoutumée. v.74 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Eh ! Seigneur, se peut-il qu'après tant de v.76 (Acte 1, scène 2, IPHIS)
- Bontés ?... v.77 (Acte 1, scène 2, IPHIS)
- Mon ordre est une loi, c'est moi qui vous l'annonce, v.77 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Sortez. Je ne veux point d'inutile réponse. v.78 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Si mon zèle... v.79 (Acte 1, scène 2, IPHIS)
- Iphis, sortez, vous dis-je, et ne me voyez plus. v.80 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Pour toi, mon cher Ésope, il faut que je t'avoue v.81 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que de ton équité tout le monde se loue. v.82 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Il n'est grands ni petits des endroits d'où tu viens v.83 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qui ne fassent des voeux pour mes jours et les tiens. v.84 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Après avoir été par l'ordre de ton prince, v.85 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Réformer les abus de province en province, v.86 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Il ne te restait plus qu'à hâter ton retour v.87 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour venir réformer les abus de ma Cour. v.88 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Rends les vices affreux à tout ce que nous sommes ; v.89 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Tous les hommes en ont, et les rois sont des hommes. v.90 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour faire voir en eux jusqu'au moindre défaut. v.92 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Loin de flatter les miens dans ce degré suprême, v.93 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- À corriger ma cour commence par moi-même : v.94 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Règle ce que je dois suivant ce que je puis, v.95 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et rends-moi digne, enfin, d'être ce que je suis. v.96 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Seigneur, vous obéir est ma plus forte envie. v.97 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- C'est à vous que mon zèle a consacré ma vie ; v.98 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mais, dans l'heureux état où vos bontés m'ont mis, v.99 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ne me commandez rien qui ne me soit permis. v.100 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il est beau qu'un monarque aussi grand que vous l'êtes, v.101 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qu'au gré de la justice il règle son pouvoir, v.103 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et qu'exempt de défauts il ait peur d'en avoir ; v.104 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mais si vous en aviez, quel homme en votre empire v.105 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ce n'est point pour les rois qu'est la sincérité : v.107 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- L'encens fait un plaisir dont l'âme extasiée v.109 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Jamais jusqu'à ce jour ne s'est rassasiée ; v.110 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et l'on étale aux rois d'un plus tranquille front v.111 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Les vertus qu'ils n'ont pas que les défauts qu'ils ont. v.112 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et c'est, mon cher Ésope, à quoi, s'il est possible, v.113 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Tu me dois empêcher d'avoir le coeur sensible. v.114 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Quel monarque a-t-on vu, pendant qu'il a régné, v.115 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qui de mille vertus ne fût accompagné ? v.116 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Les rois qui sur ma tête ont transmis la couronne v.117 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ont eu, quand ils régnaient, tous les noms qu'on me donne. v.118 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et ceux, après ma mort, qui me succéderont v.119 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Les auront à leur tour pendant qu'ils régneront. v.120 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Par là je m'aperçois, ou du moins je soupçonne, v.121 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qu'on encense la place autant que la personne ; v.122 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qu'on me rend des honneurs qui ne sont pas pour moi, v.123 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et que le trône enfin l'emporte sur le roi. v.124 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Si tu veux que ta foi ne me soit point suspecte, v.125 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ne souffre dans ma cour nul flatteur qui l'infecte. v.126 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- L'équité, qui partout semble emprunter ta voix, v.127 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Est ce qu'on s'étudie à déguiser aux rois ; v.128 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour me la faire aimer, fais-la moi bien connaître : v.129 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je t'en prie en ami, je te l'ordonne en maître. v.130 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je suis jeune, et peut-être assez loin du tombeau : v.131 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Mais que sert un long règne, à moins qu'il ne soit beau ! v.132 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- De ton zèle pour moi donne-moi tant de marques v.133 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que je ressemble un jour à ces fameux monarques v.134 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qui pour veiller, défendre et régir leurs états, v.135 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- En sont également l'oeil, l'esprit et le bras. v.136 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Guide mes pas toi-même au chemin de la gloire. v.137 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Les rois presque toujours y vont par la victoire : v.138 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Leurs plus nobles travaux sont les travaux guerriers. v.139 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Eh ! Quel prince a-t-on vu plus couvert de lauriers ? v.140 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Après avoir deux fois vu Samos dans vos chaînes, v.141 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Vaincu cinq rois voisins et fait trembler Athènes, v.142 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Pour en vaincre encore un, qui les surpasse tous, v.143 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Vous n'avez plus, seigneur, à surmonter que vous. v.144 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Sans être conquérant un roi peut être auguste. v.145 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dans le sein de la paix faire de toutes parts v.147 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dispenser la justice et fleurir les beaux arts, v.148 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Protéger votre peuple autant qu'il vous révère, v.149 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- C'est en être, seigneur, le véritable père ; v.150 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et père de son peuple est un titre plus grand v.151 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que ne le fut jamais celui de conquérant... v.152 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je vous parle, seigneur, en serviteur fidèle. v.153 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Eh ! Qui sait mieux que moi la grandeur de ton zèle ? v.154 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Poursuis. N'interromps point des avis si prudents, v.155 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et des soins du dehors passe à ceux du dedans : v.156 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Examine ma cour, et n'y souffre aucun vice ; v.157 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Bannis-en les abus, chasses-en l'injustice : v.158 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ta bonté pour le peuple a pris des soins si grands !... v.159 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que le peuple et la cour, seigneur, sont différents ! v.160 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quoiqu'on nomme le peuple un monstre à plusieurs têtes, v.161 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Si les uns sont grossiers, les autres sont honnêtes. v.162 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dans les moins délicats j'ai trouvé tant de foi, v.163 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qu'une seule parole est pour eux une loi. v.164 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- La cour en apparence a bien plus de justesse : v.165 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mais combien de chagrins y faut-il essuyer, v.167 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et sur quelle parole ose-t-on s'appuyer ? v.168 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Tout rares qu'ils y sont, les amis s'embarrassent ; v.169 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Tels voudraient s'étouffer que l'on voit qui s'embrassent. v.170 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Pour un dont la vertu trouve un heureux destin, v.171 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mille vont à leur but par un autre chemin : v.172 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- L'un, qui pour s'élever n'a qu'un faible mérite, v.173 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Sous un dehors zélé cache un coeur hypocrite, v.174 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- L'autre met son étude à vous donner des soins, v.175 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quand il sait que vos yeux en seront les témoins ; v.176 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Cet autre en plaisantant devient sexagénaire ; v.178 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et l'on arrive ainsi, presqu'en toutes les cours, v.179 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'un pas imperceptible à la fin de son cours. v.180 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- On est si dissipé qu'avant que de connaître v.181 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ce que c'est que d'être homme, on y cesse de l'être ; v.182 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et ceux qui de leur temps examinent l'emploi v.183 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Trouvent qu'ils ont vécu, sans qu'ils sachent v.184 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je reconnais ma cour, je ne puis te le taire, v.185 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Au fidèle tableau que tu me viens de faire : v.186 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Mais un trait important, que tes soins ont omis, v.187 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Un roi ne sait jamais s'il a de vrais amis. v.188 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- De tant de courtisans, qui toujours sur mes traces v.189 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- N'accompagnent mes pas que pour avoir des grâces, v.190 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je ne puis distinguer, au rang où je me vois, v.191 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ceux qui m'aiment pour eux, ou qui m'aiment pour moi. v.192 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je voudrais quelquefois, pour savoir si l'on m'aime, v.193 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pendant un mois ou deux me voir sans diadème ; v.194 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et dans mon premier rang être ensuite remis, v.195 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour ne me plus méprendre au choix de mes amis. v.196 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que sais-je qui me flatte ou qui me rend justice ? v.197 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je ne dis pas un mot que chacun n'applaudisse : v.198 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et si l'on prévoyait ce que je dois penser, v.199 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- On m'applaudirait même avant de m'énoncer : v.200 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je confonds le faux zèle avec le véritable. v.201 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Permettez-moi, seigneur, de vous dire une fable. v.202 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Jamais la vérité n'entre mieux chez les rois v.203 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que lorsque de la fable elle emprunte la voix. v.204 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Par cent fameux exploits un lion renommé, v.205 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ayant su d'un vieux cerf, qu'il connaissait fidèle, v.206 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que souvent tels et tels, dont il était charmé, v.207 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Payaient ses bontés d'un faux zèle, v.208 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- En voulut par lui-même être mieux informé. v.209 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il fait venir un tigre, un ours, une panthère, v.210 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Après à la curée, et qui, sans hésiter, v.211 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quand de quelque désordre ils pouvaient profiter, v.212 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De la peine d'autrui ne s'inquiétaient guère. v.213 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- " mes amis, leur dit-il, à qui j'ai si souvent v.214 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Confié le soin de ma gloire, v.215 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je crois, sans me flatter d'un espoir décevant, v.216 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Avoir un sûr moyen de vivre dans l'histoire. " v.217 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Alors faisant semblant d'être encor dans l'erreur, v.218 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'ignorer leur artifice, v.219 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il leur propose une injustice, v.220 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dont lui-même avait de l'horreur, v.221 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- " pesez bien, leur dit-il, ce que je vous propose, v.222 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et surtout que ma gloire aille avant toute chose : v.223 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je n'ai rien de plus important. " v.224 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Ce que vous proposez est juste et nécessaire, v.225 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Répond tout d'une voix la troupe mercenaire, v.226 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et rien ne le fut jamais tant. » v.227 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Pensez-y deux fois plutôt qu'une, v.228 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Reprit doucement le lion ; v.229 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et, si je vous suis cher, ayez soin de mon nom : v.230 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Les rois ont moins besoin d'augmenter leur fortune v.231 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que de voir croître leur renom. » v.232 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Seigneur, répond encor la bande insatiable, v.233 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quelque dessein que vous ayez, v.234 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Pour rendre une chose équitable v.235 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Dangereux conseillers, adulateurs infâmes ! v.237 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dit le lion terrible, en élevant sa voix, v.238 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Indignes d'approcher des rois. v.240 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Fuyez loin de moi, troupe avide, v.241 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qui des faibles agneaux et du chevreuil timide v.242 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Êtes si justement l'effroi : v.243 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- C'est votre intérêt qui vous guide, v.244 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ce n'est point la gloire du roi. » v.245 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'un exil éternel ayant puni l'audace v.246 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De leurs conseils pernicieux, v.247 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il menaça de la même disgrâce v.248 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Les animaux qui briguèrent leur place, v.249 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- S'ils ne la remplissaient pas mieux. v.250 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Une mémorable victoire, v.251 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- À l'éclat de sa vie ajouta moins de gloire v.253 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Pour expliquer l'énigme et dévoiler l'emblème, v.255 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Croyez-vous qu'un monarque, aussi grand que vous-même, v.256 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Ne fît pas une belle et louable action v.257 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'imiter quelquefois l'adresse du lion ? v.258 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De ce trait d'équité plus que d'une victoire v.259 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Vos sujets dans leur coeur garderaient la mémoire ; v.260 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et ceux qui sont admis dans le conseil des rois v.261 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- En donnant leur avis y penseraient deux fois... v.262 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Peut-être m'expliquai-je avec trop de franchise. v.263 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- C'est une liberté que vous m'avez permise. v.264 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je ne sais ce que c'est que de rien déguiser. v.265 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qui ne m'offense point ne doit point s'excuser. v.266 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Charmé de tes avis, pénétré de ton zèle, v.267 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et par tant de raisons, sûr que tu m'es fidèle, v.268 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je confie à ta foi, comme deux grands dépôts, v.269 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et les soins de ma gloire et ceux de mon repos. v.270 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- De l'orgueilleux Iphis je te donne la place. v.272 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- À moi, seigneur ? v.273 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qui peut plus sagement gouverner mes finances v.275 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que toi, qui fuis le bien, et qui hais les dépenses ? v.276 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- En quelle occasion les peux-tu dissiper ? v.277 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Est-ce au superbe train que tu fais équiper ? v.278 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour contenter ton goût de diverses manières, v.279 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Te voit-on dépeupler les airs et les rivières, v.280 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et, pour éterniser tes desseins fastueux, v.281 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Enchérir sur ton maître en palais somptueux ? v.282 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Loin qu'un zèle si pur ait rien que j'appréhende, v.283 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Sur quoi que ce puisse être où mon pouvoir s'étende, v.284 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Récompenses, honneurs, charges, bienfaits, emplois, v.285 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Tu peux de toute chose ordonner à ton choix. v.286 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- À ta fidélité tout entier je me livre... v.287 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Arsinoé, qui vient, m'empêche de poursuivre... v.288 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- J'ai depuis quelques jours quelques soupçons légers v.289 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- D'où viennent ses froideurs pour deux rois étrangers. v.290 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Peut-être je me trompe, et qui soupçonne doute. v.291 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Elle prend tes avis, te consulte, t'écoute, v.292 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Sans trahir son secret, ni blesser ton devoir, v.293 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Si mon repos t'est cher, tâche de le savoir. v.294 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Quoi ! Le seigneur Ésope en croit donc être quitte, v.295 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Pour m'avoir en passant daigné rendre visite ? v.296 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et son zèle se borne à me voir une fois, v.297 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Après s'être éclipsé pendant cinq ou six mois ! v.298 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Quoique pour lui parler tout le monde l'assiège, v.299 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Mon sexe et ma naissance ont quelque privilège. v.300 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Quand j'estime quelqu'un, je le vois plus souvent. v.301 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Vos bienfaits dans mon coeur sont gravés trop avant v.302 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Pour ne pas avouer, si je suis quelque chose, v.303 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Que vous seule aujourd'hui vous en êtes la cause. v.304 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Le poste où je me vois n'est-il pas votre don ? v.305 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et cependant, madame, à quoi vous suis-je bon ? v.306 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne puis-je à votre gloire être d'aucun usage ? v.307 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- À quoi m'étiez-vous bon avant votre voyage ? v.308 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- J'écoutais vos avis, estimés de chacun. v.309 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Vous les écoutiez tous, et n'en suiviez aucun. v.310 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il a raison, madame, et je ne puis m'en taire. v.311 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Vous n'avez pas au monde un ami plus sincère, v.312 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Il ne donne jamais que d'utiles avis ; v.313 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Et vous auriez bien fait de les avoir suivis. v.314 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Il me prenait peut-être en de méchantes heures, v.315 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Où mes raisons, Laïs, me semblaient les meilleures. v.316 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Je ne sais ; mais enfin vous avez des appas v.317 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Qu'on aurait mis en oeuvre, au lieu qu'ils n'y sont pas. v.318 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Vous seriez mariée, et contente. v.319 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Lorsque je le voudrai, ne le puis-je pas être ? v.320 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Oui, sans doute, et choisir dans le rang le plus haut, v.321 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Mais vous l'auriez été deux ou trois ans plus tôt. v.322 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- La jeunesse est, madame, une saison bien chère ; v.323 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Et les moments qu'on perd ne se recouvrent guère. v.324 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Quelque beau petit prince, au trône destiné, v.325 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Pour aller à la gloire, aurait l'heur d'être né ; v.326 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Et c'est pour un État un bien si nécessaire v.327 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Qu'on l'aimerait mieux fait que d'être encore à faire. v.328 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Ces plausibles raisons pour le bien des États v.329 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Souvent avec le coeur ne s'accommodent pas. v.330 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- J'aime mieux un époux qui m'aime et qui me plaise, v.331 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Que le trône d'Argos et que celui d'Ephèse. v.332 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Sans en savoir la cause, un mouvement secret v.333 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Me fait de ma patrie éloigner à regret : v.334 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Il me semble qu'ailleurs je serais transplantée. v.335 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- En quelque lieu du monde où l'on vous puisse voir, v.337 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Vous aurez sur les coeurs un absolu pouvoir. v.338 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et de tous vos pareils le trône est la patrie. v.340 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Vous seriez étrangère en un degré plus bas. v.341 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- L'amour seul du pays ne vous arrête pas : v.342 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Pour monter sur un trône il n'est rien qu'on ne quitte. v.343 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Parlons juste, Crésus est d'un si haut mérite... v.344 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Serait-ce un mal qu'un si grand roi vous plût ? v.345 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- C'est un prince accompli, si jamais il en fut, v.346 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Que dans tous ses projets accompagne la gloire, v.347 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Et qui semble à sa suite enchaîner la victoire. v.348 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Ne dissimulons point, Crésus vous siérait mieux. v.350 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Comme il est jeune et beau, vous êtes jeune et belle, v.351 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Et vous seriez un couple à servir de modèle. v.352 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Vous voyez que je songe à vous fixer ici. v.353 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Eh ! Qui t'a commandé de t'expliquer ainsi ? v.354 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Quand je puis obliger, ma joie est assez grande v.355 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Pour n'attendre jamais que l'on me le commande. v.356 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Lui, comblé de vertus, vous, brillante d'appas, v.357 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Cet hymen à tous deux ne vous déplairait pas. v.358 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Je réponds du succès pour peu que j'y travaille, v.360 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Madame ; obligez-moi de me le commander. v.361 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Votre gloire est d'un prix à ne point hasarder ; v.362 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Que me la confier ce n'est point la commettre. v.364 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Est-il un sort plus beau que d'asservir trois rois ? v.365 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Croyez-moi, hâtez-vous de choisir un des trois. v.366 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- L'ordinaire destin des beautés difficiles v.367 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Est d'avoir des retours de chagrins inutiles : v.368 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui ne veut point d'un bien quand il le peut avoir, v.369 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne l'a pas quand il veut, comme vous allez voir. v.370 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il me semble avoir lu dans beaucoup de volumes v.371 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Que lorsqu'on veut trop prendre, on est soi-même pris. v.372 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Un héron, glorieux de voir que de ses plumes v.373 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- On faisait pour les rois des aigrettes de prix, v.374 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne trouvait dans les eaux hors la perche et truite v.375 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Aucun autre mets qui lui plût ; v.376 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Brochet, carpe, tanche, et la suite, v.377 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Étaient pour son gosier des poissons de rebut. v.378 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Un jour d'été, dès les quatre heures v.379 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Que le poisson rentre en ses trous, v.380 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- À sa discrétion se livraient presque tous. v.382 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Mais ce n'est pas là ce qu'il cherche ; v.383 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- N'ayant pas si matin l'appétit bien ouvert, v.384 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et ne voyant truite, ni perche, v.385 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il ne fit pas semblant d'avoir rien découvert. v.386 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Sept heures sonnent, huit, et son appétit s'ouvre : v.387 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Alors dans la rivière il fait divers plongeons ; v.388 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et pour tout bien il ne découvre v.389 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qu'une écrevisse et deux goujons. v.390 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Pour un oiseau si vain, une si mince proie, v.391 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Loin de le contenter, redoubla son dédain. v.392 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Cependant le temps passe, et durant qu'il tournoie, v.393 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- L'exercice augmente sa faim. v.394 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui le croirait ? Le héron difficile, v.395 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui méprisa tant de si beau poisson, v.396 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Fut bien heureux d'avoir un limaçon. v.398 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Du héron dédaigneux la peinture naïve v.399 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne nous expose rien qui tous les jours n'arrive. v.400 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Des amants les mieux faits et les plus vertueux v.401 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Une fille à seize ans souffre à peine les voeux ; v.402 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Son orgueil en rebute autant qu'il s'en présente, v.403 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et tout lui paraît bon quand elle en a quarante. v.404 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Sans faire des amants un si long examen, v.405 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il faut aller au but, et le but est l'hymen. v.406 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- L'âge que vous avez est le temps où l'on charme : v.407 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Pensez-y. v.408 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Franchement, votre héron m'alarme ; v.409 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et mon coeur inquiet, depuis cette leçon, v.410 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- A peur d'être réduit au sort du limaçon. v.411 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Plus j'entends vos raisons, plus je les trouve bonnes. v.412 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Il est beau de donner des appuis aux couronnes ; v.413 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Une plante stérile est maudite des dieux. v.415 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Qu'est-ce qu'une princesse et vertueuse et belle v.416 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Peut faire de meilleur qu'une fille comme elle, v.417 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Qui suive son exemple, et qui puisse, à son tour, v.418 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Pour un futur monarque, en mettre une autre au jour ? v.419 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- On ne peut du beau temps faire un trop bon usage. v.420 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Je ne l'écoute pas ; elle est folle. v.421 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et raisonne si bien sur ce que nous disons v.422 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Que j'entre avec plaisir dans toutes ses raisons. v.423 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Quand pour faire des rois le ciel veut que l'on vive, v.424 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- C'est offenser les dieux de demeurer oisive ; v.425 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et chacun dans l'automne a des remords cuisants v.426 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- D'avoir en bagatelle employé le printemps. v.427 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Pardon ; j'ai le malheur d'être un peu trop sincère. v.428 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Est-il une vertu qui soit plus nécessaire ? v.429 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Plût au ciel qu'à la cour chacun vous ressemblât, v.430 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et que ce fût ainsi que le monde y parlât ! v.431 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Je vous trouve si juste en tout ce que vous faites, v.432 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- (Vertu sublime et rare en la place où vous êtes) v.433 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Je vous laisse le soin de choisir mon époux. v.435 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Après cette assurance, adieu ; je me retire. v.437 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Songez à votre fable en faisant un tel choix. v.438 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Comme il s'en faut beaucoup que je ne sois si belle, v.440 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Aussi ne suis-je pas si difficile qu'elle. v.441 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- En lui cherchant son fait si vous trouviez le mien, v.442 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Vous n'obligeriez pas une ingrate. v.443 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Fort bien. v.443 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ah ! Monsieur, que de joie, après six mois d'absence, v.444 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Dans les murs de Sardis cause votre présence ! v.445 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Chacun faisant des voeux pour votre heureux retour, v.446 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Avec impatience aspirait à ce jour. v.447 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Moi qui, de vos vertus adorateur sincère, v.448 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Ne puis trop vous marquer combien je vous révère, v.449 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Pour vous en assurer, j'ai saisi ce moment. v.450 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Je suis bien redevable à votre empressement. v.451 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- À quoi dans vos desseins puis-je vous être utile ? v.452 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que l'on est médisant dans cette grande ville ! v.453 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Je n'aurais jamais cru qu'on en fût venu là. v.454 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Comment ! à quel propos me dites-vous cela ? v.455 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Êtes-vous assuré qu'aucun ne nous entende ? v.456 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Que de précaution votre secret demande ! v.457 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Le bonheur de Crésus lui fait-il des jaloux ? v.458 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Quelqu'un... v.459 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- En votre absence on a médit de vous. v.459 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- De vous. Trois fois j'ai pensé vous l'écrire. v.460 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- On peut dire de moi bien du mal sans médire ; v.461 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Je vous l'apprends. v.462 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Des gens, que vous comblez de biens, v.462 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Blâment votre conduite en tous leurs entretiens ; v.463 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Et, comme apparemment aucun ne les soupçonne, v.464 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Ce sont... v.465 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Gardez-vous bien de me nommer personne. v.465 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Peut-être faible et prompt chercherais-je un moyen v.466 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- De leur faire du mal quand ils me font du bien. v.467 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Je ne veux point savoir qui sont ceux qui médisent ; v.468 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais je veux, si je puis, que leurs plaintes m'instruisent ; v.469 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Qu'ils me rendent service, en croyant m'outrager, v.470 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Et que leur médisance aide à me corriger. v.471 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Dites-moi sur quels points ils blâmaient ma conduite. v.472 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- On tenait des discours et sans ordre et sans suite... v.473 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Soit qu'on eût de la haine ou qu'on fût en courroux... v.474 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Je sais confusément qu'on médisait de vous. v.475 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Je ne sais rien de plus dont je vous puisse instruire. v.476 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Si vous ne savez rien, que me venez-vous dire ? v.477 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pourquoi de mes amis me donner du soupçon ? v.478 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Croyez-vous ne manquer que de mémoire ? v.479 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Eh ! Non. v.479 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Je suis fait comme un autre, et je ne puis comprendre v.480 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Ce qui me peut manquer. v.481 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Je m'en vais vous l'apprendre. v.481 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Apollon et Mercure, étant brouillés là-haut, v.482 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ne savaient ici bas où donner de la tête ; v.483 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ils n'avaient point d'argent, et c'est un grand défaut : v.484 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Jamais de l'indigence on n'a chômé la fête. v.485 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- "Que deviendrons-nous, dirent-ils, v.486 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Si Jupiter ne nous rappelle ? " v.487 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Faire des tours de main, aussi prompts que subtils, v.488 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Est un art où Mercure excelle ; v.489 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais il craignait les alguazils, v.490 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Et s'il se rencontrait sous leur patte cruelle, v.491 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- De mettre en oeuvre les outils v.492 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- De la justice criminelle. v.493 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- L'ingénieuse pauvreté, v.494 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Qui pour vivre de rien, rêve, invente, s'exerce, v.495 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- À faire un louable commerce ; v.497 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais comment ? Ils n'ont rien, argent, fonds, ni crédit. v.498 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pendant cet embarras il arrive une foire. v.499 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Apollon s'avisa de vendre de l'esprit, v.500 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Après s'être postés dans l'endroit le plus beau, v.502 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pour attirer du peuple et de la chalandise, v.503 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Chacun dans un écriteau v.504 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Étala sa marchandise. v.505 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais à peine Mercure a-t-il planté le sien v.506 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Le monde vient, s'en va, puis revient et s'écoule, v.508 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Sans diminuer en rien. v.509 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Le marchand de mémoire en fournit la contrée ; v.510 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais le marchand d'esprit à peine fut-il vu : v.511 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Il vendait une denrée v.512 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Dont le plus idiot croit être assez pourvu. v.513 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- " messieurs, dit-il, messieurs, tournez ici vos pas ; v.515 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Quand l'esprit, par malheur, ne l'accompagne pas ? " v.517 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Beau se plaindre et fulminer, v.519 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Apollon, avec sa lyre, v.520 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- S'en alla sans étrenner. v.521 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Il n'est pas mal aisé de croire v.522 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que de sa marchandise il n'eut point de débit ; v.523 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- On dit à tout moment qu'on n'a point de mémoire, v.524 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Et l'on ne dit jamais que l'on n'a point d'esprit. v.525 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Si l'on tenait encore une pareille foire, v.526 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Vous iriez à grands pas vous fournir de mémoire, v.527 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Et quelque bon marché qu'Apollon vous offrît, v.528 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Vous n'en feriez pas un pour avoir de l'esprit. v.529 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Est-ce en avoir une once et le mettre en usage v.530 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que de faire à la cour un si bas personnage ? v.531 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ceux dont vous observez les discours et les pas v.532 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ou sont vos ennemis, ou bien ne le sont pas. v.533 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- S'ils sont vos ennemis, la passion vous guide : v.534 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Si ce sont vos amis, c'est leur être perfide ; v.535 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Est d'être l'espion des paroles d'autrui. v.537 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Plus sincère que vous, je dis ce que je pense. v.538 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- J'attendais de mon zèle une autre récompense. v.539 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Quand j'aurais un trésor à mettre en votre main, v.540 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Vous manquez de mémoire, et l'oublieriez demain. v.541 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- C'est perdre ses bienfaits que de les mal répandre. v.542 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Dans votre appartement Rhodope va se rendre. v.543 (Acte 1, scène 6, LICAS)
- Elle m'envoie ici vous le faire savoir. v.544 (Acte 1, scène 6, LICAS)
- Fassent les médisants tout ce qu'ils pourront faire, v.546 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Je sais par quel moyen on les force à se taire ; v.547 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Et pour me venger d'eux, je vais vivre si bien v.548 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Qu'ils auront de la peine à me reprocher rien. v.549 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Vous me suivez en vain ; souffrez que je respire. v.550 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ne vous ai-je pas dit ce que j'avais à dire ? v.551 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Je n'ai rien oublié, dans mon juste courroux, v.552 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Des sujets de chagrin que j'avais contre vous. v.553 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- C'est dans ce lieu, vous dis-je, où le conseil s'assemble, v.554 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et je ne prétends pas qu'on nous y trouve ensemble ; v.555 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- J'ai mes raisons. v.556 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et moi, j'ai les miennes aussi v.556 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Pour ne me pas résoudre à vous quitter ainsi. v.557 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Il est juste à mon tour que je vous entretienne. v.558 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Le roi dans un moment vient ici. v.559 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Qu'il y vienne : v.559 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Jusqu'à ce qu'il y soit, je ne vous quitte pas. v.560 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Ne vous en flattez pas, infidèle Rhodope : v.563 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vos yeux n'ont plus sur moi le pouvoir qu'ils ont eu ; v.564 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Honteux d'avoir vécu dans votre indigne chaîne, v.566 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Plus j'eus d'amour pour vous, plus j'ai pour vous de haine. v.567 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Je ne sais point de terme à pouvoir l'exprimer. v.568 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous me haïssez trop, pour ne me plus aimer. v.569 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Non, vos charmes pour moi n'ont plus aucune amorce. v.570 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vos remords seront vains si nous faisons divorce : v.571 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Pensez-y bien, de grâce, avant d'en venir là ; v.572 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et, si vous m'en croyez, n'éprouvez point cela. v.573 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Suivons aveuglément la route accoutumée. v.574 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je suis ce que j'étais quand vous m'avez aimée : v.575 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- J'en jure... v.576 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Épargnez-vous des serments superflus : v.576 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous étiez vertueuse, et vous ne l'êtes plus. v.577 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Pendant cinq ou six mois qu'a duré mon absence, v.578 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous avez tout perdu, foi, pudeur, innocence ; v.579 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et les honteux attraits qui vous sont demeurés, v.580 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Par l'emploi qu'ils ont eu sont tous défigurés. v.581 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Si c'est là mon portrait et que je lui ressemble, v.582 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je ne m'étonne pas de nous voir mal ensemble. v.583 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Sur quelle conjecture avez-vous ces soupçons ? v.584 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- J'aurais fait un beau fruit de toutes vos leçons ! v.585 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Ce n'est pas d'aujourd'hui que j'ai su vous le dire : v.586 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- À peu près de même âge, ont même goût que moi. v.589 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- C'est de vous que je tiens qu'une fille avisée v.590 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Doit avoir un air libre, une manière aisée ; v.591 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et qu'il n'est presque rien dont on ne vienne à bout v.592 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Lorsqu'avec bienséance on s'accommode à tout. v.593 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- De quoi vous plaignez-vous ? Je suis votre doctrine. v.594 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Veut-on rire ? Je ris ; badiner ? Je badine ; v.595 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Mais dans tous les plaisirs dont je vous fais l'aveu, v.596 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Ce n'est qu'amusement, qu'innocence, que jeu. v.597 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Ah ! Rhodope, Rhodope, à qui j'avais envie v.598 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- De donner les moments les plus chers de ma vie, v.599 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mon coeur, qui sans tendresse aurait moins de courroux, v.600 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Préviendrait vos raisons, s'il en était pour vous. v.601 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Je ne me souviens point de vous avoir instruite v.602 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- À vivre sans égards, sans pudeur, sans conduite ; v.603 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mais je me souviens bien de vous avoir appris v.604 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Qu'un orgueil ridicule attirait du mépris, v.605 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Qu'un air libre, enjoué seyait bien à votre âge ; v.606 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mais, Rhodope, un air libre est-ce un libertinage ? v.607 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et dans ce que je fais ni dans ce que j'écris v.608 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Me voit-on d'aucun vice infecter les esprits ? v.609 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Si d'un remords, au moins, vous vous sentez capable, v.610 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Profitez des leçons que contient cette fable ; v.611 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et voyez à quel point on doit être confus v.612 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- D'avoir eu de l'honneur et de n'en avoir plus. v.613 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- L'âne d'un jardinier fleuriste, v.614 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ayant pour le marché des paniers pleins de fleurs, v.615 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Pour en savourer les douceurs v.616 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Une foule de gens le suivaient à la piste : v.617 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mais il trouve au retour un contraire destin : v.618 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Pour se faire maudire il suffit qu'il se montre ; v.619 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ceux qui le suivaient le matin v.620 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Le soir évitent sa rencontre. v.621 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- " ne t'en étonne pas, lui dit le jardinier ; v.622 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ces effets différents ont différentes causes : v.623 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ce matin tu portais des roses, v.624 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Qui suivait ce matin ta senteur agréable, v.626 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ce soir fuit ta puanteur. " v.627 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Tant on devient effroyable, v.628 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Quand on perd sa bonne odeur ! v.629 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous reconnaissez-vous, Rhodope, en cette fable ? v.630 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Non ; l'application n'en est pas raisonnable. v.631 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je veux bien ressembler à l'âne du matin ; v.632 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Mais à celui du soir, j'en aurais du chagrin. v.633 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- J'ai retenu de vous mille agréables choses v.634 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- D'une aussi bonne odeur que les paniers de roses ; v.635 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Mais on ne m'a point vue, oubliant mon devoir, v.636 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Le matin vertueuse, et coupable le soir. v.637 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je hais l'honneur féroce et la vertu chagrine : v.638 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je vous l'ai déjà dit, je ris, chante, badine ; v.639 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et croyant ma conduite exempte de remords, v.640 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je ne prends aucun soin de sauver les dehors. v.641 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Il est vrai qu'on en parle, et que de vieilles dames, v.642 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Dont le coeur est encor susceptible de flammes, v.643 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Faciles à remplir les désirs d'un amant, v.644 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Ne peuvent présumer qu'on rie innocemment ; v.645 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et jamais à l'amour n'ayant été rebelles, v.646 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Elles jugent de moi comme elles jugent d'elles. v.647 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Rien n'est plus dangereux, dans leurs petits complots, v.648 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Que ces femmes de bien qui le sont à huis clos, v.649 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Qui des moindres plaisirs condamnent l'innocence, v.650 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et trouvent tout permis, en sauvant l'apparence. v.651 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Pour moi qui marche droit, je ne me contrains pas. v.652 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Quand le ciel vous forma sur un si beau modèle, v.654 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Que ne vous faisait-il aussi sage que belle ! v.655 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Il vous a dénié le plus grand bien de tous, v.656 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et je vais être faible autant et plus que vous. v.657 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous aurez peu de peine à me persuader ; v.660 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mon coeur à se trahir demande à vous aider : v.661 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vous le verrez se rendre à la plus faible excuse. v.662 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Combien d'injures... v.664 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Trop pour d'innocents appas ; v.664 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Trop peu si j'ai raison et qu'ils ne le soient pas !... v.665 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mais, adieu ; le roi vient, retirez-vous, de grâce. v.666 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Soit que je vous épouse, ou qu'un autre le fasse, v.667 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- S'il en est temps encor, faites que votre époux v.668 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- N'ait aucune raison de se plaindre de vous ; v.669 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et portez-lui pour dot, comme une rare offrande, v.670 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Toute l'intégrité que l'hymen vous demande. v.671 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Seigneur, je ne suis pas d'un sang... v.672 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Ton mérite y supplée, et vaut le plus haut rang. v.673 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Assieds-toi, je le veux... depuis plus d'une année, v.674 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Mes sujets de leur roi souhaitent l'hyménée ; v.675 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Et tous contents de moi, comme je le suis d'eux, v.676 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- S'ils me voyaient un fils, s'estimeraient heureux. v.677 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Qui fatiguent son peuple et désolent ses terres, v.679 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Pour nous unir ensemble, à ne rompre jamais, v.680 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Me fait offrir sa fille et demander la paix. v.681 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Sa couronne, lui mort, appartient à sa fille ; v.682 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Mais en vain à mes yeux cette couronne brille. v.683 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Arsinoé, soumise à tout ce que je veux, v.684 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- En s'assujettissant à mon pouvoir suprême, v.686 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Elle m'a d'un coup-d'oeil assujetti moi-même. v.687 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Le trône de Phrygie à mon trône étant joint, v.688 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Sans doute ma puissance irait au plus haut point : v.689 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Pour balancer mon choix cette raison est forte ; v.690 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Mais enfin sur mon coeur Arsinoé l'emporte, v.691 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Et j'attends de vos soins une décision v.692 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- En faveur de l'amour ou de l'ambition. v.693 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Parlez-moi librement, et qu'un pur zèle éclate. v.694 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Seigneur, cette matière est un peu délicate. v.695 (Acte 2, scène 2, TIRRÈNE)
- Une si vertueuse et si belle princesse v.698 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- D'un monarque si grand mérite la tendresse ; v.699 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Mais les raisons d'état, qui par d'austères lois v.700 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Sont toujours les raisons les plus fortes des rois, v.701 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- M'obligent à vous dire, avec un coeur sincère, v.702 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Qu'à l'hymen d'un grand roi l'amour n'assiste guère ; v.703 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Que ses plus dignes soins sont ceux de sa grandeur, v.704 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Et qu'il doit à sa gloire immoler son ardeur. v.705 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Arsinoé pour dot a des yeux qui vous charment, v.706 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Des attraits si touchants qu'ils émeuvent, désarment ; v.707 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Mais des yeux si charmants et des attraits si doux v.708 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Perdront bien de leur prix quand ils seront à vous. v.709 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Cinq ou six mois d'hymen ralentissent les flammes, v.710 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Et la vertu des grands n'est pas d'aimer leurs femmes. v.711 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Quelque appât que pour vous ait un amour naissant, v.712 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Seigneur, une couronne en est un plus puissant : v.713 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- En devenant l'époux de la princesse Argie, v.714 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- À de vastes États vous joignez la Phrygie ; v.715 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Et quels jaloux voisins oseront vous troubler, v.716 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Qu'avec tant de pouvoir vous ne fassiez trembler ? v.717 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- J'ose ajouter, Seigneur, à ce qu'a dit Tirrène, v.718 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Que c'est de vos sujets rendre l'attente vaine ; v.719 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Avec impatience ils attendent la paix. v.721 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Quoique par vos exploits on ait vu la Phrygie v.722 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Du sang de ses enfants assez souvent rougie, v.723 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Ne sont pas sans chagrin pour les victorieux. v.725 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Si l'un s'en réjouit, l'autre s'en désespère ; v.726 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Tel embrasse son fils, qui regrette son frère ; v.727 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Et la guerre après soi traîne tant de malheurs, v.728 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Qu'il est peu de lauriers qui ne coûtent des pleurs. v.729 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Ceux qu'élève le ciel aux dignités suprêmes, v.730 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Maîtres de tant d'États, ne le sont pas d'eux-mêmes ; v.731 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Et lorsque de l'hymen ils subissent les lois, v.732 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- C'est à la politique à leur prescrire un choix. v.733 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Seigneur, Arsinoé fût-elle encor plus belle, v.734 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- La Phrygie et la paix ont plus de charmes qu'elle. v.735 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- L'intérêt de l'État me fait parler ainsi : v.736 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Voilà mon sentiment. v.737 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Et le tien ? v.737 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Pour peu qu'à l'écouter votre bonté s'applique, v.738 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Vous verrez ce que c'est qu'un hymen politique. v.739 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Un jeune coq des mieux huppés, v.740 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- En rodant par son voisinage, v.741 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- D'une jeune poulette, aussi belle que sage, v.742 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Eut les yeux et le coeur également frappés. v.743 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Le coq étant fort beau, comme elle était fort belle, v.744 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Elle sentit pour lui ce qu'il sentait pour elle : v.745 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leurs coeurs des mêmes traits furent tous deux blessés ; v.746 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leurs coeurs des mêmes traits furent tous deux blessés ; v.747 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et tous deux, pénétrés de la même tendresse, v.748 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Du matin jusqu'au soir ils se voyaient sans cesse, v.749 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et ne se voyaient pas assez. v.750 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pendant que l'un et l'autre à l'amour s'abandonnent, v.751 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et qu'ils jurent si tendrement v.752 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De s'aimer éternellement, v.753 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leurs sévères parents autrement en ordonnent. v.754 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Le père du coq le contraint v.755 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- En vain de sa rigueur il gémit et se plaint, v.757 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De la plus déserte cabane ; v.760 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Mais faute d'aliment, il lui fallut bientôt v.761 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Épouser, en pestant, une poule faisane. v.762 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Empêchés de leur contenance, v.764 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- S'étant mariés sans amour, v.765 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Se traitèrent sans complaisance. v.766 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Outre qu'ils négligeaient le soin v.767 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De se dire des yeux quelque chose de tendre, v.768 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leur langage à tous deux était un baragouin v.769 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Que chacun ne pouvait entendre. v.770 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand le coq chantait ou parlait, v.771 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sa faisane eût juré que c'étaient des murmures : v.772 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand la faisane l'appelait, v.773 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il croyait ouïr des injures. v.774 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- En un mot, leur destin ne fit point d'envieux. v.775 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il faut que pour bien vivre ensemble à nous deux, v.776 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et tous deux, pénétrés de la même tendresse, v.777 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Du matin jusqu'au soir ils se voyaient sans cesse, v.778 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et ne se voyaient pas assez. v.779 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pendant que l'un et l'autre à l'amour s'abandonnent, v.780 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et qu'ils jurent si tendrement v.781 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De s'aimer éternellement, v.782 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leurs sévères parents autrement en ordonnent. v.783 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Le père du coq le contraint v.784 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- En vain de sa rigueur il gémit et se plaint, v.786 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De la plus déserte cabane ; v.789 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Mais faute d'aliment, il lui fallut bientôt v.790 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Épouser, en pestant, une poule faisane. v.791 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Empêchés de leur contenance, v.793 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- S'étant mariés sans amour, v.794 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Se traitèrent sans complaisance. v.795 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Outre qu'ils négligeaient le soin v.796 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- De se dire des yeux quelque chose de tendre, v.797 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leur langage à tous deux était un baragouin v.798 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Que chacun ne pouvait entendre. v.799 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand le coq chantait ou parlait, v.800 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sa faisane eût juré que c'étaient des murmures : v.801 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quand la faisane l'appelait, v.802 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il croyait ouïr des injures. v.803 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- En un mot, leur destin ne fit point d'envieux. v.804 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il faut que pour bien vivre ensemble v.805 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- L'amour ait soin d'unir ce que l'hymen assemble : v.806 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il est sûr qu'on s'entend bien mieux. v.807 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Qu'à vos désirs, seigneur, Arsinoé réponde, v.808 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- N'êtes-vous pas le roi le plus heureux du monde ? v.809 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sans un besoin pressant, qu'à peine je conçois, v.810 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pourquoi chercher ailleurs ce que l'on a chez soi ? v.811 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Les différentes moeurs, le différent langage v.812 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Ne sont pas des liens par où le coeur s'engage ; v.813 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et sur celui des rois c'est faire un attentat v.814 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pour contenter le peuple et le roi de Phrygie, v.816 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Accordez-lui la paix, sans épouser Argie. v.817 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Vous auriez, elle et vous, des chagrins infinis : v.818 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Vos États seraient joints et vos coeurs désunis. v.819 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Jamais félicité n'eût été plus parfaite v.820 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Que le bonheur du coq, s'il eût eu sa poulette. v.821 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sans cesse de l'hymen il se serait loué, v.822 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Comme fera Crésus avec Arsinoé. v.823 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sa vertu vous répond d'un bonheur infaillible. v.824 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Que tu me touches bien par où je suis sensible ! v.825 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Pressé par tes raisons, je vais mettre à ses pieds v.826 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Tout ce qu'a d'éclatant le trône où je me sieds, v.827 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Et lui faire savoir, par un récit fidèle, v.828 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Crésus à nos conseils préfère vos avis ; v.830 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Loin d'en être jaloux, nous en sommes ravis : v.831 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Il ne saurait pour vous faire voir trop d'estime. v.832 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Quel ministre a-t-il eu d'un esprit plus sublime ? v.833 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Vous le servez si bien que d'un commun aveu, v.834 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Quoi qu'il fasse pour vous, il fait encor trop peu. v.835 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Combien ai-je d'Iphis souhaité la disgrâce, v.836 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Pour avoir le plaisir de vous voir en sa place ! v.837 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Il en était indigne, et vous la méritez. v.838 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- C'était un misérable en proie aux lâchetés, v.839 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Qui pour toutes raisons écoutait ses caprices, v.840 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Et qui pour s'enrichir faisait mille injustices. v.841 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Il était violent, vindicatif, brutal, v.842 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Lent à faire du bien, prompt à faire du mal v.843 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Faisant tout son bonheur de traverser le vôtre, v.844 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Et n'obligeant quelqu'un que pour nuire à quelque autre ; v.845 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Un esprit inégal, un discernement faux. v.846 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Je vais en un seul mot dire tous ses défauts : v.847 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Crésus avec raison l'extermine et l'assomme ; v.848 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Il n'est pas sur la terre un plus malhonnête homme. v.849 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- À vous en défier vous avez intérêt : v.850 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Il est fourbe et méchant... v.851 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Vous ferais-je plaisir de vous dire une fable, v.852 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Sur le coup imprévu dont la rigueur l'accable ? v.853 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Sa peinture et la vôtre y sont en raccourci. v.854 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Je vous en prie. v.855 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Et moi, je vous en prie aussi. v.855 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- J'en conçois, par avance, une idée agréable. v.856 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- N'en perdez pas un mot, tout en est profitable. v.857 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Près de Lesbos fut jadis un figuier v.858 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Qui rapportait le plus beau fruit du monde ; v.859 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Planté sur le bord d'un vivier : v.860 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il se lavait les pieds dans l'onde. v.861 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Tous les oiseaux d'alentour v.862 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Se donnaient rendez-vous sous son épais feuillage ; v.863 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et tant que durait le jour v.864 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ils y chantaient leur amour, v.865 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et bénissaient son ombrage. v.866 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Mais, comme dans le monde il n'est rien de certain, v.867 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et que c'est une mer qui n'est point sans naufrage, v.868 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Après un temps calme et serein, v.869 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il survint tout_à_coup un furieux orage. v.870 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Les vents en un moment agitèrent les airs ; v.871 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il semblait que la pluie inonderait la terre : v.872 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Enfin, après beaucoup d'éclairs, v.873 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Le figuier malheureux fut frappé du tonnerre. v.874 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Les oiseaux, effrayés d'entendre un si grand bruit, v.875 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dans le hameau prochain vont chercher un asile ; v.876 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et l'orage passé chacun d'eux s'entresuit, v.877 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Pour venir habiter son premier domicile. v.878 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Mais l'arbre, qui pour eux avait eu tant d'appas, v.879 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Accablé sous le faix d'une telle disgrâce, v.880 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Avait si fort changé de face v.881 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Qu'on ne le reconnaissait pas. v.882 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Les premiers qui le reconnurent v.883 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Furent un milan, un autour, v.884 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Qui l'insultèrent tour à tour, v.885 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et, pour ne le point voir, à l'instant disparurent. v.886 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- " suivez-nous, et vous ferez bien, v.887 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dirent-ils aux oiseaux qu'ils crurent pitoyables. v.888 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ce figuier, désormais au rang des misérables, v.889 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ne peut plus nous servir à rien. " v.890 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- " pour moi, dit une tourterelle, v.891 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Connue aux environs pour un oiseau d'honneur, v.892 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Je prétends partager sa fortune cruelle, v.893 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Puisque j'ai partagé ce qu'il eut de bonheur. " v.894 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- " Il m'a tant fait de bien, reprit une colombe, v.895 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Que je m'en souviendrai toujours ; v.896 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dans quelque disgrâce qu'il tombe. " v.898 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- " plût au ciel pouvoir par mes chants, v.899 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ajouta tendrement un rossignol habile, v.900 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Lui rendre ses attraits, et forcer les méchants v.901 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- À revenir un jour lui demander asile ! " v.902 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Combien au tableau qui paraît v.903 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- En voit-on qui sont tout semblables ? v.904 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- C'est ainsi que l'on reconnaît v.905 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Jamais votre portrait ne fut mieux en son jour : v.907 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Vous êtes, vous et lui, le milan et l'autour, v.908 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Qui voyant du figuier le destin déplorable, v.909 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dès qu'il fut malheureux le trouvèrent coupable. v.910 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Votre infidèle coeur, qui le voit foudroyé, v.912 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Oubliant ses bienfaits, dans cette humble posture, v.913 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ne le reconnaît plus que pour lui faire injure. v.914 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Si du sort inconstant j'éprouvais le courroux, v.915 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Que diriez-vous de moi qui ne fais rien pour vous ? v.916 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Adieu : de sa présence évitez le reproche. v.918 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Son faux discernement se connaît assez bien, v.919 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Puisqu'il s'est pu résoudre à vous faire du bien. v.920 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Jamais vit-on disgrâce et plus prompte et plus forte ? v.921 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Que mon sort, cher Tirrène, est cruel ! v.922 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Qu'entends-je ?... Trasibule aura plus de bonté... v.923 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Mon malheur... v.923 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Juste ciel ! Trasibule et Tirrène me fuient !... v.925 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Que d'affronts à la cour les malheureux essuient ! v.926 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Monsieur, je viens ici, par un ordre du roi, v.927 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Déposer mon crédit, ma faveur, mon emploi. v.928 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- En de plus dignes mains je ne puis m'en démettre. v.929 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Moi, je vais le prier de ne le pas permettre. v.930 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Au chagrin de Crésus dussé-je m'exposer, v.931 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- J'aime mieux le souffrir que de vous en causer ; v.932 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Loin qu'à votre pouvoir je veuille rien prétendre, v.933 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Je vous offre le mien pour vous le faire rendre. v.934 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Respect, zèle, remords, tout aigrit son courroux. v.936 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Si pour moi tant de fois sa bonté fut extrême, v.937 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Contre moi sa colère est aujourd'hui de même. v.938 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Mais ce qui m'est sensible en un tel changement, v.939 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Ceux qui me doivent tout m'insultent lâchement, v.940 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Pendant que de vos soins vous m'offrez l'assistance, v.941 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Vous qui ne me devez que de l'indifférence. v.942 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- En voulant me servir vous déplairiez au roi. v.943 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Eh ! Qui soupçonnez-vous de vous avoir nui ? v.944 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Ce qu'a de plus horrible une chute si haute, v.945 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Je ne puis qu'à moi seul en imputer la faute : v.946 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Un destin plus cruel me fût-il préparé, v.947 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- C'est moi qui, sans raison, me le suis attiré : v.948 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Crésus est trop bon roi pour garder sa colère. v.950 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Votre crime envers lui n'est pas grand, que je crois. v.951 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- En fait-on de petits quand on déplaît aux rois ? v.952 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Hier, dans un festin, dont j'eus le malheur d'être, v.953 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Crésus ayant mis bas la qualité de maître, v.954 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Et nous regardant tous ainsi que ses égaux, v.955 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Voulut qu'en liberté l'on se dit ses défauts. v.956 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Quand, pour se divertir, il nous eut dit les nôtres, v.957 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Voulant être traité comme il traitait les autres, v.958 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- J'eus l'indiscrétion, en lui disant les siens, v.959 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- De les trouver plus grands qu'il n'avait fait les miens. v.960 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Je lui dis qu'un grand roi, qui veut qu'on le renomme, v.961 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Jusque dans ses défauts doit avoir du grand homme ; v.962 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Et qu'avoir pour le vin plus d'amour qu'il ne faut, v.963 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Est un vice trop bas dans un degré si haut. v.964 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- " pour vous montrer, dit-il d'un air fier, mais auguste, v.965 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Que jamais dans le vin je ne fais rien d'injuste, v.966 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Lorsqu'un sujet s'oublie et trahit son devoir, v.967 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Je reprends mes bontés et ne veux plus le voir. v.968 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Boire comme je fais n'est pas un trop grand vice, v.969 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Puisqu'après avoir bu je rends si bien justice. v.970 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Eh quoi ! Pour un vieux courtisan, v.971 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Vous-même de vos maux vous êtes l'artisan ? v.972 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Pour reprendre les rois, sans craindre leurs murmures, v.973 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il faut bien d'autres soins et bien d'autres mesures ; v.974 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- C'est un sentier étroit qui, de chaque côté, v.975 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Présente un précipice à la sincérité. v.976 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Les rois et les flatteurs étant de même date, v.977 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il n'est dans l'univers aucun roi qu'on ne flatte ; v.978 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et qui dans leurs plaisirs a l'honneur d'avoir part, v.979 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- S'il reprend leurs défauts, le doit faire avec art. v.980 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il faut, plein du respect que leur présence inspire, v.981 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Les leur faire sentir, et non pas les leur dire ; v.982 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et prendre garde encore, en risquant ces leçons, v.983 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Qu'ils ne connaissent pas que nous les connaissons. v.984 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il n'est rien près du roi que pour vous je ne fasse : v.985 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Mais n'oubliez jamais, si j'obtiens votre grâce, v.986 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Qu'eussions-nous l'un et l'autre encor plus de pouvoir, v.987 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Nous sommes des jetons que le roi fait valoir. v.988 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Comme souverain maître, à qui tout est facile, v.989 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il nous fait valoir un, ou nous fait valoir mille ; v.990 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et suivant que son choix nous poste mal ou bien, v.991 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Nous sommes quelque chose ou nous ne sommes rien. v.992 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Surtout, souvenez-vous, dans tout ce que vous faites, v.993 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- De n'abuser jamais de la place où vous êtes : v.994 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- La fortune en aveugle ouvre ou ferme la main ; v.995 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et puissant aujourd'hui, l'on ne l'est pas demain. v.996 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Pour vous rendre sensible aux raisons que j'étale, v.997 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- J'y vais d'un apologue ajouter la morale. v.998 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Un grand seigneur avait une guenon v.999 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- À ce qu'elle voulait on n'osait dire non. v.1002 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Elle lui demanda s'il aurait agréable v.1003 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Qu'elle s'assît sur un coin de sa table : v.1004 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- « Oui, dit-il, ce plaisir me semblera bien doux. » v.1005 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- « Trouverez-vous bon, lui dit-elle, v.1006 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Que, donnant l'essor à mon zèle, v.1007 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Pour laisser un champ libre à ses badineries, v.1009 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il consentit sans peine à ce manège-là. v.1010 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Je ne vous dirai point combien de singeries v.1011 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Je dirai seulement que flattée, applaudie, v.1013 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- (qu'elle eût tort ou qu'elle eût raison) v.1014 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- La guenon, un peu trop hardie, v.1015 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Oublia qu'elle était guenon. v.1016 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Loin d'avoir pour son maître une sincère attache, v.1017 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Devenue orgueilleuse à le voir complaisant, v.1018 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Un matin, en le baisant, v.1019 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- D'un maître si bienfaisant. v.1021 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- « Ah ! Perfide, dit-il, qui t'oses méconnaître, v.1022 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- J'ai pour ton insolence un châtiment tout prêt : v.1023 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Dans un moment tu sauras ce que c'est v.1024 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Que d'abuser des bontés de son maître. » v.1025 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Elle eut beau de son crime étaler les remords, v.1026 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Et pour rentrer en grâce employer les prières, v.1027 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Après vingt coups d'étrivières, v.1028 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Comme, en toute rencontre, elle était malhonnête, v.1030 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Chacun avec plaisir la vit humilier. v.1031 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Tel est auprès des rois, où la grandeur entête, v.1032 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Le sort des favoris qui s'osent oublier. v.1033 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Quelque soumission que cette fable inspire, v.1034 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- J'aurais sur ce sujet encor beaucoup à dire ; v.1035 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Mais comme votre grâce est mon plus doux espoir, v.1036 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Je vais trouver Crésus et faire mon devoir. v.1037 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Ésope ne suit pas ? v.1038 (Acte 3, scène 1, CRESUS)
- Non, seigneur. v.1038 (Acte 3, scène 1, GARDE)
- Qu'on l'appelle... v.1038 (Acte 3, scène 1, CRESUS)
- Quel ministre à son roi fut jamais plus fidèle ? v.1039 (Acte 3, scène 2, CRESUS)
- Quelque prix de ses soins qu'il exige aujourd'hui, v.1040 (Acte 3, scène 2, CRESUS)
- Il fait bien plus pour moi que je ne fais pour lui... v.1041 (Acte 3, scène 2, CRESUS)
- Le voici... laissez-nous. v.1042 (Acte 3, scène 2, CRESUS)
- Mon aspect t'embarrasse ? v.1042 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- De l'indiscret Iphis tu demandes la grâce ? v.1043 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Je sais que la clémence est la vertu des rois, v.1044 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais, après les bienfaits dont il m'est redevable ? v.1046 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- L'injure qu'il m'a faite est-elle pardonnable ? v.1047 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et, sans te prévenir, si tu veux y penser, v.1048 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Puis-je lui faire grâce, et peux-tu m'en presser ? v.1049 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Je ne veux point, seigneur, pour avoir cette grâce, v.1050 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Par de vaines raisons excuser son audace : v.1051 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Que vous l'avez puni de sa témérité ; v.1053 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Mais quand votre justice a ce qu'elle souhaite, v.1054 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Votre bonté, seigneur, est-elle satisfaite ? v.1055 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Le trouble où je vous vois me fait connaître assez v.1056 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Que vous pardonnez mieux que vous ne punissez. v.1057 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Quel plaisir ont les rois de pouvoir faire grâce ! v.1058 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Songes-tu que d'Iphis je t'ai donné la place ? v.1059 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Puis-je lui pardonner sans la lui rendre ? v.1060 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Non. v.1060 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Je remets en vos mains un si précieux don. v.1061 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Plus on est élevé, plus on cause d'ombrage. v.1062 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Un vaisseau trop chargé n'est pas loin du naufrage ; v.1063 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Au lieu qu'il vogue à l'aise et ne craint nul assaut v.1064 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Quand il n'a justement que le poids qu'il lui faut. v.1065 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Les bienfaits excessifs font souvent qu'on raisonne v.1066 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Contre qui les reçoit, et contre qui les donne, v.1067 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Et si j'osais, seigneur, prendre la liberté v.1068 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- De donner tout son lustre à cette vérité, v.1069 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Je vous rapporterais un petit trait d'histoire, v.1070 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Digne qu'un grand monarque en garde la mémoire. v.1071 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Peut-être à ce sujet cadre-t-il assez bien. v.1072 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Parle. J'écoute tout d'un zèle égal au tien. v.1073 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- En été, que la pluie est chaude et passagère, v.1074 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Un des rois vos aïeux, chassant avec sa cour, v.1075 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vit pleuvoir dans une rivière, v.1076 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Et ne vit point pleuvoir aux endroits d'alentour. v.1077 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Comme il en témoignait une surprise extrême : v.1078 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Seigneur, dit à ce prince un de ses courtisans, v.1079 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Voilà comme sont vos présents, v.1080 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- C'est de l'eau qui tombe en l'eau même. v.1081 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Ceux sur qui tous les jours vous versez vos bienfaits, v.1082 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Semblent être accablés sous ce précieux faix : v.1083 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Ils en sont si chargés qu'ils n'en savent que faire, v.1084 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Pendant que tant de malheureux, v.1085 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- À qui votre bonté serait si nécessaire, v.1086 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Avec un zèle égal n'attirent rien sur eux. v.1087 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- J'ai tort, lui dit le roi, d'en user de la sorte : v.1088 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Cet avis est utile, et je veux m'en servir. v.1089 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vers qui que ce puisse être où mon penchant m'emporte, v.1090 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Je veux les contenter, et non les assouvir. v.1091 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- En suivant des conseils aussi bons que les vôtres, v.1092 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Mes bienfaits partagés deviendront plus communs : v.1093 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- J'en veux faire un peu moins aux uns, v.1094 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Pour en faire un peu plus aux autres. v.1095 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Seigneur, vos sentiments sont conformes aux siens : v.1096 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Non content d'enrichir, vous accablez de biens. v.1097 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Par des soins prévenants, votre âme bienfaisante v.1098 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- En répand sur un seul de quoi suffire à trente ; v.1099 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Et ce qu'un seul obtient répandu sur chacun, v.1100 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vous feriez trente heureux, et vous n'en faites qu'un, v.1101 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui de vos propres biens, riche comme vous l'êtes, v.1102 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Ne prend plus aucun goût à ceux que vous lui faites. v.1103 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Par exemple, seigneur, trente braves guerriers v.1104 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qu'on a vus de leur sang arroser vos lauriers, v.1105 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Au sentier de la gloire encor prêts à vous suivre, v.1106 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- D'un seul de vos bienfaits auraient tous de quoi vivre. v.1107 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Par vos ordres exprès je vous parle sans fard. v.1108 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Pourquoi t'ai-je connu si tard ? v.1109 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qu'un monarque est heureux, quand un ami fidèle v.1110 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Joint un si grand respect avec un si grand zèle ! v.1111 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais l'insolent Iphis avec un ton brutal... v.1112 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Peut-être à sa manière a-t-il un zèle égal. v.1113 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Il n'est pas à la cour le premier qui s'oublie, v.1114 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Et qui devienne sage après une folie. " v.1115 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Combien en a-t-on vus, de toutes qualités, v.1116 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui pendant leur jeunesse imprudents, emportés, v.1117 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Dans un âge plus mûr, dépouillés de tous vices, v.1118 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vous ont rendu, seigneur, de signalés services ? v.1119 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Rendez-lui vos bontés : sensible à ce bienfait, v.1120 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Il vous rendra service encor mieux qu'il n'a fait. v.1121 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Le ciel, à ce propos, me suggère une fable, v.1122 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui peut-être à mes voeux vous rendra favorable : v.1123 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Pour fléchir votre coeur c'est mon dernier moyen. v.1124 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Ce que je vous demande est de l'écouter bien. v.1125 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Je ne dirai plus rien, si ma fable est frivole. v.1126 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- J'écoute ; souviens-toi de me tenir parole. v.1127 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Un lion endormi, s'éveillant en sursaut, v.1128 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Rencontre un rat sous sa patte. v.1129 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Comme un lion est fier et qu'il a le sang chaud, v.1130 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il fulmine, tonne, éclate. v.1131 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour apaiser son courroux, v.1132 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le rat, que la crainte glace, v.1133 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Se prosterne à ses genoux, v.1134 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et, d'un ton suppliant, lui demande sa grâce. v.1135 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- « L'intervalle est si grand, dit-il, de vous à moi, v.1136 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qu'en me faisant périr vous auriez peu de gloire ; v.1137 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et la clémence d'un roi v.1138 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Éternise sa mémoire. v.1139 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Si vous avez la bonté v.1140 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- De me conserver la vie, v.1141 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Sera ma plus forte envie. » v.1143 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le lion généreux, mettant la griffe bas, v.1144 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Sensible à cette requête, v.1145 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et ne s'en repentit pas. v.1147 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- En poursuivant une proie, v.1148 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le lion pris en des rets, v.1150 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour s'en débarrasser ne trouve aucune voie. v.1151 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il tâche à rompre sa chaîne ; v.1153 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais plus il y prend de peine, v.1154 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Plus il en serre les noeuds. v.1155 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- De chaque animal qui passe, v.1156 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- En vain dans ce péril il attend du secours : v.1157 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Quand le destin nous menace v.1158 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Nos meilleurs amis sont sourds. v.1159 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le rat seul, d'un pas agile, v.1160 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- L'ayant entendu rugir, v.1161 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Vient voir à quel usage il lui peut être utile, v.1162 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et sans beaucoup parler cherche à beaucoup agir. v.1163 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il s'attache avec soin à ronger une corde, v.1164 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qui de tout l'attirail est le noeud gordien ; v.1165 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et par bonheur tout succède si bien, v.1166 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Tant de fortune à son zèle s'accorde, v.1167 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Que du lion captif il brise le lien, v.1168 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour le récompenser de sa miséricorde. v.1169 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Princes, qui, pouvant tout, vous croyez tout permis, v.1170 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Tels que l'on croit d'inutiles amis, v.1172 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Dans le besoin rendent de bons services. v.1173 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Eh bien ! Seigneur, mes voeux seront-ils exaucés ?... v.1174 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Vous ne répondez rien ? v.1175 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- C'est te répondre assez. v.1175 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le lion me prescrit ce qu'il faut que je fasse : v.1176 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qu'Iphis de mon courroux n'appréhende plus rien ; v.1178 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Puisqu'il est ton ami, je veux être le sien. v.1179 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Seigneur !... v.1180 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Je te défends d'oser ouvrir la bouche v.1180 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour me persuader que ma bonté te touche. v.1181 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le plaisir le plus grand, trop longtemps attendu, v.1182 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Par celui qui le fait est toujours trop vendu ; v.1183 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Et c'est, je te l'avoue, une tache à ma vie v.1184 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- D'avoir été si lent à remplir ton envie. v.1185 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- « Fais-moi, je t'en conjure, un plaisir à ton tour. v.1186 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Iphicrate, autrefois l'ornement de la cour, v.1187 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qui se fait estimer de tous ceux qui le voient, v.1188 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Va te rendre visite, et les dieux te l'envoient. v.1189 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Jamais plus honnête homme à tes yeux n'a paru ; v.1190 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais apprends sa faiblesse ; il n'a jamais rien cru. v.1191 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- C'est le coeur le mieux fait que le ciel ait vu naître, v.1192 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- L'ami le plus ardent que l'on puisse connaître, v.1193 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Généreux, magnifique, affable, officieux : v.1194 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il vient ; de son erreur fais-lui voir l'injustice. v.1196 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Je l'aime ; et c'est à moi que tu rendras service. » v.1197 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- "Monsieur, de vos vertus le bruit s'étend si loin, v.1198 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qu'on ne peut pour vous voir se donner trop de soin. v.1199 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Après un long service, en différentes guerres, v.1200 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Relégué, par la paix, dans une de mes terres, v.1201 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Où, sans ambition, sans amour, sans désir, v.1202 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Tout ce que j'ai d'amis, qui m'y rendent visite, v.1204 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- M'ont tant parlé de vous et de votre mérite, v.1205 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qu'ayant vu ce matin qu'il faisait un beau jour, v.1206 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'ai quitté pour vous voir mon tranquille séjour ; v.1207 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et je suis si content d'avoir cet avantage, v.1208 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que mon plaisir paraît jusque sur mon visage. v.1209 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Si vous en exceptez la rareté du fait, v.1210 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- J'ignore quel plaisir ma figure vous fait ; v.1211 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pour me bien définir je ne sais point de phrase. v.1212 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Je viens pour la liqueur, et non pas pour le vase. v.1213 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Mais la vertu d'un homme est son ouvrage à lui, v.1215 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et je croirais lui faire une injustice extrême, v.1216 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Si je ne le voyais par son mérite même. v.1217 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Quand j'aurais un mérite à vous frapper les yeux, v.1218 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ne le devrais-je pas à la bonté des dieux ? v.1219 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Des dieux ? Bon ! v.1220 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Comment bon ? v.1220 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Eh quoi ! Vous qu'on renomme, v.1220 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Vous avez la faiblesse et l'erreur d'un autre homme ! v.1221 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Vous croyez donc devoir votre mérite aux dieux ? v.1222 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Avant que, vous et moi, nous nous expliquions mieux, v.1223 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Avec qui, s'il vous plaît, ai-je ici l'honneur d'être ? v.1224 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- On me nomme Iphicrate, et vous m'allez connaître. v.1225 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je ne sais ici-bas d'autre félicité v.1226 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que dans une flatteuse et douce volupté ; v.1227 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Non dans la volupté dont le peuple s'entête, v.1228 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qu'on évite avec soin, pour peu qu'on soit honnête, v.1229 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'appelle volupté proprement ce qu'on nomme v.1232 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Ne se reprocher rien et vivre en honnête homme, v.1233 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Appuyer l'innocent contre l'iniquité, v.1234 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Briller moins par l'esprit que par la probité, v.1235 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Du mérite opprimé réparer l'injustice, v.1236 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Ne souhaiter du bien que pour rendre service, v.1237 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Être accessible à tous, par son humanité : v.1238 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Non, rien n'est comparable à cette volupté. v.1239 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Votre plaisir est grand, je n'en fais point de doute, v.1240 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- À suivre une si juste et si charmante route. v.1241 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Je ne vous cèle point que je suis enchanté v.1242 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Je rends grâces aux dieux... v.1244 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Eh quoi ! Les dieux encore ? v.1244 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Laissez-là ces beaux noms, que le vulgaire adore. v.1245 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Peut-on être si faible avec tant de raison ? v.1246 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Vous ne croyez donc pas qu'il soit des dieux ? v.1247 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Moi ? Non. v.1247 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et vous ne le croyez non plus que moi, je pense ? v.1248 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Vous le conjecturez avec peu d'apparence. v.1249 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Sur quoi vous fondez-vous pour n'en pas croire ? v.1250 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Sur quoi vous fondez-vous pour en croire ? v.1251 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'ai, vous n'en doutez point, pour moi le plus grand nombre. v.1252 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il est vrai, mais qui marche à tâtons et dans l'ombre, v.1253 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qui bronche à chaque pas, chancelle à chaque point, v.1254 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et qui les craint si peu que c'est n'en croire point. v.1255 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Les Dieux doivent leur être aux faiblesses des hommes. v.1256 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Ne convenez-vous pas que vous et moi nous sommes ? v.1257 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Sans doute. v.1258 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Croyez-vous que nous venions de rien ? v.1258 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mon père avait son père, et son père le sien ; v.1259 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et que nous parcourions mes aïeux ou les vôtres, v.1260 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il en faut un premier d'où soient venus les autres. v.1261 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Vous êtes trop prudent pour me nier cela. v.1262 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Eh ! Qui donc, je vous prie, a fait ce premier-là ? v.1263 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Voilà sur quel article il faut qu'on me réponde. v.1264 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Je crois l'homme éternel de même que le monde. v.1265 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Peut-il être éternel et sujet au trépas ? v.1266 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il commence et finit, vous ne l'ignorez pas. v.1267 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Tout être dépendant vient d'un être suprême ; v.1268 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et ce que nous voyons ne s'est point fait soi-même. v.1269 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Le ciel, où jour et nuit brillent des feux si beaux, v.1271 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- L'ordre toujours égal des saisons, des planètes, v.1272 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Prouvent par quelles mains elles ont été faites. v.1273 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Parce que d'un peu loin vous croyez voir la mort, v.1275 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Si par quelque accident, maladie ou blessure, v.1276 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Dans une heure, au plus tard, votre mort était sûre, v.1277 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Penseriez-vous des dieux ce que vous en pensez ? v.1278 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et pour n'y croire pas seriez-vous ferme assez ? v.1279 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Parlez de bonne foi sur le fait que je pose. v.1280 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Si je devais mourir dans une heure ?... v.1281 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Est un peu délicate, et je ne sais pas bien... v.1282 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Croiriez-vous quelque chose, ou ne croiriez-vous rien ? v.1283 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Vous, et tous vos pareils, qui semblez intrépides, v.1284 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Que, pour un insensé qui craint d'ouvrir les yeux, v.1286 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mille de cris perçants importunent les dieux. v.1287 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Que mon coeur combattu par la peur du non-être... v.1289 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh ! Monsieur, le non-être est ce qu'on craint le moins : v.1290 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- La peur d'être toujours cause bien d'autres soins ; v.1291 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Le passé fait trembler, l'avenir embarrasse. v.1292 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mais, sans nous écarter, répondez-moi, de grâce. v.1293 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Si vous deviez mourir dans une heure, au plus tard, v.1294 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Que croiriez-vous ? Parlez sans énigme et sans fard. v.1295 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Sans énigme et sans fard ! Je ne suis pas un homme v.1296 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qui par le nom d'athée aime qu'on me renomme. v.1297 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je ne dispute point pour vouloir disputer ; v.1298 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je cherche à m'éclaircir, et non pas à douter. v.1299 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Loin d'avoir du plaisir, j'ai de l'inquiétude v.1300 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- À flotter dans le trouble et dans l'incertitude ; v.1301 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et, chagrin contre moi d'avoir ainsi vécu, v.1302 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Le bonheur où j'aspire est d'être convaincu. v.1303 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'ai vu la mort de près dans plus d'une bataille ; v.1304 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je l'ai vue à l'assaut de plus d'une muraille, v.1305 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Sans que dans ce péril elle ait pu m'inspirer v.1306 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Ni de croire des dieux, ni de les implorer. v.1307 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Peut-être ma carrière approchant de son terme, v.1308 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que dans ces sentiments je ne suis plus si ferme : v.1309 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et que si dans une heure, au plus tard, je mourais, v.1310 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Plus juste ou plus craintif, je les implorerais. v.1311 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh ! Que ne fait-on point quand il faut que l'on meure ? v.1312 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Votre raison alors sera-t-elle meilleure ? v.1313 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Aurez-vous de l'esprit plus que vous n'en avez ? v.1314 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Saurez-vous sur ce point plus que vous ne savez ? v.1315 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Seront-ce d'autres dieux, ou sera-ce un autre homme ? v.1316 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pouvez-vous ne rien croire et dormir d'un bon somme ? v.1317 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- De la vie à la mort il s'agit d'un instant ; v.1318 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et que peut-on risquer qui soit plus important ? v.1319 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Qui dit dieux, dit vengeurs ; et leur foudre... v.1320 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Au contraire : v.1320 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Qui dit Dieux, dit cléments. Un remords bien sincère v.1321 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Arrête, en expirant, leur foudre prête à choir. v.1322 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh ! Ce remords sincère, est-on sûr de l'avoir ? v.1323 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Sur le point d'expirer, quoi qu'on se persuade, v.1324 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Le repentir est faible autant que le malade. v.1325 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Je vais, non vous prouver, mais vous faire entrevoir v.1326 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Qu'un espoir si tardif est un fragile espoir, v.1327 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et qu'aux derniers moments les beaux esprits qui doutent v.1328 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ne sont pas assurés que les dieux les écoutent. v.1329 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Voulez-vous à m'entendre appliquer votre soin ? v.1330 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pour quel autre sujet viens-je ici de si loin ? v.1331 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Le plaisir le plus grand que vous me puissiez faire, v.1332 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- C'est de m'ouvrir votre âme et de ne me rien taire. v.1333 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Un faucon qui croyait les dieux muets et sourds, v.1334 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Étant à son heure dernière, v.1335 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- D'un lamentable ton sollicita sa mère v.1336 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- D'aller en sa faveur implorer leur secours. v.1337 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mon enfant, lui dit-elle en mère habile et sage, v.1338 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pendant que tu te portais bien, v.1339 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Tu disais qu'ils ne pouvaient rien : v.1340 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ils ne peuvent pas davantage. v.1341 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- C'est presque ainsi que l'homme en use envers les dieux : v.1342 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pour en croire il attend qu'il soit malade ou vieux. v.1343 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Jusqu'au moment funeste où leur vengeance arrive, v.1344 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il les croit impuissants, voyant leur foudre oisive ; v.1345 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et pour les apaiser fait des cris éclatants, v.1346 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Quand ils sont fatigués et qu'il n'en est plus temps. v.1347 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- La clémence des dieux, dont on voit tant de preuves, v.1348 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Qui n'ont pu résister au temps rude et fatal, v.1350 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Qui tient leurs flots captifs sous un mur de cristal : v.1351 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Jusques à certain poids, qu'on y passe et repasse, v.1352 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- On est en sûreté sur leur épaisse glace ; v.1353 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mais lorsqu'on la surcharge elle fond sous nos pas, v.1354 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et qui tombe dessous ne s'en retire pas, v.1355 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Monsieur, cessons, de grâce ! v.1356 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Ce discours vous fatigue autant qu'il m'embarrasse. v.1357 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- À lutter contre vous j'applique en vain mes soins, v.1358 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Si vous ne m'abattez, vous m'ébranlez, au moins. v.1359 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Croire comme l'on fait, par exemple, est-ce croire ? v.1361 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- À parler sans contrainte et d'un coeur ingénu, v.1362 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Quel dieu, hors la fortune, à la cour est connu ? v.1363 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Pour peu que l'on y prie, on est toujours en garde : v.1364 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- On observe avec soin si le prince y regarde ; v.1365 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et lorsque par hasard on rencontre ses yeux, v.1366 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- C'est lui que l'on invoque encor plus que les dieux... v.1367 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Adieu : je sors d'ici plein de votre mérite. v.1368 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Souffrez que je vous rende encore une visite : v.1369 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je crois, par les efforts que vos bontés feront, v.1370 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Si mes yeux sont fermés, qu'ils se défermeront. v.1371 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je demande un jour fixe encor cette semaine. v.1372 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Non, monsieur, je saurai vous en sauver la peine ; v.1373 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et je vous promets bien, pour vous faire ma cour, v.1374 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Que j'irai vous trouver jusqu'en votre séjour. v.1375 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Vous, monsieur ? Plût aux dieux, que je commence à croire, v.1376 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- C'est un endroit riant dans la belle saison ; v.1378 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Les ondes du Pactole entourent la maison : v.1379 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- On y voit d'un coup-d'oeil le printemps et l'automne, v.1380 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Les richesses de Flore et les dons de Pomone ; v.1381 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et je ne vous dis point le plaisir que j'aurai v.1382 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Précipitez l'honneur que vous voulez me faire. v.1384 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que de clartés, hors la plus nécessaire ! v.1385 (Acte 3, scène 5, ESOPE)
- Et que d'honnêtes gens à la cour aujourd'hui v.1386 (Acte 3, scène 5, ESOPE)
- Ont la même faiblesse éclairés comme lui ! v.1387 (Acte 3, scène 5, ESOPE)
- Bonjour, monsieur. v.1388 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Bonjour. Que voulez-vous, madame ? v.1388 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Eh ! Monsieur, je ne suis qu'une bien pauvre femme ; v.1389 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Je n'ai point de parent, père, frère, ni soeur, v.1390 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Qui jamais ait été madame, ni monsieur : v.1391 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- J'ai loué cet habit pour paraître un peu brave ; v.1392 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- La Thrace est mon pays, et j'y suis née esclave. v.1393 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Ce que je vous apprends montre assez, que je crois, v.1394 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Qu'en m'appelant madame, on se moque de moi. v.1395 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Eh bien ! Ma bonne femme, à quoi vous suis-je utile ? v.1396 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Qui vous fait de si loin venir en cette ville ? v.1397 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- J'écoute les raisons, sans distinguer les rangs, v.1398 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Et je crois me devoir plus aux petits qu'aux grands. v.1399 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Comme ils sont situés plus près de l'indigence, v.1400 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Leur besoin plus pressant veut plus de diligence. v.1401 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Y serez-vous longtemps ? v.1403 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Le moins que je pourrai. v.1403 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Sans vous, de qui la vue adoucit ma disgrâce, v.1404 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Je me repentirais d'avoir quitté la Thrace. v.1405 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- J'ai bien pris de la peine et bien fait du chemin, v.1406 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Pour ne trouver au bout que mépris et chagrin. v.1407 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Avez-vous de quelqu'un essuyé quelque injure ? v.1408 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Oui, monsieur ; et sans doute une qui m'est bien dure. v.1409 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- D'une main de qui mon coeur déçu v.1410 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- N'attendait point du tout le coup qu'il a reçu, v.1411 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Eh ! Bons dieux, quelle fille ! v.1413 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Elle vient de me faire un si cruel affront... v.1414 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Un jour les dieux l'en puniront... v.1415 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- J'en conçois par avance une douleur mortelle. v.1416 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Holà ! Quelqu'un. v.1417 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Je la prie instamment de vouloir me mander v.1418 (Acte 3, scène 7, ESOPE)
- Quand je pourrai la voir, sans trop l'incommoder. v.1419 (Acte 3, scène 7, ESOPE)
- Je vous attends ici pour avoir sa réponse. v.1420 (Acte 3, scène 7, ESOPE)
- Cachez bien, s'il vous plaît, ce que je vous annonce, v.1421 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Mon cher monsieur : je l'aime, et, quoi qu'elle m'ait fait, v.1422 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Si je lui faisais tort, j'en aurais du regret : v.1423 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Je le sens bien. v.1424 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- D'où vient qu'elle vous est si chère ? v.1424 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Pour m'avoir méconnue, en suis-je moins sa mère ? v.1425 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Oui, monsieur. Si cet aveu lui nuit, v.1426 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Je consens, avec joie, à n'en faire aucun bruit. v.1427 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Après l'avoir pleurée, et cru sa mort certaine, v.1428 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Un marchand de Sardis qui vint à Clazomène, v.1429 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Au bout de quatorze ans m'ayant appris son sort, v.1430 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Je pars, je cours, j'arrive, et fais naufrage au port. v.1431 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Pour le prix de mes soins j'ai la douleur amère v.1432 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- De trouver un enfant qui méconnaît sa mère ; v.1433 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Et, contrainte à partir pour retourner si loin, v.1434 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- J'implore vos bontés dans le dernier besoin. v.1435 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Pardon, si jusqu'à vous ma douleur est venue ! v.1436 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Rhodope est votre fille, et vous a méconnue ! v.1437 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Est-il bien vrai ? Vos yeux en sont-ils les témoins, v.1438 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Et n'y mêlez-vous rien, ou du plus ou du moins ? v.1439 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Quelles fausses raisons colorent cet outrage ? v.1440 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Je suis pauvre, elle est riche ; en faut-il davantage ? v.1441 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Elle a peur que ma vue infecte sa maison. v.1442 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- La pauvre femme a peut-être raison. v.1443 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope n'est pas seule, en sa bonne fortune, v.1444 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Qui d'un pauvre parent fuit la vue importune. v.1445 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Il n'est pas sous le ciel de gens plus malheureux v.1446 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Que ceux dont les enfants sont plus élevés qu'eux. v.1447 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Qu'un homme de finance ait ennobli sa race, v.1448 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- En l'avouant pour père on croit lui faire grâce ; v.1449 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Et qu'un riche marchand fasse un fils conseiller, v.1450 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Ce fils en le voyant craint de s'encanailler. v.1451 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Un mépris infaillible est le digne salaire v.1452 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- D'avoir plus fait pour eux que l'on ne devait faire ; v.1453 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Et quoique tous les jours on éprouve cela, v.1454 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- On retombe sans cesse en cette faute-là. v.1455 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Ce n'est pas envers vous tout à fait même chose ; v.1456 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope de son sort elle seule est la cause : v.1457 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Le jour qu'elle respire est votre unique don. v.1458 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Est-ce un juste sujet de ne me pas voir ? v.1459 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Non. v.1459 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Elle a dû vous voyant avoir l'âme ravie. v.1460 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Eh ! Que ne doit-on pas à qui l'on doit la vie ?... v.1461 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Bientôt de ses raisons je vais être éclairci. v.1462 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope suit mes pas, et va se rendre ici. v.1463 (Acte 3, scène 9, LICAS)
- Je n'ai pu l'empêcher de prendre cette peine. v.1464 (Acte 3, scène 9, LICAS)
- Conduisez cette femme à la chambre prochaine ; v.1465 (Acte 3, scène 9, ESOPE)
- Et, surtout, ayez soin de la placer si bien, v.1466 (Acte 3, scène 9, ESOPE)
- Que de tous nos discours elle ne perde rien. v.1467 (Acte 3, scène 9, ESOPE)
- Allez... ce que j'entends de Rhodope m'étonne. v.1468 (Acte 3, scène 9, ESOPE)
- Je viens savoir de vous à quoi je vous suis bonne. v.1469 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je m'en allais vous voir. v.1470 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Et moi je vous préviens, v.1470 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Sûre que vos moments sont plus chers que les miens. v.1471 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Vous dire une fable nouvelle, v.1472 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Que bien des courtisans m'ont paru trouver belle ; v.1473 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Mais étant la plupart ou flatteurs ou jaloux, v.1474 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Je veux m'en rapporter uniquement à vous. v.1475 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Mon but est qu'une fable instruise, plaise, touche ; v.1476 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Et j'en crois plus le coeur que je n'en crois la bouche. v.1477 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- J'en dirai mon avis, comme j'ai toujours fait, v.1479 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Sans vanité pour moi, pour vous sans flatterie. v.1480 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- C'est ce que je demande et de quoi je vous prie. v.1481 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Un fleuve, enflé d'orgueil de l'abondance d'eau v.1482 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Qui, de plusieurs endroits, avait grossi sa course, v.1483 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Avec indignité désavoua la source v.1484 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Qui l'avait en naissant fait un simple ruisseau. v.1485 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Ingrat ! Lui dit la source, à qui ce coup fut rude, v.1486 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Que tu reconnais mal ma tendresse et mes soins v.1487 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Quelque injuste raison qu'ait ton ingratitude, v.1488 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Sans moi, qui ne suis rien, tu serais encor moins. v.1489 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Eh bien ! De cette fable avez-vous l'âme émue ? v.1490 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Sentez-vous qu'en secret votre coeur se remue ? v.1491 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- J'ai trahi la nature, oublié mon devoir, v.1493 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Sacrifié ma gloire à des chimères vaines, v.1494 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Et fait taire le sang qui coule dans mes veines : v.1495 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Semblable au fleuve ingrat, né d'un faible ruisseau, v.1496 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Qui méconnut sa source, orgueilleux de son eau, v.1497 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ayant reçu le jour d'une esclave étrangère, v.1498 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Par orgueil comme lui, j'ai méconnu ma mère. v.1499 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Moi-même. Est-il rien de si bas ? v.1500 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Surprise d'un accueil qu'elle n'attendait pas : v.1501 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Eh bien ! M'a-t-elle dit, en versant quelques larmes, v.1502 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Rassurez-vous, Rhodope, et n'ayez point d'alarmes ; v.1503 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Prête à m'aller rejoindre à mes pauvres aïeux, v.1504 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je venais vous prier de me fermer les yeux, v.1505 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Puisqu'il est si contraire à mes plus doux souhaits, v.1508 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Tout ce que je demande est de mourir en paix. v.1509 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Adieu. La pauvre femme à l'instant est sortie, v.1510 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Et, pour s'en retourner, est sans doute partie. v.1511 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- À peine de ma chambre a-t-elle été dehors, v.1512 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Que pour la retrouver j'ai fait de vains efforts. v.1513 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Faites, au nom des dieux, qu'on me rende ma mère : v.1514 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je veux souffrir sa peine, ou me faire un honneur v.1516 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- De lui voir avec moi partager mon bonheur. v.1517 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Calmez l'émotion où me met votre fable. v.1518 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Non, il n'est pas croyable, à vous parler sans fard, v.1520 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Qu'un enfant pour sa mère ait eu si peu d'égard. v.1521 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Si mon crime fut grand, mon remords est extrême. v.1522 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Envoyez après elle, ou bien j'y vais moi-même. v.1523 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je ne puis sans la voir demeurer plus longtemps. v.1524 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Est-ce d'un coeur touché que part ce que j'entends ? v.1525 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Ne me faites-vous point une promesse vaine ? v.1526 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Quel plaisir prenez-vous à prolonger ma peine ? v.1527 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Les moments sont trop chers pour les perdre en discours. v.1528 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ma mère à qui tout manque a besoin de secours. v.1529 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je dois à sa misère une prompte assistance. v.1530 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- J'entrevois dans ce zèle un peu de bienséance : v.1531 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Un amour tendre et pur ne vous fait point agir ; v.1532 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- C'est la crainte du blâme et la peur de rougir. v.1533 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Votre faute est secrète et deviendrait publique, v.1534 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Et la nature agit moins que la politique. v.1535 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Mon coeur de vos mépris, désespéré, confus, v.1536 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Quelque rudes qu'ils soient, en mérite encor plus. v.1537 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Soupçonnez d'artifice un repentir sincère, v.1538 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Je ne me plains de rien que des maux de ma mère. v.1539 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Loin que notre dispute en termine le cours, v.1540 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Pendant que nous parlons, ils augmentent toujours. v.1541 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ce que je sens pour elle est si pur que je jure v.1542 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- De ne prendre jamais repos ni nourriture v.1543 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Que nous ne partagions, pour tout dire en deux mots, v.1544 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- La même nourriture et le même repos. v.1545 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- J'aime mieux devancer que voir ses funérailles... v.1546 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ce que j'entends me perce les entrailles. v.1547 (Acte 3, scène 11, LEONIDE)
- Mon coeur est pénétré des plus sensibles coups. v.1548 (Acte 3, scène 11, LEONIDE)
- Venez, ma chère fille ! v.1549 (Acte 3, scène 11, LEONIDE)
- Et reconnaissez-vous qui méconnaît sa mère ? v.1551 (Acte 3, scène 11, RHODOPE)
- Je vous ai fait pleurer, et je pleure à mon tour. v.1553 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Consolez-vous, Rhodope ; une si belle faute v.1554 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Vous donne plus d'éclat qu'elle ne vous en ôte. v.1555 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Ce que je viens de voir m'a si fort satisfait, v.1556 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Que je vous aime plus que je n'ai jamais fait. v.1557 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Dans votre appartement conduisez-la vous-même. v.1558 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Ayez pour votre fille une tendresse extrême... v.1559 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Et vous, à l'avenir, soumise à son aspect, v.1560 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Ayez pour votre mère un extrême respect. v.1561 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Pour être un des premiers à lui montrer mon zèle, v.1562 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Ce soir je vous convie à souper avec elle. v.1563 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Satisfait de l'entendre et ravi de la voir, v.1564 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Je ferai mes efforts pour la bien recevoir. v.1565 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Au plus riche des rois vous voilà presque unie ; v.1566 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Il n'y manque plus rien que la cérémonie, v.1567 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Et dans un beau fauteuil, assise à son côté, v.1568 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Votre altesse demain deviendra majesté. v.1569 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Le ciel à votre sang devait ce privilège. v.1570 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Mais moi, madame, moi, demain, que deviendrai-je ? v.1571 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Je voudrais bien... v.1572 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- J'entends ce que tu voudrais bien, v.1572 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Et ton bonheur, Laïs, suivrait de près le mien. v.1573 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Mais j'y vois un obstacle. v.1574 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Elle a fait ce matin sa paix avec Ésope. v.1575 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Tu sais en quelle estime il est auprès du roi, v.1576 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Et je songeais à lui pour l'attacher à toi. v.1577 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Ésope est né dans l'indigence ; v.1578 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Mais, Laïs, ses vertus corrigent sa naissance. v.1579 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Quel honneur n'a-t-il point de ne devoir qu'à lui v.1580 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Ésope sans naissance est dans une posture... v.1582 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Je renonce à vos biens, si le plus grand de tous v.1584 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Consiste à me donner Ésope pour époux. v.1585 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Je n'en veux vraiment point. v.1586 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Connais-tu bien Ésope ? v.1586 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Il ne faut pour le voir prendre aucun microscope. v.1587 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- De son hideux aspect on est d'abord frappé. v.1588 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- L'hymen n'est pas un dieu qu'on repaisse de fables. v.1591 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- En un mot, quelque époux qui me soit destiné, v.1592 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Je le veux, si je puis, bien conditionné, v.1593 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Que rien n'y manque. v.1594 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Ésope a l'esprit net, affable. v.1594 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- L'esprit net, il est vrai, le corps indéchiffrable. v.1595 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- C'est d'une fort belle âme un fort vilain étui. v.1596 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Pardon, si ma pensée est contraire à la vôtre ; v.1598 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Mais il faut pour s'aimer être faits l'un pour l'autre : v.1599 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Si l'époux que l'on prend n'a le don de toucher, v.1600 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- La vertu de la femme est facile à broncher. v.1601 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- La mienne jusqu'ici ne s'est point démentie : v.1602 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- De la contagion elle s'est garantie : v.1603 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Je veux, s'il m'est possible, être femme de bien, v.1604 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Et si je suis à lui, je ne réponds de rien. v.1605 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Préservez ma pudeur, qu'il rendrait chancelante, v.1606 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- D'une tentation qui serait violente... v.1607 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Le voici... justes dieux, détournez un tel coup ! v.1608 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Vous me voyez confus d'oser vous faire attendre, v.1610 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Moi qui dois à votre ordre avec respect me rendre ; v.1611 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Mais enfermé, madame, au cabinet du roi... v.1612 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Eh ! Qui de vos bontés sait mieux le prix que moi ? v.1613 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Pouvez-vous m'en donner de plus sensibles marques ? v.1614 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Destinée à l'hymen du plus grand des monarques, v.1615 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Je dois plus ce bonheur, que je n'attendais pas, v.1616 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- À vos soins empressés qu'à mes faibles appas. v.1617 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Vous avez seul vers moi fait pencher la balance. v.1618 (Acte 4, scène 2, ARSINOE)
- Eh ! Puis-je avoir pour vous trop de reconnaissance ? v.1619 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- La qualité de reine est due à vos vertus ; v.1620 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Je n'oublierai jamais qu'à la première vue v.1622 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Crésus de ma présence eut d'abord l'âme émue, v.1623 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Et que si dans ces lieux j'éprouve un sort si doux, v.1624 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Un bienfait tôt ou tard trouve un prix infaillible, v.1626 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Et vous en allez voir une preuve sensible. v.1627 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Au bord d'une fontaine, où l'onde était fort belle, v.1629 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Vit se démener auprès d'elle v.1630 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Une fourmi qui se noyait. v.1631 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Sensible à son malheur, mais encor plus active v.1632 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- À lui prêter secours par quelque prompt moyen, v.1633 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Elle cueille un brin d'herbe, et l'ajuste si bien, v.1634 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Que la fourmi l'attrape, et regagne la rive. v.1635 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Quand elle fut hors de danger, v.1636 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Sur le mur le plus près la colombe s'envole. v.1637 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Un manant à pieds nus, qui la voit s'y ranger, v.1638 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Fait d'abord voeu de la manger, v.1639 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Et ne croit pas son voeu frivole. v.1640 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il allait lui donner une atteinte mortelle ; v.1643 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Voyant sa bienfaitrice en cet état réduite, v.1645 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Le mord si rudement au pied, v.1646 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Que se croyant estropié, v.1647 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il fait un si grand bruit que l'oiseau prend la fuite. v.1648 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Par la faible fourmi ce service rendu v.1649 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- À la colombe bienfaisante, v.1650 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Est une preuve suffisante, v.1651 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Qu'un bienfait n'est jamais perdu. v.1652 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il est vrai qu'un bienfait n'est jamais sans salaire, v.1653 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- N'eût-on que le plaisir que l'on goûte à le faire. v.1654 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Épouse de Crésus, que mon sort sera doux, v.1655 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Pouvant faire du bien, de commencer par vous ! v.1656 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Je viens exprès ici vous le dire moi-même. v.1657 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Demain, associée à son pouvoir suprême, v.1658 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Comme de votre bien usez de mon crédit. v.1659 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Tantôt, d'un air galant, votre main dans la mienne, v.1661 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Vous m'avez demandé quelqu'un qui vous convienne ; v.1662 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Je crois être celui qui vous convient le mieux. v.1664 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Si le parti vous plaît, la main est toute prête. v.1665 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Moi, monsieur, de Rhodope enlever la conquête ! v.1666 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Que dirait-elle ? Non, je rends grâce à vos soins ; v.1667 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Vous lui convenez plus, et je vous conviens moins. v.1668 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- J'ai pour votre mérite une estime sincère : v.1669 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Pour de l'amour... tout franc, vous n'en inspirez guère ; v.1670 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Et vous savez le sort de quantité d'époux v.1671 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Qui, sans vous offenser, sont bien mieux faits que vous. v.1672 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- S'il vous faut, comme un autre, éprouver ce supplice, v.1673 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Je vous honore trop pour en être complice. v.1674 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Allez ; c'est être sage, et l'être au dernier point v.1675 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Que de ne s'unir pas à ce qu'on n'aime point. v.1676 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Je voulais éprouver quelle était votre pente. v.1677 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Aimez, et qu'on vous aime ; et vous vivrez contente : v.1678 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Eh ! Bonjour, mon patron. v.1679 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Baisez-moi, je vous prie... encore une fois... bon. v.1680 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Les yeux vifs, le teint frais, la face rubiconde : v.1681 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Vous ferez, j'en suis sûr, l'épitaphe du monde. v.1682 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Jamais homme, à mon gré, ne se porta si bien. v.1683 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Ma santé, par malheur, ne vous est bonne à rien. v.1684 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Puis-je compter sur vous pour me rendre un service ? v.1685 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pouvez-vous en douter, et me rendre justice ? v.1686 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- M'en offrir un moyen, c'est flatter mon désir : v.1687 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le plaisir d'obliger est mon plus grand plaisir. v.1688 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quand il faut à quelqu'un refuser quelque chose, v.1689 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- J'en ai plus de chagrin que ceux à qui j'en cause. v.1690 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Rien ne m'est plus sensible et ne me touche tant v.1691 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Que lorsque d'avec moi l'on s'en va mécontent. v.1692 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- J'ai tablé là-dessus, et viens vous mettre en oeuvre. v.1693 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Je suis homme de guerre, et j'en sais la manoeuvre. v.1694 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Expert en ce métier, je distingue d'abord v.1695 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- D'une armée ennemie et le faible et le fort. v.1696 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Chagrin contre Ariston, qui ne fait rien qui vaille, v.1697 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- À le couler à fond sourdement je travaille ; v.1698 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Et pour m'aider, sous main, à le rendre odieux, v.1699 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- C'est sur vous, mon patron, que je jette les yeux. v.1700 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Je vous préfère à tous, tant je vous crois fidèle. v.1701 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pour le couler à fond ? La préférence est belle ! v.1702 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pourquoi chercher à nuire à ce brigadier-là ? v.1703 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pour mettre un habile homme en la place qu'il a. v.1704 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- J'en sais un (avec vous je m'explique sans feindre) v.1705 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Qu'on ne ferait pas mieux, quand on le ferait peindre ; v.1706 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Fier, sans être orgueilleux ; doux sans être soumis ; v.1707 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Estimé des soldats, et craint des ennemis ; v.1708 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Enfin ce qu'on appelle un des plus jolis hommes v.1709 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Qu'on ait vu de longtemps à la cour où nous sommes : v.1710 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- C'est le meilleur présent qu'on puisse faire au roi. v.1711 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Oui. Je vous surprends de ce que je me nomme ? v.1713 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- La modestie est belle enchâssée à propos ; v.1715 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Mais hors de son endroit, c'est la vertu des sots. v.1716 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Fiez-vous-en à moi ; je sais un peu la carte : v.1717 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Quand on a mes talents, rarement on s'écarte. v.1718 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Du meilleur de mon coeur je voudrais vous servir. v.1720 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous ne pouvez jamais me causer plus de joie v.1721 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Que de m'en procurer une équitable voie ; v.1722 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Parlez-moi d'élever, et non pas de détruire. v.1725 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je n'ai point de pouvoir, quand il s'agit de nuire. v.1726 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Ne me demandez point ce qui n'est pas permis. v.1727 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et je vous crois le mien, comme je suis le vôtre. v.1729 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pour en obliger un faut-il en perdre un autre ? v.1730 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il n'est rien de si beau que d'être généreux. v.1731 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous auriez du scrupule à faire un malheureux. v.1732 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Bon ! C'est bien à la cour que l'on a du scrupule ? v.1733 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- On cherche à s'avancer, sans voir qui l'on recule. v.1734 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Il n'est point de moment où l'on ne soit au guet, v.1735 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pour y mettre à profit les faux pas qu'on y fait ; v.1736 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Et pourvu qu'à son but un courtisan arrive, v.1737 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- On l'applaudit toujours, quelque route qu'il suive. v.1738 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Aller à la fortune est mon unique fin. v.1739 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Allez-y, croyez-moi, par un autre chemin. v.1740 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Crésus, des potentats l'un des plus équitables, v.1741 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- À qui, depuis un an, j'ai dédié mes fables, v.1742 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Se fait lire avec soin, le matin et le soir, v.1743 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Celles que sans faiblesse un grand roi peut savoir ; v.1744 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et le plus lâche crime étant la calomnie, v.1745 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pour ne pas un moment la laisser impunie, v.1746 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il s'est fait un devoir d'apprendre celle-ci. v.1747 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quel bonheur, si les rois en usaient tous ainsi ! v.1748 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- L'envie, au désespoir honteusement réduite, v.1749 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- De leurs paisibles cours prendrait bientôt la fuite. v.1750 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le lion, accablé par les ans, v.1752 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et n'ayant presque plus de chaleur naturelle, v.1753 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Avait autour de lui nombre de courtisans, v.1754 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Qui par grimace ou non lui témoignaient leur zèle. v.1755 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le loup, qui ne peut faire une bonne action, v.1756 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Voyant que le renard n'était pas de la bande, v.1757 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le fit remarquer au lion, v.1758 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Qui jura de punir une audace si grande. v.1759 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Mais le rusé renard, plus adroit que le loup, v.1760 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Averti de son insolence, v.1761 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Non content de parer le coup, v.1762 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Résolut d'en tirer vengeance. v.1763 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il va rendre visite au roi des animaux, v.1764 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et d'un ton assuré : vous voyez, dit-il, sire, v.1765 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Le plus sensible à vos maux. v.1767 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pendant qu'on vous faisait des compliments stériles, v.1768 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Qui ne partent souvent que d'un zèle affecté, v.1769 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pour le soulagement de votre majesté. v.1771 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Elle est hors de péril, et l'état hors de crainte. v.1772 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- La peau d'un loup, écorché vif, v.1773 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Est un remède aussi prompt qu'effectif v.1774 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pour ranimer votre chaleur éteinte. v.1775 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Son attente eut un plein effet. v.1776 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- On écorche le loup, on en couvre le sire ; v.1777 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et ceux qui du renard l'avaient ouï médire, v.1778 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Dirent tous que c'était bien fait. v.1779 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Messieurs les courtisans, qui cherchez à vous nuire, v.1780 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quel plaisir prenez-vous à vous entre-détruire ? v.1781 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Si par la calomnie un homme a réussi, v.1782 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Cent pour un, tout au moins, s'y sont perdus aussi. v.1783 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je sais bien qu'à la cour, au milieu des caresses, v.1784 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- La jalousie immole amis, parents, maîtresses : v.1785 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- À qui veut s'agrandir, le cas n'est pas nouveau ; v.1786 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Mais je sais bien aussi que cela n'est pas beau. v.1787 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quand d'une bonne race on a l'honneur de naître, v.1788 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- On cherche à mériter le poste où l'on veut être ; v.1789 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous irez par leur route aux emplois qu'ils ont eus. v.1791 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- C'est la plus juste voie et la plus raisonnable. v.1792 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- N'avez-vous autre chose à m'offrir qu'une fable, v.1793 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Le bon ami ? v.1794 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Meilleur que vous ne le croyez. v.1794 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- C'est moi qui me dois plaindre, et c'est vous qui criez. v.1795 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je ne murmure point que pour votre service, v.1796 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous me sollicitiez à faire une injustice ; v.1797 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- De ce qu'à vos désirs les miens sont opposés ! v.1799 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Qui de vous ou de moi mérite qu'on l'excuse, v.1800 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous qui la demandez, ou moi qui la refuse ? v.1801 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous ne voulez donc pas me servir ? v.1802 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Et même, s'il le faut, contre mon intérêt. v.1803 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Ne me proposez rien dont pour vous je rougisse, v.1804 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et vous verrez alors si je rends bien service. v.1805 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Savez-vous de quel sang j'eus l'honneur de naître ? v.1807 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Vous avez des aïeux dont la gloire est insigne. v.1808 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Héritier de leur nom, tâchez d'en être digne ; v.1809 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Point de leçons. Je suis, grâces aux dieux, v.1810 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Plus habile que vous, quoique je sois moins vieux. v.1811 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Je le crois. J'ai de l'âge et n'ai point de science ; v.1812 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Mais j'ai du train du monde un peu d'expérience. v.1813 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- À la guerre, et partout, la générosité v.1814 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Est ce qui sied le mieux aux gens de qualité ; v.1815 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et quiconque est formé d'un sang comme le vôtre, v.1816 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Doit naturellement en avoir plus qu'un autre. v.1817 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Parlons net. Mon dessein est de perdre Ariston : v.1818 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pour cela, monsieur, non. v.1819 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Si c'est le seul motif qui vers moi vous amène, v.1820 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- C'est, à vous parler net, une visite vaine. v.1821 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Eh ! Vous figurez-vous, mon cher petit monsieur, v.1822 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Qu'un ministre inutile ait un vrai serviteur ? v.1823 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Lorsqu'à vous encenser tant de monde travaille, v.1824 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Non ; qui ferait ce projet v.1826 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Aurait assurément grand tort sur mon sujet. v.1827 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Autant que je l'ai pu pendant une heure entière, v.1828 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je vous ai combattu d'une honnête manière ; v.1829 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Mais les coups éloignés ne vous émeuvent point : v.1830 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il faut vous les tirer plus à brûle pourpoint. v.1831 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Puis donc qu'à votre insulte il faut que je réponde, v.1832 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je n'ai pas en laideur mon pareil dans le monde : v.1833 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je le sais ; mais le ciel, propice en mon endroit, v.1834 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Dans un corps de travers a mis un esprit droit. v.1835 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quelque hommage forcé que la crainte leur rende, v.1836 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je méconnais les grands qui n'ont pas l'âme grande ; v.1837 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et je n'ai du respect pour l'éclat de leur sang v.1838 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Que lorsque leur mérite est égal à leur rang. v.1839 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Les grands et les petits viennent par même voie ; v.1840 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et souvent la naissance est comme la monnaie : v.1841 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- On ne peut l'altérer sans y faire du mal, v.1842 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et le moindre alliage en corrompt le métal. v.1843 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Un soldat comme vous s'imagine peut-être. v.1844 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je ne suis point soldat, et nul ne m'a vu l'être. v.1845 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Je suis bon colonel, et qui sert bien l'État. v.1846 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Monsieur le colonel, qui n'êtes point soldat, v.1847 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je ne sais ce que c'est que de rendre service v.1848 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Contre la bienséance et contre la justice. v.1849 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Adieu, monsieur. Bientôt... je ne m'explique pas. v.1850 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Peut-on être si noble, avec un coeur si bas ! v.1851 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- On dit que la noblesse a la vertu pour mère. v.1852 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- S'il est vrai, ses enfants ne lui ressemblent guère ; v.1853 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Et pour un qui l'imite et qui fait son devoir... v.1854 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Mais quel homme important en ce lieu me vient voir ? v.1855 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Vous voyez un vieillard d'une assez bonne pâte, v.1856 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Qui va voir ses aïeux, sans pourtant avoir hâte, v.1857 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et qui souhaiterait être assez fortuné v.1858 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Pour vous entretenir, sans être détourné. v.1859 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- C'est pour le bien public que je vous rends visite. v.1860 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ah ! Pour le bien public il n'est rien qu'on ne v.1861 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Holà ! S'il vient quelqu'un, on ne me parle point... v.1862 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- J'agirai de concert avec vous sur ce point. v.1863 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Allons d'abord au fait : point d'inutiles termes. v.1864 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- On doit le mois prochain renouveler les fermes ; v.1865 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Jamais homme pour vous n'aurait eu plus d'égard. v.1867 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il ne me manque rien qu'un patron obligeant. v.1870 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et quelle est la vertu d'un fermier ? v.1871 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- De l'argent. v.1871 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il ne fait point de cas des vertus inutiles, v.1872 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Des soins infructueux et des veilles stériles. v.1873 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- D'une voix unanime et d'un commun accord, v.1874 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Les vertus d'un fermier sont dans son coffre-fort ; v.1875 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et son zèle est si grand pour des vertus si belles v.1876 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Qu'il en veut tous les jours acquérir de nouvelles. v.1877 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- La vertu toute nue a l'air trop indigent ; v.1878 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et c'est n'en point avoir que n'avoir point d'argent. v.1879 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Fort bien. Mais croyez-vous y trouver votre compte ? v.1880 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Avez-vous calculé jusques où cela monte ? v.1881 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Toute charge payée, y voyez-vous du bon ? v.1882 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Parlez en conscience. v.1883 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- En conscience, non. v.1883 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Mais un homme d'esprit versé dans la finance, v.1884 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Pour n'avoir rien à faire avec sa conscience, v.1885 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Fait son principal soin, pour le bien du travail, v.1886 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- D'être sourd à sa voix, tant que dure le bail. v.1887 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quand il est expiré, tout le passé s'oublie : v.1888 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Avec sa conscience il se réconcilie, v.1889 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et libre de tous soins, il n'a plus que celui v.1890 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- De vivre en honnête homme, avec le bien d'autrui. v.1891 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Si vous me choisissez, et que le roi me nomme, v.1892 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je doute que la ferme ait un plus habile homme. v.1893 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai du bien, du crédit et de l'argent comptant. v.1894 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quant au tour du bâton, vous en serez content : v.1895 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Votre peine pour moi ne sera point perdue ; v.1896 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je sais trop quelle offrande à cette grâce est due. v.1897 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quoi que vous ordonniez, tout me semblera bon. v.1898 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Qu'est-ce que c'est encor que le tour du bâton ? v.1899 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- J'ai regret avec vous de m'en être servi. v.1902 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous en avez regret, et moi j'en suis ravi. v.1903 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour familière, non ; je vous en justifie. v.1904 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Dites-moi seulement ce qu'elle signifie. v.1905 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Le tour du bâton ? v.1906 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- C'est un certain appas... v.1906 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Un profit clandestin... vous ne l'ignorez pas ! v.1907 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai là-dessus, vous dis-je, une ignorance extrême. v.1908 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pardonnez-moi. v.1909 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vraiment, pardonnez-moi vous-même. v.1909 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- C'est peut-être un jargon qu'on n'entend qu'en ces lieux ? v.1910 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- C'est par tout l'univers ce qu'on entend le mieux. v.1911 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Que l'on aille d'un grand implorer une grâce, v.1912 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Sans le tour du bâton je doute qu'il la fasse ; v.1913 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Pour avoir un emploi de quelque financier, v.1914 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- C'est le tour du bâton qui marche le premier ; v.1915 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- On ne veut rien prêter, quelque gage qu'on offre, v.1916 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Si le tour du bâton ne fait ouvrir le coffre ; v.1917 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il n'est point de coupable un peu riche et puissant, v.1918 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Dont le tour du bâton ne fasse un innocent ; v.1919 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Point de femme qui joue, et s'en fasse une affaire, v.1920 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Que le tour du bâton ne dispose à pis faire ; v.1921 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ministres de Thémis et prêtres d'Apollon v.1922 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ne font quoi que ce soit sans le tour du bâton ; v.1923 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Dont le tour du bâton fait les trois quarts du zèle. v.1925 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous êtes dans un poste à le savoir fort bien. v.1926 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je vous jure pourtant que je n'en savais rien. v.1927 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que le tour du bâton est propre à bien des choses ; v.1929 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Mais je ne conçois point où l'on peut l'appliquer. v.1930 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Rien n'est plus nécessaire au commerce des hommes ; v.1932 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et pour ne point sortir de la ferme où nous sommes, v.1933 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Lorsque l'on offre au roi la somme qu'il lui faut, v.1934 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- On ne biaise point, et l'on parle tout haut : v.1935 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Cent millions, dit-on, plus_ou_moins, il n'importe. v.1936 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- On ajoute à cela ; mais d'une voix moins forte, v.1937 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- D'un ton beaucoup plus bas, qu'on entend bien pourtant, v.1938 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et pour notre patron une somme de tant, v.1939 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Soit par reconnaissance, ou soit par politique : v.1940 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- C'est l'usage commun qui partout se pratique. v.1941 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il n'est point d'intendant en de grandes maisons v.1942 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Qui n'ait le même usage et les mêmes raisons. v.1943 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quand on y fait un bail, de quoi que ce puisse être, v.1944 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et qu'on ait dit tout haut ce que l'on offre au maître, v.1945 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- On prend un ton plus bas pour le revenant-bon, v.1946 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et voilà ce que c'est que le tour du bâton. v.1947 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Son étymologie est sensible, palpable. v.1948 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ce n'est pas le seul tour dont vous soyez capable. v.1949 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Peu de fermiers, je crois, sont plus intelligents. v.1950 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- J'en connais quelques-uns assez habiles gens ; v.1951 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Mais qui ne feront point, tant ils sont débonnaires, v.1952 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ni le bien de l'État, ni leurs propres affaires. v.1953 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il est vrai : vous voulez le bien public, tout pur. v.1955 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous avez l'appétit toujours bon ? v.1956 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Quel âge avez-vous bien pour travailler encore ? v.1957 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ne mentez point. v.1958 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Lundi j'eus quatre-vingt-deux ans. v.1958 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous avez des enfants et des petits-enfants ? v.1959 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Aucun : je suis garçon. Le ciel m'a fait la grâce, v.1960 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- De même qu'au Phénix, d'être seul de ma race. v.1961 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Avec économie ayant toujours vécu, v.1962 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai depuis soixante ans mis écu sur écu ; v.1963 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Si bien que ce matin, en consultant mes livres, v.1964 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai trouvé de bien clair quinze cent mille livres, v.1965 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Sans avoir un parent à qui laisser un sou. v.1966 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Point d'enfants ? v.1967 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Non. v.1967 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Un homme de bon sens travaille en sa jeunesse, v.1968 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour passer en repos une heureuse vieillesse ; v.1969 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Mais c'est un insensé qu'un voyageur bien las, v.1970 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui peut se reposer, et qui ne le fait pas. v.1971 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Quel indigne plaisir peut avoir l'avarice ? v.1972 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et que sert d'amasser, à moins qu'on ne jouisse ? v.1973 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- C'est bien être ennemi de son propre bonheur. v.1974 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Je veux, si je le puis, mourir au lit d'honneur. v.1975 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quelque vieux que je sois, je me sens les pieds fermes. v.1976 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai rempli dignement tous les emplois des fermes. v.1977 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et je prétends aller jusqu'au non plus ultra , v.1979 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Eh quoi ! N'avez-vous rien à faire, v.1980 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et de plus sérieux, et de plus nécessaire ? v.1981 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- La mort toujours au guet avec son attirail, v.1982 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Est-elle caution que vous passiez le bail ? v.1983 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ne l'entendez-vous pas qui vous dit de l'attendre, v.1984 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et que demain peut-être elle viendra vous prendre ? v.1985 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il faudra tout quitter quand elle arrivera ; v.1986 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et vous ne songez point à ce non plus ultra. v.1987 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Quel âge attendez-vous pour être raisonnable ? v.1988 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voulez-vous là-dessus écouter une fable ? v.1989 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Volontiers. v.1990 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Elle est longue ; aurez-vous le loisir ? v.1990 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Une fable un peu longue est une double grâce. v.1992 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous y verrez des fous dont vous suivez la trace, v.1993 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et vous en verrez tant de toutes qualités, v.1994 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- À l'exemple d'Hercule, un certain téméraire, v.1996 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- S'étant fait jour jusque dans les enfers, v.1997 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voulut voir des damnés les supplices divers. v.1998 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ce n'était pas une petite affaire. v.1999 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Un jeune diable, à qui Pluton v.2000 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Permit ce jour-là d'être bon, v.2001 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- (sans tirer à conséquence) v.2002 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Conduisit l'homme partout, v.2003 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et, de l'un à l'autre bout, v.2004 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- L'honora de sa présence. v.2005 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il trouva là des gens de toutes les façons. v.2006 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Hommes, femmes, filles, garçons, v.2007 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Grands, petits, jeunes, vieux, de tout rang, de tout âge : v.2008 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il n'est profession, art, négoce, métier v.2009 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui n'ait là-dedans son quartier, v.2010 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et qui n'y joue un personnage. v.2011 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien trouva-t-il dans les fers v.2012 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- De gros marchands drapiers, le teint livide et jaune, v.2013 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui, par le calcul des enfers, v.2014 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- De trois quarts et demi faisaient toujours une aune ! v.2015 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien de merciers du palais, v.2016 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Tourmentés d'autant de méthodes v.2017 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que pour flatter le luxe ils lui prêtent d'attraits v.2018 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que de coiffeuses en lieu chaud v.2020 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour avoir, au temps où nous sommes, v.2021 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que les femmes coiffent les hommes ! v.2023 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ces premiers corrupteurs de la vie innocente v.2025 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Sont dans une chambre ardente v.2026 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Au rang des empoisonneurs. v.2027 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien de financiers et de teneurs de banque, v.2028 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voulant compter le temps qu'ils seront encor là, v.2029 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Trouvent que le chiffre leur manque, v.2030 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et ne peuvent nombrer cela ! v.2031 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien de grands seigneurs, qui d'un devoir austère, v.2032 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- D'une dette du jeu s'acquittaient sur le champ, v.2033 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et qui sont morts sans satisfaire v.2034 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ni l'ouvrier, ni le marchand ! v.2035 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien de magistrats, l'un bourru, l'autre avare, v.2036 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que jamais la main vide on n'osait approcher, v.2037 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voyant que dans leur temps la justice était rare, v.2038 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Prenaient occasion de la vendre bien cher ! v.2039 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien d'avocats célèbres, v.2040 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui rendaient noir le blanc par leurs subtilités, v.2041 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Maudissent dans les ténèbres v.2042 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Si je voulais nommer les fragiles notaires v.2044 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Les dangereux greffiers, les subtils procureurs, v.2045 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Des nonchalants rapporteurs, v.2047 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et certains curieux, galopeurs d'inventaires, v.2048 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui séduisent l'huissier pour tromper les mineurs : v.2049 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Si je voulais parler de tant de commissaires, v.2050 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui font, comme il leur plaît, avoir raison ou tort, v.2051 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Des médecins sanguinaires, v.2052 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Enfin, si je faisais une liste fidèle v.2054 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- De tous les réprouvés que Pluton a chez lui, v.2055 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ce serait une kyrielle v.2056 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui ne finirait d'aujourd'hui. v.2057 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voici pour vous. Le jeune diable et l'homme, v.2058 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui voyaient de l'enfer tous les bijoux gratis : v.2059 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Après s'être bien divertis v.2060 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- À voir les damnés que je nomme, v.2061 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Entendirent hurler des vieillards langoureux. v.2062 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui sont ceux-là, dit l'homme, et quel soin les agite ? v.2063 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Nous sommes, répond l'un d'entre eux, v.2064 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Taisez-vous imposteur, ou parlez autrement, v.2066 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Dit le jeune habitant du pays des ténèbres ; v.2067 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous mentez aussi hardiment v.2068 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qu'un faiseur d'oraisons funèbres. v.2069 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Le plus jeune de vous a quatre-vingt-dix ans, v.2070 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour penser à la mort, sans y donner une heure. v.2072 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vieux, cassé, décrépit, la mort vient et vous prend : v.2073 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Après un terme si grand v.2074 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Est-il étonnant qu'on meure ? v.2075 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Dans le moment que la mort vous surprit, v.2076 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Une vétille, un rien occupait votre esprit ; v.2077 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous aviez l'oeil à tout, jusqu'à la moindre rente ; v.2078 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et vous faisiez, quant au surplus, v.2079 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- L'affaire la moins importante v.2080 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pleurer d'un temps si cher l'usage si fatal. v.2083 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ne m'avouerez-vous pas que, pour un jeune diable, v.2084 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il ne raisonnait pas trop mal ? v.2085 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Examinons un peu, vous et moi, quel usage v.2086 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous avez fait du temps pendant un si grand âge. v.2087 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vos quatre-vingt-deux ans contiennent dans leur cours v.2088 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Le nombre, ou peu s'en faut, de trente mille jours ; v.2089 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et de ces jours usés pour bien finir le terme, v.2090 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Près d'entrer au tombeau, vous entrez dans la ferme ! v.2091 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et pourquoi pour du bien vous donner tant de soin, v.2092 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous qui dans quatre jours n'en aurez plus besoin ? v.2093 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour vous ouvrir les yeux j'ai dit ce qu'on peut dire : v.2094 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Faites réflexion, en homme prévoyant v.2096 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que c'est la vérité que je dis en riant. v.2097 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ce que vous m'apprenez a si peu d'apparence v.2098 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Que je ne puis sans honte y donner de croyance. v.2099 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Ésope me trahir, lui qui me sert si bien ! v.2100 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- J'en serais assuré que je n'en croirais rien. v.2101 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Je n'ai point de sujet qui me soit plus fidèle. v.2102 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Il se peut qu'on ait tort de soupçonner son zèle ; v.2103 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Peut-être de l'envie est-ce un subtil poison : v.2104 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Mais il se peut aussi, seigneur, qu'on ait raison, v.2105 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- De celui qu'on soupçonne il faut se rendre maître. v.2107 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Donnez ordre, seigneur, qu'on l'arrête. v.2108 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Que je sois insensible à ce que je lui dois ! v.2109 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Et qu'une ingratitude odieuse, effroyable v.2110 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- (Vice le plus honteux dont un roi soit capable) v.2111 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Soit l'injuste salaire et du zèle et des soins v.2112 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Dont vos yeux et les miens ont été les témoins ? v.2113 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Pouvez-vous m'inspirer un sentiment si lâche ? v.2114 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Seigneur, à vous servir appliqué sans relâche, v.2115 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- J'aurais cru faire un crime à vous dissimuler v.2116 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Ce que votre intérêt me défend de celer. v.2117 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- J'ai dû, comme sujet et fidèle et sincère, v.2118 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Vous avertir qu'Ésope, avec son air austère, v.2119 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Qui semble être ennemi de l'argent et de l'or, v.2120 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- A dans une cassette, en secret, un trésor. v.2121 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- J'ignore le détail de ses supercheries, v.2122 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Quel argent il possède, ou quelles pierreries ; v.2123 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Mais, à parler sans haine et sans prévention, v.2124 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Je crois dans sa cassette au moins un million. v.2125 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Un million ! Seigneur, il supprime le reste : v.2126 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Dans la place d'Ésope on n'est point si modeste. v.2127 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Quand on peut ce qu'on veut, on étend loin ses droits. v.2128 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- C'est peu d'un million, il en a plus de trois : v.2129 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- L'ambition, seigneur, n'a guère de limites. v.2130 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Pensez bien, l'un et l'autre, à ce que vous me dites. v.2131 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Ésope criminel, quels que soient ses remords, v.2132 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Je vous donne à tous deux ce qu'il a de trésors ; v.2133 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Mais Ésope innocent, par la même justice, v.2134 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Je lui fais de vos biens un égal sacrifice. v.2135 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- La récompense est sûre, ou la punition. v.2136 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- J'accepte avec plaisir cette condition. v.2137 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Je m'y soumets aussi, seigneur, et, par avance, v.2138 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Je soutiens... v.2139 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Vous direz le reste en sa présence. v.2139 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Pour le rendre suspect, en vain l'on me prévient : v.2140 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Je l'ai fait avertir, et je le vois qui vient. v.2141 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Il faut que cette intrigue ici se développe. v.2142 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Laissez-moi lui parler ; je vous l'ordonne. v.2143 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- On t'accuse en ce lieu de me manquer de foi. v.2144 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Je t'en veux croire seul. Me trompes-tu, dis ? v.2145 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Seigneur ? De votre part ce soupçon m'est sensible ! v.2146 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Je ne vous ai point dit que je fusse infaillible. v.2147 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Peut-être, avec ardeur prenant vos intérêts, v.2148 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Mais d'aucune action je ne me sens capable v.2150 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Qui me puisse envers vous rendre un moment coupable. v.2151 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et si je te convaincs, quand je me fie à toi, v.2152 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- De me faire un secret contre la bonne foi, v.2153 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Seigneur, ce discours m'inquiète. v.2154 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et dans une cassette, v.2155 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Qui dans ton cabinet conduit souvent tes pas, v.2156 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- N'as-tu rien de caché que je ne sache pas ? v.2157 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Eh ! Bons dieux ! Se peut-il que pour si peu de chose v.2158 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Vous ayez du chagrin et que j'en sois la cause ? v.2159 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Seigneur, daignez m'en dispenser. v.2160 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- J'ai mes raisons. v.2161 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Qu'entends-je ? Et que puis-je penser ? v.2161 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Quelles raisons as-tu que tu n'oses me dire ? v.2162 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Eh ! N'est-ce pas, seigneur, assez vous en instruire ? v.2163 (Acte 5, scène 2, TIRRÈNE)
- Que voulez-vous de plus ? Interdit et contraint, v.2164 (Acte 5, scène 2, TIRR?NE)
- Le refus qu'il vous fait montre assez ce qu'il craint. v.2165 (Acte 5, scène 2, TIRR?NE)
- Seigneur, de la parole il a perdu l'usage : v.2166 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Vous faut-il de son crime un plus grand témoignage ? v.2167 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- S'il était innocent, pour sortir d'embarras, v.2168 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Une fable à propos ne lui manquerait pas ; v.2169 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Mais de sa trahison la preuve est si facile, v.2170 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Qu'un si faible secours lui paraît inutile. v.2171 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- On t'accuse, on t'insulte, et tu ne réponds rien ? v.2172 (Acte 5, scène 2, CRESUS)
- Que dirais-je, seigneur, que vous ne sachiez bien ? v.2173 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Quel que soit l'embarras où leur haine me jette : v.2174 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Elle est de mon silence un mauvais interprète : v.2175 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- L'innocence est timide et non la trahison. v.2176 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Si je ne réponds pas, en voici la raison. v.2177 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- D'où vient, dit un jour la trompette, v.2178 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Qu'il ne m'échappe rien qu'Écho ne le répète ? v.2179 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et que, pendant l'été, quand il tonne bien fort, v.2180 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Loin de vouloir répondre, il semble qu'elle dort ? v.2181 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Le bruit est bien plus grand quand le tonnerre gronde v.2182 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Que lorsqu'en badinant je m'amuse à sonner. v.2183 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Écho, de sa grotte profonde, v.2184 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- L'entendant ainsi raisonner : v.2185 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- À tort mon silence t'étonne. v.2186 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Je n'hésite jamais à répondre à tes sons, v.2187 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Mais j'ai, dit-elle, mes raisons v.2188 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Pour ne répondre pas lorsque Jupiter tonne. v.2189 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Aux suprêmes divinités v.2190 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Jamais nos respects ne déplaisent ; v.2191 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et quand les grands sont irrités, v.2192 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Il faut que les petits se taisent. v.2193 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Parle : je ne suis point irrité contre toi, v.2194 (Acte 5, scène 3, CRESUS)
- Tu n'as aucun ami qui le soit plus que moi. v.2195 (Acte 5, scène 3, CRESUS)
- Ta vertu soupçonnée est tout ce qui m'irrite. v.2196 (Acte 5, scène 3, CRESUS)
- En disant une fable il croit en être quitte. v.2197 (Acte 5, scène 3, TIRRÈNE)
- C'est ainsi que du peuple obsédant les esprits, v.2198 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Par sa fausse morale il en a tant surpris. v.2199 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Pendant qu'à vos sujets il débite des fables, v.2200 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Il acquiert sourdement des trésors véritables. v.2201 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Combien dans sa cassette en va-t-on découvrir ! v.2202 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Eh bien ! Seigneur, eh bien ! Il la faut faire ouvrir. v.2203 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- À couvert des efforts de la plus noire envie, v.2205 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- J'avoue ingénument qu'il m'eût été bien doux v.2206 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Que jamais ce secret n'eût été jusqu'à vous. v.2207 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Seigneur, s'il y va seul, il en va tout distraire, v.2209 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Détourner les moyens de sa conviction, v.2210 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Et, peut-être, en bijoux sauver un million : v.2211 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Il peut en un moment faire tout disparaître. v.2212 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Pour ne rien détourner je veux bien n'y pas être. v.2213 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- En garde contre vous, comme vous contre moi, v.2214 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Tout ce que je demande est que ce soit le roi v.2215 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- (Lui qui de l'équité fait son plaisir suprême) v.2216 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Heureusement, seigneur, j'en ai les clefs ici. v.2218 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- La clef du cabinet est celle que voici ; v.2219 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- L'autre, qu'aucun mortel n'aurait qu'avec ma vie, v.2220 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Est celle du trésor dont on a tant d'envie. v.2221 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Je les mets avec joie entre vos mains. v.2222 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Observez bien mon ordre, et ne touchez que là. v.2223 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Je vous attends. v.2224 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Seigneur, souvenez-vous du pacte : v.2224 (Acte 5, scène 4, TIRRÈNE)
- La parole des rois jamais ne se rétracte. v.2225 (Acte 5, scène 4, TIRR?NE)
- Quand il en sera temps, je m'en souviendrai bien. v.2226 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Ésope criminel, c'est à vous tout son bien. v.2227 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Et, pour être aussi juste envers l'un qu'envers l'autre, v.2228 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Vous calomniateurs, c'est à lui tout le vôtre... v.2229 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Tu dois, s'ils m'ont dit vrai, par tes exactions, v.2230 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Avoir en ta puissance, au moins trois millions. v.2231 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Ne me déguise point ce que je puis connaître. v.2232 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Moi riche ? Eh ! Demandé-je à l'être ? v.2233 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Loin que le bien, seigneur, me cause aucun souci, v.2234 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- N'ayant besoin de rien, je ne veux rien aussi. v.2235 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Si vous me retirez la main qui me protège, v.2236 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Tel que je suis venu, tel m'en retournerai-je ; v.2237 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Et je verrai l'éclat dont sous vous j'ai brillé, v.2238 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Comme on voit un beau songe après être éveillé. v.2239 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Soyez content de moi, je le suis du salaire. v.2240 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Vous allez sur le champ découvrir le contraire ; v.2241 (Acte 5, scène 4, TRASIBULE)
- Et ce que par votre ordre on apporte en ces lieux v.2242 (Acte 5, scène 4, TRASIBULE)
- Seigneur. v.2244 (Acte 5, scène 4, TRASIBULE)
- C'est ton trésor, Ésope ; avant qu'on l'ouvre, v.2244 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Et que ce qu'il renferme à mes yeux se découvre, v.2245 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Fais-m'en, je t'en conjure, un sincère détail. v.2246 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- C'est le prix de tes soins, le fruit de ton travail : v.2247 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Cette épreuve t'est rude et me fait violence. v.2248 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Cette épreuve à l'envie imposera silence ; v.2249 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et je ne puis, seigneur, en être mieux vengé v.2250 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Qu'en la rendant témoin de tout le bien que j'ai. v.2251 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Qu'attendez-vous, seigneur, à nous tenir parole ? v.2253 (Acte 5, scène 5, TIRRÈNE)
- De sa fausse fierté faites-le repentir. v.2254 (Acte 5, scène 5, TIRR?NE)
- Eh bien ! Puisqu'on m'y force, il y faut consentir. v.2255 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Ouvrons... ciel ! Quel spectacle est-ce ici que l'on m'offre ? v.2256 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Seigneur ! v.2257 (Acte 5, scène 5, GARDE)
- Voyez ce qu'enferme ce coffre. v.2257 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Est-ce là le trésor qu'on m'oblige à chercher ? v.2258 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Oui, seigneur ; vous voyez ce que j'ai de plus cher, v.2259 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- C'est l'habit que j'avais quand par un sort propice, v.2260 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Il vous plut me choisir pour me rendre service. v.2261 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Habit vil, mais qu'on porte avec tranquillité, v.2262 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Qu'inventa la pudeur, et non la vanité, v.2263 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Qui jamais contre moi n'eût soulevé l'envie, v.2264 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Si je l'eusse porté pendant toute ma vie, v.2265 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et que je redemande à votre majesté, v.2266 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Avec plus de plaisir que je ne l'ai quitté. v.2267 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Comme je n'ai rien fait pour m'attirer la haine v.2268 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Dont voulaient m'accabler Trasibule et Tirrène, v.2269 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- C'est de mon crédit seul dont ils sont mécontents, v.2270 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et tous deux ne font rien qu'on n'ait fait de tout temps. v.2271 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Quelque soin qu'il se donne, et quelque bien qu'il fasse, v.2272 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Quel ministre est aimé pendant qu'il est en place ? v.2273 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et quand de sa carrière il a fini le cours, v.2274 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Ceux qui le haïssaient le regrettent toujours. v.2275 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- D'un si dangereux poste approuvez ma retraite : v.2276 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je connais, mais trop tard, la faute que j'ai faite. v.2277 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Que ferais-je à la cour, moi qui ne suis, seigneur, v.2278 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Hypocrite, jaloux, médisant, ni flatteur ? v.2279 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Pour ta retraite, non ; tu m'es trop nécessaire. v.2280 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Mais pourquoi cet habit, et qu'en voulais-tu faire ? v.2281 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- L'orgueil suit de si près un extrême pouvoir, v.2283 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Que souvent dans la place où j'avais l'honneur d'être v.2284 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- De ma faible raison je n'étais point le maître. v.2285 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Souvent l'éclat flatteur de ce rang fortuné, v.2286 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- M'élevant au-dessus de ce que je suis né, v.2287 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Pour être toujours prêt à rentrer en moi-même, v.2288 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je gardais ce témoin de ma misère extrême ; v.2289 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et quand l'orgueil sur moi prenait trop de crédit, v.2290 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je redevenais humble, en voyant mon habit. v.2291 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Voilà tout mon trésor. Quelque peu qu'il me coûte, v.2292 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je ne m'en dédis point, c'est un trésor, sans doute, v.2293 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Puisque, lorsqu'on travaille à me sacrifier, v.2294 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Il vient à mon secours pour me justifier. v.2295 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Si contre mon devoir c'est tout ce qu'on oppose, v.2296 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Combien de gens, seigneur, s'ils faisaient même chose, v.2297 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Sachant ce qu'ils étaient, et voyant ce qu'ils sont, v.2298 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Auraient à votre cour moins d'orgueil qu'ils n'en ont ! v.2299 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Eh bien ! Mes vrais amis, que ce succès désole, v.2300 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Vous ne me pressez plus de vous tenir parole ? v.2301 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je vous pardonnerais un effort plus puissant v.2302 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Pour me faire trouver un coupable innocent ; v.2303 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Mais de vous pardonner je me sens incapable, v.2304 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Lorsque d'un innocent vous faites un coupable. v.2305 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Pour agir sans aigreur je suis trop irrité ; v.2306 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Ésope plus tranquille aura plus d'équité. v.2307 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Sûr qu'il est toujours juste en tout ce qu'il ordonne, v.2308 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- À son ressentiment le mien vous abandonne : v.2309 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Il ne peut, quoi qu'il fasse, après vos duretés, v.2310 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Vous causer tant de maux que vous en méritez. v.2311 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Que sans l'aveu d'Ésope aucun n'entre ou ne sorte ; v.2313 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et que son ordre ici puisse autant que le mien. v.2314 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- À votre tour, messieurs, vous ne dites plus rien ? v.2315 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Tantôt vous souteniez, pour me tirer d'affaire, v.2316 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Qu'une fable, à propos, eût été nécessaire ; v.2317 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Je vous ai cru. Voyons, pour vous mettre en repos, v.2318 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Eh ! Que vous faisons-nous en cherchant à vous nuire ? v.2321 (Acte 5, scène 6, TIRRÈNE)
- Plus tous vos ennemis attaquent vos vertus, v.2322 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- Malgré tout le chagrin dont votre âme est saisie, v.2324 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- Vous êtes redevable à notre jalousie : v.2325 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- Aucun de vos amis, le fût-il à l'excès, v.2326 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- N'a travaillé pour vous avec tant de succès. v.2327 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- Quel honneur plus parfait voulez-vous qu'on vous fasse ? v.2328 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- Il est vrai, j'oubliais à vous en rendre grâce : v.2329 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Je dois être content de vos bontés pour moi. v.2330 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Est-ce un crime à punir que de servir son roi ? v.2331 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Ayant su qu'un trésor, que l'on disait immense, v.2332 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Pouvait de ce monarque affaiblir la puissance, v.2333 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Pour ne le pas trahir, nous avons cru devoir, v.2334 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- En fidèles sujets, le lui faire savoir. v.2335 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Par bonheur pour l'État, ce sont des impostures : v.2336 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Au milieu des trésors vous avez les mains pures. v.2337 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Puisse un si digne exemple un jour être, à l'envi, v.2338 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Par tous vos successeurs exactement suivi ! v.2339 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Voilà le plus grand mal dont vous puissiez vous plaindre ; v.2340 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Celui qui nous menace est beaucoup plus à craindre : v.2341 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Par une loi sévère entre Crésus et nous, v.2342 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Nous ne possédons rien qui ne doive être à vous ; v.2343 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Mais c'est un faible appât pour une âme si haute. v.2344 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Si mon mal n'est pas grand, ce n'est pas votre faute. v.2345 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- De votre intention pleinement éclairci, v.2346 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- La mienne est d'imiter l'exemple que voici : v.2347 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Par un homme en courroux la puce un jour surprise, v.2348 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Touchant pour ainsi dire, à son moment fatal, v.2349 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Lui demanda sa grâce, et d'une voix soumise : v.2350 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- " Je ne vous ai pas fait, dit-elle, un fort grand mal. " v.2351 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Ta morsure, il est vrai, me semble un faible outrage, v.2352 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Dit l'homme ; cependant n'espère aucun pardon. v.2353 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Tu m'as fait peu de mal ; mais j'en sais la raison : v.2354 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- C'est que tu ne pouvais m'en faire davantage. v.2355 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Si j'eusse été coupable et que j'eusse eu du bien, v.2356 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Est-il un mal plus grand que l'eût été le mien ? v.2357 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Je dois à votre insulte une peine aussi grande ; v.2358 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Et mon honneur... v.2359 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Rhodope est là qui vous demande : v.2359 (Acte 5, scène 6, GARDE)
- Nous n'avons, sans votre ordre, osé la faire entrer. v.2360 (Acte 5, scène 6, GARDE)
- J'ignore quel sujet peut ici l'attirer... v.2361 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Qu'elle entre. v.2362 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Elle a pour nous une haine mortelle. v.2362 (Acte 5, scène 6, TIRRÈNE)
- Ma mère attend votre ordre, et je l'attends comme elle. v.2363 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Vous l'avez conviée à souper avec vous : il est tard. v.2364 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Ce plaisir m'aurait été bien doux ; v.2365 (Acte 5, scène 7, ESOPE)
- Mais qu'à la cour, Rhodope, on est près du naufrage ! v.2366 (Acte 5, scène 7, ESOPE)
- Trasibule et Tirrène, à qui je fais ombrage, v.2367 (Acte 5, scène 7, ESOPE)
- Ont voulu m'accabler de leurs injustes coups. v.2368 (Acte 5, scène 7, ESOPE)
- Si je veux me venger, je le puis. v.2369 (Acte 5, scène 7, ESOPE)
- Vengez-vous. v.2369 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Tous deux dans leur patrie, et nous loin de la nôtre, v.2370 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Ma faveur les irrite aussi bien que la vôtre. v.2371 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Que leur haine pour nous rejaillisse sur eux : v.2372 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Une faute impunie en fait commettre deux. v.2373 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- D'un ruisseau qui peut nuire interrompez la course ; v.2374 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Et pour faire encor mieux, tarissez-en la source. v.2375 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Vous avez le pouvoir ; décidez, ordonnez. v.2376 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Eh bien ! Ésope, à quoi les as-tu condamnés ? v.2377 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Dans mes premiers transports me trouvant trop à craindre, v.2378 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Je me suis retiré pour ne pas te contraindre. v.2379 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- As-tu vengé sur eux ton honneur offensé ? v.2380 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Je n'ai, seigneur, encor rien prononcé. v.2381 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Peut-être que mon coeur, pénétré de l'offense, v.2382 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Sous le nom de justice userait de vengeance ; v.2383 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et que de ma rigueur, bien loin de me louer, v.2384 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Vous n'hésiteriez pas à me désavouer. v.2385 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et qui prends à ton sort plus de part que toi-même ? v.2387 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Je suis en ta faveur prêt à souscrire à tout. v.2388 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Ils n'ont rien épargné pour me pousser à bout. v.2389 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Permettez qu'à mon tour, seigneur, je les y pousse : v.2390 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Un outrage est sensible, et la vengeance est douce. v.2391 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- La tienne est toute juste, ou l'on n'en vit jamais. v.2392 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Venge-toi, tu le peux, tu le dois ; je l'ordonne. v.2394 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Puisque je puis user du pouvoir qu'on me donne, v.2395 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Je les condamne donc, dussé-je être trahi, v.2396 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- À tâcher de m'aimer autant qu'ils m'ont haï. v.2397 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- À l'égard de leur bien, loin d'y vouloir prétendre, v.2398 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Je les condamne aussi, seigneur, à le reprendre : v.2399 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Si votre ordre contre eux avait tout son effet, v.2400 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Leurs enfants souffriraient d'un mal qu'ils n'ont pas fait. v.2401 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Enfin, je les condamne à n'avoir de leur vie v.2402 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- De l'emploi que j'occupe une imprudente envie. v.2403 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Un ministre honnête homme, et qui fait son devoir, v.2404 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Est lui-même accablé sous un si grand pouvoir. v.2405 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Quoiqu'avant le soleil tous les jours il se lève, v.2406 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Jusqu'à ce qu'il se couche il n'a ni paix, ni trêve ; v.2407 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et durant la nuit même, attentif à prévoir, v.2408 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Le repos de l'État l'empêche d'en avoir. v.2409 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Du plus faible parti souffrez que je me range, v.2410 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et que ce soit ainsi, seigneur, que je me venge. v.2411 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Ils avaient de la joie à causer mon malheur, v.2412 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et j'aurais du chagrin si je causais le leur. v.2413 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Non, je prétends, au moins, que leurs biens t'appartiennent. v.2414 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Que voulez-vous, seigneur, que sans biens ils deviennent ? v.2415 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Être de qualité, sans du bien, c'est un sort, v.2416 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Pour peu qu'on ait de coeur, plus cruel que la mort. v.2417 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Il suffit qu'à vos yeux je ne sois point coupable : v.2418 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- La vengeance facile est honteuse et blâmable. v.2419 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- C'est un honneur pour moi préférable à leur bien, v.2420 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- De pouvoir me venger et de n'en faire rien. v.2421 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Tandis que la balance est encor suspendue, v.2422 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Donnez à vos bontés toute leur étendue. v.2423 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Les rois, comme les dieux, sont faits pour pardonner. v.2424 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Ah ! C'en est trop, seigneur ; quoi qu'on puisse ordonner, v.2425 (Acte 5, scène 8, TIRRÈNE)
- Quelque punition qui suive notre crime, v.2426 (Acte 5, scène 8, TIRR?NE)
- De la bonté d'Ésope étonnés et confus, v.2428 (Acte 5, scène 8, TIRR?NE)
- Nous ne pouvons tenir contre tant de vertus. v.2429 (Acte 5, scène 8, TIRR?NE)
- Oui, Seigneur, de son bien avides l'un et l'autre, v.2430 (Acte 5, scène 8, TRASIBULE)
- C'est à lui justement qu'appartient tout le nôtre. v.2431 (Acte 5, scène 8, TRASIBULE)
- Vous avez fait la loi, nous y sommes soumis. v.2432 (Acte 5, scène 8, TRASIBULE)
- Non, laissez-moi, seigneur, acquérir deux amis. v.2433 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Si jamais mon service eut le bien de vous plaire, v.2434 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Accordez-moi, seigneur, leur grâce pour salaire : v.2435 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- C'est une récompense un peu forte pour moi ; v.2436 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Mais un roi doit toujours récompenser en roi. v.2437 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Par leur confusion, leurs remords, leurs alarmes, v.2438 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Leur crime n'est-il pas expié ? v.2439 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- À remplir tes désirs je n'ai tant hésité v.2440 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Que pour voir jusqu'au bout ta générosité... v.2441 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Trasibule, Tirrène, Ésope vous pardonne, v.2442 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Et j'aime à profiter des exemples qu'il donne. v.2443 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Quel sujet fut jamais plus utile à son roi ?... v.2444 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Mais de tous ses conseils le plus charmant pour moi, v.2445 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Madame, c'est celui que son zèle me donne v.2446 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- De vous sacrifier Argie et sa couronne, v.2447 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Plus heureux d'être esclave en de si beaux liens v.2448 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Que de me voir un jour maître des phrygiens. v.2449 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Quelle faveur pour moi qu'un pareil sacrifice ! v.2450 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- D'Ésope, à qui je dois cet important service, v.2451 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- Faites que la fortune arrive au plus haut point. v.2452 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- Eh ! Quel bien puis-je faire à qui n'en cherche point ? v.2453 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Je ne sais qu'un plaisir que je lui puisse faire : v.2454 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Et je veux que demain, au même autel que nous... v.2456 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Nous avons, elle et moi, trop de respect pour vous, v.2457 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et le ciel entre nous, seigneur, met trop d'espace v.2458 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Pour oser accepter une pareille grâce. v.2459 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Ce serait un orgueil inexcusable à moi v.2460 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- De joindre mon hymen à celui de mon roi : v.2461 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Quelques mois de délai, loin de fâcher Rhodope... v.2462 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Seigneur, le peuple ému demande à voir Ésope. v.2463 (Acte 5, scène 9, ATIS)
- On répand dans Sardis des bruits confus et sourds v.2464 (Acte 5, scène 9, ATIS)
- Que, pour sa récompense, on attente à ses jours. v.2465 (Acte 5, scène 9, ATIS)
- À ce peuple agité viens te faire paraître. v.2466 (Acte 5, scène 9, CRESUS)
- Du jour de ton hymen je te laisse le maître ; v.2467 (Acte 5, scène 9, CRESUS)
- Mais pour moi c'est un terme assez long que demain. v.2468 (Acte 5, scène 9, CRESUS)
- Unissez bien vos coeurs, en vous donnant la main. v.2469 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
- Puissiez-vous tout un siècle, oubliés par les Parques v.2470 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
- De la faveur des dieux sans cesse avoir des marques ! v.2471 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
- Et puissent vos enfants, aimés et craints de tous, v.2472 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
- Voir un jour naître d'eux d'aussi grands rois que vous. v.2473 (Acte 5, scène 9, ESOPE)
LA SATIRE DES SATIRES (1669)
- Allez-moi de ce pas chercher la Waltoline, v.1 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Et revenez. v.2 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- D'où vient que vous êtes chagrine ? v.2 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Juste-Dieu ! Qui ne le serait pas ? v.3 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- A-t-on rien dit de bon pendant tout le repas ? v.4 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Sans façon, suivez-moi, si vous me voulez suivre : v.5 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Mais je ne puis rester là-dedans ; je suis ivre. v.6 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Pour peu qu'on ait de sens, se figure-t-on rien v.7 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qui soit plus fatiguant qu'un si sot entretien ? v.8 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Votre ami le Marquis dont la langue estropie, v.9 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Est un original qui n'a point de copie : v.10 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il emporte le prix sur les plus éventés, v.11 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et ne dit que fadaise, et qu'inutilités. v.12 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Ce qu'il a d'assommant, quelque sot qu'il puisse être, v.13 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Aux ouvrages d'esprit il prétend se connaître ; v.14 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et n'en croyant jamais que son faible cerveau, v.15 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Mal avec la raison, il n'est point de rencontre v.17 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Où, sitôt qu'on en parle, il ne se ligue contre. v.18 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- J'ai de son entretien autrefois fait l'essai : v.19 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il est si plein de soi, qu'il en crève. v.20 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qu'il soit seul à manger, d'une mine adoucie, v.21 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il boit à sa santé, puis il se remercie ; v.22 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- À se complimenter passe le tiers d'un jour, v.23 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et croit qu'on s'aperçoit quand il manque à la Cour, v.24 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Mais tout fat qu'il puisse être, une Dame galante v.25 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Doit, quand elle régale, être plus complaisante. v.26 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Je n'ai jamais rien vu qui fut mieux ordonné v.27 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Que le pompeux repas que vous avez donné : v.28 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Lorsqu'à charmer nos sens votre esprit s'étudie, v.29 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et qu'au Bal qui s'apprête il joint la Comédie, v.30 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Faut-il qu'un étourdi, qui n'a point de raison, v.31 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Avec si peu d'esprit en alarme un si bon ? v.32 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Si vous le trouvez fat, riez-en. v.33 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Que j'en rie ? v.33 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Et morbleu ! (car enfin il m'a mise en furie, v.34 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et s'il faut librement vous en faire l'aveu. v.35 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Je ne puis en sortir, si je ne jure un peu. ) v.36 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Riez-en, dites-vous ? Faudrait-il me le dire ? v.37 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- N'en aurais-je pas ri, si j'en avais pu rire ? v.38 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- À plusieurs méchants mots, qu'il garantissait bons, v.39 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- J'ai fait semblant de rire, et j'enrageais au fonds. v.40 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Plein de son Despréaux, qu'en louant il déchire, v.41 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- (Car ce qui n'en vaut rien est ce qu'il en admire,) v.42 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il en parle sans cesse, et prétend fortement v.43 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Que l'Univers en corps soit de son sentiment. v.44 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- J'ai bien affaire, moi, pour se faire de fête, v.45 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Que de son Despréaux il me rompe la tête, v.46 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et qu'à brûle-pourpoint il m'attaque vingt fois v.47 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Pour piller mon suffrage, et corrompre ma voix. v.48 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Grâce au babil fécond d'un Marquis ridicule, v.49 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Si Monsieur Despréaux n'eût servi d'entretien, v.51 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Tant qu'a duré le jour, on n'eût parlé de rien : v.52 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- On l'a plus de cent fois conjuré de se taire, v.53 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Mais le traître qu'il est, n'en a rien voulu faire : v.54 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Despréaux qui l'entête, est si fort à son goût, v.55 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qu'il le mettait en oeuvre, et l'enchâssait partout. v.56 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Défaites-vous-en. Fi ! v.57 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Mais (et vous voulez bien que je vous parle ainsi) v.59 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il n'est pas le seul fat que vous souffriez ici. v.60 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Le Marquis, à mon sens, est plus sage qu'Eudoxe, v.61 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Parce que dans Alger son aïeul fait captif, v.63 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Pour la religion fut empalé tout vif : v.64 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Cependant chaque jour vous souffrez sa visite ; v.65 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et, si je m'y connais, c'est un mince mérite v.66 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Est-il rien de si fade, et de plus dégoûtant, v.67 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Que les mots qu'elle affecte, et qu'elle estime tant ? v.68 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- N'est-ce pas à dessein faire rire le monde, v.69 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Que toujours répéter que l'on couvre sa Blonde ; v.70 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Pour dire aux gens de Cour, en des termes nouveaux, v.71 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- "Usez-en librement, et mettez vos chapeaux". v.72 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et puis-je honnêtement m'en débarrasser ? Dites : v.73 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Puis-je sans l'offenser, refuser ses visites ? v.74 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et de la qualité dont vous savez qu'elle est, v.75 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Lui dirai-je tout franc que son air me déplaît ? v.76 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Par la même raison, sur la moindre matière, v.77 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Voulez-vous qu'au Marquis j'aille rompre en visière ? v.78 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et du rang dont il est, (car dans tout cet état v.79 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- On trouverait à peine un plus illustre fat,) v.80 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Son père qui descend d'un échappé de Prince, v.81 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Met dans ses qualités, Gouverneur de Province, v.82 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Comte, Baron, Vidame, Écuyer, Sénéchal, v.84 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- À Paris Pair de France, à Madrid Grand d'Espagne, v.85 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Trésorier d'Angleterre, Électeur d'Allemagne ; v.86 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il fait encor au bout mettre un et cetera, v.88 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Après vingt qualités d'une telle importance, v.89 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Comme font la plupart des grands Seigneurs de France. v.90 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- À des gens de sa sorte ira-t-on dire au nez, v.91 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Qu'en théâtre public leurs pareils sont bernés ? v.92 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Sûr qu'à vos sentiments c'est à tort qu'il s'oppose, v.93 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Le Marquis est un fou, mais je n'en suis pas cause ; v.94 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et je suis étonné qu'avec tant de clartés, v.95 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Vous vouliez me charger de ses iniquités. v.96 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Vous l'avez amené. v.97 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Accordés aujourd'hui, pour être unis ensemble, v.98 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- L'honneur dont vos bontés récompensent mes soins, v.99 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Me paraît assez grand pour avoir des témoins. v.100 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- D'ailleurs, vous faire voir en l'état où vous êtes, v.101 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- À ce qui m'a charmé c'est mener des conquêtes ; v.102 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Rien n'échappe à vos yeux, et je ne voulais pas v.103 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Faire tort d'un hommage à vos charmants appas. v.104 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Vous voulez m'adoucir, mais enfin je m'obstine. v.105 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- À la fin, grâce au Ciel, voici la Waltoline. v.106 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Mon_Dieu, comme il est fait ! Il s'est battu ! v.107 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- Un Laquais par deux fois dit que j'avre menti : v.108 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Par mon foi, moi d'abord que lui tourne son tête, v.109 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Je tiens mon Halibarde en mon main toute prête, v.110 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Et quand il ne voit rien, pardi tout à l'instant v.111 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- J'en donne un coup bien fort dessus son dos qu'il tend. v.112 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Mais le Laquais, mon foi, qui n'est guère pagnote, v.113 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Me prend mon Halibarde, et pardi m'en tapote ; v.114 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- De son main qu'il fait poing, me casse tous les dents. v.115 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Mon foi, le maison s'ouvre, et j'ai sorti dedans : v.116 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- J'aime encore plus que mieux qu'il déchire mon manche. v.117 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Voudrais bien maintenant un petite fil blanche v.118 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Et faquin, faut-il se battre ? v.119 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Voulez-vous que j'endure un menti tout de go ? v.120 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Non par mon foi ! v.121 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Viens ça ; tu sais lire, je pense ? v.121 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Point, pardi ! v.122 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Point ! v.122 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Ah, ah ! j'avre la souvenance v.122 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Que si fait. Oui pardi. Foi de Suisse d'honneur. v.123 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Mon foi, savre lire par coeur, v.124 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Et fort pien. v.125 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Viens-ça donc. La noblesse ambiguë v.125 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Qui traîne le désordre, et qui fait la cohue, v.126 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- Me fatigue, m'assomme, et tout en sera plein, v.127 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- À moins que de bonne heure on n'y tienne la main : v.128 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- C'est pourquoi, songes-y, je prétends qu'aucun n'entre, v.129 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- Hormis ceux dont les noms sont là-dessus. v.130 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- Oh, diantre ! v.130 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Si quelqu'un vient : Qui tape ? Ami. Dis votre nom ? v.131 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Moi, je veux pas le dire ; et moi, j'ouvre point. v.132 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Bon, v.132 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Retourne, et souviens-toi de ce que je t'ordonne. v.133 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- Oh pardi ! J'avre moi la souvenance bonne : v.134 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- S'il ne cline son nom, personne entre aujourd'hui. v.135 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Dis-moi vous ; l'écriture est-ce pas le noir ? v.136 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Grand-merci. v.137 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Me revoilà chagrine ; v.137 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- L'étourdi de Marquis, dont la langue assassine, v.138 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- A dessein de nous joindre, et je crains son caquet. v.139 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Ma foi, je vous prends sur le fait ; v.140 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Vous voilà l'un et l'autre à ma miséricorde : v.141 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Comment Diable ? À l'écart dès le jour qu'on s'accorde ? v.142 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- À vous dire le vrai, si je m'y connais bien, v.143 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Deux amants comme vous, ne sont pas là pour rien : v.144 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Pour fausser compagnie, il faut avoir affaire, v.145 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Dieu me damne ! v.146 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- L'Amour, n'est jamais sans mystère, v.146 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Dites-moi, dansera-t-on bientôt ? v.147 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Je m'en suis autrefois démêle comme il faut. v.148 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Dolivet, et Beauchamp, m'en faisaient la grimace. v.149 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Les gens faits comme vous ont partout bonne grâce. v.150 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Assurément. v.151 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- La danse est votre vrai talent ; v.151 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Vous avez le corps souple, et de plus l'air galant. v.152 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Pour souple, il est certain que je n'ai pas les gouttes ; v.153 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- À quelle danse excellez-vous ? v.154 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Vous dansez les Menuets ? v.155 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Mais à propos de danse, as-tu su des paroles v.157 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Que je fis l'autre jour, et qui sont assez drôles ? v.158 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Sur quel air ? Sur l'air des Menuets. v.159 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Des vers de ta façon sont, je crois, bien mal faits. v.160 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Les auteurs de ta sorte effarouchent les Muses. v.161 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Dieu me damne, mon cher, pour le coup tu t'abuses. v.162 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Pour des vers cavaliers, qui toujours sont mauvais, v.163 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Je n'en ai jamais vu de plus joliment faits. v.164 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Qu'en dis-tu ? v.165 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- M'en croyais-tu capable ? v.165 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Non. v.166 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Tu vois bien par là que je suis véritable. v.166 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Les trois vers de la fin sentent l'homme de Cour. v.167 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- N'est-ce pas, Chevalier, que j'y mets le beau tour ? v.168 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Et que sans le secours des préceptes frivoles, v.169 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Je fais passablement de méchantes paroles ? v.170 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Dis donc ? v.171 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Passablement ? Sans te flatter en rien, v.171 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Tu fais de méchants vers admirablement bien. v.172 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Oh, parbleu ! Modérez la louange v.173 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Touchant votre repas, je vous rendrais le change : v.174 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- À vous congratuler je serais occupé ; v.175 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais je pense jamais n'avoir plus mal soupé, v.176 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- J'en enrage. v.177 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Je n'ai jamais rien vu qui fût plus magnifique. v.178 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- On a même trouvé bien des mets superflus ; v.179 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Y manquait. v.181 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Sait-on bien quels ragoûts tu souhaites ? v.181 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Non ; mais dans un repas n'avoir point d'alouettes, v.182 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- C'est pour moi, qui les aime, un supplice cruel ; v.183 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Prenez-vous-en à mon maître d'hôtel. v.184 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- C'est un manger de Prince ; elles font succulentes... v.185 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- C'est en cette saison qu'elles font excellentes, v.186 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Il a raison. v.187 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Comment ! C'est en cette saison ! v.187 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Oui ; car durant l'été l'on n'en mange point. v.188 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Bon ! v.188 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Veux-tu que je te prouve, et par raisons fort nettes, v.189 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Qu'au plus fort de l'été l'on voit des alouettes ? v.190 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- En l'air donc. v.191 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Comme il dit, en l'air donc ? v.191 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Point du tout. v.191 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Voyons comme il fera pour en venir à bout, v.192 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Et comme il prouvera par des raisons fort nettes, v.193 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Qu'au plus fort de l'été l'on ait des alouettes. v.194 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Il ne saurait. v.195 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Parbleu, nous allons voir cela. v.195 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- De grâce, brisons-là ; v.196 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Laissons-là Despréaux, et les vers qu'il compose ; v.197 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- On n'a tout aujourd'hui discouru d'autre chose. v.198 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Je suis lasse à la fin d'ouïr citer son nom. v.199 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Tout de bon ? v.200 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Ma foi, soyez-en lassé, ou non ; v.200 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Je prétends vous prouver, et par raisons fort nettes, v.201 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Qu'au plus fort de l'été l'on a des alouettes ; v.202 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Vous m'en avez, tous deux défié. v.203 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Ne peux-tu le prouver, sans citer ses écrits ? v.204 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Tu n'en as pas besoin pour ce que tu souhaites. v.205 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Et quel autre écrivain a parlé d'alouettes, v.206 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Dis, benêt ? v.207 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- C'est un mal qui le tient dont il faut le guérir, v.208 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Despréaux qui le charme, est dans sa fantaisie ; v.209 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Et j'en vais tant parler, que je l'en rassasie. v.210 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Je vous tiens, par ma foi. v.211 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- N'as-tu pas les écrits de Despréaux ? v.212 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Non. v.213 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Les voici. Je ris de ton extravagance. v.213 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Oui, je pense. v.214 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Fort bien. Te souviens-tu des mets qu'il fait venir ? v.215 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Confusément. v.216 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Je vais t'en faire souvenir. v.216 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- "Sur un amas confus de viandes entassées, v.217 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Régnait un long cordon d'Alouettes pressées." v.218 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mot pour mot. Que t'en semble ? Avais-je le goût bon ? v.219 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mange-t-on en été des alouettes ? v.220 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Non. v.221 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Comment ? C'est Despréaux qui dans une Satire... v.221 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- D'accord, mais c'est peut-être en hiver qu'il veut dire. v.222 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Bon ! Par ce faux-fuyant vous croyez m'échapper. v.223 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais parbleu ! Sans courir, je vais vous rattraper. v.224 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Dans le même repas, pour comble de disgrâce, v.225 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- "Par le chaud qu'il faisait l'on n'avait point de glace ; v.226 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Point de glace, bon Dieu ! Dans le fort de l'été !" v.227 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Ah mois de Juin ! Voyez, ai-je rien inventé ? v.228 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Voilà l'endroit, lisez. v.229 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Tant pis pour Despréaux, s'il met une sottise. v.230 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Qu'il fait ce repas, qu'il rétend s'en moquer ; v.232 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Que c'est un fat qui traite, et qu'on peut sans scrupule v.233 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Orner d'un méchant plat, un festin ridicule, v.234 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- À cela je répons pour te pousser à bout, v.235 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Qu'en Mai, Juin, et Juillet, on n'en voit point du tout ; v.236 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Que chez les rôtisseurs pas une âme n'en trouve ; v.237 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Que c'est en ce temps-là que l'alouette couve ; v.238 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- N'avait pas envoyé dénicher les petits. v.240 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Mon pauvre Chevalier, que ta réponse est sotte ! v.241 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Tu sais, quand je m'y mets, de quel air je te frotte : v.242 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Sur le raisonnement, je suis plus fort que toi. v.243 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Qu'est-ce ? La Waltoline, où rêvas-tu ? v.244 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- Mon foi, v.244 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Je vas apprendre à vous, qu'une personne il tape. v.245 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Qui se nomme ? v.246 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- Bour... Bour... son nom me chape, v.246 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Lui trois fois l'avre dit, mais je m'en dessouviens. v.247 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- As-tu bien consulté le papier que tu tiens ? v.248 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- Est-ce Acante, Licas, Oriane, Caliste, v.249 (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- Damon, Tirsis... v.250 (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- Mon foi, lui n'est point sur mon liste ; v.250 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Cartinement. v.251 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Hé bien, n'ouvre donc point. v.251 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- Lui voudrait vous, Madame, un peu voir un petit ! v.252 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- Ouvre donc. v.253 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- De quel endroit de France est Monsieur votre Suisse ? v.254 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Hé, mon_Dieu ! Point de subtilité, v.255 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- Parlons de Despréaux, vous l'avez souhaité ; v.256 (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- Que dès qu'on vous résiste, on vous jette par terre. v.258 (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- Défendez ce qu'il fait, je suis contre, et vous pour ; v.259 (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- Voyons. v.260 (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- C'est un peu tard venir faire ma Cour, v.260 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- Un siège. v.262 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- Songez-vous à notre épithalame ? v.262 (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
- L'hymen où j'aspirais, est conclu d'aujourd'hui : v.263 (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
- En vers ? v.265 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Monsieur en fait de fort beaux. v.265 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- On le nomme ? v.265 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Monsieur Boursault. v.266 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- Ah fi ! Ce n'est pas là mon homme. v.266 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Un pareil compliment lui doit sembler nouveau : v.267 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais des méchants auteurs, je suis parbleu, le fléau : v.268 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Je n'en puis souffrir un, s'il n'excelle. v.269 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Point, par ma foi. v.270 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Point ? v.270 (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
- Non. v.270 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais ton discours le choque. v.270 (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
- Moi ? Comment voulez-vous qu'il trouve mes vers beaux ? v.271 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- Monsieur est partisan de Monsieur Despréaux ; v.272 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- Je le connais. v.273 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- Ma foi, c'est un charmant génie. v.273 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- "Lorsque d'un froid rimeur il dépeint la manie, v.274 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Ses vers, comme un torrent, coulent sur le papier : v.275 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il rencontre à la fois Perrin, et Pelletier, v.276 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Bardou, Mauroy, Boursault." Au moins sans artifice, v.277 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Pour vous rendre service ; v.278 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- Pour moi, quand je lis Despréaux, v.279 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- Je trouve en des endroits quelques vers assez beaux ; v.280 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Mais ce qui me déplaît de sa veine féconde, v.281 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Elle est trop satirique, et nomme trop de monde. v.282 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- C'est pour un galant homme, un peu s'être oublié : v.283 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Plus son nom fait de bruit, plus il est décrié ; v.284 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- On court à ses écrits, mais chacun les achète, v.285 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Moins pour voir ce qu'il fait, que les gens qu'il maltraite. v.286 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Caressé d'un Libraire, à qui va le butin, v.287 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Aux dépens de sa gloire, il enrichit Barbin ; v.288 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Et sûr que sans nommer son génie est aride, v.289 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Pour un honneur frivole, il en quitte un solide, v.290 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Parbleu. Despréaux nomme ! Ô le plaisant scrupule ? v.294 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- C'est qu'il est franc. v.295 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Madame, avancez, s'il vous plaît ; v.295 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- J'ai pris la bonne route, et c'est ici qu'elle est ; v.296 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ne font-ils rien de plus ? Je sais comme on en use : v.298 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je m'en irais. v.299 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Entrez, nous vous en prions tous ; v.299 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Si vous n'avez dessein que l'on coure après vous. v.300 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Que prétendez-vous donc que nous fissions ? v.301 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Les Amants de sa sorte ont un grand privilège. v.302 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et puis, à le bien prendre, ayant trouvé son fait, v.303 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Quand on est accorde, n'est-ce pas quasi fait ? v.304 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- C'est en deux oui qu'on dit que tout l'Hymen consiste. v.305 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et parmi le grand nombre on n'est point formalise : v.306 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Dès qu'on est accordé, la pudeur prend l'essor. v.307 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Que je vous baise un peu, je vous en prie : encor, v.308 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et Monsieur l'accordé veut-il que je le baise ? v.309 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- S'il le veut ? De sa vie on ne l'a fait plus aise : v.310 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Bon Dieu ! qu'il s'en acquitte bien ! v.311 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je vous en congratule. v.312 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et moi, n'aurai-je rien ? v.312 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et Monsieur ; quel est-il ? v.313 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- C'est un auteur. v.314 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- D'accord, qui ne fait rien qui vaille. v.314 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'avoue ingénument que j'ai fort peu d'esprit, v.315 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Mais, si vous le savez, il faut qu'on vous l'ait dit. v.316 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Vous enragez, parbleu, de ce qu'on vous terrasse : v.317 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Par un voeu solennel je m'y suis engagé. v.319 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- En vérité, l'esprit vous est fort obligé. v.320 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- C'est être généreux autant qu'on le puisse être, v.321 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Que prendre son parti, sans même le connaître. v.322 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Des sièges donc, Laquais ; faut-il dire cela, v.323 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Hé, mon_Dieu, ne demeurons point là ; v.324 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ou du moins, car pour moi j'aime la comédie, v.325 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Avant qu'on la commence, ordonnez qu'on le die. v.326 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quels Comédiens sont-ce ? Est-ce pas Molière ? v.327 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ma foi j'en suis bien réjoui. v.328 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je ne l'ai jamais vu. v.329 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ni moi, certes. v.329 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- La France, v.329 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Allez voir de ce pas quand la pièce commence : v.330 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Vous viendrez nous chercher, si les acteurs sont prêts. v.331 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Évangélisez mieux votre petit laquais, v.332 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Savez-vous qu'elle et moi, nous venons d'avoir prise ? v.334 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je vous donne le droit sans rêver. Fais-je bien ? v.335 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Sur quoi roulait votre entretien ? v.336 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Qu'en dites-vous ? v.337 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Qu'en dis-je ? v.337 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Qu'il ravit tout le monde, et que c'est un prodige : v.338 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Quand je lis ce qu'il fait, j'ai l'esprit si content ! v.339 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Par ma foi, j'en disais tout autant ; v.340 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais, Madame, et Monsieur, deux fâcheuses personnes, v.341 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De cent sottes raisons ont combattu mes bonnes. v.342 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans leurs cruelles mains le bon sens est martyr. v.343 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour moi, je ne crois pas devoir te repartir : v.344 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il est vrai. Dieu me damne ! Elle approuve l'Astrate. v.346 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ah, mon_Dieu ! je l'ai vu ; v.347 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Que les vers en sont forts, et que tout m'en a plu ! v.348 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- J'en revins satisfaite autant qu'on le puisse être ; v.349 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Un ouvrage si beau, part de la main d'un maître ; v.350 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Bien des gens qu'il charma l'applaudirent tout haut. v.351 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- C'est Quinault. v.352 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Bon, Quinault ! v.353 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Oui, vraiment ; voudrait-il vous le dire ? v.353 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Quoi ! Le même Quinault que Despréaux déchire, v.354 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- L'Astrate, où l'on donne un anneau. v.355 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Il me parut charmant, j'en admirai le tendre ; v.357 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Mais si jamais j'y vais, j'en dirai pis que pendre : v.358 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il ne doit rien valoir ; car Despréaux le dit. v.359 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Tout beau, Quinault a de l'esprit. v.360 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Monsieur raille, ou Madame le flatte. v.361 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Parle mieux de l'Astrate, ou du moins n'en dis rien ; v.363 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ah ! Je m'en repens bien ; v.364 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- À tous les beaux endroits que l'acteur y rencontre, v.365 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je fis le brouhaha, mais je proteste contre. v.366 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- On doit me pardonner, si je le fis tout haut ; v.367 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ce fut innocemment que j'applaudis Quinault. v.368 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Si l'auteur par l'ouvrage avait pu se connaître, v.369 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je l'aurais trouvé laid, tout galant qu'il puisse être, v.370 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- En conscience. v.371 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et vous, depuis quand, et pourquoi, v.371 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Êtes-vous gendarmé contre l'Astrate ? v.372 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- J'aime assez depuis quand. v.373 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que dans sa nouveauté nous le vîmes ensemble : v.374 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Je ne sais depuis quand vous vous êtes dédit ; v.375 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et qu'en vous démembrant pour louer cet ouvrage v.377 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Comme font la plupart des Marquis de votre âge, v.378 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- De vos bras fatiguants vous donnâtes cent coups v.379 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- À ceux qui par malheur s'étaient mis près de vous ; v.380 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Vous trouvâtes la pièce admirablement belle. v.381 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Elle était belle aussi, quand elle était nouvelle ; v.382 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais elle ne l'est plus à présent. v.383 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ah ! Fort bien. v.383 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Pompée est déjà vieux, il ne vaut donc plus rien ? v.384 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Dans deux ans l'Alexandre et sa soeur l'Andromaque v.385 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ne seront donc plus beaux, si quelqu'un les attaque ? v.386 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le Cid, dont tout Paris admira la beauté, v.387 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- A donc perdu sa grâce avec sa nouveauté, v.388 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Oh ! Le Cid ! Quel Poème en approche ? v.389 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Y songez-vous ? v.390 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ma foi, ta comparaison cloche. v.390 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Le Cid est de Corneille, où Diable as-tu l'esprit ? v.391 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il ne vaudrait plus rien, si Despréaux l'eut dit ; v.392 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'en demeure d'accord : mais d'assez fraîche date, v.393 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il approuve le Cid, et : condamne l'Astrate. v.394 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Les ouvrages d'esprit cessent donc d'être beaux, v.395 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Dès qu'ils sont attaqués par Monsieur Despréaux ? v.396 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qui sais rendre justice, et qui crois m'y connaître. v.398 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Il ne faut pas avoir l'esprit fort délicat, v.399 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Pour nommer l'un fripon, appeler l'autre fat. v.400 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Insulter des auteurs, et rimer des injures ? v.402 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Quelle honteuse gloire, et quel plaisir brutal, v.403 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- De ne pouvoir bien faire, à moins de faire mal ? v.404 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- À quel homme d'honneur a-t-il vu sa manie ? v.405 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qui jamais à médire a borné son génie ? v.406 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Quand d'un si grand génie on a l'esprit doué, v.407 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Sur la même matière est-on toujours cloué ? v.408 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- À la Satire seule est-il beau qu'on s'amuse ? v.409 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Et n'en peut-on sortir, sans égarer sa Muse ? v.410 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Sorti d'assez bon lieu, c'est vouloir sans raison v.411 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Prostituer sa race, aussi bien que son nom : v.412 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Si par malheur pour eux, ses écrits sont durables, v.413 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Ce qu'il a de parents, en seront crus coupables : v.414 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Nos neveux après nous, ne distingueront pas v.415 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Et l'erreur populaire, ou la haine publique v.417 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Confondra l'honnête homme avec le satirique. v.418 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Si l'Astrate qu'il blâme, est un monstre à ses yeux, v.419 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Mais je pense, ma foi, qu'il ne l'ose entreprendre. v.421 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- S'il voulait s'en mêler, que d'auteurs s'iraient pendre ! v.422 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Corneille le premier, quoiqu'auteur assez bon ; v.423 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je crois, s'il ne fait rien, que c'en est la raison ; v.424 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il veut bien faire grâce au bonhomme Corneille ; v.426 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et lui laissant en paix achever tout son sort, v.427 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est ma pensée. v.429 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'homme d'honneur. v.429 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Si je n'allais songer de penser tout à l'heure v.430 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Pour un si grand service. v.433 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'où vient qu'il ne dit rien de cet auteur galant v.435 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Qui compose à la glace, et qui rime en tremblant ? v.436 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je ne le connais point ; quel auteur est-ce ? v.437 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Je le connais, la peste ! Il est bien agréable. v.438 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Bon, Boyer, vous le connaissez peu. v.439 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Boyer, quand il compose, est toujours tout en feu ; v.440 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Dans ses moindres discours on voit ce feu qui brille ; v.441 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et dans les vers qu'il fait, le salpêtre pétille. v.442 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Quand d'un crime parfois il exprime l'horreur, v.443 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- La fureur poétique est sa moindre fureur. v.444 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- S'il faut peindre Bellone au milieu du carnage, v.445 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Son Pégase bondit, et sa Muse fait rage ; v.446 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et dans ses vers pompeux étaler tout Boyer : v.448 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Mais s'il faut de vers doux embellir quelques scènes, v.449 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- On le saigne d'abord de trois ou quatre veines, v.450 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Pour faire évaporer par ces canaux ouverts, v.451 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- La grandeur du génie, et la force des vers. v.452 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Au contraire, v.453 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il serait mal aisé de pouvoir en mieux faire ; v.454 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il écrit nettement ; et pour dire encor plus, v.455 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ses vers ont de la pompe, et ne sont point confus ; v.456 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Car enfin, cher Marquis, et souvent on s'y trompe, v.457 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le galimatias est voisin de la pompe. v.458 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- La plupart des grands vers qu'on devrait supprimer, v.459 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ressemblent à ces gens que je n'ose nommer ; v.460 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À ces sots du bel air, dont l'esprit est sans force ; v.461 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Avec qui le bon sens est toujours en divorce, v.462 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qui de trois grands mots ornant leur entretien, v.463 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Parleront tout un jour, pour ne se dire rien. v.464 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Que ta comparaison est absurde ! v.465 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Revenons à l'auteur qui compose à la glace, v.466 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je vous en prie. v.467 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ah ; ah ! C'est sans doute... v.467 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Non, v.467 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ce ne l'est pas. v.468 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mon_Dieu, qu'ai-je fait de son nom ? v.468 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- C'est un auteur galant, mais qui ferait scrupule v.469 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- De se lever sans feu pendant la canicule. v.470 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Que Madame en parle comme il faut ! v.471 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Quelque chaleur qu'il fasse, il n'a jamais eu chaud : v.472 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Apollon et Gilbert sont toujours mal ensemble, v.473 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Quand tout le monde brûle, on le trouve qui tremble : v.474 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Un de ses bons amis que je vis hier au soir, v.475 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Me soutint par deux fois que l'étant allé voir, v.476 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il trouva son Laquais qui lui chauffait Dimanche v.477 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- L'épingle qu'il lui faut pour attacher sa manche. v.478 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Ce Galant v.479 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À pour se faire croire un mérite assez grand : v.480 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- J'ai l'honneur, tu le sais, de grossir ses conquêtes ; v.481 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Hé, morbleu, que les amants sont bêtes ! v.482 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour chauffer une épingle, en aurait bien plus chaud. v.484 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Nullement, mais à tort ton esprit se gendarme ; v.485 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Que cela soit ou non, la figure m'en charme : v.486 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quand parfois à Gilbert le froid livre un assaut, v.487 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Pour chauffer une épingle, il n'en a pas plus chaud, v.488 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- D'accord : mais notre ami, sans t'échauffer la soie. v.489 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le plaisant de l'affaire, est que Gilbert le croie : v.490 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qu'il ait prétendu se morfondre le bras, v.491 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- S'il osait s'en servir, et ne la chauffer pas. v.492 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le méchant raisonneur ! v.493 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il faut bien qu'il conteste : v.493 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Qui reprend Despréaux, peut médire du reste. v.494 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ma foi, je voudrais bien, pendant qu'il est ici, v.495 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'il censurât encore un endroit que voici, v.496 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais dans aucun siècle on n'a vu mieux écrire ; v.497 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et je le maintiens fou, s'il y trouve à redire. v.498 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est l'endroit de Cotin, l'as-tu vu ? v.499 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais Cotin, tu le sais, est en bien des endroits : v.500 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quand je lis quelquefois ses satires malignes, v.501 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je rencontre Cotin presqu'à toutes les lignes ; v.502 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et mes yeux voltigeants de Cotin en Cotin, v.503 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Sans m'en apercevoir, je me trouve à la fin, v.504 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Apprends-moi quel endroit tu veux dire. v.505 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est l'endroit, tu sais bien, où Despréaux l'ajuste ! v.506 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand "chacun, malgré soi, l'un sur l'autre porté v.507 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Faisait un tour à gauche, et mangeait de côté : v.508 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Juge si dans ce lieu Despréaux put si plaire, v.509 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lui qui ne compte rien, ni le vin, ni la chère, v.510 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Si l'on n'est plus au large assis dans un Festin, v.511 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'aux Sermons de... ou de l'Abbé Cotin". v.512 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que cet endroit me plaît. v.513 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il me plairait, je pense, v.513 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Si j'avais pour l'entendre assez d'intelligence. v.514 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Bien des gens comme vous en font assez de cas ; v.515 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Mais, j'ai l'esprit si lourd, que je ne l'entends pas. v.516 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Despréaux hait Cotin, et ce qui m'a surprise. v.517 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- On ne sait s'il le loue, ou s'il le satirise, v.518 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- N'est-il pas vrai ? v.519 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Sans doute, et vous avez bien dit, v.519 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- On ne sait s'il critique, ou bien s'il applaudit, v.520 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Je le soutiens. v.521 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Et moi, je soutiens le contraire. v.521 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Moi qui ne compte rien, ni le vin, ni la chère, v.522 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Si l'on n'est plus au large assis dans un festin, v.523 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'aux sermons de Cassaigne ou de l'Abbé Cotin". v.524 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il veut dire par là, j'en fais juge Madame, v.525 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'aux sermons de Cotin il n'y va pas une âme. v.526 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oh ! D'accord, en ce cas ; v.527 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il le veut dire, bon ; mais il ne le dit pas : v.528 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Au contraire, à l'entendre, on dirait qu'on s'y tu ; v.529 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Que la foule y fatigue, et que chacun y sue. v.530 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Vouloir plus être au large assis en ce lieu-ci, v.531 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'au Tartuffe qu'on joue on ne fut Vendredi, v.532 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ce n'est, je crois, pas dire, au rapport de Madame v.533 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'au Tartuffe qu'on joue il n'y va pas une âme. v.534 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est bien de même ? v.535 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oh ! Non ; cela n'y vient pas bien. v.535 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Comment voudrais-tu dire autrement ? Voyons. v.536 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tiens ; v.536 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Si j'avais son esprit, j'aurais mis, pour mieux faire ; v.537 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- "Moi qui ne compte rien ni le vin, ni la chère", v.538 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À moins d'être à mon aise "assis dans un Festin", v.539 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Comme... il aurait pu dire aux Sermons de "Cotin", v.540 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- S'il l'eût voulu ; mais là, sans faire l'habile homme, v.541 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- En la place de "plus", il fallait mettre "comme" ; v.542 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Sans contredit. v.543 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- En tout cas rien n'y manque, excepté le bon sens. v.544 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et si, je pense qu'il se moque ; v.545 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il n'y manque autre chose, et cet endroit le choque ! v.546 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Du bon sens, plus_ou_moins, n'y fait rien. v.547 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- C'est bien dit. v.547 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Laissez-moi lui citer un endroit plein d'esprit, v.548 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- C'est au discours au Roi. Rien n'est plus agréable ; v.549 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je n'en lis pas un vers qui ne soit impayable. v.550 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- L'endroit que je veux dire, est un endroit nouveau, v.551 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Si galamment tourné... v.552 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il m'enlève. v.553 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Avouez que c'est un coup de maître. v.553 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il ne me souvient pas quel endroit ce peut être. v.554 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais à mon gré, Madame, il est beau ! Ris, mon cher. v.555 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qui Diable, en t'écoutant, pourrait s'en empêcher ? v.556 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quand on loue un endroit qu'on nomme un coup de maître, v.557 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- On doit dire du moins quel endroit ce peut être : v.558 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Cet endroit si galant que tu dis qui te plaît v.559 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Peux-tu le trouver beau, sans savoir ce que c'est ? v.560 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et c'est donc de cela que tu ris ? Je t'admire. v.561 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'ai-je dit de bouffon, qui t'ait dû faire rire ? v.562 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je vois dans ses écrits cent endroits délicats : v.563 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il doit peu t'importer, s'il ne m'en souvient pas ; v.564 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Celui que dit Madame, en doit être un, je gage. v.565 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Monsieur a le sens bon. v.566 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Point du tout ! Mais j'enrage, v.566 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De voir rire de rien un esprit égaré : v.567 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je suis des idiots l'ennemi déclaré. v.568 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans ce perturbateur du repos des oreilles. v.570 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour le désarçonner, reparlez-nous ici, v.571 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De l'endroit qui vous charme ; et qui me charme aussi : v.572 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je n'ai rien vu de beau, qu'aisément il n'efface ; v.573 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'il le censure après, s'il le peut. v.574 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je l'en défie. v.575 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Allons, mortifiez-le un peu. v.575 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Bon. v.576 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et quoi ? Qu'a-t-on dit ? Rien. v.577 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- N'importe ; v.577 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je ne vois point d'auteurs s'exprimer de la sorte. v.578 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Despréaux parle au Roi, ne saurait se payer. v.579 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'ai beau lire Corneille, et Racine, et Boyer, v.580 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je ne vois rien d'égal. v.581 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand donc il parle au Roi, voici comme il le loue. v.582 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.583 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Va, la foudre à la main, rétablir l'équité, v.584 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et retient les méchants, par la peur des supplices, v.585 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Moi, la plume à la main, je gourmande les vices". v.586 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ces vers sont d'une force à jamais n'égaler. v.587 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Justement : c'est l'endroit dont je voulais parler ; v.588 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sur des vers si pompeux, je m'arrête sans cesse. v.589 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ils sont si beaux. "Tandis que ton bras..." Comment est-ce ? v.590 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.591 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Va, la foudre à la main, rétablir l'équité, v.592 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et retient les méchants, par la peur des supplices"... v.593 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- "Moi, la plume à la main, je gourmande les vices". v.594 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Censure donc. v.595 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et censure, crois-moi, v.595 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Blâme des vers royaux qui sont faits pour le Roi, v.596 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tu dois, pour ton honneur, les censurer. v.597 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On le pourrait. v.598 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Madame, on le pourrait ! v.598 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans doute. v.598 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ne me presse point tant de te rendre confus. v.599 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Parbleu ! Je t'en défie. v.600 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je l'en conjure. v.601 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Hé bien, il faut vous satisfaire. v.601 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'ont de si beau ces vers, qui vous puisse tant plaire ? v.602 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Toi qui crois posséder un esprit plus qu'humain, v.603 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Dis-moi, dit-on "qu'un bras va la foudre à la main" ? v.604 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qu'on le dise, ou non ; que t'importe ? v.605 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Le dit-on ? v.606 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Non. v.606 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Non, le Diable m'emporte. v.606 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais, pourquoi, s'il te plaît, cette question-là ? v.608 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oui vraiment. v.609 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ses vers font encore en nature. v.610 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- "Et tandis que ton bras, des peuples redouté, v.611 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Va la foudre à la main..." Je n'ai rien inventé ; v.612 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Marquis, on le dit, ou je meure. v.613 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je m'en viens, comme vous, d'aviser tout à l'heure. v.614 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est vrai, l'on le dit ; il est même fort bon ; v.615 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour moi, je ne dis oui, ni non. v.616 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Je condamne avec peine, et sans peine j'admire : v.617 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Peut-être est-ce bien dit ; mais il eut pu mieux dire ; v.618 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et les vers dont on parle, auraient moins d'embarras, v.619 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- S'il eût mis la Personne en la place du Bras. v.620 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Pour parler nettement, par exemple, on peut mettre, v.621 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- "Que la foudre à la main, le Roi tout va soumettre" ; v.622 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Par exemple, on peut dire, en parlant de son Bras, v.623 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- "Qu'il va lancer la foudre au milieu des combats" ; v.624 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- En parlant de lui-même, on peut dire avec grâce, v.625 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- "Que suivi de la foudre, il va punir l'audace" : v.626 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Mais dans cette occurrence, un meilleur écrivain, v.627 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- N'aurait pas dit qu'un "bras va la foudre à la main". v.628 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Je suis du sentiment de Madame. v.629 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Diminutif d'auteur, exilé du Parnasse, v.630 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Laissez-nous seuls. v.631 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ho, ho ! C'est parler un peu haut ? v.631 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Chez de plus grands Seigneurs on endure Boursault : v.632 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ce qu'il a dit est juste, et n'a rien que je blâme ; v.633 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est prendre un bon parti, que celui de Madame. v.634 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- J'en suis aussi. v.635 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Tant pis. v.635 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tant mieux. v.635 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est un faible ennemi, qu'un censeur comme toi. v.636 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Viens au sens, notre ami ; c'est le sens qu'on admire. v.637 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qui chicane des vers, ne saurait plus que dire. v.638 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- "Et tandis que ton bras..." C'est-à-dire, "Grand Roi, v.639 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Nous allons faire rage à présent, vous et moi. v.640 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On nous craindra tous deux ; vous, de peur des supplices ; v.641 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Moi, de peur de mes vers qui gourmandent les vices ; v.642 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et pourvu que tous deux nous nous entendions bien, v.643 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Votre nom ira loin, aussi bien que le mien. v.644 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand je bats des auteurs, vous gagnez, des batailles." v.645 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Voilà ce qui s'appelle être sensé. v.646 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ces vers, de son bon sens, font de faibles témoins. v.647 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Jamais rien n'en eut tant. v.648 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Jamais rien n'en eut moins. v.648 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Vous avez l'un et l'autre, ou je sois misérable, v.649 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Une absence d'esprit que je trouve effroyable ; v.650 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que voit-on là dedans qui soit hors de raison ? v.651 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est avec un grand Roi faire comparaison. v.652 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Simplement. Tu dirais, si tu savais l'Histoire, v.653 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Que ce sont les auteurs qui dispensent la gloire ; v.654 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Que les Rois du vieux temps qui les ont révérés, v.655 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ont souffert qu'avec eux ils se soient comparés : v.656 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Mais ces comparaisons ne se sont jamais faites v.657 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'entre de petits rois, et d'excellents poètes : v.658 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Au lieu que dans l'exemple allégué tant de fois, v.659 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est un petit poète, et le plus grand des Rois. v.660 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et bon, bon ! v.661 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quoi ! Bon, bon ? Cela ne veut rien dire, v.661 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Mon cher Marquis. v.662 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Bon, bon, doit pourtant vous suffire ; v.662 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je ne vous dirai rien autre chose. v.663 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il fait bien. v.663 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- À cent bonnes raisons on ne lui répond rien. v.664 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Par-ci, par-là, du moins, le bon sens doit paraître. v.665 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- De l'endroit qu'on censure est lui-même content. v.667 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Un tailleur Béarnais en fit un jour autant : v.668 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Il se nommait Barangue, et disait à quelqu'autre, v.669 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Que ceux de son pays ne faisaient rien au nôtre : v.670 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Que pour lui, grâce au Ciel, il avait le bonheur, v.671 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Quoique né Béarnais, d'être maître-tailleur : v.672 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qu'ils étaient dans Paris, d'une ville commune, v.673 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Deux adroits Béarnais, compagnons de fortune : v.674 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Mais qu'en France jamais, quoiqu'ils eussent d'appui, v.675 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Nul n'avait fait fortune, hors Henry-Quatre et lui, v.676 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Cette comparaison est égale. v.677 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Soit du traître d'auteur, qui sans cesse conteste ! v.678 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je n'ai jamais rien vu de plus extravagant. v.679 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'allais encor citer un endroit élégant, v.680 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Où Despréaux du Roi dit tout ce qu'on peut dire : v.681 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- C'est l'endroit le plus beau qui soit dans sa Satire : v.682 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais je n'en dirai rien, Dieu me damne. v.683 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour vouloir m'en priver, que vous ai-je fait, moi ! v.684 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- À Monsieur Despréaux je sais rendre justice. v.685 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- De ses vers, bons ou non, je suis l'admiratrice : v.686 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- C'est peut-être un endroit que je n'ai point ouï. v.687 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Vous m'en aurez donc, seule, obligation ? v.688 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais à Despréaux rien n'acquittant de gloire ; v.689 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais plus à propos on n'a cité l'Histoire ; v.690 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lorsqu'au grand Alexandre il compare le Roi ? v.691 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On dirait qu'il s'entend avec moi. v.692 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Les endroits qu'il admire, ont tous eu mon suffrage. v.693 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Que vous avez d'esprit ! On ne peut davantage. v.694 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Vous vous y connaissez ; en ai-je ? v.695 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Autant que dix. v.695 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Vous tombez dans mon sens sur l'endroit que je dis ; v.696 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sur la comparaison d'Alexandre. v.697 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et Madame qui rit, comment la trouve-t-elle ? v.698 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Comment ? v.699 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- J'ai pensé me douter qu'elle dirait cela. v.700 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Vraiment ! v.701 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et moi de même, ou je me donne au Diable. v.701 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et si, Morbleu ! Madame, êtes-vous raisonnable ? v.702 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lors qu'au grand Alexandre on compare le Roi, v.703 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Dire là-là, Tudieu ! Qu'en dites-vous ? v.704 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour blâmer un endroit contre qui chacun peste, v.705 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Le là-là de Madame, est un là-là modeste. v.706 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quoi qu'en pense l'auteur, il a tort, selon moi. v.707 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Lorsqu'au grand Alexandre, il compare le Roi ? v.708 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oui-da, tort ; et le bon sens en gronde. v.709 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Non de le comparer à ce vainqueur du Monde. v.710 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je sais bien que Louis qui paraît si galant, v.711 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Est bien plus équitable, et n'est pas moins vaillant ; v.712 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qu'un Roi comme lui, dont la gloire est extrême, v.713 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ne se peut sans erreur comparer qu'à lui-même ; v.714 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- De Despréaux pourtant l'on souffrirait cela, v.715 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Si son fougueux génie en fût demeuré là : v.716 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Mais au plus fameux Roi que la Grèce ait vu naître, v.717 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Comparer le plus grand que l'on puisse connaître, v.718 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et dans un autre endroit, par de sottes raisons, v.719 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Vouloir mettre Alexandre aux Petites Maisons, v.720 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- N'est-ce pas du bon sens avoir perdu l'usage ? v.721 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et crois-tu qu'Alexandre ait toujours été sage ? v.722 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il ne fallait donc pas lui comparer le Roi ; v.724 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ce Monarque intrépide, en qui tout est auguste, v.725 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- L'Univers étonné de ses faits éclatants, v.727 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Sait qu'en lui la sagesse a devancé les ans ; v.728 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Les vertus avec lui commencèrent de naître. v.730 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Après ces vérités, vois ta comparaison. v.731 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ma foi, si tu n'as point de meilleure raison, v.732 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tu n'es qu'un fat. v.733 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Pour fat, pas tant fat que l'on pense. v.733 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- En vérité, Madame, il l'est : à toute outrance. v.734 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je veux qu'avec raison vous blâmiez Despréaux, v.735 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Mais des flots d'encenseurs trouvent ses écrits beaux ? v.736 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- On se fait par le monde un tort irréparable. v.737 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Tout le monde qu'on voit n'est pas déraisonnable. v.738 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Despréaux d'encenseurs eût-il même des flots. v.739 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- On doit par charité désabuser les sots. v.740 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Les endroits qu'on reprend font bien voir sa conduite ; v.741 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il fait quelques beaux vers, mais le reste est sans suite ; v.742 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- C'est un jeune emporté, qui dans ce qu'il écrit, v.743 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Prise le jugement, moins que le bel esprit ; v.744 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et pour courre un bon mot, que par fois il attrape, v.745 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Du bon sens qu'il néglige, à tout moment s'échappe ; v.746 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Ses amis les plus chers, n'en disconviennent pas. v.747 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Vous êtes, vous et lui, deux aussi francs ingrats... v.748 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Nous, ingrats ! v.749 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et les fruits de sa veine, il vous les sacrifie : v.750 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Clairvoyant dans le Code, et savant dans les Lois, v.751 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il pouvait obscurcir Montauban, et Langlois ; v.752 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- N'était qu'il a changé, pour vous mieux faire rire, v.753 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ses cornes d'avocat, en cornes de satyre. v.754 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À ce que dit Monsieur, il donne un tour d'esprit. v.755 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Tout de bon ? v.756 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ma foi, bien des gens me l'ont dit ; v.756 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que ma discrétion ne veut pas que je nomme. v.757 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Hé bien, l'endroit de l'Âne ? v.759 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À tous les écrivains je vais faire un défi, v.760 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tant à ceux qui font mal, qu'à ceux qui font merveille, v.761 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Comme depuis Boursault, jusqu'à l'aîné Corneille, v.762 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'en faire autant. v.763 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À peine en viendraient-ils à bout. v.763 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Si vous dites si là, dites donc si partout ; v.764 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- L'Âne de Despréaux me ravit, Dieu me damne. v.765 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est vrai, pour cela, que c'est un plaisant âne. v.766 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Tout-à-fait. Près de lui, s'il avoir dit un mot, v.767 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Feu l'Âne de la Fable eût passé pour un sot : v.768 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je crois qu'en droite ligne il descend de sa race. v.769 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Jamais façon d'écrire a-t-elle été plus basse ? v.770 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Y songez-vous ? v.771 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Pour moi, je ne m'y connais pas, v.771 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ou, comme dit Madame, il n'est rien de si bas. v.772 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Cet âne sociable, et qui n'est point farouche, v.773 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Dit-il rien de passable, et n'eût-il pas mieux fait, v.775 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- D'être comme un autre âne, imbécile et muet ? v.776 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Par les bas sentiments de sa dernière page, v.777 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il avilit sa plume, et salit son ouvrage : v.778 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qui veut satiriser, doit moins être étourdi. v.779 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et comment prétends-tu qu'un âne parle ? Dis. v.780 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quoique pour s'expliquer, il emprunte un organe, v.781 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ne soutient-il pas bien son caractère d'âne ? v.782 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lui voit-on démentir ce qu'il est ? Va, parbleu, v.783 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À la beauté de l'art, tu te connais fort peu. v.784 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Si cet endroit n'est fin, pour qui veut du risible, v.785 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je suis un sot. v.786 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Écoute, il n'est rien d'impossible. v.786 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Cet endroit... v.788 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Les acteurs ont mis leurs beaux habits, v.788 (Acte 1, scène 7, LA FRANCE)
- Madame, ils vont bientôt commencer. v.789 (Acte 1, scène 7, LA FRANCE)
- Allons ouïr des vers qui vous raviront l'âme : v.790 (Acte 1, scène 7, AMARANTE)
- Jamais dans une pièce on n'en mit de si beaux. v.791 (Acte 1, scène 7, AMARANTE)
- Vous demandez quartier, concernant Despréaux, v.792 (Acte 1, scène 7, ORTODOXE)
- Je le vois bien. v.793 (Acte 1, scène 7, ORTODOXE)
- Non pas. v.793 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
- Je le nie : v.793 (Acte 1, scène 7, ÉMILIE)
- Non qu'enfin Despréaux n'ait beaucoup de génie ; v.794 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
- Quand il aura plus d'âge, et les yeux mieux ouverts, v.795 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
- Pour venger ceux qu'il choque, il relira ses vers : v.796 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
- Devenu raisonnable, et ravi qu'on le croie, v.797 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
- Il fera son chagrin de ce qui fait sa joie ; v.798 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
- Et sentira dans l'âme un déplaisir secret, v.799 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
- D'avoir pu si bien faire, et d'avoir si mal fait. v.800 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
LE MÉDECIN VOLANT (1666)
- N'insultez point, de grâce, au malheur de Lucresse v.1 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Je sais qu'elle a pour vous une forte tendresse ; v.2 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Mais enfin de son père elle craint le pouvoir, v.3 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Et ne peut se résoudre au plaisir de vous voir. v.4 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Une fille bien née a toujours de la crainte. v.5 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Que veux-tu ? La douleur dont mon âme est atteinte v.6 (Acte 1, scène 1, CLÉON)
- Rend ma plainte équitable, et me fait murmurer v.7 (Acte 1, scène 1, CL?ON)
- Contre un objet charmant, que je dois adorer. v.8 (Acte 1, scène 1, CL?ON)
- Mais, Lise, à sa fenêtre une prompte escalade v.9 (Acte 1, scène 1, CL?ON)
- Peut m'ouvrir une voie. v.10 (Acte 1, scène 1, CL?ON)
- Monsieur, et le vieux rètre est parti du matin, v.11 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Pour chercher par la ville un expert médecin. v.12 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Sans rien escalader, pour voir une maîtresse, v.13 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Un amant dans sa manche a toujours quelque adresse. v.14 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Mettez tout en usage, et puissance, et savoir ; v.15 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Sans choquer son honneur, essayez de la voir. v.16 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Il n'est pas de moyens que l'amour n'autorise. v.17 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Surtout. Mais du vieillard je crains une surprise : v.18 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Adieu, pensez à vous, et vous ressouvenez v.19 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Qu'il n'est rien d'impossible aux coeurs passionnés. v.20 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Aux coeurs passionnés il n'est rien d'impossible. v.21 (Acte 1, scène 2, CLÉON)
- Je l'avoue ; et je trouve un moyen infaillible v.22 (Acte 1, scène 2, CL?ON)
- De donner à mon âme un moment de repos : v.23 (Acte 1, scène 2, CL?ON)
- Il faut. Mais, ô Crispin, que tu viens à propos ! v.24 (Acte 1, scène 2, CL?ON)
- Je vous cherche partout pour vous rendre réponse, v.25 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Monsieur. v.26 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Si tu savais ce que Lise m'annonce, v.26 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Cher Crispin ! v.27 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Il m'a dit que tantôt, sur le soir. v.27 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Quand on a de l'amour, et qu'on a de l'espoir. v.28 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Pour des charmes si doux lorsqu'une âme soupire. v.30 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Ou ne dirai-je mot ? v.32 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Tu m'en as assez dit. v.32 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Raisonnons entre nous : je me meurs pour Lucresse. v.34 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Son visage a des attraits puissants. v.35 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Elle asservit mon âme, elle charme mes sens ; v.36 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- En un mot, je l'adore, et son père me l'ôte, v.37 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Il est vrai, mais ce n'est pas ma faute. v.38 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- D'accord ; de mon malheur je ne puis t'accuser ; v.39 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Mais tu connais son père... Il le faut abuser. v.40 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Qu'en dis-tu ? v.41 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Moi, Monsieur ? Abusez, que m'importe ! v.41 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Il la tient enfermée, et je veux qu'elle sorte : v.42 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Mon coeur, pour cet effort, ne s'adresse qu'à toi, v.43 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Car enfin... v.44 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- À présent, il m'importe, ma foi ! v.44 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- À moi, Monsieur ? v.45 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- À toi. Rends mon âme charmée ! v.45 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Ne me dites-vous pas qu'il la tient enfermée ? v.46 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Je n'y puis que faire. En quel lieu du logis ? v.47 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Tant pis. v.48 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Je t'ai dit ma pensée ; instruis-moi de la tienne. v.49 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Elle est enfermée ? v.50 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Que la belle s'y tienne, v.50 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Voilà ce que je pense. v.51 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Écoute : sans scrupule, il te faut déguiser. v.52 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Me déguiser, Monsieur ! Et pourquoi ? v.53 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Je veux bien, en ce lieu, t'informer de la chose : v.54 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Pour faire pleinement réussir mon dessein, v.55 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Il faut être aujourd'hui médecin. v.56 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Médecin ? v.56 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Bons dieux ! v.57 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Sans perdre ici d'inutiles paroles, v.57 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Ce service rendu te vaudra six pistoles. v.58 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Si le gain t'encourage, avise, les voilà ! v.59 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Examine... v.60 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Mon_Dieu ! ce n'est pas pour cela. v.60 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Médecin ! v.61 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Médecin ; je n'ai point d'autre ruse. v.61 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Mais il faut de l'esprit, et je suis une buse ; v.62 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- C'est à tort que tu prends de l'effroi : v.63 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Le père de Lucresse a moins d'esprit que toi. v.64 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Ce vieillard chassieux connaît peu ton visage. v.65 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Et tu sais. Il avance, il me voit, j'en enrage ; v.66 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Je le vais aborder... Va m'attendre chez moi, v.67 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- J'aurai soin de m'y rendre aussi vite que toi. v.68 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Mais, à moins de m'instruire, apprenez. v.69 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Monsieur, quoique mes soins lui soient indifférents, v.71 (Acte 1, scène 4, CLÉON)
- Je viens vous informer de la part que j'y prends : v.72 (Acte 1, scène 4, CL?ON)
- D'un secours nécessaire avancent les effets. v.76 (Acte 1, scène 4, CL?ON)
- Ma pauvre fille ! Elle va rendre l'âme, v.77 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Philipin ! v.78 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- C'est à vous que j'en donne le blâme. v.78 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- À la pourvoir d'un homme on a trop retardé. v.79 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Un pucelage nuit, quand il est trop gardé. v.80 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Point, point. Sa maladie a de plus justes causes. v.82 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Mais retourne au plus vite, et va voir, Philipin, v.83 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Si l'on attend bientôt ce savant médecin. v.84 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- J'appréhende si fort que Lucresse ne meure. v.85 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- S'il était de retour, il viendrait tout à l'heure. v.86 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- On l'a dit. v.87 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Il est vrai, mais apprends mon souci : v.87 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- D'autres peuvent l'attendre et l'emmener aussi, v.88 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Et pour lors tout mon coeur, accablé de tristesse, v.89 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Si Lucresse endurait. v.90 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Elle a le choix de vivre ou du moins de mourir. v.91 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Quel plaisir elle prend à me faire courir ! v.92 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Surtout ne reviens point que tu ne me l'amenes, v.93 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Je t'en prie. v.94 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- En mon âge, ô bons dieux ! Que de peines ! v.94 (Acte 1, scène 6, FERNAND)
- Et que dans mes vieux ans. v.95 (Acte 1, scène 6, FERNAND)
- Pythagore, Platon, v.95 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Mache-à-vide, Pancrace, Hésiode, Caton. v.96 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Quel serait ce docteur ? Écoutons. v.97 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Polyeucte, Virgile, Anaxandre, Luculle. v.98 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Robert Vinot, Scipion l'Africain, v.99 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Jodelet, Mascarille, Aristote, Lucain, v.100 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Médecins de César, assassins d'Alexandre, v.101 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Vous voyez un phénix qu'a produit votre cendre ! v.102 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Serait-ce un médecin ? Il en parle. v.103 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Venez voir, grands docteurs, les mystères cachés v.104 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- De l'Encyclopédie et de la médecine. v.105 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- C'en est un. v.106 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Venez voir ce que c'est que racine, v.106 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Monsieur ? v.108 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Médecin passé maître, apprenti d'Hippocrate, v.109 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je compose le baume et le grand mithridate ; v.110 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je sais, par le moyen du plus noble des arts, v.111 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Que qui meurt en février n'est plus malade en mars ; v.112 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Que de quatre saisons une année est pourvue, v.113 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Et que le mal des yeux est contraire à la vue. v.114 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je ne saurais douter d'un si rare savoir. v.115 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Une fille que j'ai, que chacun désespère. v.117 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Vous avez une fille ? Et vous êtes son père, v.118 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Oui, Monsieur, et j'ai peur de sa mort. v.119 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Elle est donc fort malade ? v.120 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Oui, Monsieur. v.120 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Je lui veux conseiller qu'elle cesse de l'être. v.121 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Qui domine sur nous s'en veut rendre le maître ; v.122 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Or, le mal dominant par d'occultes ressorts, v.123 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- L'individu qui souffre, au moment qu'il s'épure, v.125 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- D'un peu d'apothéose entretient sa nature ; v.126 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Dans l'humaine vessie établit un canal ; v.128 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Le cancer froidureux rend l'humeur taciturne, v.129 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Le vaillant zodiaque envisage Saturne v.130 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Et s'il faut qu'avec eux j'en demeure d'accord, v.131 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Rien n'abrège la vie à l'égal de la mort. v.132 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Ce sont de ces auteurs les leçons que j'emprunte. v.133 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Votre fille, à propos, serait-elle défunte ? v.134 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Non, Monsieur. v.135 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Mange-t-elle ? v.135 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Un petit, grâce aux dieux ! v.135 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Elle n'est donc pas morte ? v.136 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Elle ? Nenni. v.136 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Tant mieux. v.136 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je m'en réjouis fort. v.137 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Avant la fin du jour, lui peut être ravie. v.138 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Tant pis ! L'a-t-on fait voir à quelque médecin ? v.139 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Nullement. v.140 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Elle a donc quelque mauvais dessein, v.140 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Puisqu'elle veut mourir sans aucune ordonnance. v.141 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- De ces sortes de maux notre École s'offense. v.142 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Quand un homme se trouve en état de périr, v.143 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Toujours un médecin doit l'aider à mourir ; v.144 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Et c'est faire éclater des malices énormes, v.145 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Que vouloir refuser de mourir dans les formes. v.146 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Instruisez votre fille, et lui dites, du moins, v.147 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Pour mourir comme il faut, qu'elle attende mes soins. v.148 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Son âme à déloger est trop impatiente, v.149 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Monsieur. v.150 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Permettez-moi d'appeler sa suivante. v.150 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Appelez. Je le tiens ! Ô le franc animal ! v.151 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Ah ! Monsieur, votre fille est fort mal ! v.152 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Elle se plaint du ventre ; v.153 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Elle sort de son lit, puis après elle y rentre, v.154 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Se promène, se sied, veut dormir, veut veiller. v.155 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Malgré moi, de ce pas, je la viens d'habiller. v.156 (Acte 1, scène 8, LISE)
- D'habiller ; sa boutade m'étonne. v.157 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Je crois. Mais ce gredin vous demande l'aumône. v.158 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Monsieur ? v.159 (Acte 1, scène 8, LISE)
- C'est l'exemple parfait des médecins parfaits. v.160 (Acte 1, scène 8, FERNAND)
- Que j'ai bien du sujet de louer sa rencontre ! v.161 (Acte 1, scène 8, FERNAND)
- Médecin ? v.162 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Médecin. Ma soutane le montre. v.162 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Mais, sans perdre ma peine à prouver qui je suis, v.163 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Par ma seule doctrine aisément je le puis. v.164 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- De la fille ergotante apportez de l'urine. v.165 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Allez vite en quérir. v.166 (Acte 1, scène 8, FERNAND)
- J'examine v.166 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Mais je vois de l'urine, et je vais le savoir. v.168 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- De frayeur j'ai mon âme alarmée. v.170 (Acte 1, scène 9, FERNAND)
- En voilà. v.171 (Acte 1, scène 9, LISE)
- Voyez-vous comme elle est enflammée ? v.171 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Mauvais signe ! v.172 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Ô bons dieux ! Il en boit. v.172 (Acte 1, scène 9, FERNAND)
- Je crois bien. v.172 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Mais qui boit pour si peu ne comprend jamais rien. v.173 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Allez-en quérir d'autre. v.174 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Mon prince ! v.174 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Assez d'autres docteurs, d'une étoffe assez mince, v.175 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Se seraient contentés du rapport de leurs yeux, v.176 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Mais à croire sa langue on en juge bien mieux. v.177 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Boisrobert nous enseigne, en sa Belle Plaideuse, v.178 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Et qu'un grand médecin, quand il fait ce qu'il doit, v.180 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Il sent mieux une chose à la langue qu'au doigt. v.181 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- À ces fortes raisons je n'ai point de réplique. v.182 (Acte 1, scène 9, FERNAND)
- Monsieur, et cependant je n'en ai qu'un filet. v.184 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Allons au robinet v.185 (Acte 1, scène 10, CRISPIN)
- En tirer. v.186 (Acte 1, scène 10, CRISPIN)
- Mais, Monsieur. v.186 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Fasse une ample pissade et qui soit copieuse, v.187 (Acte 1, scène 10, CRISPIN)
- Ma foi ! Ma maîtresse ne peut. v.188 (Acte 1, scène 10, LISE)
- On n'a pas le pouvoir de pisser quand on veut. v.189 (Acte 1, scène 10, LISE)
- C'est donner à Lucresse une peine trop grande, v.190 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Dites-lui que Monsieur le commande. v.191 (Acte 1, scène 10, FERNAND)
- Monsieur, votre fille n'a pu. v.192 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Mais enfin, pour vous plaire, à l'instant elle a bu. v.193 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Si Monsieur veut attendre à lui rendre service, v.194 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Au plus tard, dans une heure, il faudra qu'elle pisse. v.195 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Elle a raison. v.196 (Acte 1, scène 10, CRISPIN)
- De plus, pour chasser son souci, v.196 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Elle s'est résolue à venir jusqu'ici. v.197 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Elle vient. v.198 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Ah ! Mon père ! v.199 (Acte 1, scène 11, LUCRESSE)
- Je lui trouve un passable visage. v.200 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Serviteur ! Si pour vous nos remèdes sont vains, v.201 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Vous aurez le plaisir de mourir par mes mains ; v.202 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Consolez-vous. v.203 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Donnez, dis-je ! v.205 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- J'aurai bien de la peine à répondre de vous, v.206 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Et votre maladie est sans doute mortelle ; v.207 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Prenez-y garde. v.208 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Ô Dieu ! Quelle triste nouvelle ! v.208 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Je suis donc bien malade, ô Monsieur ? v.209 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Vous n'avez pris le bras à personne qu'à moi. v.210 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Et cela vous étonne ? Une tendresse extrême v.211 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Rend la fille, le père, et le père, elle-même : v.212 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Entre eux deux la nature est propice à tel point, v.213 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Que le sort les sépare, et le sang les rejoint ; v.214 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Étant vrai que l'enfant est l'ouvrage du père, v.215 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Sa douleur sur lui-même aisément réverbère ; v.216 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Et le sang l'un de l'autre est si fort dépendant, v.217 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Que l'enfant met le père en un trouble évident. v.218 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Cependant, quoIque mon savoir brille, v.219 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Je veux bien me résoudre à tâter votre fille. v.220 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Je m'en étais douté : v.221 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Il ne vous manque rien que beaucoup de santé ; v.222 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Sans cela. v.223 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Monsieur. v.224 (Acte 1, scène 11, LUCRESSE)
- Je ne sais. v.225 (Acte 1, scène 11, LUCRESSE)
- Non v.225 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Non. v.225 (Acte 1, scène 11, LUCRESSE)
- Parfois, sans qu'on le sache, on se porte fort mal, v.226 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- C'est la fièvre ; ce l'est, si ce n'est autre chose. v.228 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Mais, soit fièvre, ou migraine, ou gangrène, ou mal chaud, v.229 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Allez, pour la guérir je sais bien ce qu'il faut. v.230 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Une plume, de l'encre. v.231 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- L'ordonnance, v.231 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Monsieur... v.232 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Vous vous moquez. Je les fais par avance ! v.232 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Je me tiens toujours prêt contre tous accidents : v.233 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- En voilà pour les yeux, pour le flux, pour les dents. v.234 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Mais, ignorant son mal, il lui faut, ce me semble, v.235 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Une ordonnance propre à tous les maux ensemble ; v.236 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Il faudra que le sien se rencontre parmi. v.237 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Charitable Monsieur, c'est agir en ami, v.238 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Cela ! Quel honnête homme ! v.239 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- En quel lieu couche-t-elle : v.239 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Elle a, sur le derrière, une chambre assez belle. v.240 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Oui, vraiment, une chambre assez belle, en effet ! v.241 (Acte 1, scène 11, LISE)
- Croyez-moi, le devant est son fait : v.242 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Qu'on l'y mène ! Aussi bien, la journée est malsaine. v.243 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Philipin, aide à Lise... v.244 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- À la fin, je l'amène : v.244 (Acte 1, scène 12, PHILIPIN)
- Qui donc ? Qu'est-ce ? v.245 (Acte 1, scène 12, CRISPIN)
- Un savant médecin. v.245 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- Médecin ? Malepeste ! v.246 (Acte 1, scène 12, CRISPIN)
- Excusez ce matin, v.246 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- L'intendant d'un seigneur m'a contraint de me rendre, v.247 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Monsieur. v.248 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mon bon Monsieur, je n'ai pu tant attendre : v.248 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- Au retour de chez vous, pour causer mon repos, v.249 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- Ce fameux médecin s'est offert à propos, v.250 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- Monsieur ? v.251 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Je loue, et je plains ma visite : v.252 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Je me tiens malheureux d'avoir pu me ravir v.253 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Et de voir la fortune, à mes voeux trop cruelle, v.255 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- M'arracher au bonheur de vous prouver mon zèle ; v.256 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mais, à voir qui pour vous a daigné s'occuper, v.257 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je me tiens trop heureux qu'il ait pu m'échapper. v.258 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Le plaisir que je goûte est mêlé dans le vôtre ; v.259 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Si je perds d'un côté, je recouvre de l'autre, v.260 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Puisqu'enfin de Monsieur le sublime entretien, v.261 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- D'être, un jour, tout à vous, m'offrira le moyen. v.262 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mais, Monsieur, pardonnez, ce n'est point par audace ; v.263 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je n'ai garde, avec vous, d'occuper cette place : v.264 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Monsieur... v.265 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Sans cérémonie on vous doit le milieu. v.266 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Eh ! de grâce !... Hippocrate... Hé, Monsieur, je vous jure v.267 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qu'au lieu de m'obliger, c'est me faire une injure ; v.268 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je vous prie. Hippocrate. À quoi bon tout cela ? v.269 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Conservez, votre place, hé, Monsieur, la voilà ! v.270 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Empêchez, à vos yeux, que ma honte n'éclate. v.271 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je reprends ma parole, et je dis qu'Hippocrate, v.272 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qui de la médecine est l'illustre ornement, v.273 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- De cet art salutaire a parlé doctement : v.274 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- « Médecine est, dit-il, une longue science, v.275 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Tout à fait dangereuse en son expérience : v.276 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Car, touchant notre vie, elle passe si tôt, v.277 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qu'on n'a pas le loisir d'en juger comme il faut. v.278 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Vita brevis, ars vero longa, occasio autem praeceps, v.279 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Experimentum periculosum,judicium difficile. » v.280 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- À vouloir de cet art pénétrer l'étendue. v.282 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mais dedans cet abîme un esprit se confond : v.283 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Plus on l'approfondit, plus il semble profond. v.284 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Cette utile science en enferme tant d'autres, v.285 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qu'il faudrait que mes yeux égalassent les vôtres, v.286 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Ou que de leurs rayons vous pussiez m'éclairer, v.287 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Pour m'offrir un moyen de ne pas m'égarer. v.288 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- De plaisir on a l'âme ravie, v.289 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Alors que d'un malade on prolonge la vie ; v.290 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Et d'un grand médecin rien n'égale le sort, v.291 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Quand sa seule présence intimide la mort, v.292 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Quand il est l'ennemi que la Parque redoute, v.293 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Quand sa haute science en détourne la route, v.294 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Et qu'enfin le trépas, qui nous fait tous trembler, v.295 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Pour ne pas le combattre aime mieux reculer. v.296 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mortem medicamentis removet medicus expers. v.297 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je ne puis approuver l'importune méthode. v.299 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mais peut-être, Monsieur, je vous suis incommode, v.300 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Car enfin comme vous les esprits élevés, v.301 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Aux emplois importants sont toujours réservés. v.302 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je sors donc ; mais j'ose me promettre v.303 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Qu'étant moins occupé, vous pourrez me permettre v.304 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- De chercher un prétexte à me faire jouir v.305 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Du plaisir qu'on reçoit, quand on peut vous ouïr. v.306 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Hé bien, ce médecin, vous voyez comme il cause ! v.307 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Qu'en dites-vous ? v.308 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Daignez-moi,je vous prie, informer de cela : v.309 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Touchant la médecine est-il expert ? v.310 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Il n'a donc pas la science parfaite ? v.311 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Mais, durant qu'il parlait, vous ne disiez mot ? v.313 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Oui, vraiment, je dis : vous. v.314 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Pour pouvoir de cet homme éprouver la science, v.315 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- J'ai voulu me résoudre à garder le silence ; v.316 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Mais enfin, si le drôle eut voulu s'arrêter, v.317 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Allez, vous m'auriez vu diablement caqueter. v.318 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- À dessein d'empêcher qu'un malade ne meure, v.319 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- J'allais débagouler du latin tout à l'heure ; v.320 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Voir quel temps il fera dans un vieil almanach ; v.321 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Réciter tout par coeur les Quatrains de Pibrac, v.322 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Et, pour mieux vous montrer qu'il est vrai que j'excelle v.323 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Je sais qu'un lavement fait aller à la selle ; v.324 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- J'ai cent fois en ma vie acheté du séné, v.325 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Et je dis que le diable est un diable damné ; v.326 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Je soutiens que le corps est le frère de l'âme, v.327 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Que Séneque et Pauline étaient l'homme et la femme. v.328 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Que Narcisse en personne autrefois se noya, v.329 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Et semper quoniam tuos, alléluia. v.330 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Je ne puis rien comprendre à ces phrases d'élite. v.331 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Je m'en aperçois bien ; mais adieu, je vous quitte. v.332 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Je verrai votre fille ou ce soir ou demain. v.333 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Monsieur. v.334 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Recevez ces louis de ma main. v.334 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Je n'ai garde. v.335 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Prenez ; je vous dois récompense, v.335 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Monsieur. v.336 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Je ne suis pas un marchand de science. v.336 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Non, non ; je vous suis serviteur. v.337 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Que cet homme est habile, et qu'il est grand docteur ! v.338 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Ne point prendre d'argent pour des chose si bonnes ! v.339 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Il ne ressemble pas ces tueurs de personnes, v.340 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Ces méchants médecins, qui, par un triste sort, v.341 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- En curant notre bourse, enrichissent la mort. v.342 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Voyons ce qu'au logis sa science fait naître, v.343 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Et sachons. v.344 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Au plus vite attrapons notre maître. v.344 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Réjouissance. Ô dieux ! C'est Fernand, que je crois ! v.345 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Est-ce pas mon docteur que je vois ? v.346 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- C'est lui-même, c'est lui. Votre mine est pleureuse ? v.347 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Moi, Monsieur ? Un pauvre homme qui gueuse. v.348 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Monsieur, mes malheurs sont si grands. v.349 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Mais dedans cette ville as-tu point de parents ? v.350 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Ah ! Monsieur, des parents on n'a guère de grâce ; v.351 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Je suis frère à mon frère, et c'est lui qui me chasse. v.352 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Il faut donc que sans doute il en ait du sujet. v.353 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Répandu la moitié d'un julep. v.354 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Il est donc médecin ? v.355 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Oui, Monsieur. v.355 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Que ce frère en colère à peu près te ressemble ? v.356 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Oui, Monsieur. v.357 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Penses-tu qu'on le puisse apaiser ? v.357 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Non, Monsieur. v.358 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Il ne souffrira pas que jamais je le voie, v.359 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Monsieur. v.360 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Si je m'en mêle, il aura de la joie. v.360 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Je le viens de quitter, il est fort mon ami. v.361 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- S'il est vrai, je ne sens ma douleur qu'à demi, v.362 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Car, Monsieur, je vois bien que vous êtes brave homme. v.363 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Vous aurez de la peine à souffrir qu'il m'assomme. v.364 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Attends-moi ! De ce pas, je m'en vais le chercher. v.365 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Moi, Monsieur ? Point du tout. Je m'en vais me cacher. v.366 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Mais il faut te montrer ? v.367 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Ah ! Monsieur, je ne l'ose, v.367 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Sans savoir si vos soins auront fait quelque chose. v.368 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Je m'en vais, s'il vous plaît, vous attendre à l'écart. v.369 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Ce garçon malheureux est venu sur le tard : v.370 (Acte 1, scène 16, FERNAND)
- Deux minutes plutôt, je l'accordais sur l'heure. v.371 (Acte 1, scène 16, FERNAND)
- Foin de moi ! Je ne sais où son frère demeure ; v.372 (Acte 1, scène 16, FERNAND)
- Mais toujours je l'attends, sur le soir. v.373 (Acte 1, scène 16, FERNAND)
- Ah ! Monsieur, vous venez comme il faut : v.374 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Vous pouvez, en ce lieu, m'accorder une grâce. v.375 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Moi, Monsieur ! Il n'est rien que pour vous je ne fasse. v.376 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Commandez ! v.377 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Votre frère, il a tant de douleur, v.377 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- C'est un coquin, Monsieur. v.378 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Il a tort, il l'avoue ; il se nomme coupable ; v.379 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Mais, Monsieur, une faute est assez pardonnable. v.380 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Désormais, il en jure, il veut être meilleur, v.381 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- C'est un fripon, Monsieur. v.382 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Ne vous puis-je résoudre à la miséricorde ? v.383 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- C'est un pendard. Monsieur, qui mérite la corde. v.384 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- C'est manquer de parole aux plus rares amis. v.385 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- S'il vous en ressouvient, vous m'avez tout promis, v.386 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Monsieur. Ce n'était donc qu'une pure grimace ? v.387 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Il est vrai, ma parole, en effet, m'embarrasse. v.388 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- C'en est fait, je pardonne à ce traître : il vous plaît. v.389 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Il ne tiendra qu'à vous de le voir comme il est. v.390 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Moi, Monsieur, moi, le voir, en présence du monde ! v.391 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Quand je vois ce coquin, mon courroux se débonde. v.392 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Je ne puis. v.393 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Hé ! Monsieur, il ne faut qu'un instant... v.393 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Je ne le puis, vous dis-je : un malade m'attend. v.394 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Mais, touchant ce maraud, je consens qu'il revienne. v.395 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Quelque effet qui jamais en advienne v.396 (Acte 1, scène 18, FERNAND)
- À ce pauvre garçon, qui frissonne d'effroi, v.397 (Acte 1, scène 18, FERNAND)
- Je veux faire accorder le pardon devant moi. v.398 (Acte 1, scène 18, FERNAND)
- Que son frère est honnête ! Il s'en vient de l'absoudre, v.399 (Acte 1, scène 18, FERNAND)
- Hé bien, Monsieur, a-t-il pu s'y résoudre ? v.400 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Dois-je devant ses yeux ne paroistre jamais ? v.401 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Ne pleure point, j'ai su faire ta paix. v.402 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Vous croirai-je, Monsieur ? N'est-ce point moquerie ? v.403 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Ah ! Monsieur, je connais sa furie : v.404 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Il a bien de la peine à pouvoir pardonner. v.405 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Aussi, ne veux-je pas te laisser retourner ; v.406 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Je veux qu'il te pardonne en ma propre présence. v.407 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Du pardon de ma faute avez-vous l'assurance, v.408 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Monsieur ? v.409 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- C'est assez que mon frère ait parlé : v.409 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- De vos soins obligeants je serais querellé, v.410 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Monsieur ; votre bonté pourrait mal me remettre. v.411 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Mais il peut oublier ce qu'il vient de promettre ; v.412 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Point, Monsieur, je le vois fort exact : v.413 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Quand on a sa parole, elle vaut un contrat. v.414 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Désormais, de sa part, je ne crains nul outrage, v.415 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Monsieur. v.416 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- J'en enrage. v.416 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Entre sur ce derriere. v.417 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Hé ! Monsieur, où le voir v.417 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- En tout cas, il viendra sur le soir. v.418 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Entre, dis-je ! v.419 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- En ceci ma charité se montre. v.419 (Acte 1, scène 20, FERNAND)
- Mais de notre docteur recherchons la rencontre : v.420 (Acte 1, scène 20, FERNAND)
- Il faut battre le fer, ce pendant qu'il est chaud. v.421 (Acte 1, scène 20, FERNAND)
- Me voilà, grâce à Dieu, raisonnablement haut ! v.422 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Trop obligeant grison, ta douceur m'assassine. v.423 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Maudit moi, maudit maître, et maudite doctrine, v.424 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Par qui mes yeux tentés se sont vus éblouis ! v.426 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Maudit... Quoi ?... Je commence à connaître ma faute. v.427 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Têtebleu ! D'ici là le moyen que je saute ? v.428 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- À présent, v.429 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Je viens dire. Ma foi ! Ce sauteur est plaisant. v.430 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Mais il sort de chez nous ; il n'a rien que je sache ; v.431 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Il faut, pour l'épier, qu'un moment je me cache. v.432 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Mais j'entends que l'on parle. Attrapons quelque coin. v.433 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Pour un gueux comme lui vous prenez trop de soin : v.434 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Il mériterait bien qu'on punît son audace, v.435 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Le vaurien ! v.436 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- C'est là-haut qu'il attend votre grâce : v.436 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Moi,je vous la demande, à la charge d'autant, v.437 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- En quel lieu dites-vous qu'il m'attend, v.438 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Le coquin ? v.439 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Voyez-vous cette grande fenestre ? v.439 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Il m'entend, le bourreau, mais il n'ose paraître ; v.440 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- De m'avoir offensé l'insolent est confus. v.441 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Je n'ai pas le pouvoir de vous faire un refus : v.442 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Ouvrez, j'entre. v.443 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Avec vous faut-il pas que je monte ? v.443 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Pour le bien châtier, faisons-lui cette honte ; v.444 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Montez, oui, montez. Non, épargnons ce maraud ; v.445 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Écoutez seulement : je lui parlerai haut, v.446 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Je le veux ; refermons cette porte, v.447 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Et voyons. v.448 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Quoi ! Monsieur, vous craignez qu'il ne sorte ? v.448 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Malepeste ! Le drille ! Il sait bien d'autres tours, v.449 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Le manouvre ! v.450 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Pourquoi me tiens-tu ce discours ? v.450 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Ou respecte cet homme, ou redoute ma canne. v.451 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Quand on est baladin, porte-t-on la soutane ? v.452 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- À propos. Dites donc, vous riez ? v.453 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Votre ensoutané saute mieux qu'un cabri, v.454 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Répondez, s'il vous plaît ? v.456 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Pardonner à son frère : v.456 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Il était en courroux, pour certains accidents. v.457 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- À ce compte, son frère est aussi là-dedans, v.458 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ah ! Fripon friponnant. v.459 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Tiens,écoute. v.460 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- J'aurais eu le plaisir de jamais ne vous voir, v.462 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Si Monsieur dessus moi n'avait pas tout pouvoir ; v.463 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Mais je l'honore plus que personne du monde. v.464 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Tu vois bien. v.465 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Pour le moins, que son frère réponde ! v.465 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Votre frère, à son tour, ne dit mot. v.466 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Entendez-vous, beau pleureux, maître sot ? v.468 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Monsieur, je vous rends grâce, et je vous remercie. v.470 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Je n'ai pas à dessein répandu. Taisez-vous ! v.471 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Si jamais. Paix ! Vous dis-je, et craignez mille coups. v.472 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Je puis. Taisez-vous donc. Mais,mon cher frère. Encore. v.473 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Comment diable fait-il, le futé ? Je l'ignore. v.474 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ils sont deux. v.475 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Il le semble ; il n'en est pourtant rien. v.475 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Mais de bien le savoir je découvre un moyen : v.476 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Dites que devant vous il embrasse son frère. v.477 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- N'était monsieur Fernand que je veux satisfaire, v.478 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Il aurait tort de vous plus offenser ; v.479 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Mais, Monsieur, pour me plaire, il le faut embrasser, v.480 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- De votre part je prétends cette grâce. v.482 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Il serait trop honteux, si ce bien peu commun... v.483 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Je vous jure ma foi, qu'ils ne sont, ma foi, qu'un. v.484 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Le madré ! Gardez-vous des finesses qu'il brasse ! v.485 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Seras-tu trop honteux si ton frère t'embrasse, v.486 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- L'enfermé ? v.487 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- C'est à lui... Paix, monsieur le badaud ! v.487 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Paix, fripon ! Paix, belître ! Et venez ici haut ! v.488 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- C'est moins par amitié que ce n'est par contrainte ; v.489 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Venez, dis-je ! v.490 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Tu vois, ce n'est pas une feinte. v.490 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Je n'y vois, ma foi, goutte, et ne sais ce que c'est. v.491 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- À présent. v.492 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- À présent descendez, s'il vous plaît ? v.492 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Épions : car, ou bien je suis ivre, v.493 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ou bien... v.494 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- J'ai fait défense au coquin de me suivre ; v.494 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- J'en aurais de la honte... Il viendra par après. v.495 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Mais faisons sortir l'autre. v.497 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Ah ! Je tiens votre gaine, v.497 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Est-il loin ? v.498 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Assez loin. v.498 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Que de peine, v.498 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Monsieur ! v.499 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Hé bien ? v.499 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Hé bien, sont-ils deux ? v.499 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ah ! vraiment. v.499 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Voilà l'un, voilà l'autre. v.500 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ah ! Grands dieux ! v.500 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Quoi ? Comment ? v.500 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Qu'à merveille il grimpe une fenêtre. v.501 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ah ! Monsieur, sachez tout de mon maître : v.502 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- C'est Cléon ! C'est ma fille. Ah ! rusé ! v.503 (Acte 1, scène 25, FERNAND)
- Ce Cléon l'a séduite, et tu m'as amusé, v.504 (Acte 1, scène 25, FERNAND)
- Médecin de malheur ! v.505 (Acte 1, scène 25, FERNAND)
- Quoi ! Monsieur. v.505 (Acte 1, scène 25, CLÉON)
- Daignez. v.507 (Acte 1, scène 25, LUCRESSE)
- Point de quartier : il sera ton époux, v.507 (Acte 1, scène 25, FERNAND)
- Ou du moins. v.508 (Acte 1, scène 25, FERNAND)
- Cet hymen a des charmes si doux, v.508 (Acte 1, scène 25, CLÉON)
- Monsieur. v.509 (Acte 1, scène 25, CL?ON)
- Sans affecter compliment ni surprise, v.509 (Acte 1, scène 25, CRISPIN)
- Confondant tout ensemble et nos biens et les leurs, v.511 (Acte 1, scène 25, CRISPIN)
- Faisons des médecins, ou volants, ou voleurs. v.512 (Acte 1, scène 25, CRISPIN)
LE MORT VIVANT (1662)
- Je raille donc ? v.2 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Mais de la vérité c'est la voix que j'emprunte, v.3 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Quand je dis que pour vous la Donzelle est défunte, v.4 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Et que par un destin plus funeste que doux, v.5 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Elle vit pour un autre, en trépassant pour vous. v.6 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Quoi, Gusman, Lazarille aimerait Stéphanie ? v.7 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Tu feins. v.8 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- De mon discours toute feinte est bannie, v.8 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Dès hier, les écoutant, sans qu'aucun m'aperçut, v.9 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- L'un s'offrit pour Epoux, et l'autre le reçut : v.10 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Vous, Monsieur, qui poussez la harangue muette, v.11 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Et sans de votre part qu'on entende du bruit, v.13 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Point, Lazarille m'aime, il me l'a fait paraître, v.15 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Il n'a point de secret qui pour moi le doive être ; v.16 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Si quelque amour pour elle il avait ressenti, v.17 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Gusman, il est sincère. v.18 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Et mes yeux ont menti ? v.18 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Mais si je puis surprendre et Monsieur et Madame, v.19 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Et que tous deux ensemble ils parlent de leur flamme : v.20 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Si je puis vous montrer qu'ils s'entraiment tous deux, v.21 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Je louerai ta conduite. v.23 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Allons nous en dîner, et revenons ensuite : v.24 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Dans une heure au plus tard dans ce même jardin, v.25 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Nous verrons qui des deux doit passer pour Badin : v.26 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Mais de l'objet aimé le Père ici le montre. v.27 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- De ce fâcheux Vieillard évitons la rencontre. v.28 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Es-tu là Stéphanie ? Ôtes-moi de soucis : v.29 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Réponds. Ah ! te voilà. v.30 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Sans doute. v.30 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Mais de là jusqu'ici l'espace étant si grande, v.31 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Il faut que dans ce lieu ta personne descende, v.32 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Pour d'une âme tranquille écouter mon discours. v.33 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Descends-donc. v.34 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- En t'appelant, sais-tu quel succès j'en espère ? v.35 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Non, Monsieur. v.36 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Tu sais bien qu'on me nomme ton père ? v.36 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Oui, Monsieur. v.37 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Sache encore qu'il n'est rien de cela, v.37 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Que ce n'est que de nom que je fus ton papa, v.38 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et malgré ta vertu dont toujours l'éclat brille, v.39 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Que je ne voudrais pas que tu fusses ma fille. v.40 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Ce n'est pas qu'en effet, durant près de vingt ans, v.41 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Je t'aimais comme un Père aimerait ces enfants, v.42 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et voyant les beautés dont le Ciel te partage, v.43 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mon coeur depuis un mois t'aime encore d'avantage. v.44 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Pour te casser la tête en faisant ton devoir, v.46 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Bien loin de te causer une douleur amère, v.47 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Je t'ai toujours traitée en enfant de ta mère. v.48 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mais pour venir au point qui m'a fait t'appeler, v.49 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Je crois que tu sais bien que c'est pour te parler ; v.50 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et puisqu'en ce jardin c'est ma voix qui t'attire, v.51 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- C'est donc pour te parler que je t'ai fait venir ; v.53 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et pour te dire aussi qu'il est temps de t'unir, v.54 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Avec quelque Gaillard dont la mine te plaise, v.55 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et qui soit en état de te mettre à ton aise. v.56 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Sers-toi donc à présent du pouvoir de tes yeux, v.57 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Qui dans trois ou quatre ans deviendront chassieux : v.58 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Que veux-tu me répondre à ce que je propose ? v.59 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Je suis prête, ordonnez. v.61 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Ne me charme pas moins que ferait ta beauté : v.62 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mais au bonheur ouvert devenir si sensible, v.63 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- De ton pressentiment c'est l'effet infaillible, v.64 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et je ne doute pas que tu vois aisément v.65 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Que qui n'est plus ton Père, est enfin ton Amant. v.66 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Vous Monsieur, mon Amant ? v.67 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Je découvre mon Âme, et te dis que je t'aime, v.68 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et qu'il est nécessaire à l'ardeur de mes feux, v.69 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Que par un Mariage on nous joigne tous deux. v.70 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Si dans mes jeunes ans je n'aimais que les Armes, v.71 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et si dans ce moment tu fourmilles de charmes, v.72 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Notre premier enfant, étant fille ou garçon, v.73 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Sera plus beau qu'un Ange, ou plus fort qu'un Sanson. v.74 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Quoi, Monsieur... v.75 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- À ton tour tu veux m'ouvrir ton Âme, v.75 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et répondre au plaisir que te cause ma flamme, v.76 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mais pour toi ma bonté qui te sert de secours, v.77 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Veut à ta modestie épargner ce discours. v.78 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Ah daignez m'écouter : et souffrez que j'embrasse... v.79 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Quoi, te mettre à genoux pour mieux me rendre grâce ? v.80 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Crains-tu que je t'échappe ? Ah ! Ne t'alarme pas, v.81 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Quoi qu'il puisse arriver apprends que tu m'auras : v.82 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mais rentre promptement, car je vois Lazarille, v.83 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Il s'avance. v.84 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Oh malheur ! Que ne suis-je sa fille. v.84 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- De tous vos serviteurs étant le plus soumis, v.85 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Un libre accès chez vous me fut toujours permis, v.86 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Monsieur, et vous m'avez à toutes mes visites v.87 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Mais enfin, après tant de bontés, v.89 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Mes yeux de Stéphanie ayant vu les beautés, v.90 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- D'adorer ses attraits je ne pus me défendre ; v.91 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Si bien que dans l'espoir de me voir votre gendre, v.92 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Je viens d'un zèle ardent embrasser vos genoux, v.93 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Afin que vous souffriez que je sois son Epoux. v.94 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Fort bien. v.95 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je ne dis rien d'une ardeur infinie, v.95 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Suffit que chaque jour vous voyiez Stéphanie, v.96 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Peut-on ne pas l'aimer sans manquer de raison ? v.97 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Vous ne pouviez venir en meilleure saison. v.98 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Donc à ma passion vous êtes favorable ? v.99 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Donc je puis espérer cet objet adorable ? v.100 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- De votre affection je suis trop éclairci ; v.101 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Un refus, Dieu merci. v.102 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Un refus ? v.103 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Un refus. v.103 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ah ! Du moins que je sache v.103 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Si parmi mon ardeur vous trouvez quelque tache. v.104 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Nenni, mais par un sort qui pour vous est fatal, v.105 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Tout chacun m'en croit Père et tout chacun s'abuse, v.108 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je vous crus de tout temps un Ami si discret, v.109 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Que je puis à vos yeux exposer un secret : v.110 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Parlez, de vos Amis je suis l'un des plus grands. v.113 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Il y peut bien avoir plus de cinq fois quatre ans, v.114 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'une Dame à cheval, qu'avait un homme en croupe, v.115 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Passa par cette ville, allant à Gadaloupe, v.116 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et pour ne pas vous faire un trop long entretien, v.117 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Du logis que j'occupe en vint faire le sien. v.118 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Après que de cheval elle fut descendue, v.119 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je vis qu'elle était pâle, et toute morfondue, v.120 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- De son maigre visage on eût compté les os, v.121 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ses bras étaient petits, mais son ventre était gros, v.122 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et s'il faut devant vous que sans fard je m'explique ; v.123 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Durant une heure ou deux je la crus hydropique : v.124 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Mais peu de temps après mon esprit fut certain, v.125 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Que ce n'était pas d'eau que son ventre était plein. v.126 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Quoique dans mon logis elle n'eut rien à craindre, v.127 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- J'entendis sur le soir cette Dame se plaindre ; v.128 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- D'abord prêtant l'oreille à sa voix, j'en ouïs : v.129 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Vois de quels tristes biens à présent tu jouis, v.130 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Puisque tu t'es fiée à des promesses vaines, v.131 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'un moment de plaisir te coûtera de peines ! v.132 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Que le Ciel en courroux te prépare de maux ! v.133 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Voit-on quelques malheurs à tes malheurs égaux ? v.134 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ton fruit qui voit le jour rend-il ta douleur moindre ? v.135 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Là j'ouïs une voix à la sienne se joindre, v.136 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Dont l'extrême faiblesse, et le ton délicat, v.137 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Avait bien du rapport aux cris d'un petit Chat. v.138 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Lors pour voir ce mystère ayant ouvert la porte, v.139 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je trouvais cette femme en langueur ; demi-morte. v.140 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Un enfant à ses pieds qui venait d'être fait, v.141 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- En un rude courroux j'eus dessein de me mettre, v.143 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Mais la mère à l'enfant ne put me le permettre, v.144 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et d'un gros Diamant le brillant gracieux, v.145 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Si bien que l'Accouchée ayant par son adresse v.147 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Apaisé ma colère et surpris ma tendresse, v.148 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Sans rien appréhender des médisants propos, v.149 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- A son enfant tout nu je donnais des drapeaux, v.150 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qui la même nuitée ayant eu la migraine, v.151 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Fit chercher au plus vite, et Parrain et Marraine. v.152 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Car dans sa maladie on craignait qu'il mourut ; v.153 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et Dona Stéphanie est le nom qu'il reçut. v.154 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Vous voyez bien si j'en fus jamais Père. v.156 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je ne le vois que trop. v.157 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Pour vous donc abréger, v.157 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Stéphanie en huit jours ne fut plus en danger, v.158 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et la mère pour lors pleinement satisfaite, v.159 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- La commis à ma charge, et sonna sa retraite, v.160 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et m'ayant ses joyaux déposés dans les mains, v.161 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Avant que de partir m'expliqua ses desseins. v.162 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Monsieur, dit-elle alors, connaissant votre zèle, v.163 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- De quoi l'entretenir, et payer ses dépenses v.165 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Tant que pourra durer la longueur de sept ans. v.166 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Environ ce temps-là j'enverrai la reprendre ; v.167 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Surtout je vous enjoins de jamais ne la rendre, v.168 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'à celui qui pour elle ayant quelque amitié, v.169 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- A cet anneau rompu joindra l'autre moitié. v.170 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qui durant son enfance amandait d'heure en heure, v.172 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et qui vécut si bien, qu'encore même elle vit, v.173 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qui des charmes qu'elle a tout le monde ravit. v.174 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Comme elle est à présent dans un ange à produire, v.175 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ma violente ardeur je lui viens de déduire, v.176 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et trouvant dans ma flamme un plaisir assez doux, v.177 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Pour mieux m'en rendre grâce elle était à genoux : v.178 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Mais comme à mon esprit sa pudeur est connue, v.179 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je l'ai fait retirer voyant votre venue ; v.180 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et pour conclusion je vous fais assoir, v.181 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'elle borne sa gloire au bonheur de m'avoir. v.182 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Peut-on souffrir une douleur plus dure ! v.183 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Voir de mes propres yeux son indigne posture, v.184 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Et lorsque par son ordre on peut tout espérer, v.185 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Embrasser les genoux, de qui doit l'adorer ! v.186 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- L'ingrate ! Elle paraît. v.187 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Empêchez que pour moi votre flamme n'éclate, v.188 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Faites que pour me plaire il ne paraisse pas. v.190 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Car enfin... v.191 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- C'est assez, de la loi qu'on m'impose, v.191 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Mon esprit tout confus vient d'apprendre la cause, v.192 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Ferdinand... v.193 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Ferdinand vous a donc tout appris ? v.193 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- N'en doutez pas. v.194 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Hé bien, les avez-vous surpris ? v.194 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- S'aiment-ils ? v.195 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Stéphanie être avec Lazarille ! v.195 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Écoutons. v.196 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Du vieillard, vous n'êtes plus la fille. v.196 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- C'est ce qui doit vous causer du tourment v.197 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Cessant d'être mon père il devient mon amant. v.198 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Ferdinand l'aime aussi, Gusman ! v.199 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Belle demande ; v.199 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Manque-t-on d'appétit près de si belle viande ? v.200 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Ferdinand doit donc faire un obstacle à mes voeux ? v.201 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Pouvez-vous en douter, et connaître ses feux ? v.202 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Elle ne l'aime pas. v.203 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Mon_Dieu, quoi qu'elle dise, v.203 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Pour y répondre mieux vous étiez à genoux ; v.206 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Ainsi... v.207 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Cette posture où j'ai su me contraindre, v.207 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Montre ce que de lui vous avez lieu de craindre. v.208 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Entends-tu ? v.209 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Qui pis est, suivant ce que je vois, v.209 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Mon esprit indupable est dupé par sa voix. v.210 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Cependant, animé d'une animé d'une ardeur assez grande, v.211 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- De vous à mon Rival j'ai tenté la demande ; v.212 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Et suivant les conseils que de vous j'ai reçu, v.213 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Je me suis attiré la rigueur d'un refus. v.214 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- J'en suis ravi, Gusman. v.215 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Je n'en puis que juger. v.216 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Ô fortune cruelle ! v.216 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Vous m'avez demandée ? v.217 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Trop tôt à mon malheur vous les avez suivis : v.218 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Quand je crus vous donner un conseil nécessaire, v.219 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Ferdinand de ma part était vu comme Père ; v.220 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Mais n'étant pas sa fille, et sachant son amour, v.221 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Je n'apprends qu'à regret que le votre est au jour. v.222 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Comment Diable la croire ? v.223 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Ses discours sont pour moi des feuillets du Grimoire. v.224 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- J'entends du bruit, fuyez, et de peur que de vous v.225 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Le Rival qui vous nuit ne devienne jaloux, v.226 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Le plus que vous pourrez éviter ma présence. v.227 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Adieu, je laisse au Ciel à punir cette offense. v.228 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Moi, je suis votre exemple, et j'invoque les Dieux, v.229 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Pour me voir délivrée d'un Amant odieux. v.230 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Tout va bien. v.231 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Profitons ; il sort tout en colère. v.231 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Poussez donc. v.232 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Je l'ai vu qui d'ici sort assez brusquement ; v.233 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Mais vous pouvez en moi recouvrer un amant, v.234 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Puisque depuis longtemps mon coeur pour vous soupire, v.235 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Sans que dans mes respects, j'ai osé vous le dire. v.236 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Oui, foi d'homme d'honneur, v.237 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Il dit que c'est de vous que dépend son bonheur ; v.238 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et vous pouvez penser que sa flamme est bien forte, v.239 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Puisque j'ose vous faire un serment de la sorte. v.240 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Le moyen de ne vous aimer pas, v.241 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et de pouvoir sans cesse admirer vos appas. v.242 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- S'il est vrai que pour moi votre ardeur soit sincère, v.243 (Acte 1, scène 7, STÉPHANIE)
- Pourquoi vous obstiner si longtemps à la taire ? v.244 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Loin que par votre aveu vous puissiez m'alarmer, v.245 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Au reste, Lazarille eut toujours tant d'adresse, v.247 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Qu'au lieu de me déplaire, il aurait ma tendresse ; v.248 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- C'est à lui seulement que l'Hymen doit m'unir, v.249 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- J'en ai fait la promesse, et je la veux tenir. v.250 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Adieu, ce sentiment est selon qu'il doit être. v.251 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Ah, Gusman mon Valet ! v.252 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Ah, Fabrice mon Maître ! v.252 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Point, point, rayez ce mot, v.253 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Vous seriez plus heureux si vous étiez moins sot. v.254 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Maraud insupportable... v.255 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Dont le coeur est de flamme et la langue engourdie, v.256 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Ce qui vient d'arriver ne vous sied que trop bien ; v.257 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Avoir chaud comme un Diable, et ne parler de rien, v.258 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Brûler dans sa chemise à l'exemple d'Hercule, v.259 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et puis après cela devenir ridicule, v.260 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Jusqu'au point de souscrire au plaisir d'un rival, v.261 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Si ce n'est être sot, c'est paraître cheval. v.262 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Au plaisir d'un Rival que jamais je souscrive ! v.263 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Qu'il possède un objet qui mon âme captive ! v.264 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et que sans écouter un amour violent ..... v.265 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et que prétendez-vous, ô Maître un peu trop lent ? v.266 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Puisque si mon Rival n'eut usurpé ma place, v.267 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Mon aimable Maîtresse approuvait mon audace, v.268 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Apprends que je m'apprête à le priver du jour, v.269 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Pour la contraindre encore à souffrir mon amour. v.270 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Je ne lui déplais pas, je le viens de connaître, v.271 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Elle saura m'aimer quand il cessera d'être, v.272 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Je puis donc, supportant que je venge un affront, v.273 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Le forcer à se battre, et t'avoir pour second. v.274 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Moi second ? v.275 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Quoi, Gusman, tu veux être pagnotte ? v.275 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Quoi tueur de rivaux, vous voulez qu'on me frotte ? v.276 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et moi qui de la Parque appréhende la faux, v.277 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- J'ose vous soutenir que cela sera faux. v.278 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Ah ! Gusman, souviens-toi que j'aime Stéphanie, v.279 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Qu'elle doit, à mon sort, par l'Hymen être unie, v.280 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et que dans le malheur qui talonne mes pas, v.281 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- N'en pas être l'époux, c'est souffrir le trépas. v.282 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Mais mourir, après tant de souffrances, v.283 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- C'est donner à ma peine une faible allégeance. v.284 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Ne trépassez donc pas. v.285 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Donne m'en le moyen ; v.285 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Crois-tu qu'on puisse vivre, et ne prétendre rien ? v.286 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et que quand la fortune est pour nous rigoureuse, v.287 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Un trépas soit moins doux qu'une vie odieuse ? v.288 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Trépassez-donc. v.289 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Gusman, c'est mal me secourir, v.289 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Un amant véritable a trop peur de mourir, v.290 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Penses-tu qu'au moment qu'on adore une belle, v.291 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il soit fort aisé de faire une absence éternelle ? v.292 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et qu'un coeur que l'amour asservit sous ses lois, v.293 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Puisse expirer sans peine après un noble choix ? v.294 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Vivez-donc, si la mort est pour vous effroyable. v.295 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Mourez-donc. v.297 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Quel sort qui nous puisse arriver, v.297 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il n'est rien de si doux que de vivre, et d'aimer. v.298 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- À votre cher Valet, apprenez votre envie ; v.299 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Avoir peur de la mort, et puis craindre la vie ; v.300 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- C'est, sans qu'il soit besoin de toujours discourir, v.301 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Vouloir vivre sans vivre, et mourir sans mourir. v.302 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- De moments en moments Lazarille m'oblige, v.304 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il m'aime, et toutefois je ne puis l'épargner, v.305 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et je dois, ou le perdre, ou du moins l'éloigner. v.306 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Un si grand préambule était-il nécessaire ? v.307 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Vous savez, grâce à Dieu, que je suis bon faussaire, v.308 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et que sans vanité, je pourrais me vanter, v.309 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Qu'au mérite de matois nul ne peut m'imiter, v.310 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Si bien qu'à mon talent il n'est pas difficile v.311 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Laissez votre fortune à ma discrétion. v.313 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Il me souvient encore d'une autre invention, v.314 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Qu'il s'y tienne. v.315 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Sa personne à peu près est égale à la tienne. v.316 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Vous avez chacun de mêmes traits. v.317 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Qu'en est-il ? v.318 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Les plus fins confondraient vos portraits. v.318 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Pour peu que ton zèle s'applique v.319 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- À vouloir me servir aux dépens de l'Afrique, v.320 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Tu peux en secondant les desseins que je fais, v.321 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Contenter mon ardeur, et remplir mes souhaits. v.322 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Moi que je vous oblige aux dépens de l'Afrique ? v.323 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Justement ; c'est bien là ma pratique, v.324 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Quoi, Monsieur, dans l'Afrique ai-je quelque pouvoir ? v.325 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Point du tout. v.326 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- A-t-elle eu le bonheur de me voir ? v.326 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Nullement. v.327 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- De l'Afrique ai-je la dépendance ? v.327 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Encore moins. v.328 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Fléchit-elle à ma moindre ordonnance ? v.328 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Elle ? Non. v.329 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Comment donc avez –vous prétendu, v.329 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Qu'un service à ses frais pût vous être rendu : v.330 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Car enfin quoique j'ai un rapport fort sincère v.331 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Avec un qui peut-être est bâtard de mon père, v.332 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- D'ici jusqu'en Afrique un chemin raccourci, v.333 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Ne peut être plus long que de là jusqu'ici ; v.334 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et puis qu'à vous connaître il faut que l'on s'exerce, v.335 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Gusman avec l'Afrique ayant peu de commerce, v.336 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Pour raison concluante il conclut de bon coeur, v.337 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Tu n'entends pas mon sens. v.339 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Comment Diable l'entendre ? v.339 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Je veux dans mon logis te le faire comprendre ; v.340 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Puis donc que nous avons des sujets à choisir, v.341 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Entrons, et sur chacun consultons à loisir. v.342 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Incomparable ami dont toujours la tendresse, v.343 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Dans tout ce qui me touche aisément s'intéresse, v.344 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Si jamais mon destin te semblât rigoureux, v.346 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Juges par ce billet qui fait naître ma plainte, v.347 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Si d'un tourment plus rude on peut sentir l'atteinte. v.348 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Mon Neveu je me plains de mon triste devoir, v.349 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Une fort mauvaise nouvelle : v.351 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Mon Frère, votre Père ayant fini son sort, v.352 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Pour de votre Maison devenir le support, v.353 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Votre mère affligée en ce lieu vous appelle. v.354 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- DON RAYMON DE GALAS. v.355 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Hé bien ! Parfait ami v.355 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Dont la noble chaleur n'agit point à demi ; v.356 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Ce coup fatal me surprend, et m'étonne, v.357 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Juges-en par l'avis qu'on me donne. v.358 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- De tout autre qu'un oncle à qui l'on doit respect, v.359 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Un billet si fâcheux pourrait m'être suspect : v.360 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Mais vois le caractère ; Est-ce point imposture, v.361 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Examine. v.362 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Non, non c'est la même écriture. v.362 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Pourtant, ou je me trompe, ou tu dis hier au soir, v.363 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Que ton Père en ce lieu te pourrait bientôt voir ; v.364 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Et pour, à son enfant ne pas être inutile, v.365 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Qu'il partait de Tolède, et venait à Séville. v.366 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il me l'avait mandé, cet espoir m'était doux, v.367 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Mais de tous mes plaisirs mon destin est jaloux. v.368 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Il s'oppose sans cesse au cours de ma fortune, v.369 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et comme à tout moment sa rigueur m'importune, v.370 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et que de son caprice il me fait le jouet, v.371 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- J'ai des biens en idée, et des maux en effet. v.372 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Ton sort est déplorable. v.373 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Ajoute encore, Fabrice, v.373 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Que tout m'est rigoureux, que rien ne m'est propice, v.374 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et pour connaître mieux jusqu'où va mon tourment, v.375 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Au tendre nom de Fils, joins le titre d'Amant ; v.376 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- J'adore une beauté, je dois être auprès d'elle, v.377 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et la mort de mon Père à Tolède m'appelle. v.378 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Si j'avais vu l'Objet qui te tiens sous ses lois, v.379 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- A répondre à tes feux, j'exciterais son âme, v.382 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Et ta vertu sans cesse étalée à ses yeux, v.383 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Te rendrait favorable un séjour ennuyeux. v.384 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Si tantôt j'eusse appris cette triste nouvelle, v.385 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- J'aurais cru m'éloigner d'une fille infidèle ; v.386 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Mais ce coup à mon âme est d'autant plus cruel, v.387 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Qu'elle honore mes feux par un feu mutuel. v.388 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- A mon ardeur daigne donc être utile, v.389 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Puisqu'il faut qu'à regret j'abandonne Séville, v.390 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et qu'au moins Stéphanie une fois chaque jour, v.391 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Apprenne par ta voix l'excès de mon amour. v.392 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Stéphanie ! v.393 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Ô destin implacable ! v.393 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Tu te plains. v.394 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Je me plains du malheur qui t'accable, v.394 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- L'Ambassadeur d'Afrique est ton rival. v.395 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il aime Stéphanie ? v.396 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Il en est amoureux ; v.396 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Comme il est courageux, comme il est magnanime, v.397 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Que chacun le respecte, et que chacun l'estime, v.398 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Que son crédit est rare, et que dans cet Etat, v.399 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il tient, et il sait garder le rang d'un Potentat, v.400 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- En vain à ce qu'il veut tu ferais résistance. v.401 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- De sa flamme il m'a fait confidence ; v.402 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Et si je ne m'abuse il vient lui-même exprès, v.403 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Où d'abord faites gille. Hé bien l'avez-vous vue ? v.405 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Celle dont les attraits m'ont donné dans la vue ? v.406 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Non, Seigneur. v.407 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- Je n'ai pu v.407 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- Seigneur... v.408 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- Cependant de l'amour je sens la tyrannie, v.409 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Quoi donc, Seigneur, vous aimez Stéphanie ? v.410 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Un peu si vous le trouvez bon. v.411 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Mais je vous trouve encore un fort joli mignon, v.412 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Pour mettre votre nez jusques dans mon affaire. v.413 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Je n'ai pas cru, Seigneur, que ce fut vous déplaire. v.414 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Vous deviez l'avoir cru, car un Ambassadeur, v.415 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- En parlant avec vous abaisse la grandeur ; v.416 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Tirez vos chausses, vite, ou bientôt par la tête... v.417 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Je sais que votre force égale une tempête, v.418 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Et que le rang suprême où le Ciel vous a mis, v.419 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Donne de la terreur à tous vos ennemis : v.420 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Je ne le fus jamais, et n'ai garde de l'être, v.421 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Vous vous abaisseriez si vous étiez mon Maître : v.422 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Et si votre Excellence à ma perte animée, v.425 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Voulait rendre le calme à mon âme alarmée ; v.426 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Et soutenant toujours la grandeur de son sang, v.427 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Me céder un Objet qui n'est pas de son rang. v.428 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Vous êtes trop obscur, je ne puis vous entendre. v.429 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Vous servir, est-ce un bien que je puisse prétendre ? v.430 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Il n'est rien que pour vous je n'osasse embrasser. v.431 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Il est donc nécessaire, v.433 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Que chacun se maintienne en sa forme ordinaire, v.434 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Aussi bien tous vos soins me sont indifférents. v.435 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Monseigneur. v.436 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- Est-il bon près des Grands ? v.436 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Le dois-je retenir ? v.437 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Il en est beaucoup digne. v.437 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- N'êtes-vous point sujet au sirop de la vigne ? v.438 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Quoi que je sois, Seigneur, vous le connaissez bien, v.439 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Votre esprit pénétrant n'ignorât jamais rien. v.440 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Il est vrai, mais enfin quelquefois on oublie. v.441 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Ah ! De votre Grandeur l'âme est trop accomplie. v.442 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Un esprit si fameux ne peut rien oublier. v.444 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Vous avez la science en un degré suprême..... v.445 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Vous me connaissez mieux que je ne sais moi-même v.446 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et les vertus qu'en moi vous trouvez à tous pas, v.447 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Sont de hautes vertus que je ne voyais pas. v.448 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Monseigneur. v.449 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- Cette fille vient-elle ? v.449 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Non, Seigneur. v.450 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- Qu'elle est sotte ! Allons donc qu'on l'appelle ! v.450 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Débiteur de Phébus, c'est vous dont je fais choix, v.451 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Pour haranguer l'objet qui me met aux abois, v.452 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et pour faire un portrait qui chatouille son âme, v.453 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Où vous représentiez la grandeur de ma flamme ; v.454 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Mais parlant de mes feux il se faut animer, v.455 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et par votre discours la contraindre à m'aimer. v.456 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Moi, Seigneur ? Ah ! Sachez... v.457 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Forcer mon Excellence à me servir de vous, v.459 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Si c'est une folie, il en est de plus fous. v.460 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Surtout, à Stéphanie, étalez l'Ambassade, v.461 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et faites-lui savoir par un terme attractif, v.463 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Que l'honneur de ma couche est un bien sensitif. v.464 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Point, point. v.465 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Ciel ! On l'amène ! v.465 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Bon, bon. v.466 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Quelle est ma peine ? v.466 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Monseigneur, les respects... v.467 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Monseigneur le langoureux, v.467 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Paix ; ce n'est pas de vous que je suis amoureux. v.468 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais, Monseigneur l'espoir... v.469 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Mais Monsieur, pas plus outre, v.469 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Je suis grand personnage, et malheur à qui m'outre. v.470 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Ce n'est pas vous outrer... v.471 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Ah vieux barbon têtu ! v.471 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qui fait en me parlant enrager ma vertu, v.472 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Porte plus loin l'odeur de ton nez qui renfrogne ; v.473 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et vous le beau parleur faites votre besogne, v.474 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Stéphanie, Hélas ! v.475 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Qui tout d'abord soupire, et n'a dit qu'un seul mot. v.476 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Ce digne Ambassadeur qui n'a rien que d'illustre, v.477 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Veut de sa passion augmenter votre lustre : v.478 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister à tant d'appas flatteurs, v.479 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Qui des coeurs les plus durs sont vos adorateurs : v.480 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister aux sensibles amorces v.481 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Qui maîtrisent notre âme, et surmontent ses forces : v.482 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister au pouvoir de vos yeux : v.483 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Mais c'est trop la flatter ; vantez-lui mon adresse, v.485 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pour plaire à ma Grandeur surprenez la tendresse ; v.486 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Louez mon excellence. v.487 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- De voir qu'un si grand homme ait de l'amour pour vous. v.488 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Jugez par ses vertus, par son rang, par sa mine, v.489 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- De la gloire éclatante où le Ciel vous destine ; v.490 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Moi dont son Excellence a daigné faire choix, v.491 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Pour vous représenter qu'il révère vos lois, v.492 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Je devrais ressentir de la joie en mon âme ; v.493 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Et mon coeur devrait être et tranquille, et content, v.495 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- A l'aspect du bonheur qui déjà vous attend ; v.496 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Mais hélas ! Soupirant incommode, v.497 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Des hélas éternels ne sont plus à la mode. v.498 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pleut-on parler d'amour sans qu'on soupire ? v.499 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Non, v.499 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais il faut soupirer de plus d'une façon. v.500 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pour bien complimenter contemplez-moi, Novice. v.501 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Venez ; car je vous aime, et je suis cependant v.503 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Ambassadeur d'Afrique, et bien Ambassadant ; v.504 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais contre vos attraits n'ayant point de parade, v.505 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Car des Ambassadeurs étant fort au dessous, v.507 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- L'Ambassade est à cru quand on parle avec vous. v.508 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Aï ! De ce soupir, Patron que vous en semble ? v.509 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Il est vrai, répondez donc. v.510 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pour connaître aisément votre rang glorieux, v.511 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Il ne faut qu'un moment regarder dans vos yeux, v.512 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- On y remarque un air qui de votre Excellence v.513 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Découvre les vertus, et fait voir la naissance : v.514 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Aussi, d'un rang si haut je ne sais trop le pouvoir, v.515 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Pour vouloir abuser du bonheur de vous voir, v.516 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Et j'en fais trop d'état pour oser jamais croire, v.517 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Que d'un honteux amour vous souilliez votre gloire. v.518 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Songez, Seigneur, songez que mon rang est trop bas, v.519 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Mon enfant, je ne l'ignore pas ; v.520 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pour vous faire m'aimer je me fais une tache ; v.522 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais beauté printanière apprenez qu'il m'est doux, v.523 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- D'être noir comme un Diable, et d'être aimé de vous. v.524 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais un Ambassadeur vouloir... v.525 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Point de scrupules, v.525 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Souvent les Grands Seigneurs sont les plus ridicules ; v.526 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Aussi donc votre esprit ne doit pas s'alarmer, v.527 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- De voir mon Excellence avoir pu vous aimer. v.528 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Oui vous aimer, votre beauté m'enivre, v.529 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Car, par exemple, un homme, oui je tiens pour certain, v.531 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qu'un homme qui se meurt est si près de la fin, v.532 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qu'il s'en faut peu souvent que la mort ne l'attrape, v.533 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et quand la mort nous tient rarement on échappe, v.534 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Partant si vous étiez insensible pour moi, v.535 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Vous me verriez mourir, et sans savoir pourquoi : v.536 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- A m'aimer tant soit peu, nous pourrions en découdre, v.538 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et dès ce même jour l'un et l'autre conjoints, v.539 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- À grossir notre race appliquer tous nos soins. v.540 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Sur ce point... v.541 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Hibou, dont le coeur gronde, v.541 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Sur ce point il faut que je réponde. v.542 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Seigneur... v.543 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- C'est trop Seigneurier, v.543 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais Seigneur comme père il faut... v.545 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Monsieur son plege, v.545 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Loin de vous accorder un plus grand privilège, v.546 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Je suis votre ennemi si pour lui vous parlez ; v.547 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Un hymen entre nous a si peu d'apparence, v.549 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Que je n'ose, Seigneur en former l'espérance ; v.550 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Vous pouvez donc prétendre en me faisant la Cour, v.551 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- D'attirer des respects, et non pas de l'amour. v.552 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Vous m'aimez ? Vous, Seigneur ? Moi qui suis... v.553 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Nourrisson d'un vieillard qui semble une guenuche, v.554 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Après que noblement j'ai dépeint mon ardeur, v.555 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- N'a-t-elle encore pu pénétrer votre coeur ? v.556 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Je vous aime, vous dis-je, et mon âme abattue, v.557 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et je suis à présent, tel que des Matelots v.559 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Que le destin expose à la merci des flots, v.560 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et qui sur le dos vert du compère Neptune, v.561 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pensent journellement établir leur fortune, v.562 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Quand au malheur pour eux un vent rude et fatal, v.563 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Enfle... rompt... calme... brise... enfin je suis fort mal. v.564 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Douterez-vous encore que je cherche à vous plaire, v.565 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Puisque je vous étale une preuve si claire ? v.566 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et m'allèguerez-vous de vos sottes raisons, v.567 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Puisque je vous confonds par des comparaisons ? v.568 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Il suffit, un grand coeur n'est jamais hypocrite ; v.569 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Mais, Seigneur, quand je songe à mon faible mérite, v.570 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Je crois peu, quelques feux dont vous soyez épris, v.571 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Qu'un Esprit si sublime ait pu s'être mépris. v.572 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Donc si votre Excellence a pour moi quelque zèle, v.573 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Souffrez qu'elle m'en donne une marque plus belle, v.574 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Et cachant ce qu'en vous je dois voir de suspect, v.575 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Faites naître un amour qui succède au respect. v.576 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Monseigneur, excusez si pour m'être fidèle... v.577 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Et quoi, Seigneur, faut-il ?... v.579 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Est-ce à ton tour v.579 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- À me rompre la tête, Interprète d'amour ! v.580 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Comme ami....Sais-tu bien que j'abonde ?.... v.581 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Sors te dis-je : Et pour toi. Belzébuth te confonde. v.582 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Bonjour. v.583 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Quoi donc cet homme à qui rien n'est égal, v.583 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- C'est là ce rare Esprit à qui l'on rend hommage, v.585 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Qui d'un grand Potentat représente l'Image ? v.586 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Et tu m'oses parler d'étouffer mon amour ? v.587 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Toi qui m'as dit cent fois que tu hais la bassesse, v.589 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Tu peux par complaisance applaudir sa faiblesse ? v.590 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Sa grandeur t'éblouit, et tu n'aperçois pas, v.591 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Qu'avec toute sa pompe il n'a rien que de bas : v.592 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- J'ai cru qu'un rang suprême occupait un Illustre ; v.594 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Mais je prends de l'audace en quittant mon erreur, v.595 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Puisque tout son mérite est d'avoir du bonheur. v.596 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Ami, sois un peu moins crédule, v.597 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Et je vois aisément par un tel procédé, v.599 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- La violente ardeur dont il est obsédé. v.600 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Si tu pouvais l'entendre au moment qu'il s'explique, v.601 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Ton oreille charmée, et tes sens interdits, v.603 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Deviendront les garants de ce que je te dis. v.604 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Monsieur, je viens... v.605 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Tantôt tu me diras le reste. v.605 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- Quel qu'il soit à son sort je veux être funeste, v.606 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- De cet Ambassadeur je méprise le rang, v.607 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Je prétends lui planter un poignard dans le flanc. v.608 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Qu'il soit généreux, qu'il ait l'esprit sublime, v.609 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Que chacun le respecte, et que chacun l'estime, v.610 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Pour souffrir que ce bras lui devienne fatal, v.611 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Il suffit qu'il m'outrage, et qu'il soit mon Rival. v.612 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Diable, que j'ai bien fait de quitter la Roupille. v.614 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Mais considère Ami..... v.615 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- Tout est considéré, v.615 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Mon voyage à Tolède est déjà différé : v.616 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Dans l'état où je suis je n'ai plus d'autre ennuie, v.617 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Que d'assouvir ma rage aux dépens de sa vie. v.618 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Et s'il était ici dans ce même moment, v.619 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Je saurais l'immoler à mon ressentiment. v.620 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Monsieur : ah ! v.621 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Ne crains rien. v.621 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- S'il me jette une oeillade, v.621 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Et qu'il remarque en moi quelques traits d'Ambassade. v.622 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Cède, cède à celui qui combat ton ardeur, v.623 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- Souviens-toi que d'Afrique il est Ambassadeur. v.624 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- Songe... v.625 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- Pour m'apaiser vainement tu t'efforces, v.625 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Loin d'éteindre mon feu tu redoubles ses forces, v.626 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Et si tu n'avais pas la bonté de m'aimer, v.627 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- C'est toi qui contre lui me devrais animer. v.628 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Puis-je ne un même jour sans mourir de tristesse, v.629 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Savoir la mort d'un Père et perdre une Maîtresse ? v.630 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Non, non quelques effets qu'il en puisse avenir, v.631 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- L'ambassadeur me choque, et je veux l'en punir. v.632 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Toi qui de ce Rival a vu naître la flamme, v.633 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Ôtes si tu le peux ce dessein de son âme ; v.634 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Sinon sa mort est sûre, et je te le promets. v.635 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Vas-t'en au Diable, et ne reviens jamais. v.636 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Peste quel avaleur de pois gris ! Dans sa bouche v.637 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Je ne ferais non plus que ferait une mouche. v.638 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- D'un autre stratagème il nous faut effrayer : v.639 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Car, suivant ma pensée, il vient de t'effrayer, v.640 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Et tu ne veux plus être Ambassadeur d'Afrique ? v.641 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- A m'obliger, ton soin si fort s'applique ? v.642 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Et quoi donc ! v.643 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Dès ce soir, tu peux donc, cher Valet.... v.643 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Que votre esprit est prête aux desseins qu'il se forge : v.645 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Qu'au couteau d'un meurtrier j'aille tendre la gorge, v.646 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Et que dans un amour qui me touche fort peu, v.647 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Quand le coeur vous en dit, je sois mis sur le jeu ; v.648 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Nescio vos, Seigneur, car Gusman n'est pas homme, v.649 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Qui pour votre plaisir soit content qu'on l'assomme, v.650 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Et puisqu'en votre amour vous n'êtes pas plus Grec, v.651 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Pour des Ambassadeurs torchez-en vous le bec. v.652 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- L'intrigue être si belle, et ne pas la poursuivre ! v.653 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Vouloir obstinément que je cesse de vivre ! v.654 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Mais Gusman... v.655 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Mais, Monsieur, je ne suis point d'avis, v.655 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Quel plaisir peux-tu prendre à commettre ces fautes ? v.657 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Un plus grand que de voir qu'on me brise les côtes, v.658 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Car qui d'un coup motel me ferait un présent, v.659 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Me ferait ce me semble un plaisir peu plaisant. v.660 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Au moins sois-moi propice au dessein que j'invente, v.661 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- De l'Hôte à mon Rival tu connais la servante ? v.662 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Tu sais bien si par quelque Louis, v.663 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- On peut charmer ses yeux et les rendre éblouis. v.664 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Et si dans mon dessein je me puis servir d'elle. v.665 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Préparer de l'argent, c'est une bagatelle, v.666 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- On la baise gratis. v.667 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Réponds mieux à mon sens, v.667 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Et sois plus favorable à l'ardeur que je sens. v.668 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Ma plus pressante envie est de voir Lazarille, v.669 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Quitter l'Andalousie et marcher en Castille, v.670 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Tandis que Stéphanie écoutant mes soupirs, v.671 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Deviendra plus sensible à mes justes désirs ; v.672 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Pour donc précipiter son voyage de Tolède, v.673 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Voyons cette servante, et demandons son aide. v.674 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Mais avant que Gusman fasse rien de nouveau, v.675 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- De quel vin. v.677 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Vous avez bien la mine, v.677 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- De me faire avaler de ce casse poitrine, v.678 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- De ce vin baptisé, que l'on donne aux laquais, v.679 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Qui fait du mal au ventre, et n'enivre jamais. v.680 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Point, je veux que ce soir tu manges à ma table. v.681 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Pour vous servir j'affronterai le Diable. v.682 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Allons jeter les yeux sur des mets délicats, v.683 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Et caressons ensemble et les pots et les plats. v.684 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Monsieur, vous voyez bien qu'étant l'heure qu'il est, v.685 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- On se loge où l'on peut, et non où l'on se plaît, v.686 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Dans cette Hôtellerie aucun bouge ne chôme, v.687 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Et je ne pense pas que dans tout le Royaume v.688 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- On rencontre un Hôtel qui soit plus fréquenté, v.689 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Dans un logis si grand un lit seul est resté ; v.690 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Un jeune homme habillé repose dessus l'autre, v.692 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il est plein de tristesse, allez au petit pas, v.693 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Et faites s'il se peut qu'il ne s'éveille pas. v.694 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Puisque dans le lit vert il faut que je repose, v.695 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- De vos soins cette nuit je ne veux autre chose, v.696 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Emportez la chandelle, et me laissez ici. v.697 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- N'ayez point ce souci. v.698 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Mais vous ne verrez goutte, et je crains... v.699 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il n'importe, v.699 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Surtout n'oubliez pas d'aller chez Ferdinand. v.701 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Il suffit, son logis est du notre attenant, v.702 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Je ne vous promets rien qu'aisément je ne tienne. v.703 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il faut qu'un grand matin faire en sorte qu'il vienne, v.704 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Et que de Stéphanie il soit accompagné. v.705 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- c'est assez que vous m'ayez enseigné v.706 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Qui du flambeau du jour commence la carrière, v.708 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- N'est pas encore prête à faire son retour, v.709 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Il faut donc dans ce lieu que j'attende le jour, v.710 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Et que dessus ce lit je fasse un petit somme : v.711 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Mais de peur qu'en marchant je n'éveille cet homme, v.712 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- A ne pas le troubler appliquons notre effort, v.713 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Et cédons au pouvoir du frère de la mort. v.714 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Peste tout tourne, où suis-je ? Ô Cambrouse endiablée ! v.715 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Qui pour quatre Louis rend ma tête troublée, v.716 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Que Lucifer t'emporte avec ton chien de trou, v.717 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Qui n'est qu'un engin propre à me tordre le cou, v.718 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je ne puis manier cette lanterne sourde, v.719 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Fallait-il faire Esprit une tête si lourde, v.720 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Loin d'être courageux, je crains une vapeur, v.721 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et je tremble de peur de donner de la peur, v.722 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pourtant quoi que je fasse il faut tout entreprendre, v.723 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Sinon pour en donner en tout cas pour en prendre. v.724 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Voyons, mon fils, ton Père Henriquez de Galas, v.725 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Mourut le même jour qu'arriva son trépas : v.726 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Or comme il ne vis plus et qu'il est sous la tombe, v.727 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- De peur que chez le Diable en peu d'heure il ne tombe, v.728 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut sans balancer que tu partes demain, v.729 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour rendre mille écus dérobez de ma main ; v.730 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Mais réponds à ma voix, c'est ton père... v.731 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ah ! Mon Père, v.731 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Dont le trépas funeste à causé ma misère, v.732 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je sais bien, v.733 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Aussi bien avec toi je ne gagnerais rien. v.734 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- À tort son esprit s'embarrasse, v.735 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je fais le même bien que je veux qu'on me fasse, v.736 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ne m'approche non plus que je veux t'approcher. v.737 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Peut-être ici quelqu'un est venu se cacher, v.738 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Cherchons. v.739 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Où faudra-il qu'à présent je me niche, v.739 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si tantôt chaque coup vaut écu, je suis riche, v.740 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je vais être assommé s'il me peut entrevoir. v.741 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Rien ne s'offre à mes yeux que pour me décevoir, v.742 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et dans l'abîme affreux où mon malheur me plonge, v.743 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je ne vois rien de vrai que l'image d'un songe, v.744 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Afin que ma douleur puisse un peu s'apaiser, v.745 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Encore quelques moments tâchons de reposer, v.746 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et gardons à causer du trouble aux autres chambres. v.747 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je ne prétendais pas remporter tous mes membres, v.748 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et pour m'empêcher d'être Henriquez de Gallas, v.749 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- J'aurais volontiers mis les oreilles à bas ; v.750 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Qu'un poltron a de peine à donner de la crainte ! v.751 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Emploi de faire peur je te prends par contrainte ; v.752 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pourtant tu n'as pas lieu de te plaindre de moi, v.753 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Tu veux épouvanter, épouvantable emploi ; v.754 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Qui te doit exercer épouvante lui-même, v.756 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- A parler franchement l'avantage est petit, v.757 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ou plutôt jusqu'ici l'aventure est nouvelle, v.759 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- De trouver un esprit qui n'a point de cervelle. v.760 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Coeur poltron, sois coeur brave et t'arme jusqu'au point, v.761 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- De donner de la peur et de n'en prendre point, v.762 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- En faveur de Fabrice, ô coeur prends cette peine, v.763 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Sois moins coeur de Gusman, que coeur de Capitaine, v.764 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ou bien à ce dormeur fais connaître à son dam, v.765 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Un coeur de Capitaine en un coeur de Gusman ; v.766 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Me le promets-tu coeur ? Oui j'entends ta réponse, v.767 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Déjà le nez m'en enfle, et le sourcil m'en fronce, v.768 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et ta haute assurance assure assurément, v.769 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Un trembleur qui tremblait d'avoir du tremblement v.770 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour la seconde fois faisons peur. Lazarille, v.771 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Quiconque fait un fils ne fait pas une fille, v.772 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si bien que je conclus qu'alors que je te fis, v.773 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ne faisant point de fille, il fallut faire un fils. v.774 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour donc à mon repos être utile et prospère, v.775 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut restituer les larcins de ton Père, v.776 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et partir de Séville à la pointe du jour, v.777 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour aller à Tolède établir ton séjour. v.778 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ton père... v.779 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Quoi, mon Père ? Ah ! Si mon sort vous touche, v.779 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pour dire encore un mot, daignez ouvrir la bouche, v.780 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Adoucissez l'ennui dont je suis travaillé, v.781 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- En quel trouble mon âme est-elle ensevelie ? v.783 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Ô bizarre destin ! Sort fatal ! v.784 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pour animer mon coeur j'ai beau faire un effort, v.785 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je ne suis point vaillant si ce n'est quand il dort. v.786 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Au moins permettez donc que mon oeil se défile, v.787 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Lazarille, bons Dieux ! Où je suis insensé ; v.789 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Où ce nom dans ce lieu vient d'être prononcé. v.790 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Je souhaite une chose impossible, v.791 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Qui n'est plus ce qu'un esprit ne peut être visible : v.792 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Mais à mon triste sort soyez moins endurci, v.793 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et dites pour le moins si vous êtes ici. v.794 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Les Enfers pour me perdre ont vomi quelque Diable, v.796 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Qui pour venger ma fourbe employant ses efforts, v.797 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Châtiera mon esprit aux dépens de mon corps. v.798 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Adieu Gusman. v.799 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Suffit, mais soulagez ma peine, v.799 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Dites si dans ce lieu c'est moi qui vous amène. v.800 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Nullement. v.801 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- En effet, Belzébuth je le crois, v.801 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Tu ne viens pas pour lui, tu ne viens que pour moi. v.802 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Enfin donc ma douleur à votre âme soumise, v.803 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je vous tiens. v.805 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je veux vous obéir, rien ne m'est difficile, v.807 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- J'y consens pour vous plaire, et immole en ce jour, v.809 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- M'amour à la nature, et moi-même à l'amour. v.810 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Grâce au bon Jupiter je suis hors de ta patte, v.812 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Attrapons quelque coin. v.813 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je te tiens mon cher fils. v.813 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Je plus infortuné de la troupe d'Esprits, v.814 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Où t'es-tu là rangé ? v.815 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Quel ennui te possède ? v.815 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Mais loin qu'en tes projets je te veuille trahir, v.817 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Enfilons la venelle. v.819 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ô fortune prospère, v.819 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Obéir à l'amour, c'est vous plaire mon père, v.820 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Sans doute. v.821 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- En quel endroit pourrait être mon trou, v.821 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si j'ouvre ma lanterne ils me rompent le cou, v.822 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut donc se résoudre, ô trop sourde lanterne, v.823 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- A ne pas ouvrir de peur qu'on me discerne. v.824 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- pour répondre à l'amour paternel, v.825 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je dois vous souhaiter un repos éternel ; v.826 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et qu'à mes voeux ardents le Ciel étant propice, v.827 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Vous sentiez sa clémence, et non pas sa justice. v.828 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- C'est mal prendre son temps pour ce triste propos. v.829 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Quelle grêle de coups va tomber sur mon dos. v.830 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- C'est bien fait, aussi bien je suis trop téméraire, v.831 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et j'eus trop peu d'esprit quand je le voulus faire. v.832 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Touchant les mille écus autrefois mal acquis, v.833 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Puisque pour être heureux il faut être sans tâche, v.835 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et qu'à vous contenter fortement je m'attache, v.836 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Votre ombre vagabonde aura droit désormais v.837 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- De goûter des douceurs qui ne cessent jamais. v.838 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Il a perdu le sens, quelle angoisse mortelle ! v.839 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Depuis quel temps, mon fils, n'as-tu plus de cervelle ? v.840 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Si mon esprit vous paraît altéré, v.841 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- C'est depuis votre mort qu'il est donc égaré ? v.842 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- D'être rossé je sens approcher l'heure. v.843 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je sais que dans mon âge il est temps que je meure, v.844 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Nous naissons pour mourir ; mais malgré cette loi v.845 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Mon jour n'est pas venu, je vis. v.846 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Pardonnez-moi ; v.846 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Vous êtes mort mon Père, et la chose est certaine. v.847 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pour si peu qu'il est mort ce n'en est pas la peine. v.848 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si je suis mort, c'est donc sans m'en apercevoir : v.849 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Mais de quelle personne as-tu pu le savoir. v.850 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Je tiens de Don Raymond cette triste nouvelle. v.851 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Il faut le détromper, hola de la chandelle. v.852 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- De la chandelle, hélas ! La feinte va finir, v.853 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- J'ai si bien fait le mort qu'il le faut devenir. v.854 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- De la clarté, fus donc, hola ! vite mon Maître, v.855 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Dès que tu me verras, tu sauras me connaître. v.856 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Cependant ma frayeur est sans comparaison. v.857 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- S'il faut faire l'Esprit, faisons le par raison, v.858 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et tâchons d'éviter les coups qu'on nous prépare. v.859 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pourquoi faire Messieurs un si grand tintamarre ? v.860 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- D'où vient que du sommeil.... v.861 (Acte 3, scène 4, L'H?TE)
- Mon fils. v.861 (Acte 3, scène 4, GUSMAN)
- Hélas mon_Dieu ! v.861 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- Quel horrible fantôme est gîté dans ce lieu ? v.862 (Acte 3, scène 4, L'H?TE)
- À moi vite garçons, de la clarté. v.863 (Acte 3, scène 4, L'H?TE)
- Une peur effroyable a coulé dans mon âme. v.864 (Acte 3, scène 4, LAZARILLE)
- Je vois d'autre chandelle. v.865 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- Je n'en sais rien. v.866 (Acte 3, scène 5, HENRIQUEZ)
- Je n'en sais rien aussi, v.866 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Tout me devient fatal, Ciel quelle est ma misère ! v.867 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Est-ce en vous que je vous l'ombre de feu mon père. v.868 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Tu vois ton père en vie. v.869 (Acte 3, scène 5, HENRIQUEZ)
- Hé bien, j'en suis d'accord, v.869 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Vous qui donc êtes-vous ? v.870 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Je suis ton père mort, v.870 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Oui, je suis, ô garçon ! Qui de moi voulut naître, v.871 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Aussi bien trépassé qu'aucun autre puisse être. v.872 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Tout me confond, mon trouble est plus fort que devant ; v.873 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Enfin mon père mort, ou mon père vivant, v.874 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Si de vous, ou de vous je reçus la naissance, v.875 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Donnez-m'en l'un ou l'autre une claire apparence. v.876 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Dans les traits de ton père envisage les tiens. v.877 (Acte 3, scène 5, HENRIQUEZ)
- La mort que j'ai soufferte a changé tous les miens, v.878 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- C'est un monstre infernal revêtu de ma forme. v.879 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Tu te laisses surprendre, et ne m'écoute pas. v.881 (Acte 3, scène 5, HENRIQUEZ)
- Que direz-vous, mon père a souffert le trépas, v.882 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- J'en suis certain. v.883 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- En vain donc je te prêche, v.883 (Acte 3, scène 5, HENRIQUEZ)
- De rentrer dans mon trou l'un et l'autre m'empêche, v.884 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- J'en enrage. v.885 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Il est temps de finir ma douleur, v.885 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- L'un des deux est sans doute, ou Sorcier, ou Voleur. v.886 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- C'est ma pensée, et l'ombre en a bien l'encolure. v.887 (Acte 3, scène 5, L'HÔTE)
- Ah ! Gros ventre de son, qui me fait une injure, v.888 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Malheur sur la maison de qui choque les morts. v.889 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Qui des deux soit mon père, excusez mes efforts. v.890 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- À mon secours, mon Maître, on me veut mener pendre. v.891 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Ne crains rien, je parais, et je viens te défendre. v.892 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- C'est Fabrice en effet, v.893 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Mais qui cesse de l'être en son malheur extrême, v.895 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Puisqu'il trouve un Rival dans un autre soi-même. v.896 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Celui qui cette nuit t'a causé de la peur, v.897 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Dès hier était d'Afrique un faux Ambassadeur ; v.898 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- C'est Gusman mon Valet dont tu vois la figure, v.899 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Qui de ton oncle même imita l'écriture, v.900 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Et qui pour t'éloigner d'un objet plein d'appas, v.901 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- De ton père vivant t'annonça le trépas. v.902 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Déloyal confident d'une ardeur infinie, v.903 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Quoi ! Ton coeur en secret brûle pour Stéphanie ? v.904 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Stéphanie ! v.905 (Acte 3, scène 6, HENRIQUEZ)
- Oui ! J'en suis amoureux, v.905 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Cette beauté charmante est l'objet de mes voeux. v.906 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Et j'attends des Dieux la puissance suprême..... v.908 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Point de serments, mon fils, vous Fabrice espérez. v.909 (Acte 3, scène 6, HENRIQUEZ)
- Quoi vous voulez ma perte et vous l'en assurez ? v.910 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Un Père m'opprimer, consentir à ma peine : v.911 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Mais, ô Dieux ! j'aperçois Ferdinand qui l'amène, v.912 (Acte 3, scène 6, LAZARILLE)
- Approchez bon vieillard. v.913 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Vous ai-je pas, Monsieur, déjà vu quelque part ? v.914 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- J'ignore en quel lieu ce peut être. v.915 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- Cette moitié d'anneau vous le fera connaître. v.916 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Qu'entends-je ? v.917 (Acte 3, scène 7, LAZARILLE)
- C'est donc vous ? Ah ! Je vous reconnais. v.917 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- ne cherchez désormais votre Père qu'en moi, v.918 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Je le suis, Stéphanie. v.919 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ô bonheur ! v.919 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Vous, mon Père ! v.920 (Acte 3, scène 7, STÉPHANIE)
- Ma fille. Lazarille amortis ton ardeur, v.921 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Au lieu d'une Maîtresse envisage une Soeur. v.922 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Une Soeur, je la tiens... v.923 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- Quoi, vous êtes son père ? v.923 (Acte 3, scène 7, STÉPHANIE)
- Il l'est ; De votre amant il devient votre frère, v.924 (Acte 3, scène 7, LAZARILLE)
- Quel besoin aviez-vous de cacher si longtemps.... v.925 (Acte 3, scène 7, LAZARILLE)
- Ailleurs je t'en dirai les secrets importants, v.926 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ce bonhomme sait tout. Cependant de Fabrice, v.927 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ma chère Stéphanie acceptez le service. v.928 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Mais, Monsieur, j'espérais...... v.929 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- Mon ardeur... v.930 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- M'est connue. v.930 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Il suffit ; vous verrez que je suis raisonnable. v.931 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Que plutôt ne te vois-je emporter par le Diable : v.932 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- Fort bien, notre espoir décevant, v.933 (Acte 3, scène 7, GUSMAN)
- Te fait le Vivant Mort, et moi le MORT VIVANT. v.934 (Acte 3, scène 7, GUSMAN)
GERMANICUS (1694)
- Ce nom, qui m'était cher, vous doit être suspect, v.2 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame, et votre hymen, dont la pompe s'étale, v.3 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Me défend désormais de vous traiter d'égale. v.4 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Demain l'heureux Drusus doit être votre époux : v.5 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Fils du maître du Monde il n'était dû qu'à vous ; v.6 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et j'ai blâmé le sort qui vous était contraire, v.7 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Jusqu'à vous abaisser à l'hymen de mon frère. v.8 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Je vous dirais pourtant, si j'osais aujourd'hui v.9 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Altérer votre joie en vous parlant de lui, v.10 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Qu'adoré du Sénat, comme l'était mon père, v.11 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- (Je laisse à part sa gloire, et ne la compte pas :) v.13 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Je croyais que Drusus fût un degré plus bas ; v.14 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Que cette adoption, pour peu qu'on s'en prévale, v.15 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Entre ces deux rivaux laissait quelque intervalle ; v.16 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et qu'à rendre justice aux sublimes vertus, v.17 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Le premier des mortels était Germanicus. v.18 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Une erreur si grossière est enfin dissipée : v.19 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- J'apprends par votre choix que je m'étais trompée, v.20 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame : Et je viens rendre au mérite éclatant, v.21 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Qui vous met au dessus du sort qui vous attend, v.22 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Tout ce qu'on peut devoir à l'épouse d'un homme, v.23 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Trouvé digne à vingt ans d'être Consul de Rome. v.24 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame, (puisqu'enfin vous m'ôtez la douceur v.25 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Que j'ai toujours trouvée à vous nommer ma soeur,) v.26 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Dans le trouble mortel dont mon âme est saisie v.27 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Je n'appréhendais rien de votre jalousie : v.28 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Vous avez du chagrin, et voulez l'exhaler : v.29 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- C'est votre amour qui parle. Et le mien va parler. v.30 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- J'aime Germanicus, Madame. Un mot si rude v.31 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- N'est pas l'effet honteux d'une indigne habitude ; v.32 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoi que grand par lui-même, et fameux par son sang, v.33 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce mot n'échappe guère à celles de mon rang : v.34 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais pour rendre justice au héros qu'on m'arrache, v.35 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- S'il m'est doux de l'aimer, il est beau qu'on le sache ; v.36 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Et que tout l'Univers justifie aujourd'hui, v.37 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Qu'il ne tient pas à moi, que je ne sois à lui. v.38 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- À Drusus qui vous plut l'Empereur me destine : v.39 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Sa main vous eût charmée, et sa main m'assassine. v.40 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Non qu'il ne soit grand homme, et qu'il n'ait des vertus : v.41 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoi que fils de Tibère, on estime Drusus : v.42 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- On l'a vu dans l'armée au sortir de l'enfance v.43 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Signaler sa valeur, et montrer sa prudence : v.44 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- C'est un héros naissant, un coeur noble, élevé ; v.45 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais l'amant que je perds en est un achevé : v.46 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Rome n'a jamais vu, quoique l'envie en dise, v.47 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Homme plus glorieux, ni gloire mieux acquise. v.48 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Et pour son coup d'essai le Danube enchaîné, v.49 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Fait voir à quels exploits les Dieux l'ont destiné. v.50 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Je le perds ce héros, et mon âme charmée v.51 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- À l'aimer tendrement s'était accoutumée. v.52 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- César me l'offrirait que je n'en voudrais plus, v.54 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame. Je l'aimai cet ingrat qui me quitte ; v.55 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Car pour Tibère enfin je m'en plaindrais à tort : v.58 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- De sa haine pour moi, j'attendais une preuve. v.59 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Il sait d'où je descends, et de qui je suis veuve. v.60 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- De mon aïeul Antoine Auguste fut jaloux : v.61 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Tibère le parut de Caïus mon époux : v.62 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- L'un qui pour Cléopâtre osa trop entreprendre, v.63 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- À l'Empire du Monde avait droit de prétendre : v.64 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et si l'autre eût vécu plus longtemps qu'il n'a fait, v.65 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Voila par quels motifs il me trouve importune. v.67 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Je l'ai vu de Caius, adorer la fortune ; v.68 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- S'attacher à sa suite, et souvent prés de lui v.69 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Redouter ma puissance, ou briguer mon appui. v.70 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Ce cruel souvenir le chagrine et le gêne : v.71 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Plus je l'ai vu soumis, plus j'en attends de haine ; v.72 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et depuis que le Monde obéit à ses lois v.73 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Il me rend les mépris qu'il reçut autrefois. v.74 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame, il va bientôt paraître : v.75 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- En voyant tant d'appas son amour peut renaître : v.76 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Je viens de le mander, et vous le pourrez voir. v.78 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Un seul remords... v.79 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Adieu. Quoique l'ingrat m'oublie, v.79 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Ma haine est faible encor et mon coeur s'en défie : v.80 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et je le veux, si je puis, le haïr assez bien v.81 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Pour le voir, le braver, et n'en redouter rien. v.82 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Le prince vient. v.83 (Acte 1, scène 2, FLAVIE)
- Seigneur, ma main vous est promise, v.83 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Et je puis avec vous parler avec franchise. v.84 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Ah Madame ! En ce fatal instant v.85 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Que mon sort serait beau si vous m'aimiez autant ! v.86 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- De quelque espoir flatteur que mon coeur s'entretienne, v.87 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Vous ne vous donnez pas quoi que je vous obtienne, v.88 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Mon hymen vous alarme, et vous vous trahissez ; v.89 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- On vous force à me prendre, et vous obéissez, v.90 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Quoique l'heur d'être à vous rende ma gloire extrême, v.91 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Ce bien semble usurpé s'il ne vient de vous-même ; v.92 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Et parmi les amants il n'est rien si cruel v.93 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Que d'avoir de l'amour qui n'est pas mutuel. v.94 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Ah Seigneur ! v.95 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Poursuivez, sans que rien vous contraigne. v.95 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Je lis dans votre coeur, Germanicus y règne : v.96 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- En vain à votre sort le mien doit être joint ; v.97 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Tant que vous l'aimerez vous ne m'aimerez point. v.98 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Bien qu'à votre vertu rien ne soit impossible, v.99 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Mon rival est aimable, et vous êtes sensible ; v.100 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Et de deux coeurs soumis qui vous rendront des soins, v.101 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Ce sera votre époux qui vous plaira le moins. v.102 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Je dois vous l'avouer, et le puis sans faiblesse : v.103 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- J'ai pour Germanicus eu beaucoup de tendresse. v.104 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- L'ordre exprès d'Agrippa, de qui je tiens le jour, v.105 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Contraignit mon devoir à souffrir son amour. v.106 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Au bruit qu'en sa faveur faisait la voix publique, v.107 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Pleine d'un si grand nom, j'obéis sans réplique. v.108 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vis Germanicus, c'est vous en dire assez ; v.109 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Rome lui rend justice, et vous le connaissez. v.110 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- À ce premier aspect nos esprits se troublèrent ; v.111 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Aussi-bien que nos yeux nos coeurs se rencontrèrent ; v.112 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Et sur moi sa parole eut un si grand crédit, v.113 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Qu'ayant dit qu'il m'aimait je crus ce qu'il me dit. v.114 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous avouerai plus, Seigneur : sa renommée v.115 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Avant que de le voir m'ayant déjà charmée, v.116 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Avec tant de mérite il ne fut pas haï ; v.117 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Et mon père jamais ne fut mieux obéi. v.118 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Accordez-moi, Seigneur, ce que j'ose prétendre : v.119 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- J'ai pour vous une estime aussi juste que tendre : v.120 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Je n'ai point de regret d'avoir su vous charmer ; v.121 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais donnez-moi le temps d'apprendre à vous aimer. v.122 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Différez un hymen où l'on veut me contraindre : v.123 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- J'ai des restes d'amour que je tâche d'éteindre ; v.124 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Et si Germanicus aigrit votre courroux v.125 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Laissez-le moi haïr avant que d'être à vous. v.126 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- À le haïr, Madame, avez-vous quelque pente ? v.127 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Je ne vous promet pas que mon coeur y consente. v.128 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Quand il faut à la haine abandonner ses jours, v.129 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Le coeur à la raison n'obéit pas toujours. v.130 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais, Seigneur, si je puis, je vaincrai ma faiblesse ; v.131 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Je fuirai le héros que j'aime avec tendresse ; v.132 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Et je le haïrai, puisqu'on le veut ainsi, v.133 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Laissez-moi le loisir, Seigneur, l'amour l'ordonne, v.135 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- De reprendre le coeur qu'il faut que je vous donne. v.136 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Un mois est peu de chose, il me suffit. v.137 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Un mois est peu de chose à vous qui n'aimez pas ! v.138 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Mais, Madame, aux amants dont les flammes paraissent, v.139 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Plus un hymen est proche, et plus les désirs croissent. v.140 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Quelque fausse vertu qu'on oppose à leur cours, v.141 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- S'ils ne sont à leur terme ils augmentent toujours : v.142 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Du bonheur qu'on attend l'âme est si possédée, v.143 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Qu'on s'en forme à soi-même une flatteuse idée : v.144 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- On aspire sans cesse à ce jour glorieux ; v.145 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Et le dernier moment est le plus ennuyeux. v.146 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Quelque peine pourtant que votre ordre me cause, v.147 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Je m'en vais pour un mois différer toute chose : v.148 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- À l'effort que je fais joignez-en un égal ; v.149 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Songez plus à m'aimer qu'à haïr mon rival. v.150 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Ne vous souvenez pas qu'il eut l'heur de vous plaire, v.151 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- En pensant le haïr vous feriez le contraire. v.152 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- C'est moi qui vous en prie : et peut-être entre nous, v.153 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- À vos souhaits, Madame, il a daigné se rendre. v.155 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Il a fait plus pour moi que je n'osais attendre. v.156 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Lui tiendrez-vous parole, et pourrez-vous haïr... v.157 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- L'Empereur le commande, il faut bien obéir. v.158 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Ce n'est pas là répondre, et quoi qu'on se propose v.159 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Pour haïr ce qu'on aime un mois est peu de chose : v.160 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Votre premier amant vit toujours sous vos lois. v.161 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Tu sais bien qu'à l'aimer je ne mis pas un mois. v.162 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Le terme est assez long pour avoir de la haine. v.163 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- On hait mal-aisément ce qu'on aima sans peine : v.164 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Et si j'ose, après tout, m'expliquer sur ce point, v.165 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Vous ne le pouvez pas, et ne le voulez point. v.166 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Bientôt Germanicus doit triompher dans Rome : v.167 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Vous aspirez encor à voir un si grand homme ; v.168 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Et si j'en sais juger, pour le voir sans péril, v.169 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Votre coeur est trop tendre, et l'amour trop subtil. v.170 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Mandez-lui qu'à ses voeux l'Empereur vous arrache : v.171 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Il est au bord de l'Elbe où son emploi l'attache. v.172 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Là son bras redoutable aux plus vaillants Germains, v.173 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Du malheur de Varus a vengé les Romains. v.174 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Rien de plus glorieux n'embellit nos Histoires ; v.175 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Par les Combats qu'il donne on compte les Victoires. v.176 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Son retour sera prompt, l'Ennemi fuit ses pas. v.177 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Écrivez-lui, Madame, et ne l'attendez pas. v.178 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Ne vous exposez point à des peines mortelles. v.179 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Germanicus... v.180 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Demain j'en aurai des nouvelles. v.180 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Pison, qui sert ma flamme en attend aujourd'hui. v.181 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Pison est sage, ardent, civil, soumis, fidèle : v.183 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Par les soins qu'il me rend il m'instruit de son zèle : v.184 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Avec un coeur sincère il me dit ce qu'il croit : v.185 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Ce qu'on m'écrit du Rhin, c'est lui qui le reçoit : v.186 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Il veut ce que je veux ; craint ce que j'appréhende ; v.187 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Et montre en ma faveur une bonté si grande, v.188 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Un respect si profond... v.189 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- De peur de le contraindre éloigne-toi d'ici. v.190 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Quand je l'aurai quitté je t'irai tout apprendre. v.191 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Que venez-vous de me dire, et qu'ai-je lieu d'attendre ? v.192 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Cher Pison. v.193 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Cette lettre, où sont peints vos secrets, v.193 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Dés hier me fut rendue, et je l'apporte exprès. v.194 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je serais criminel, sachant qui vous l'envoie, v.195 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si j'avais plus longtemps différé votre joie. v.196 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De vos rares bontés ce serait abuser ; v.197 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et mon plus grand plaisir est de vous en causer, v.198 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Il n'a pu jusqu'ici se bien faire connaître. v.200 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Aurait peine, peut-être, à se faire souffrir. v.202 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais à vous en parler les moments que j'emploie, v.203 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Sont autant de moments que j'ôte à votre joie : v.204 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ne la différez point, contentez votre esprit ; v.205 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et réglez vos desseins sur ce qu'on vous écrit. v.206 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ainsi que mon amour mon malheur est extrême ; v.207 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Tandis que dans ces lieux je signale ma foi v.208 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- On dispose de ce que j'aime v.209 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- En faveur d'un autre que moi. v.210 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- L'effort que je me fis quand je quittai vos charmes, v.211 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Le don de votre coeur suivit l'offre du mien : v.213 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Cependant prés de vous on cherche à me détruire ; v.214 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Ceux que mon sort afflige ont soin de me l'écrire ; v.215 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et vous ne m'en écrivez rien. v.216 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous me verrez dans Rome aussitôt que ma lettre, v.217 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- L'amour me joint à vous par de si puissants noeuds, v.219 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Je sais que l'Empereur parlera contre moi : v.221 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Le soin de son Armée est commis à ma foi ; v.222 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Mais je laisse en ma place un plus grand Capitaine. v.223 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Il doit approuver mon retour ; v.224 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et puisque j'ai servi sa haine, v.225 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Je puis bien servir mon amour. v.226 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Il vient, Pison ! v.227 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- GERMANICUS. (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Votre âme en paraît toute émue ; v.227 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Souhaitez-vous, Madame, ou craignez-vous sa vue ? v.228 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De grâce, examinez-vous bien. v.229 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je le veux voir, vous dis-je, et par votre moyen. v.230 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Eh, ne pourriez-vous point vous servir de quelque autre ? v.231 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De semblables secrets souffrent peu de témoins. v.233 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Hélas ! Que n'en sais-je un peu moins. v.234 (Acte 1, scène 4, PISON)
- M'est un plaisir fatal par le prix qu'il me coûte. v.236 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ce n'est pas que mon zèle ait jamais chancelé ; v.237 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Loin de me repentir de vous avoir servie, v.239 (Acte 1, scène 4, PISON)
- J'ai toujours même zèle, et toujours même envie ; v.240 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et je meurs de regret de venir en ce lieu v.241 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Pour y prendre votre ordre, et pour vous dire adieu. v.242 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ce discours me surprend, et j'ai peine à comprendre.. v.243 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Je me suis bien douté que j'allais vous surprendre. v.244 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais je sens dans mon coeur des transports si confus... v.245 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si je m'expliquais mieux je vous surprendrais plus. v.246 (Acte 1, scène 4, PISON)
- D'un départ si soudain vous me diriez la cause. v.248 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Avez-vous des raisons pour quitter ce séjour ? v.249 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Manque-t-on de raisons quand on a de l'amour ? v.250 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Une illustre beauté m'a su rendre sensible v.251 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais vous estes secret, j'ignore vos amours. v.253 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et s'il se peut, Madame, ignorez-les toujours. v.254 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Aux succès de mes feux tant d'obstacles s'opposent, v.255 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Que j'en fais un secret aux beaux yeux qui les causent. v.256 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mon amour jusqu'ici s'est si bien déguisé v.257 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'aussi-bien que mon coeur je m'y suis abusé. v.258 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand je vis la Beauté, qui doit m'être contraire, v.259 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je nommai bienveillance un désir de lui plaire : v.260 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je me plus à la voir, et je connus ainsi v.261 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'en lui voulant du bien je m'en voulais aussi. v.262 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je crus donc que ce nom n'était plus légitime, v.263 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et que ma bienveillance était lors pure estime : v.264 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais j'avais des transports et des troubles secrets, v.265 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Que pour l'estime seule on n'a presque jamais. v.266 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De l'audace d'aimer ne pouvant me défendre, v.267 (Acte 1, scène 4, PISON)
- J'appelai cette estime une amitié fort tendre : v.268 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais j'entendais mon coeur qui me disait tout bas, v.269 (Acte 1, scène 4, PISON)
- L'amitié rend tranquille, et je ne le suis pas. v.270 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Dans cette inquiétude où me plongeait ma flamme, v.271 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mille appas différents paraissaient tour à tour ; v.273 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et ma tendre amitié fut changée en amour. v.274 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Cet amour violent, quelque pur qu'il puisse être, v.275 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je l'aurais étouffé si je l'avais vu naître ; v.276 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais sous tant de faux noms il déguisa le sien, v.277 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'il régnait dans mon âme, et je n'en savais rien. v.278 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si vous eussiez parlé rien n'était difficile : v.279 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous deviez à ma foi confier vos secrets. v.281 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Hé quoi ! Mes yeux, Madame, ont-ils été muets ? v.282 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ne vous ont-ils rien dit d'une ardeur si puissante ? v.283 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Au langage des yeux je ne suis pas savante : v.284 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Mais si votre destin en peut être plus doux, v.285 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour hâter le succès d'une flamme si pure, v.287 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- De vos rares vertus je ferai la peinture : v.288 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Nommez donc cet objet qui vous a pu charmer ; v.289 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et je m'offre moi-même à vous en faire aimer. v.290 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- J'avais peur d'être ingrate, et je me sens ravie v.291 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Ne vous obstinez point à vouloir vous trahir. v.293 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- L'adorable Beauté qui captive mon âme, v.295 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand je vous aperçois, j'aperçois tous ses traits ; v.297 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Entre vous deux, enfin, la ressemblance est telle, v.299 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'étant auprès de vous je crois être auprès d'elle : v.300 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Vos appas et les siens lancent de mêmes coups ; v.301 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De moi, Pison ? v.303 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- De grâce ; achevez de m'entendre ; v.303 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais calmez ce courroux, ou daignez le suspendre ; v.304 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et d'une âme tranquille, en ce malheureux jour, v.305 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Punissez mon audace, ou plaignez mon amour. v.306 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je vous aime, Madame, et ce mot m'épouvante : v.307 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si c'est être coupable, estes-vous innocente ? v.308 (Acte 1, scène 4, PISON)
- J'obéis à mon sort, et ne m'en défends pas ; v.309 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Cet amour que j'étale a dû peu vous surprendre ; v.311 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si vous n'en donniez point, en aurais-je pu prendre ? v.312 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et qui des deux, enfin, fait un crime plus grand, v.313 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ou de l'oeil qui le donne, ou du coeur qui le prend ? v.314 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ah ! Pison, si mes yeux ont osé vous séduire, v.315 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Puisque je l'ignorais deviez-vous m'en instruire ? v.316 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ne saviez-vous pas qu'en trahissant leur sort, v.317 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Avec le sang d'Auguste ils n'étaient pas d'accord ? v.318 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- En tout autre que vous il serait punissable, v.319 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Cet amour qui m'outrage, et qui vous rend coupable : v.320 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous pouviez m'estimer, et me rendre des soins... v.321 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Eh ! que n'ai-je pas fait pour aimer un peu moins ? v.322 (Acte 1, scène 4, PISON)
- À l'aspect imprévu d'un mérite sublime, v.323 (Acte 1, scène 4, PISON)
- On n'a pas le loisir d'arrêter à l'estime ; v.324 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Comme un coeur qui s'enflamme ose plus qu'il ne croit, v.325 (Acte 1, scène 4, PISON)
- On se trouve à l'amour sans savoir qu'on y soit ; v.326 (Acte 1, scène 4, PISON)
- La raison et les sens ont beau faire divorce ; v.327 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand les sens sont gagnez la raison est sans force : v.328 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et si c'est vous trahir que d'avoir tant d'ardeur, v.329 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Le crime est de mon Astre, et non pas de mon coeur. v.330 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si mes faibles appas, qu'offensent votre flamme, v.331 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Ont osé s'abaisser jusqu'à toucher votre âme, v.332 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Je veux bien consentir qu'envers moi, sur ce point, v.333 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous soyez peu coupable, ou ne le soyez point : v.334 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Mais envers votre Prince, outragé par ce crime, v.335 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui pour votre mérite a tant conçu d'estime, v.336 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui chérit tendrement un ami supposé, v.337 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et qui croit si fidèle un rival déguisé ; v.338 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Quand de tant de bienfaits sa bonté vous accable, v.339 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Croyez-vous qu'envers lui vous soyez peu coupable ? v.340 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ne songez-vous point que vous seriez perdu, v.341 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Si quelqu'autre que moi vous avait entendu ? v.342 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Si ma témérité, qu'un seul mot peut confondre, v.343 (Acte 1, scène 4, PISON)
- À l'ardeur que je sens vous pressait de répondre ; v.344 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si mon coeur prévenu, corrompant mon devoir, v.345 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Pour flatter mon erreur concevait quelqu'espoir ; v.346 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Le Prince que je sers, dont la haine est à craindre, v.347 (Acte 1, scène 4, PISON)
- D'un ami si perfide aurait lieu de se plaindre ; v.348 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Par un crime, inutile à l'amour que j'ai pris. v.350 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais que n'ai-je pas fait en faveur de sa flamme ? v.351 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je l'ai peint à vos yeux tel qu'il est dans mon âme ; v.352 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et souvent à son feu sacrifiant le mien, v.353 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je me suis voulu mal à vous vouloir du bien. v.354 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Pour vous le faire aimer j'ai tout mis en usage. v.355 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Il est vrai que mon coeur démentait mon langage, v.356 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et de mon zèle extrême étant presque jaloux, v.357 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand je parlais pour lui, je soupirais pour vous : v.358 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quoi que ma passion n'ose rien s'en promettre, v.359 (Acte 1, scène 4, PISON)
- C'est un crime envers vous bien facile à commettre ; v.360 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et pour tout dire, enfin, quand il serait plus noir, v.361 (Acte 1, scène 4, PISON)
- C'est m'en punir assez que d'aimer sans espoir. v.362 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Laissez-moi me bannir. Mais de grâce, Madame, v.363 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Que ce soit de vos yeux, et non pas de votre âme : v.364 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quoi qu'au sort d'un époux vous alliez vous unir, v.365 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ne me bannissez pas de votre souvenir. v.366 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Laissez-moi me flatter de ce bon-heur extrême, v.367 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Que du moins, quelquefois vous direz en vous-même v.368 (Acte 1, scène 4, PISON)
- En parlant de Pison, en songeant à ses feux, v.369 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Il fut moins criminel, qu'il ne fut malheureux. v.370 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mon départ est douteux à vous voir davantage : v.371 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Adieu. Que cet adieu soit mon dernier hommage. v.372 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je vais partir sur l'heure, et je jure, en partant, v.373 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'aucun autre que moi n'aimera jamais tant. v.374 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ah ciel ! est-ce ainsi qu'on me laisse ? v.375 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour votre intérêt propre épargnez ma faiblesse, v.376 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Madame. Jusqu'ici je n'ai rien mis au jour v.377 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qui soit honteux pour vous, excepté mon amour : v.378 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais dans l'état funeste ou mon âme est réduite, v.379 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Du désordre où je suis j'appréhende la suite. v.380 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Vous voulez m'arrêter, et vos voeux sont les miens ; v.381 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais pour me retenir forgez-moi des liens. v.382 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quoi qu'avoir des rivaux soit un sort déplorable, v.383 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si je n'en avais qu'un je serais consolable : v.384 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand de votre main seule il serait possesseur, v.385 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je dirais en moi-même il m'en reste le coeur. v.386 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si du coeur au contraire il était le seul maître, v.387 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De sa main, me dirais-je, il ne peut jamais l'être ; v.388 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et de chaque côté rencontrant des appas, v.389 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je serais satisfait de ce qu'il n'aurait pas. v.390 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mon tranquille destin n'aurait rien de funeste ; v.391 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais à quoi que j'aspire aucun bien ne me reste ; v.392 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et de mes deux rivaux l'heur me rend alarmé, v.393 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Puisque l'un vous épouse, et que l'autre est aimé. v.394 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Au moins, pour m'arrêter, dites qu'on vous immole ; v.395 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Que le coeur où j'aspire est un bien qu'on vous vole ; v.396 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Que le fils de César en dispose aujourd'hui ; v.397 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'il serait tout à moi, s'il n'était tout à lui ; v.398 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et qu'enfin plus sensible à mon amour extrême... v.399 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Partez, Pison, partez, je vous chasse moi-même. v.400 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous m'étiez nécessaire, et vous le saviez bien : v.401 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- J'attendais tout de vous, je n'en attends plus rien. v.402 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Adieu ; contentez-vous d'une estime usurpée, v.403 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour entrer dans mon âme elle est trop occupée. v.404 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Les illustres rivaux, dont vous estes jaloux, v.405 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- La déchirent sans cesse, et c'est assez, sans vous. v.406 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- En quelqu'autre climat que le Ciel vous appelle, v.407 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Disposez du pouvoir que j'aurai dans ce lieu. v.409 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Je vous l'ordonne. v.410 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Mon amour te retient, et mon devoir te chasse. v.411 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoi ! Me chasser, Madame, avec un si grand soin. v.413 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Germanicus ne doit pas être loin, v.414 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je crains sa vue. v.415 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Hélas ! il suffit de le plaindre. v.415 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- D'un Amant si soumis vous n'avez rien à craindre. v.416 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- D'une main qu'il adore il respecte les coups. v.418 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Mais ne l'aimez-vous plus ? Sa disgrâce imprévue... v.419 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Et ne t'ai-je pas dit, que je craignais sa vue ? v.420 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Dans la dure contrainte ou mes voeux sont forcés, v.421 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Dire que je le crains, c'est m'expliquer assez. v.422 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Va de mon infortune instruire ce grand homme. v.423 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Drusus, je te l'avoue, est retourné dans Rome : v.424 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais ce charmant Séjour, ce Palais somptueux v.425 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Que les soins de Luculle ont rendu si fameux ; v.426 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Cette Maison célèbre aux plaisirs destinée, v.427 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Où se doit achever mon funeste hyménée ; v.428 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ces Jardins, admirez de tant de nations, v.429 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Par l'ordre de César sont remplis d'espions. v.430 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et le moyen, Albin, qu'un si grand capitaine, v.431 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Qui dans tout l'univers se cacherait à peine ; v.432 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Le moyen qu'un héros dont les premiers exploits v.433 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ont rangé le Danube, et le Rhin sous nos lois, v.434 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et laissant des Germains les campagnes désertes, v.435 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Vengé nos légions, et réparé nos pertes, v.436 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Cherche à me voir, me voie, et ne se montre pas, v.437 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- En des lieux où sa gloire a devancé ses pas ? v.438 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Dût-il n'être point vu, ma tendresse alarmée v.439 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Me le peindrait sans cesse avec sa Renommée : v.440 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et pour ne la pas craindre elle fait trop de bruit. v.442 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Va rejoindre ce Prince, et dis lui qu'il m'oublie : v.443 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Avant que de m'aimer, il aimait Émilie, v.444 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle est jeune, elle est belle, et d'un sang glorieux ; v.445 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Paul-Émile, et Pompée ont été ses aïeux ; v.446 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je le pris dans ses fers ; mon malheur l'y renvoie : v.447 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Un Amant tel que lui se retrouve avec joie : v.448 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il aura peu de peine à rentrer dans son coeur. v.449 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce conseil, cher Albin, m'échappe avec douleur. v.450 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Quelques voeux que je pousse ils vont tous à ton maître : v.452 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- C'est vers lui que je penche, et cent fois chaque jour, v.453 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce que j'ôte au devoir, je le donne à l'amour : v.454 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- C'est trahir son rival ; mais Albin, en revanche, v.455 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Notre hymen achevé, c'est vers lui que je penche : v.456 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et je fais à mon tour, pour lui rendre l'espoir, v.457 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Du débris de l'amour un hommage au devoir. v.458 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Va revoir ce héros, et dis lui qu'on m'immole ; v.459 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais s'il m'aime toujours que son coeur s'en console ; v.460 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et que de mon exemple il se fasse une loi : v.461 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je perds bien plus en lui qu'il ne peut perdre en moi. v.462 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Fais-lui voir que mon âme est dans un trouble extrême... v.463 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Son amour vous l'amène , il marche sur mes pas. v.465 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Et que me dira-t-il que je ne sache pas ? v.466 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Pense-t-il qu'à ses yeux je captive mes larmes ? v.467 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il m'est trop cher, Albin, pour le voir sans alarmes : v.468 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je sens bien que mon feu n'est éteint qu'à moitié ; v.469 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Si j'entends qu'il se plaigne il me fera pitié ; v.470 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ma raison de mes sens n'étant plus la maîtresse, v.471 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- La pitié que j'aurai séduira ma tendresse ; v.472 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et de cette tendresse où je crains le retour, v.473 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- On a qu'un pas à faire, et l'on est à l'amour. v.474 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- À sa flamme épargnez ce supplice : v.475 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Exiler sa douleur, c'est en être complice. v.476 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Il ne s'oubliera point à votre auguste aspect : v.477 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Cet amant qui perd tout ne perd pas le respect. v.478 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Il vous aime, et vous perd : Sa gloire est sans seconde v.479 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- S'il en coûte une larme aux plus beaux yeux du Monde : v.480 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Et si lors qu'on l'arrache à de si doux liens, v.481 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Vous poussez des soupirs qui rencontrent les siens, v.482 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Madame, encor un coup, permettez qu'il vous voie ; v.483 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Endormez sa douleur par une ombre de joie ; v.484 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- À le voir autrefois vos beaux yeux se sont plus, v.485 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Et crois-tu que je ne l'aime plus ? v.486 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Voyez-le donc : ce bien est le seul qu'il implore, v.487 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Au nom d'un peu d'amour, s'il vous en reste encore ; v.488 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Au nom de la pitié, si vous ne l'aimez plus. v.490 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Du moins c'est trop être interdite : v.491 (Acte 2, scène 1, FLAVIE)
- De l'absence du Prince, il est bon qu'on profite. v.492 (Acte 2, scène 1, FLAVIE)
- Ou souffrez qu'il vous voit, ou donnez d'autres lois. v.493 (Acte 2, scène 1, FLAVIE)
- Au moins ce sera donc pour la dernière fois. v.494 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Qu'il vienne. Et si je lui fut chère, v.495 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Que pour prix de l'effort qu'il me contraint de faire, v.496 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il ait soin de ma gloire, et ne l'expose pas. v.497 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Toi, qui m'est si fidèle, accompagne ses pas : v.498 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Amène ici ce Prince ; et de peur qu'on le voit, v.499 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Prends la plus sombre route, et la plus sûre voie. v.500 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Un Guerrier si fameux, dans un lieu si suspect, v.501 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- D'où me vient ce désordre, et pourquoi suis-je émue ? v.503 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- D'un Amant qu'on doit perdre écouter les soupirs, v.505 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Loin d'éteindre ses feux, c'est croître ses désirs. v.506 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Je ne le veux point voir ; c'est en vain qu'il m'en presse : v.507 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Si j'ai quelque vertu, j'ai beaucoup de tendresse ; v.508 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Et de quoi qu'on se flatte entre de vrais amants, v.509 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- La vertu la plus forte a de faibles moments. v.510 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Je révoque mon ordre, et ne veux point qu'il vienne. v.511 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Quelle surprise est égale à la mienne ? v.512 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- C'est Pison ! v.513 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Oui, Madame : et malgré mon adieu, v.513 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'interromps mon voyage, et reviens en ce lieu. v.514 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Si tantôt à vos yeux j'ai montré ma faiblesse, v.515 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Jusqu'à faire l'aveu d'un amour qui vous blesse, v.516 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Plus soumis à présent, j'y reviens à mon tour, v.517 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Étaler mon respect, et non plus mon amour. v.518 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Ce n'est pas que ma flamme obscurcit votre lustre, v.519 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Si le Ciel m'eut fait naître en un rang plus illustre : v.520 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Mais des droits de l'Amour aucun coeur n'est exempt ; v.521 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et ce que sent un Prince un autre homme le sent ; v.522 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Soit qu'on naisse du Peuple, ou d'un sang qu'on renomme, v.523 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Pour aimer comme j'aime il suffit qu'on soit homme. v.524 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Ce n'est pas à son choix qu'on se laisse enflammer : v.525 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Nous naissons pour mourir, et vivons pour aimer : v.526 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et de quoi qu'envers vous ma passion m'accuse, v.527 (Acte 2, scène 3, PISON)
- La beauté de mon crime en doit faire l'excuse. v.528 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Cet amour de mon coeur est banni pour jamais. v.529 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je suis guéri, Madame ; et vous allez connaître, v.531 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'ai repris sur moi-même un empire absolu. v.533 (Acte 2, scène 3, PISON)
- C'est assez qu'une fois mon amour ait déplu. v.534 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je ne vous dirai plus, puisque tout m'est contraire, v.535 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Que mon sort est d'aimer, si le vôtre est de plaire : v.536 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je ne vous dirai plus, qu'asservi par vos yeux, v.537 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je regardais mes fers comme un bien précieux : v.538 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je ne vous dirai plus, que l'amour qui m'enchaîne, v.539 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Me fait voir un supplice à l'hymen qui vous gêne : v.540 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je ne vous dirai plus qu'épris de vos appas... v.541 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Vous ne le direz plus ! ne le dites-vous pas ? v.542 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Dans le trouble inquiet, dont mon âme est atteinte, v.543 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'avais presque oublié que ma flamme est éteinte : v.544 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Mon esprit dégagé reprenait ses liens ; v.545 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et le feu de vos yeux rallumait tous les miens. v.546 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Suspendez leur pouvoir qui fait naître ma peine, v.547 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Pour apprendre en repos quel sujet me ramène : v.548 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et, tandis qu'en ce lieu nous voila sans témoins, v.549 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Pour juger de mon zèle apprenez tous mes soins. v.550 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je voyais l'Aventin disparaître à ma vue, v.552 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Lorsqu'avec ce grand air, qui fait pâlir d'effroi, v.553 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'ai vu Germanicus avancer prés de moi. v.554 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Votre gloire en danger m'a fait blâmer ma fuite : v.556 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Le retour de ce Prince allait trop éclater ; v.557 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Oui, Pison, c'est en vain que j'hésite : v.559 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Pour le voir sans alarme il a trop de mérite. v.560 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Quand de quelque vertu mon coeur serait armé, v.561 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Vous savez qu'à le vaincre il est accoutumé. v.562 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Ce n'est pas que ce coeur, si je l'en voulais croire, v.563 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Ne promette à mes voeux d'avoir soin de ma gloire : v.564 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Quoique Germanicus ait sur lui de pouvoir, v.565 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- De l'espoir du triomphe il flatte mon devoir : v.566 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- À ce devoir crédule il fait sans cesse entendre, v.567 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Qu'à ses lois, qu'il respecte, il est prêt de se rendre ; v.568 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Mais, s'il faut tout vous dire, il est si peu constant v.569 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Qu'à l'Amour aussitôt il en promet autant : v.570 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Et je crois, contre un coeur qui chancelle, et qui tremble, v.571 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Que l'amour et l'amant sont trop fort joints ensemble. v.572 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Par pitié pour ma gloire allez donc l'avertir v.573 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Qu'à le voir un moment je ne puis consentir. v.574 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Mais à moins d'être prompt vous perdez votre peine : v.575 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Il m'a fait prévenir, et je crois qu'on l'amène : v.576 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Albin, son confident vient de sortir d'ici. v.577 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Je vous l'apprends. v.578 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- C'est un homme discret, mais à quoi qu'il s'engage, v.579 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Votre gloire est d'un prix qu'il est bon qu'on ménage. v.580 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Je n'ai pu sans douleur, malgré tous vos dédains, v.581 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Voir un si grand dépôt en de si faibles mains. v.582 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et je rends grâce au Ciel qui m'en offre une voie. v.584 (Acte 2, scène 3, PISON)
- À fuir Germanicus votre vertu consent ; v.585 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Vous voulez qu'il l'apprenne, et votre ordre est pressant : v.586 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'obéis sans réplique ; et de peur qu'on l'amène... v.587 (Acte 2, scène 3, PISON)
- N'a-t-il point demandé si je le perds sans peine ? v.588 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- L'âme toute agitée, et le coeur plein d'ennui, v.589 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Il s'est enquis à moi, si vous songiez à lui ? v.590 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Si l'époux qu'on vous donne a pour vous tant de charmes ? v.591 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et si vous le perdez sans verser quelques larmes ? v.592 (Acte 2, scène 3, PISON)
- De n'aimer que lui seul, comme il n'aime que vous : v.594 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Que son rare mérite est gravé dans votre âme ; v.595 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et qu'un Prince absolu vous arrache à sa flamme. v.596 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et qu'a-t-il répondu ? v.597 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Ses soupirs à l'instant... v.597 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Mais, Madame, il viendra si vous m'arrêtez tant. v.598 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Ne vous exposez point à ce péril extrême : v.599 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Les moments durent peu quand on voit ce qu'on aime. v.600 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Si Drusus avec lui vous surprend sans témoins... v.601 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Ah ! Pison, je m'égare, et l'on s'égare à moins. v.602 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Demeurez. Vous, présent, j'aurai moins de faiblesse. v.604 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Si mon coeur se hasarde à rien faire de bas, v.605 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Ayez soin de ma gloire, et ne le souffrez pas. v.606 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Je promets, puisqu'en vain vous m'aimez l'un et l'autre, v.607 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- De traiter son amour comme j'ai fait le vôtre : v.608 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Et m'aimant, sans espoir, il vous doit être doux v.609 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Qu'un héros, comme lui, soit traité comme vous. v.610 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Enfin, Prince, votre âme a lieu d'être contente : v.611 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Vos illustres exploits ont rempli notre attente : v.612 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si l'on doit d'un grand coeur attendre un grand effet, v.613 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- On attendait de vous ce que vous avez fait. v.614 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Moi, qui pour vous, Seigneur, n'ai rien craint de funeste, v.615 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Apprenant vos Combats, je devinais le reste ; v.616 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et souvent de ma joie étalant tout l'excès, v.617 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- En voyant mon visage on lisait vos succès. v.618 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si de l'Elbe et du Rhin l'audace est confondue, v.619 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- C'est à vous, plus qu'à moi, que la gloire en est due. v.620 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je dois moins les exploits que j'ai faits en tous lieux v.621 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- À l'effort de mon bras, qu'au pouvoir de vos yeux. v.622 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- L'impatient désir de revoir tant de charmes v.623 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Animant ma valeur, favorisait mes armes : v.624 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Plus de mes Ennemis succombaient sous mes coups, v.625 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Plus je faisais de pas qui m'approchaient de vous : v.626 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Dans l'espoir de m'y rendre, et d'avoir cette joie, v.627 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Sur des corps expirants je frayais une voie ; v.628 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et trouvais moins de gloire à les priver du jour v.629 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je vous aime, et vous vois, mon bonheur est extrême... v.631 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Adieu, Prince. v.632 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Aucun autre sujet ne m'amène en ce lieu : v.633 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je crains trop un combat dont l'issue est douteuse, v.635 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Seigneur. v.636 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et votre fuite, est-elle point honteuse ? v.636 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Après trois ans d'absence il m'eût été bien doux v.637 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- De pouvoir plus longtemps demeurer prés de vous. v.638 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je m'étais assuré d'une ardeur mutuelle : v.639 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et que votre beauté, qu'on enlève à ma foi, v.641 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Charmerait tout le monde, et ne serait qu'à moi. v.642 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Cependant... v.643 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Ah ! Seigneur, laissez-moi l'innocence : v.643 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Épargnez à ma gloire un soupçon qui l'offense : v.644 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À mon coeur tout à vous n'imputez rien de bas ; v.645 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et si l'on vous trahit, ne m'en accusez pas. v.646 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous m'aimez, je vous fuis, et je le dois sans doute : v.647 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Mais vous ne savez pas quelle peine il m'en coûte : v.648 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Votre amour défiant en veut être éclairci. v.649 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Empêchez que Drusus ne nous surprenne ici. v.650 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous me connaissez, Prince, ou devez me connaître : v.651 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Quoique sente mon coeur, mon devoir est le maître. v.652 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Quand par l'ordre d'un père il fallut vous aimer, v.653 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Aujourd'hui qu'à mes voeux on impose silence, v.655 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- J'obéis avec peine, et me fais violence ; v.656 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et loin d'être insensible à de si rudes coups, v.657 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Je m'arrache à moi-même en m'arrachant à vous. v.658 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- En faveur de l'amour tout mon coeur se déclare : v.659 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À remplir mon devoir tout mon sang se prépare ; v.660 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ces deux opposez sont d'illustres tyrans, v.661 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui demandent de moi des efforts différents. v.662 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si j'écoute mon sang, que le feu déshonore, v.663 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Mon devoir m'est trop cher pour vous aimer encore : v.664 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si j'entends de l'amour les conseils absolus, v.665 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Je vous ai trop aimé, pour ne vous aimer plus : v.666 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ma vertu qui chancelle, en cet état réduite, v.667 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et de peur que l'amour n'ébranlât le devoir, v.669 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- N'ose s'accoutumer au plaisir de vous voir. v.670 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- L'inutile secours d'une pitié cruelle ? v.672 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Ces regrets si touchants ont pour moi peu d'appas ; v.673 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Rendez-moi votre amour, et ne me plaignez pas. v.674 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Me vouloir tant de bien, et ne m'en pouvoir faire, v.675 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- C'est me faire un honneur qui m'est peu nécessaire. v.676 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mon rival moins aimé vous épouse demain ; v.677 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Quand j'aurais votre coeur, il aura votre main ; v.678 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Devenu par l'hymen la moitié de vous-même v.679 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Il vous rendra des soins ; préviendra vos désirs ; v.682 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Lui rendra soins pour soins ; tendresses pour tendresses ; v.684 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et de tout son dépit votre coeur de retour, v.685 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Vous ferez par vertu ce qu'on fait par amour. v.686 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Dans les bras d'un époux, possesseur de vos charmes, v.687 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Qui de tant de plaisirs jouira sans alarmes, v.688 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- D'un soupir favorable honorer ma douleur, v.689 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- C'est plaindre mon destin, sans le rendre meilleur. v.690 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Si vous jetez les yeux sur mon affreux supplice, v.691 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Peut-être avouerez-vous qu'on me fait injustice, v.692 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Une épouse adorable, et des plaisirs égaux : v.694 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mais à votre vertu quelqu'effort qu'il en coûte, v.695 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Ces plaisirs souhaitez, valent-ils ceux qu'il goûte ? v.696 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et de votre pitié le secours apparent, v.697 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Rend-il mon sort moins rude, et mon malheur moins grand ? v.698 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je vois avec douleur celle d'un si grand homme ; v.699 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Drusus va revenir de Rome. v.700 (Acte 2, scène 4, PISON)
- Croyez-vous qu'il revienne ? v.702 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- On l'attend. v.702 (Acte 2, scène 4, PISON)
- Pour calmer un transport, qui me serait funeste, v.703 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Votre bonté, Madame, aura du temps de reste. v.704 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Sauvez-moi de moi-même, et sans plus m'alarmer... v.705 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je vous l'ai déjà dit, que puis-je, enfin ? v.706 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous aimer ! Ah, Seigneur, qu'osez-vous me prescrire ? v.707 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Songez-y : des malheurs vous souhaitez le pire. v.708 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous garder ma tendresse, et l'oser mettre au jour, v.709 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- C'est blesser ma vertu, sans flatter votre amour : v.710 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Car, enfin, quoi qu'aimé par l'aveu de mon père, v.711 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À l'époux que j'aurai je me dois toute entière ; v.712 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ne présumez pas qu'en un sort si cruel, v.713 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Il échappe à ma gloire un désir criminel. v.714 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Par amour l'un pour l'autre, amortissons nos flammes ; v.715 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Arrachons de nos coeurs ce qui trouble nos âmes ; v.716 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ne nous souvenons plus de ces tendres discours, v.717 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Que nos yeux éloquents se faisaient tous les jours : v.718 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Effaçons avec soin de notre âme obsédée, v.719 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Tout ce qui de nos feux peut retracer l'idée ; v.720 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Veuillez m'aimer assez pour ne m'aimer jamais. v.722 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Plus je suis avec vous, plus j'ai l'âme attendrie : v.723 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ne me revoyez plus ; c'est moi qui vous en prie : v.724 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Des maux que je vous fais, c'est me punir assez. v.726 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ramenez-moi, Pison. Adieu, Prince. v.727 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À travers vos discours je pénètre en votre âme : v.728 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et votre ambition va trahir mon amour. v.730 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mon rival prés du trône, où j'ai droit de prétendre, v.731 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Fait que jusques à moi vous craignez de descendre. v.732 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je ne murmure point, quel_que_soit votre arrêt : v.733 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mon amour qui vous plût, à présent vous déplaît. v.734 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Hé bien, Madame, allez, perdez-en la mémoire ; v.735 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- À l'appas qu'on vous offre immolez votre gloire : v.736 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Ne vous souvenez plus que l'amour que je plains, v.737 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Étant né de vos yeux, va mourir par vos mains. v.738 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je sais bien que mon coeur, est indigne du vôtre ; v.739 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mais, enfin, son rebut sera bon à quelque autre : v.740 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- J'aurai soin de me rendre à qui vous m'avez pris. v.742 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- La Princesse Émilie, indulgente à mon crime, v.743 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Apprenant mon remords, me rendra son estime : v.744 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Obligé pour vous plaire de lui manquer de foi, v.745 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Vos appas séducteurs corrompirent mon zèle ; v.747 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Pour me donner à vous, je fus ingrat pour elle ; v.748 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et d'un prix assez grand c'est payer vos attraits, v.749 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Quand il en coûte un crime à qui n'en fit jamais. v.750 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je n'attendais pas, Prince, en un si sort si contraire, v.751 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Un outrage si grand d'une bouche si chère : v.752 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ce reproche est sensible ; et si vous m'aimiez bien, v.753 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À ma juste douleur vous n'ajouteriez rien. v.754 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous me connaissiez mal, si vous avez pu croire v.755 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Qu'à l'éclat d'un haut rang j'immolasse ma gloire : v.756 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ma plus sensible joie eût été d'être à vous. v.758 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Le bonheur qui m'échappe, est un bonheur insigne, v.759 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Dont il faut que le Ciel ne me juge pas digne. v.760 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- La Princesse Émilie, exorable à vos soins, v.761 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Aura plus de mérite, et vous coûtera moins. v.762 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À des fers qu'il fuyait, ramenez un rebelle : v.763 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Loin de faire des voeux contre vous, ou contre elle, v.764 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Je souhaite ardemment, vous ayant enflammé, v.765 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Qu'elle vous aime autant que je vous eusse aimé. v.766 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et pour dernière marque et d'amour, et d'estime, v.767 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si mes faibles appas vous coûtèrent un crime, v.768 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour mettre en sûreté vos sublimes vertus, v.769 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Désormais, par respect, je ne vous verrai plus. v.770 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ramenez-moi. v.771 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Ah ! Que viens-tu m'apprendre ? v.771 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Que le Fils de César dans ce lieu se va rendre. v.772 (Acte 2, scène 5, FLAVIE)
- Il arrive de Rome, et s'avance à grands pas. v.773 (Acte 2, scène 5, FLAVIE)
- Sortez donc vite, Prince, et ne me perdez pas. v.774 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Si Drusus... Ah ! Pison, il y va de ma gloire, v.775 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Pour conduire en secret ce Prince en d'autres lieux, v.777 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- C'est sur vous seul, enfin, que je jette les yeux. v.778 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Et vous, dans ce moment funeste, v.779 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Seigneur, si du passé le souvenir vous reste, v.780 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Par bonté, par justice, ou du moins par pitié, v.781 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- De son Appartement acceptez la moitié. v.782 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Pour l'en faire sortir avec pleine assurance, v.783 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- D'un moment favorable attendez la présence. v.784 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Si Drusus l'aperçoit, l'apparence me perd ; v.785 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Cependant tout mon crime est de l'avoir souffert. v.786 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- C'est mon honneur, Pison, qu'ici je vous confie : v.788 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Et si j'ose avec vous m'expliquer à mon tour, v.789 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Vous n'êtes pas le seul que maltraite l'Amour. v.790 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Dans votre Appartement le Prince va se rendre ; v.791 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- J'ai devancé ses pas pour venir vous l'apprendre. v.792 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Du secret qu'on lui cache il semble être éclairci ; v.793 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Quelqu'un peut avoir vu Germanicus ici. v.794 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Agripine du moins obstinée à le croire, v.795 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- À vos soins obligeants recommande sa gloire. v.796 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Si le bien de lui plaire a pour vous des appas, v.797 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Dans un si grand péril ne l'abandonnez pas. v.798 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- L'apparence d'un crime est un crime pour elle ; v.800 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Et si l'on voit ici son rival triomphant, v.801 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Tout condamne Agripine, et rien ne la défend. v.802 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Assez loin de ce lieu je viens de le conduire : v.803 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Pour la mettre en repos, retournez l'en instruire. v.804 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Je l'aurais été voir, pour lui donner avis v.805 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Que le chemin de Rome est celui qu'il a pris. v.806 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Sûr de mettre un obstacle à l'hymen qu'il redoute, v.807 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Je n'ai pu le contraindre à prendre une autre route. v.808 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Dût-il rendre à jamais ses jours infortunés... v.809 (Acte 3, scène 1, PISON)
- La Princesse saura ce que vous m'apprenez, v.810 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Seigneur ; et de ce pas je m'en vais tout lui dire. v.811 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Le Prince qui paraît, fait que je me retire. v.812 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Adieu. Souvenez-vous que l'on voit aujourd'hui v.813 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Une fille d'Auguste implorer votre appui. v.814 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Si j'en crois un grand bruit qui se vient de répandre, v.815 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mon rival est dans Rome, ou du moins s'y va rendre. v.816 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Prés du Mont Apennin Rufus l'a rencontré : v.817 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- L'Empereur par lui-même en vient d'être assuré. v.818 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Votre rival, Seigneur ! Germanicus ? v.819 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Rome de son retour montre une joie extrême : v.820 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et déjà le Sénat qui se veut assembler, v.821 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Des suprêmes Honneurs croit le devoir combler. v.822 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- D'un Consul seulement son audace est blâmée ; v.823 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Il soutient qu'à sa flamme il immole une Armée ; v.824 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Que c'est insulter Rome, et braver sa grandeur ; v.825 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et qu'à sa discipline elle doit sa splendeur : v.826 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Qu'un savant général promet, jure, et s'oblige v.827 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- De la faire observer, s'il voit qu'on la néglige ; v.828 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et que pour une faute, utile à son pays, v.829 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Manlius autrefois sacrifia son fils. v.830 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mais le peuple charmé, loin de vouloir l'entendre, v.831 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Pour servir mon rival, s'offre à tout entreprendre : v.832 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Son zèle impétueux, dont j'ai vu les effets, v.833 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Lui prodigue des noms qu'Auguste n'eut jamais. v.834 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- On s'assemble par tout, et par tout on le nomme v.835 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Le plus grand des Césars ; l'espérance de Rome ; v.836 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- L'inébranlable appui de l'Empire Romain ; v.837 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et pour dire encor plus, l'honneur du genre humain. v.838 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Ce bruit qui vous alarme est-il su d'Agripine ? v.839 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Ce bruit m'alarme moins qu'on ne se l'imagine. v.840 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Un secret su de vous, n'en est pas moins secret : v.842 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Agripine cent fois me l'a dit elle-même. v.844 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Que je l'épouse ou non, je suis bien informé v.845 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Qu'il ne tient pas à vous que je n'en sois aimé. v.846 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Quand je vous ai surpris lui parlant de ma flamme, v.847 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Il semblait que ses yeux en causaient dans votre âme : v.848 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Pour lui mieux exprimer ce que sentait mon coeur, v.849 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Votre zèle obligeant empruntait mon ardeur : v.850 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Vous me l'aviez promis, et je vous le confesse ; v.851 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mais vous m'avez trop bien tenu votre promesse. v.852 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Moi, Seigneur ? v.853 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Oui, Pison, je dois trop à vos soins : v.853 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Je vivrais plus heureux si je vous devais moins. v.854 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Car enfin, c'est en vain que l'Empereur s'obstine v.855 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- À vouloir que mon coeur soit le prix d'Agripine : v.856 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Je crois l'avoir aimée, et je ne l'aime plus : v.858 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Voila le grand secret que j'avais à vous dire. v.859 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Les attraits de Livie ont sur moi trop d'empire. v.860 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Mon coeur, qui dans ses fers a trop longtemps vécu, v.861 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Par ses premiers vainqueurs, est de nouveau vaincu. v.862 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- J'appréhendais Livie, et je l'ai tantôt vue ; v.863 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- En voulant me parler son âme s'est émue ; v.864 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Preste à me reprocher mon crime, et sa bonté, v.865 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Un retour de tendresse a trahi sa fierté. v.866 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Quoi que l'emportement pour son sexe ait de charmes, v.867 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Son amour à ses yeux n'a permis que des larmes ; v.868 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et son tendre courroux, sa paisible douleur, v.869 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Contre mon injustice ont révolté mon coeur. v.870 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Je ne vous dirai point, d'un objet qui sait plaire, v.871 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Quel effet une larme est capable de faire : v.872 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Si vous avez aimé, Pison, vous savez bien v.873 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Qu'aux pleurs d'une maîtresse on ne refuse rien : v.874 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- De ces pleurs tout-puissants le charme imperceptible, v.875 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Dans le coeur le plus dur trouve un endroit sensible ; v.876 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et je me voudrais mal si des yeux pleins d'appas v.877 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Répandaient une larme, et ne me touchaient pas. v.878 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Ce retour vers Livie a droit de me surprendre : v.879 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Vous lui devez le coeur que vous lui voulez rendre ; v.880 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Mais après tout, Seigneur, à vous parler sans fard, v.881 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Y songer à présent, est y songer trop tard. v.882 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Autant que je l'ai pu, j'ai condamné l'envie v.883 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Qui vous fit pour une autre abandonner Livie : v.884 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Vous passiez sous ses lois des moments assez doux : v.885 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Elle n'aimait, Seigneur, et n'aime encor que vous. v.886 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Un amour si confiant pour un Amant rebelle, v.887 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Vous prête un digne exemple à demeurer fidèle : v.888 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Tout parle en sa faveur ; mais enfin... v.889 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Ah ! Pison, v.889 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Elle vient ; vos conseils ne sont plus de saison. v.890 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Laissez-nous seuls. v.891 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Seigneur, vous auriez quelque peine v.891 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- À vous imaginer le sujet qui m'amène. v.892 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je ne viens point ici par d'indignes soupirs v.893 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Mendier le retour de vos ardents désirs : v.894 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je laisse en leur amour à d'obscures Princesses v.895 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- La honte de descendre à de telles bassesses ; v.896 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- S'il rentrait dans mes fers par une lâcheté. v.898 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Soeur de Germanicus , veuve d'un fils d'Auguste, v.899 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- La fierté que je montre est peut-être assez juste. v.900 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Toute juste qu'elle est, je confesse pourtant, v.901 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que pour vous autrefois je n'en avais pas tant : v.902 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Pour ne pas être ingrate à l'amour le plus tendre v.903 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que pour une Princesse un héros puisse prendre, v.904 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- (Car il faut l'avouer, estimé de chacun, v.905 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Il semblait qu'à l'État vous en promettiez un ;) v.906 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je vous aimai, Seigneur. Si j'osais vous le taire v.907 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous pourriez m'accuser de n'être pas sincère ; v.908 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et pour vous faire voir à quel point je la suis, v.909 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je sens que je vous hais autant que je le puis. v.910 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Le trouble où je vous vois me découvre sans peine v.911 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que ma vue en ce lieu vous alarme et vous gêne. v.912 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous craignez qu'Agripine adresse ici ses pas : v.913 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Rassurez-vous, Seigneur, je n'y tarderai pas. v.914 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- D'avoir tant de témoins de votre perfidie : v.916 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ces Billets d'un Ingrat, dont le coeur m'étais cher : v.917 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- D'autant plus criminels qu'ils ont l'art de toucher ; v.918 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ces écrits dangereux, dont j'ai fait mes délices, v.919 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Qui pour charmer mes sens ont été vos complices : v.920 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ces imposteurs, enfin, qui m'ont osé trahir ; v.921 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Si je les faisais voir, vous feraient trop haïr. v.922 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je vous les rends. Mon coeur est assez magnanime v.923 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Pour se faire un plaisir de cacher votre crime : v.924 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et sans faire éclater un indigne courroux, v.925 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je vous laisse le soin de me venger de vous. v.926 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Le destin des Ingrats d'ordinaire est funeste. v.927 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et si de ma bonté la mémoire vous reste, v.928 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et que vous l'opposiez à votre trahison, v.929 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Il suffira de vous pour m'en faire raison. v.930 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Tenez, Prince. v.931 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Madame, au nom de ce que j'aime... v.931 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- En croirez-vous mon coeur, s'il dit que c'est vous-même ? v.932 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Moi ! Seigneur ? v.933 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous pouvez, pour hâter mon trépas, v.933 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Avoir la cruauté de ne me croire pas. v.934 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Vous aimer, vous le dire, après mon inconstance, v.935 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- C'est vous faire, sans doute, une nouvelle offense ; v.936 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Mais dussai-je être en bute à tout votre courroux, v.937 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il n'est rien de si vrai que je n'aime que vous. v.938 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Au nom des Dieux, témoins de cet amour extrême, v.939 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et pour dire encor plus, au nom de ce que j'aime ; v.940 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Pour ne pas m'exposer à des maux infinis, v.941 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Oubliez le forfait qui nous a désunis. v.942 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je sais qu'en vous quittant je vous fis un outrage v.943 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que pardonne avec peine un généreux courage : v.944 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- À vos rares bontés mon coeur accoutumé v.945 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Goutait tranquillement la douceur d'être aimé : v.946 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je vivais dans vos fers, et fus m'offrir à d'autres, v.947 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Plus pesants mille fois que ne le sont les autres, v.948 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je ne le cite point pour me faire excuser. v.950 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Si j'avais eu pour vous cet amour pur et tendre, v.951 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que depuis mes remords vos appas m'ont fait prendre, v.952 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Les Dieux, joints à César, qui m'a donné le jour, v.953 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Me l'auraient arraché plutôt que mon amour. v.954 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Mon retour dans vos fers rend leur gloire plus grande. v.955 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Pour n'en plus échapper je vous les redemande. v.956 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Daignez rendre le calme à mes sens agitez : v.957 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'ai repris mon amour, reprenez vos bontés : v.958 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ne désespérez point un coeur qui vous adore : v.959 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- S'il eut l'heur de vous plaire il vous doit plaire encore : v.960 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il est plus amoureux qu'il ne le fut jamais. v.962 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'en atteste des Dieux la majesté suprême ; v.963 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'en atteste... v.964 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Autrefois vous en usiez de même. v.964 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vos perfides serments, tant de fois redoublez, v.965 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Par votre ingratitude ont été violez. v.966 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Non, non, le repentir où votre âme est forcée, v.967 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ne rend pas son éclat à ma gloire offensée : v.968 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Dans le rang où je suis, et du sang dont je sors, v.969 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ce serait me trahir qu'accepter un remords. v.970 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Épargnez-moi, Seigneur, la honte qu'il imprime ; v.971 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Il n'est point de remords qui ne précède un crime : v.972 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et qui m'a fait l'affront de m'arracher sa foi, v.973 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- N'a plus rien à m'offrir qui soit digne de moi. v.974 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous m'avez outragée, et ce m'est une joie v.975 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que d'un juste remords votre coeur soit la proie. v.976 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous forçât à m'aimer autant que je vous hais. v.978 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Au moins à votre tour vous verriez par vous-même v.979 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Combien touche un mépris qui part de ce qu'on aime : v.980 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Quoi que dans cet état la raison puisse offrir, v.981 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- C'est de tous les tourments le plus dur à souffrir. v.982 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous sentiriez, pour peu que vous soyez sensible, v.983 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Pour vous tyranniser tout prendrait mon parti ; v.985 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et vous ne sentiriez que ce que j'ai senti. v.986 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Hé bien, Madame, hé bien, si pour vous satisfaire v.987 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Le retour de mes feux vous était nécessaire, v.988 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- S'il faut vous adorer pour mieux sentir vos coups ; v.989 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ne perdez point de temps, Madame, vengez-vous. v.990 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- À d'éternels mépris abandonnez un traître : v.991 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'ai pour vous un amour qui ne saurait plus croître ; v.992 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et pour bien éprouver toutes vos cruautés v.993 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Me voila dans l'état où vous me souhaitez. v.994 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je ne m'oppose point à cette juste envie : v.995 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- À qui vit sous vos lois c'est un bien que la vie : v.996 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Tandis que vous m'aimiez j'en avais quelque soin ; v.997 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Si vous ne m'aimez plus, je n'en ai plus besoin : v.998 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je vous l'offre avec joie, et la perdrai sans peine, v.999 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Si je fais en mourant expirer votre haine ; v.1000 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et qu'après mon trépas votre courroux éteint, v.1001 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Laisse à mon triste sort la douceur d'être plaint. v.1002 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Mon coeur qui fit le crime aura soin du supplice ; v.1004 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et mon dernier soupir, offert à vos appas, v.1005 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Seigneur, ne m'attendrissez pas. v.1006 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Si je m'étais rendue à vos fausses tendresses v.1007 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous me seriez garant de toutes mes faiblesses. v.1008 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Contentez-vous du trouble où vous me réduisez : v.1009 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Cessez de m'étaler le remords qui vous gêne : v.1011 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous me faites douter du succès de ma haine ; v.1012 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et preste à me venger de votre trahison v.1013 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous corrompez, ingrat, jusques à ma raison : v.1014 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Elle, mon coeur, et vous, tout cherche à me surprendre. v.1015 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Reprenez vos écrits, si vous les voulez prendre, v.1016 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Seigneur ; je risque trop à demeurer ici. v.1017 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Hé bien, je les reprends, vous le voulez ainsi. v.1018 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Mais s'il vous reste encor quelque ombre de tendresse, v.1019 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Souffrez que de nouveau mon coeur vous les adresse ; v.1020 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et que tant de serments une fois violés, v.1021 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Pour ne l'être jamais vous soient renouvelés. v.1022 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Quand je songe aux honneurs qui me sont destinez, v.1024 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je crois avoir perdu les moments de ma vie v.1025 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que je ne vous ai pas donnez. v.1026 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Gloire, Plaisirs, Grandeurs, sans vous tout m'importune ; v.1027 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je borne à vous aimer, mon plaisir, ma fortune ; v.1028 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'en fais mon suprême bon-heur : v.1029 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que toujours à mes voeux votre bonté réponde, v.1030 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et je renoncerais à l'Empire du Monde, v.1031 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il en lit encore un autre. v.1034 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il est vrai, ma Princesse, v.1035 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- César me sollicite à reprendre ma foi ; v.1036 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il veut que j'aime ailleurs ; mais en vain il m'en presse ; v.1037 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- L'amour, plus absolu, m'impose une autre loi. v.1038 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Si je m'oublie assez pour vous être infidèle, v.1039 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Puissent les Dieux vzngeurs prendre votre querelle, v.1040 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il n'est point de tourment qui me semble assez rude v.1042 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Pour punir mon ingratitude, v.1043 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Si je puis soupirer pour une autre que vous. v.1044 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Généreuse Livie, en ce moment funeste v.1045 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ne me condamnez pas à relire le reste : v.1046 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ces billets si chéris, tant qu'a duré ma foi, v.1047 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Sont autant de témoins qui parlent contre moi : v.1048 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Plus ils marquent d'amour, plus j'ai l'âme confuse. v.1049 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je sais que pour mon crime il n'est guère d'excuse ; v.1050 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et quand il en serait, si j'en osais donner, v.1051 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Vous auriez moins de gloire à me le pardonner. v.1052 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Tandis que votre haine est encor suspendue, v.1053 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je laisse à vos bontés toute leur étendue ; v.1054 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et ne veux point, Madame, essayer par mes soins v.1055 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- D'être plus innocent, et de vous devoir moins. v.1056 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je ne suis pas le seul dont on blâme l'audace, v.1057 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ni le premier coupable à qui l'on a fait grâce : v.1058 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ne vous obstinez point à me la refuser ; v.1059 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'ai le coeur assez grand pour n'en pas mal user : v.1060 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- M'a coûté trop de maux pour en jamais commettre. v.1062 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Rendez-moi votre coeur, et calmez le courroux... v.1063 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Quand je vous le rendrais, ingrat, qu'en feriez-vous ? v.1064 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous épousez demain la Princesse Agripine : v.1065 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- On l'arrache à mon frère, et on vous la destine : v.1066 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Pour son intérêt seul, je sais tout sur ce point. v.1067 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Non, Madame, demain je ne l'épouse point. v.1068 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'ai tantôt vu César. Agripine qu'il gêne, v.1069 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- À l'hymen que je fuis ne consent qu'avec peine : v.1070 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Elle attend le héros qui la sut enflammer ; v.1071 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et demande du temps pour apprendre à m'aimer. v.1072 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- César, qui doit l'Empire à son aïeul Auguste, v.1073 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- N'a pu lui refuser une grâce si juste : v.1074 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Le jour de notre hymen est remis à son choix ; v.1075 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et mon supplice, enfin, est différé d'un mois. v.1076 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Pour m'arracher, Madame, à cet hymen funeste, v.1077 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Rendez-moi votre coeur, et je répons du reste. v.1078 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Avant qu'un mois s'écoule, et qu'il soit expiré, v.1079 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- L'Empereur est mon père, et je l'attendrirai. v.1080 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Chaque jour à ses yeux j'irai vanter vos charmes ; v.1082 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Sensible à mon amour il en sera l'appui : v.1083 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et votre seul mérite obtiendra tout de lui. v.1084 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que si tant de douleur ne peut vous satisfaire, v.1085 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Au moins en m'oubliant songez à votre frère : v.1086 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il adore Agripine, et la veut adorer ; v.1087 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- De son sort, et du mien je vous rends la maîtresse. v.1089 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Seigneur, par trop d'endroits vous tentez ma faiblesse. v.1090 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- C'est après votre crime un nouvel attentat, v.1091 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que d'appeler mon frère au secours d'un Ingrat. v.1092 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Je me défendrai mal pour peu qu'il vous appuie : v.1093 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et de peur de me rendre il est temps que je fuie. v.1094 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ma haine en sa faveur aurait peine à durer. v.1095 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Si je le rends heureux, qu'ai-je lieu d'espérer ? v.1096 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Deviendrez-vous sensible à l'ardeur qui m'anime ? v.1097 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- En faveur de ce frère oublierez-vous mon crime ? v.1098 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Vous contenterez-vous des maux que j'ai soufferts ? v.1099 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Me sera-t-il permis de rentrer dans vos fers ? v.1100 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Rendez mon frère heureux, si vous le pouvez faire ; v.1101 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Une belle action n'attend point de salaire : v.1102 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et s'il vous en faut un... v.1103 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Hé bien, Madame ? v.1103 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- La Princesse Agripine arrive dans ce lieu. v.1104 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Servez Germanicus, l'occasion est belle. v.1105 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Seigneur, je vous apporte une grande nouvelle. v.1106 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je perds Germanicus, et le perds à regret ; v.1107 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je vous honore trop pour en faire un secret. v.1108 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je l'aimais tendrement. N'en prenez point d'alarmes : v.1109 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Puisqu'il faut pour jamais oublier tant de charmes, v.1110 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour m'en faire un devoir je suis preste demain v.1111 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- En présence des Dieux de vous donner la main. v.1112 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- D'aucun soupçon n'ayez l'âme blessée v.1113 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Si je n'ai pas d'abord cette ardeur empressée, v.1114 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Ces désirs violents, et ces transports si doux, v.1115 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui deviennent permis en faveur d'un époux. v.1116 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Votre bonté, Seigneur, à qui tout est possible, v.1117 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Avec un peu de temps me rendra plus sensible. v.1118 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Un austère devoir vous tienne lieu d'amour. v.1120 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je n'abuserai point d'une bonté si rare : v.1121 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Et par la complaisance où mon coeur se prépare, v.1122 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous aurez de la peine à vous apercevoir, v.1123 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Non, c'est trop vous gêner : l'Empereur pour vous plaire, v.1125 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Consent que pour un mois notre Hymen se diffère. v.1126 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Je l'ai vu par votre ordre, et sans être en courroux v.1127 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Seigneur, je l'ai vu depuis vous. v.1128 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je viens de le quitter. Et pour ne vous rien taire, v.1129 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- L'effort qu'en ma faveur vous avez daigné faire, v.1130 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Suffit pour m'enseigner à faire mon devoir. v.1132 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je suis preste à demain pour le grand hyménée v.1133 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui doit à votre sort unir ma destinée : v.1134 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je l'ai dit à César, et viens vous assurer v.1135 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Qu'il n'est plus à mon choix de pouvoir différer : v.1136 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Demain aux yeux de Rome il faut qu'il s'accomplisse. v.1137 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Et quoi que cet hymen me doive être un supplice, v.1138 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- J'imposerai silence à ma juste douleur : v.1139 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Mes yeux ne diront rien du trouble de mon coeur : v.1140 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- En vous donnant ma foi j'oublierai que j'immole v.1141 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Un héros presque égal aux Dieux du Capitole : v.1142 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- J'oublierai que ma main était due à ses soins ; v.1143 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Et si je ne vous aime, on le croira du moins. v.1144 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour prix d'un tel effort, et d'un tel sacrifice, v.1145 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Et que si prés, Seigneur, de vivre sous vos lois, v.1147 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je sois en liberté pour la dernière fois. v.1148 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Madame, j'obéis. Ce que je viens d'entendre v.1149 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Me surprend d'autant plus que je n'osais l'attendre. v.1150 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Votre bonté m'accable, et je jure à vos yeux... v.1151 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Quand j'aurai vu César je m'expliquerai mieux. v.1152 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Hé bien, Flavie, hé bien, seras-tu satisfaite ? v.1153 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Trouves-tu maintenant ma victoire imparfaite ? v.1154 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Ai-je assez bien rempli mon sévère devoir ? v.1155 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- À mes sens interdits reste-t-il quelque espoir ? v.1156 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Madame, je comprends quel chagrin vous dévore v.1157 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Si pour Germanicus vous soupirez encore : v.1158 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Mais vouloir que Drusus vous épouse demain ; v.1159 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Avec tranquillité lui donner votre main ; v.1160 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Vous ranger sous ses lois avant qu'on vous en presse ; v.1161 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Prévenir ses soupçons ; ménager sa tendresse ; v.1162 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Dérober tout espoir au grand Germanicus ; v.1163 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Tout cela dit assez que vous ne l'aimez plus. v.1164 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Attends, attends, Flavie, à tenir ce langage, v.1165 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Que le sort inflexible ait épuisé sa rage ; v.1166 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Et qu'aux yeux du Sénat, comme je l'ai promis, v.1167 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- D'un Tyran odieux j'aie épousé le fils. v.1168 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Dés-qu'il aura ma main, dût ce fils de Tibère v.1169 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Se montrer envers moi plus cruel que son père, v.1170 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- J'oublierai le héros dont mon coeur est charmé ; v.1171 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Jusques-là, je veux bien t'avouer ma faiblesse, v.1173 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Il a tous mes désirs, et toute ma tendresse : v.1174 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Dans le coeur qu'on lui vole il a fait des progrès v.1175 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Qu'on ne détruira point tant qu'il en sera prés. v.1176 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Avant qu'à le revoir je sois accoutumée v.1177 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Je veux que mon Hymen le renvoie à l'armée. v.1178 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- L'amour que j'ai pour lui me deviendrait fatal, v.1179 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Si je ne me hâtais d'épouser son rival. v.1180 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- M'a causé pour Drusus une haine implacable ; v.1182 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Et si durant un mois je le vois tous les jours, v.1183 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Mon amour et ma haine augmenteront toujours. v.1184 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Je ne veux point aimer quand l'amour est un crime ; v.1185 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Je ne veux point haïr ce qu'il faut que j'estime ; v.1186 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Et puisque malgré moi l'on m'enchaîne à Drusus, v.1187 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Il est de mon devoir de fuir Germanicus. v.1188 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Pour sauver ma vertu dans ce désordre extrême, v.1189 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Je me perds. Mais, Flavie, un coeur comme le mien, v.1191 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Quand la gloire a parlé, ne consulte plus rien. v.1192 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Madame, pardonnez à mon impatience ; v.1193 (Acte 4, scène 1, PISON)
- J'ai besoin en secret d'un moment d'audience : v.1194 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour éviter la foule, et pour craindre l'éclat. v.1196 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Mes jours sont en danger, et ce mot doit suffire, v.1197 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quand j'aurai signalé l'amour que j'ai pour vous. v.1200 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Je mourrai sans regret si l'objet que j'adore... v.1201 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Téméraire Pison, qu'allez-vous dire encore ? v.1202 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Ma coupable indulgence entretient votre erreur : v.1203 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais si vous n'étouffez cette insolente ardeur ; v.1204 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Si jamais vous osez par votre indigne hommage v.1205 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Faire au sang des Césars un si cruel outrage ; v.1206 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Si vous déshonorez le peu que j'ai d'appas ; v.1207 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Si vous vous oubliez, je ne m'oublierai pas, v.1208 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Étouffez cette ardeur dont ma gloire murmure. v.1209 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Vous ne pouvez m'aimer sans me faire une injure. v.1210 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Car pour oser prétendre à vous voir mon époux, v.1211 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Le Ciel met trop d'espace entre Agripine et vous. v.1212 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Rentrez donc en vous-même, et voyez qui vous estes. v.1213 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Drusus ne saura point l'affront que vous lui faites : v.1214 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Quelque pitié qu'excite un si faible rival, v.1215 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Il trahirait son rang à vous en vouloir mal. v.1216 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Je lui veut épargner cette indigne vengeance. v.1217 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais par votre respect méritez mon silence. v.1218 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- À de moindres objets accoutumez vos voeux ; v.1219 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Et ne me forcez point à plus que je ne veux. v.1220 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Après un tel avis je suis preste d'apprendre v.1221 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce que .vous témoignez me vouloir faire entendre ; v.1222 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Sûre qu'à votre orgueil, que je viens d'abaisser, v.1223 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Il n'échappera rien qui me puisse offenser. v.1224 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Malgré ce fier mépris, je ne perds pas l'envie v.1225 (Acte 4, scène 1, PISON)
- De vous être fidèle au dépens de ma vie. v.1226 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quoi que sous votre empire un coeur puisse endurer, v.1227 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Mon sort, que vos bontés pouvaient rendre moins rude, v.1229 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Est d'avoir plus d'amour que vous d'ingratitude ; v.1230 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et vous condamnerez votre injuste courroux, v.1231 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quand vous aurez appris ce que je fais pour vous. v.1232 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quoi que Germanicus soit la gloire de Rome, v.1233 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et que le monde entier n'ait pas un plus grand homme ; v.1234 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quoi que de sa défaite il ait vengé Varus ; v.1235 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Assujetti le Rhin ; soumis Arminius ; v.1236 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quoi qu'il ait des vertus dignes qu'on le révère ; v.1237 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et pour le Consulat il me fait designer, v.1239 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Si je veux cette nuit l'aller assassiner. v.1240 (Acte 4, scène 1, PISON)
- L'assassiner, Pison ! v.1241 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Pourras-tu sans remords te noircir à ce point ? v.1243 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Madame, au nom des Dieux ne vous emportez point. v.1244 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Que je te perde, ou non, malheureux, que m'importe ? v.1246 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Si tu perds un héros qu'adore l'Univers, v.1247 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Pour transmettre à ta race une gloire infinie, v.1249 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Le premier des Césars épousa Calphurnie : v.1250 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- La vertu des Pisons qu'on te voit dédaigner, v.1251 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Eut le bien de lui plaire, et l'honneur de régner : v.1252 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Et pour le Consulat qu'on te vient de promettre, v.1253 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Le plus noir des forfaits t'est facile à commettre ! v.1254 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Et tu vas acquérir, par un crime odieux, v.1255 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce que par leurs vertus ont acquis tes aïeux. v.1256 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Que je trahisse ensemble, et ma flamme, et ma gloire ? v.1258 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et qu'osant violer les droits les plus sacrez v.1259 (Acte 4, scène 1, PISON)
- J'immole insolemment ce que vous adorez ? v.1260 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Ne vous alarmez point. Quoi qu'on m'ait fait promettre, v.1261 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Ce forfait par un autre aurait pu se commettre : v.1262 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et tandis que César s'en remet à mes soins v.1263 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Un plus méchant que moi n'entreprend rien au moins. v.1264 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Si mon zèle apparent n'eût abusé Tibère, v.1265 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Peut-être pour ce crime eût-il choisi mon frère : v.1266 (Acte 4, scène 1, PISON)
- J'ai honte de le dire, ennemi des vertus ; v.1267 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour complaire à Plancine il hait Germanicus. v.1268 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Appuyé de Tibère il le perdra sans doute, v.1269 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Si de la Germanie il ne reprend la route. v.1270 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Depuis l'ordre cruel que César m'a fait prendre v.1273 (Acte 4, scène 1, PISON)
- J'ai vu Germanicus, mais sans lui rien apprendre : v.1274 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Je me suis contenté de lui faire savoir v.1275 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Qu'avec empressement vous cherchez à le voir. v.1276 (Acte 4, scène 1, PISON)
- L'Empereur qui lui parle, et qui sait l'art de feindre, v.1277 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Par de fausses bontés veut l'empêcher de craindre ; v.1278 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour demain avec lui votre hymen est conclu. v.1280 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quelque espoir qui le flatte ordonnez qu'il s'absente : v.1281 (Acte 4, scène 1, PISON)
- C'est un appas mortel que César lui présente : v.1282 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Cette fatale nuit finirait son destin ; v.1283 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et Rome sous Tibère a plus d'un assassin. v.1284 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Voila ce qu'en secret je voulais vous apprendre. v.1285 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Germanicus, Madame, en ce lieu se va rendre : v.1286 (Acte 4, scène 1, PISON)
- C'est à vous, qui l'aimez, à faire un digne effort v.1287 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour dérober ce Prince à son malheureux sort. v.1288 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Ce que je vous demande, en faveur de mon zèle, v.1289 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et de taire un secret qui pourrait me ravir v.1291 (Acte 4, scène 1, PISON)
- L'honneur que je reçois quand je puis vous servir. v.1292 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pardonnez, cher Pison, si l'horreur d'un tel crime v.1293 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Vous a pour un moment dérobé mon estime : v.1294 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Dans les premiers transports d'un si juste courroux, v.1295 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- J'aurais fait même injure à tout autre que vous. v.1296 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Drusus d'un si grand crime est sans doute complice, v.1297 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Pison ? v.1298 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- L'en soupçonner, c'est lui faire injustice. v.1298 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour son propre intérêt le sensible Drusus v.1299 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Voudrait vous voir unie avec Germanicus. v.1300 (Acte 4, scène 1, PISON)
- De l'état de son âme il m'a fait confidence ; v.1301 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et je sais... Mais adieu, Germanicus s'avance : v.1302 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Parlez-lui, le temps presse ; et sans faire aucun bruit, v.1303 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Empêchez que dans Rome il ne passe la nuit. v.1304 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Je ne sais de quel oeil vous verrez un coupable, v.1305 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Dont l'amour violent rend le crime excusable : v.1306 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- J'ai tantôt, je l'avoue, avec un peu d'aigreur v.1307 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- D'un injuste reproche accablé votre coeur : v.1308 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous en avez pleuré : je l'ai vu : mais, Madame, v.1309 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- La douleur de vous perdre interdit bien une âme ; v.1310 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et dans un tel malheur un modeste courroux, v.1311 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Aurait mal exprimé ce que je sens pour vous. v.1312 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Quand on aime ardemment et qu'on perd ce qu'on aime, v.1313 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- On se fait un plaisir de se perdre soi-même ; v.1314 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et si par votre hymen on m'eût désespéré, v.1315 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- À de plus grands efforts je m'étais préparé. v.1316 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mais César, que j'ai vu, loin de m'être contraire ; v.1317 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- M'a reçu comme un fils attendu de son père : v.1318 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- J'ai quitté son armée, et ce crime est de ceux v.1319 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Dont en un général l'exemple est dangereux : v.1320 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Cependant sa tendresse excusant mon audace, v.1321 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il ne m'en a parlé que pour me faire grâce ; v.1322 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et dans le Capitole il consent que demain v.1323 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous me combliez de gloire en me donnant la main. v.1324 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Que vois-je ? Me trompai-je ? Ou, pleurez-vous encore, v.1325 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ma Princesse ? v.1326 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Seigneur, si je ne vous adore, v.1326 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si vous n'êtes vous seul l'objet de tout mon soin, v.1327 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Me punissent les Dieux que j'en prends à témoin. v.1328 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Vous avez crû tantôt ma confiance affaiblie : v.1329 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Cet outrage est cruel, mais, Seigneur, je l'oublie ; v.1330 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- C'est un crime forcé dont mon coeur vous absout : v.1331 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- L'amour qu'on désespère est capable de tout. v.1332 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ô Ciel ! Qui tant de fois a pris soin de sa gloire, v.1333 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Sauve l'appui de Rome ; et mets dans mes discours v.1335 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Un charme assez puissant pour conserver ses jours. v.1336 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous aime, Seigneur, nul Romain ne l'ignore ; v.1337 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je l'ai dit en tous lieux, et veux le dire encore : v.1338 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- César, Drusus, Livie, et Pison savent tous v.1339 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si j'ai d'ambition que celle d'être à vous. v.1340 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mon coeur qui de vos voeux s'est attiré l'hommage, v.1341 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Voudrait même pouvoir vous aimer davantage ; v.1342 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et si quelque douleur rend mes sens agitez, v.1343 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- C'est d'avoir moins d'amour que vous n'en mérités. v.1344 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Vous allez en douter : le malheur qui m'accable, v.1345 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- M'ôte jusqu'au plaisir de me rendre croyable ; v.1346 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et d'infidélité vous m'allez soupçonner, v.1347 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Quand je vous aurai dit qu'il faut m'abandonner, v.1348 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur, je souffre par avance, v.1349 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Tout ce qu'a de cruel cette fatale absence : v.1350 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je prévois tous les maux qui me vont accabler ; v.1351 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et je ne puis enfin les prévoir sans trembler. v.1352 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ma fortune demain ne sera plus douteuse ; v.1353 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais n'importe, partez, pour ne plus me revoir : v.1355 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Laissez en me quittant l'amour au désespoir : v.1356 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous l'ordonne même avec un coeur tranquille : v.1357 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je n'examine point ce qu'il doit m'en coûter. v.1360 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Excepté vos rigueurs, qu'ai-je à craindre, Madame ? v.1362 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Que pourra de Drusus l'inutile courroux ? v.1363 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Les bontés de César me répondent de vous. v.1364 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous le verrez demain, pour consacrer ma gloire, v.1365 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- D'un triomphe superbe honorer ma victoire : v.1366 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je m'y suis opposé, mais sans rien obtenir ; v.1367 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et je viens de sa part vous en entretenir. v.1368 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Demain César, et moi... v.1369 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Point de demain, de grâce. v.1369 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- D'un péril trop certain cette nuit vous menace. v.1370 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur, il faut sur l'heure abandonner ce lieu : v.1371 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Dût m'en coûter la vie en vous disant adieu. v.1372 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il m'est trop important que votre gloire éclate v.1373 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour voir d'un oeil jaloux l'honneur dont on vous flatte ; v.1374 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Avoir mis sous le joug tant de fiers ennemis ; v.1375 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Les Ubiens défaits ; Les Bataves soumis ; v.1376 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et les peuples fameux de ces plaines fécondes, v.1377 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que l'Elbe, et le Danube arrosent de leurs ondes ; v.1378 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Les avoir tous, Seigneur, attaquez, et vaincus, v.1379 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- C'est ce qu'on attendait du grand Germanicus. v.1380 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Après de tels exploits le triomphe est bien juste ; v.1381 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais nous ne sommes plus sous le règne d'Auguste : v.1382 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Satisfait des lauriers moissonnez par son bras, v.1383 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ceux qu'un autre cueillait ne le chagrinaient pas. v.1384 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais depuis que des Dieux il augmente le nombre, v.1385 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Rome de sa splendeur ne conserve que l'ombre ; v.1386 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et sous un Empereur qui ternit son éclat, v.1387 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- S'être acquis tant de gloire est un crime d'État. v.1388 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que de mon retour il feint d'être charmé, v.1391 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Quoi qu'on vous en ait dit, jugez mieux de Tibère : v.1393 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Adopté pour son fils, il me tient lieu de père : v.1394 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Des volontés d'Auguste il se fait une loi ; v.1395 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et Drusus pour sa gloire, est moins son fils que moi. v.1396 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- De quelque oeil qu'il le voit, en cette conjoncture, v.1397 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Drusus n'est qu'un présent que lui fit la nature : v.1398 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Un fruit qu'il attendait du conjugal lien ; v.1399 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et dont pour s'agrandir il ne prétendait rien : v.1400 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mais, suivant ce qu'Auguste eut le soin de prescrire, v.1401 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Le don qu'il fit de moi fut suivi de l'Empire ; v.1402 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et pour tout dire enfin, l'univers est le prix, v.1403 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Des bontés qu'eût César de m'accepter pour fils. v.1404 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il est vrai que ce Prince, au moins en ma présence, v.1405 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Entre Drusus, et moi met de la différence : v.1406 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Approuve ma conduite ; élève ma valeur ; v.1408 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- En un mot, je crois être estimé de Tibère v.1409 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il m'aime, il m'en assure avec sincérité ; v.1411 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et je serais ingrat si j'en avais douté. v.1412 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et ce qu'un si grand Prince a montré de tendresses ! v.1414 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous en seriez touchée, et loin de le haïr... v.1415 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ah ! Seigneur, qu'un héros est facile à trahir ! v.1416 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que lorsqu'on possède une vertu sublime, v.1417 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- On se livre aisément aux embûches du crime ! v.1418 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- En faveur de César soyez moins prévenu, v.1419 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur ; depuis qu'il règne il vous est inconnu. v.1420 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous l'ai déjà dit, Rome changea de face, v.1421 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que son artifice, après de vains refus, v.1423 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Hérita de son rang, et non de ses vertus. v.1424 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ne vous proposez point l'exemple de mon père ; v.1425 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Auguste était son maître, et le vôtre est Tibère : v.1426 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- L'un, malgré les périls dont il fut menacé, v.1427 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- N'a jamais fait de crime où l'on ne l'ait forcé ; v.1428 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et qu'on retranche un an de son illustre vie, v.1429 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- J'abandonne le reste à la plus noire envie. v.1430 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Tant que du monde entier il fut seul possesseur, v.1431 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ses secrets ennemis admiraient sa douceur : v.1432 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et quand des plus méchants il résolut la perte, v.1433 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Loin d'affecter la fraude, il leur fit guerre ouverte. v.1434 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- L'autre, dont l'Univers aujourd'hui prend la loi, v.1435 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- En montant sur le Trône en a banni la foi : v.1436 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- On endort ce qu'on hait par de fausses caresses ; v.1438 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- À des maux que l'on cause on feint de prendre part ; v.1439 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et ce que l'on veut perdre, on le perd avec art. v.1440 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur, si vous m'aimez, faites le moi paraître ; v.1441 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Usez bien des moments dont vous estes le maître ; v.1442 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- De vos fiers ennemis, trompez l'indigne espoir ; v.1443 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- On en veut à vos jours ; la foudre est preste à choir ; v.1444 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il ne m'est pas permis d'en dire davantage : v.1446 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous en dis assez pour vous chasser d'ici. v.1447 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que perdez-vous en moi pour balancer ainsi ? v.1448 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur. v.1449 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce que je perds ! l'ignorez-vous, Madame ? v.1449 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- S'il faut qu'à cet affront le Ciel m'ait réservé ; v.1451 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je perds ce que le Monde a de plus achevé. v.1452 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je perds, si la fortune à ce point m'est cruelle, v.1453 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Des plus hautes vertus le plus digne modèle ; v.1454 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et pour dire encor plus, je perds, enfin, je perds v.1455 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ce que du sang d'Auguste il reste à l'Univers. v.1456 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Non, Madame, mon coeur plein de votre mérite, v.1457 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Condamne votre amour, s'il veut que je vous quitte : v.1458 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mon trépas est douteux, et ne le sera plus v.1459 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Si je vous abandonne au pouvoir de Drusus. v.1460 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Rome, quoiqu'on m'apprête, est mon plus sûr asile : v.1461 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Tout autre en vous quittant me serait inutile : v.1462 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mes jours, que vos bontés ont soin de ménager, v.1463 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Éloigné de vos yeux, sont-ils hors de danger ? v.1464 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mais c'est trop se livrer à de vaines alarmes ; v.1465 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Rassurez votre esprit, et retenez vos larmes ; v.1466 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Drusus, que mon bonheur a dû rendre jaloux, v.1467 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Cherche par cette ruse à m'éloigner de vous : v.1468 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je ne sais que lui seul qui m'ose être contraire ; v.1469 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et pour craindre le fils, je suis trop cher au père. v.1470 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Mon coeur reconnaissant ne peut trop l'avouer, v.1471 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Des bontés de César j'ai lieu de me louer : v.1472 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il vous rend à mes feux, et je ne puis sans crime, v.1473 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Soupçonner d'artifice un coeur si magnanime. v.1474 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Seigneur, à quelle honte allez-vous m'exposer ? v.1475 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il va m'en coûter un pour vous désabuser. v.1476 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- D'un ami généreux je vais trahir le zèle : v.1477 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour vous prouver ma foi, je vais être infidèle : v.1478 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- C'en serait un plus grand de vous laisser périr. v.1480 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Dissipez votre erreur, et connaissez Tibère : v.1481 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce Maître si chéri qui vous tient lieu de père, v.1482 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Qui semble à votre gloire appliquer tous ses soins, v.1483 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et qui, s'il vous aimait, vous caresserait moins ; v.1484 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce Tyran, car, Seigneur, quoi qu'il ait votre estime, v.1485 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour ce Prince cruel ce titre est légitime : v.1486 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et s'il ne l'avait pas il faudrait lui donner, v.1487 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Puisqu'il veut cette nuit vous faire assassiner. v.1488 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Me faire assassiner ! Lui, Madame ? On vous trompe. v.1489 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Hé bien, cruel, souffrez qu'il vous corrompe : v.1490 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Où la mort vous attend précipitez vos pas : v.1491 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Croyez qui vous veut perdre, et ne me croyez pas. v.1492 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je me flattais pourtant de cette triste gloire, v.1493 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que loin d'avoir, Seigneur, tant de peine à me croire, v.1494 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Un héros tel que vous, assuré de ma foi, v.1495 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ne balancerait pas entre Tibère et moi. v.1496 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur, quoique pour moi vous soyiez tout de flamme, v.1497 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Souffrez que de Drusus je devienne la femme : v.1498 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Laissez-moi le punir d'avoir troublé vos feux. v.1499 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il me rend malheureuse, et sera malheureux. v.1500 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Non que de ma vertu je ne sois assurée : v.1501 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais ma vie, et sa joie auront peu de durée ; v.1502 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et quoique je lui doive en qualité d'époux, v.1503 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je mourrai de regret de n'être pas à vous. v.1504 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Voila de ma tendresse une preuve assez ample. v.1505 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour signaler la vôtre imitez mon exemple : v.1506 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- D'un coeur né pour la gloire effacez tous mes traits ; v.1507 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et ne m'accablez point d'inutiles regrets. v.1508 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Après m'avoir aimé, devenir insensible, v.1509 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si c'est pour un héros un effort si pénible ; v.1510 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si vous en frémissez ; quel serait votre effroi, v.1511 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si vous aviez le coeur aussi tendre que moi ? v.1512 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que m'importe, hélas ! quand tout me désespère, v.1513 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Si j'échappe à sa haine, expirer de douleur, v.1515 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous perdre, enfin, Madame, est-ce un moindre malheur ? v.1516 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ne craignez pourtant rien de mon amour extrême : v.1517 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- L'ordre que je reçois m'est une loi suprême : v.1518 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- J'ai peur, si je restais plus longtemps en ces lieux, v.1519 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Que mon sort envers vous ne fût contagieux. v.1520 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Pour ne pas à l'orage exposer votre tête, v.1521 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je vais par mon exil écarter la tempête ; v.1522 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Les appas dangereux que j'ai trop adorez. v.1524 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Si vous m'aimez encor, j'en attends une preuve : v.1525 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Vous avez assez mis ma confiance à l'épreuve, v.1526 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Madame ; à ma douleur n'offrez aucun secours ; v.1527 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il suffit de mes maux pour terminer mes jours : v.1528 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ne pleurez point : mon coeur prêt à quitter vos charmes, v.1529 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ne peut s'accoutumer à voir couler vos larmes : v.1530 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je ne partirai point si vous en soupirez ; v.1531 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Seigneur, vous me désespérez. v.1532 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Dans l'état déplorable où mon âme est réduite, v.1533 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je crains votre présence, et je crains votre fuite. v.1534 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Cher Prince, que je perds, et que j'aime toujours, v.1535 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour la gloire de Rome ayez soin de vos jours : v.1536 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et quel_que_soit l'asile, où vous alliez vous rendre, v.1537 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Contraignez votre amour à venir me l'apprendre. v.1538 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- De peur d'être écouté ne m'opposez plus rien. v.1539 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous rends votre coeur, et vous laisse le mien : v.1540 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je ne puis vous l'ôter, quelque effort que je fasse. v.1541 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Venez, qu'en vous quittant, Prince, je vous embrasse ; v.1542 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que dans ce moment tous mes sens interdits... v.1543 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Partez, je ne sais plus, Seigneur, ce que je dis. v.1544 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Vient-elle ? L'as-tu vue ? et puis-je me promettre v.1545 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Qu'au dangereux Pison elle ait rendu ma lettre ? v.1546 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- S'il peut... Germanicus ne sera point party. v.1548 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoique d'une imposture il ne soit point capable, v.1549 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un peu de défiance eût été pardonnable. v.1550 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Mon coeur en le quittant ne se possédait pas : v.1551 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Quelque Romain fidèle aurait suivi ses pas : v.1552 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Dés hier j'aurais appris s'il s'éloigna de Rome ; v.1553 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et ne douterais plus du sort d'un si grand homme. v.1554 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Juste Ciel, à sa perte aurais-tu consenti ! v.1555 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Ton soin... Non, ce héros ne sera point party. v.1556 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Quand il me le promit il me trompait sans doute : v.1557 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Je l'ai quitté, je sais quels efforts il m'en coûte ; v.1558 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et s'il est vrai qu'il m'aime autant qu'il est aimé, v.1559 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un départ si cruel l'aurait plus alarmé. v.1560 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Tu ne m'as point appris si tu voyais Flavie : v.1561 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Pour hâter son retour que ne l'as-tu suivie ? v.1562 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Je saurais maintenant ce que je veux savoir : v.1563 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Je n'aurais plus de crainte, ou n'aurais plus d'espoir ; v.1564 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et tout autre destin me semblerais moins rude, v.1565 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Que l'affreuse rigueur de mon incertitude. v.1566 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- De contenter mes voeux Flavie a peu de soin : v.1567 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Pour tarder si longtemps Rome n'est pas si loin : v.1568 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle n'ignore pas quelle nuit j'ai passée ; v.1569 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle a su quels objets occupaient ma pensée. v.1570 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- J'ai cru voir sur un Char Drusus victorieux : v.1571 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un spectre encor sanglant s'est offert à mes yeux, v.1572 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- "Si j'osai vous aimer, il m'en coûte la vie," v.1573 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- M'a-t-il dit ; j'en ai fait confiance à Flavie ; v.1574 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et si Germanicus voyait encor le jour, v.1575 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle serait... Flavie est enfin de retour. v.1576 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Hélas ! Flavie, hélas ! que tu m'as mise en peine ! v.1577 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Des malheurs que je crains viens me rendre certaine. v.1578 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Dis-moi ce qu'on a fait, et ce que l'on résout. v.1579 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Pison vient-il ? Enfin éclaircis-moi de tout. v.1580 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Désespère mon coeur, ou le rends plus tranquille. v.1581 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- J'ai fait à Rome un voyage inutile, v.1582 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Madame, et tous mes soins ont été superflus. v.1583 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On ne m'a rien appris du grand Germanicus. v.1584 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Pour remplir mon devoir, et pour vous satisfaire, v.1585 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Je n'ai rien oublié de ce que j'ai pu faire : v.1586 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Mais que pouvait mon zèle en cette occasion ? v.1587 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Rome n'est que désordre, et que confusion. v.1588 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On y trouve par tout des espions infâmes, v.1589 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Dont l'art abominable est de sonder les âmes ; v.1590 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Et d'arracher des coeurs par un subtil détour, v.1591 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ce qu'on sent pour Tibère, ou de haine, ou d'amour. v.1592 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ces méchants en faveur, par de lâches maximes v.1593 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- D'un aussi méchant qu'eux applaudissent les crimes ; v.1594 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Servent sa tyrannie ; et croiraient aujourd'hui v.1595 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ne pas faire leur cour s'ils valaient mieux que lui. v.1596 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Que vous dirai-je ? on tremble, et loin qu'on se hasarde v.1597 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Parle-moi du héros pour qui j'eus tant d'amour, v.1599 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Du secours de Pison que dois-je me promettre ? v.1601 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- L'as-tu vu ? Viendra-t-il ? A-t-il reçu ma Lettre ? v.1602 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Je l'ai cherché, Madame, et ne l'ai point trouvé, v.1604 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Je m'en suis informée avec un soin extrême ; v.1605 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- J'ai vu tous ses amis, j'ai vu son père même, v.1606 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On ne sait à la Cour ce qu'il est devenu. v.1607 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On croyait qu'en ce lieu vous l'auriez retenu. v.1608 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Drusus en est lui-même en des peines cruelles. v.1609 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Il ne peut quoiqu'il fasse en avoir des nouvelles. v.1610 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Pour le pompeux Hymen qu'on célèbre aujourd'hui, v.1611 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On m'a dit que ce Prince avait besoin de lui. v.1612 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- En quelque lieu qu'il soit aucun n'en peut rien dire. v.1613 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On ignore... v.1614 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Mes souhaits sont remplis : mon Amant est sauvé. v.1616 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Ciel, qui m'as écoutée, et qui loin de l'orage v.1617 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- As mis en sûreté ton plus parfait ouvrage, v.1618 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Aux dépends de ma vie achève ton bonheur : v.1619 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Ainsi que de ses yeux bannis moi de son coeur. v.1620 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Hélas ! si sa tendresse est égale à la mienne, v.1621 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Suivi de son amour, que crois-tu qu'il devienne ? v.1622 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Par les maux que je sens je comprends ses douleurs. v.1623 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il en mourra. Qu'il vive, et qu'il s'engage ailleurs. v.1624 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Que d'un plus digne objet son âme possédée v.1625 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Voila quels sont mes voeux : et pour être exaucez v.1627 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Dieux ! à qui je les faits ils me coûtent assez. v.1628 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Tout grand qu'est mon malheur, il n'est pas sans remède, v.1629 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Flavie ; un peu de joie à ma douleur succède : v.1630 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Tu n'as point vu Pison ; mon coeur est rassuré : v.1631 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Avec Germanicus Pison s'est retiré. v.1632 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Soit que son zèle ardent n'ait songé à me plaire ; v.1634 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- De ce Prince sans doute il a suivi les pas. v.1635 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Je voudrais qu'il fût vrai, mais je ne le crois pas. v.1636 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Si j'ose m'expliquer, mon erreur est extrême, v.1637 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ou bien Germanicus n'est point party lui-même. v.1638 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Le soupçonner de fuir, c'était lui faire tort, v.1639 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Madame, il vous adore, et ne craint point la mort. v.1640 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ne me déguise rien. L'as-tu vu ? v.1642 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Non, Madame. v.1642 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Mais Albin est à Rome, et je l'ai rencontré. v.1643 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Aussitôt qu'à mes yeux le hasard l'a montré, v.1644 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- De l'ordre que j'avais je me suis souvenue. v.1645 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Il s'en est peu fallu qu'il ne m'ait méconnue : v.1646 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- À la fin l'âme émue, et le coeur interdit, v.1647 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- J'irai voir la Princesse, est tout ce qu'il m'a dit. v.1648 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- J'ai vu dans ses regards un désordre funeste ; v.1649 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Et je doute... Je crains de vous dire le reste. v.1650 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Parle, je te l'ordonne, ou cesse de me voir. v.1651 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Je crains plus de malheur, que je n'en puis savoir. v.1652 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Ne me dérobe pas la douceur de me plaindre. v.1653 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- C'est croître ma douleur que la vouloir contraindre. v.1654 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Finis l'incertitude où flottent mes esprits. v.1655 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Germanicus est mort ? v.1656 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Je n'en ai rien appris, v.1656 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Madame. Mais enfin s'il faut parler sans feindre, v.1657 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Pour un Prince si cher vous avez lieu de craindre. v.1658 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On a fait en tumulte assembler le Sénat : v.1659 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On parle sourdement de quelque assassinat. v.1660 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On ne dit point, tant on craint sa colère, v.1661 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- À quelle illustre vie en a voulu Tibère ; v.1662 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Car à chaque forfait dont il s'ose flétrir, v.1663 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ce que Rome a de grand est ce qu'il fait périr. v.1664 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Jamais sous un tyran les coupables ne tremblent ; v.1665 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ils ne s'attaquent point à ceux qui les ressemblent ; v.1666 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Mais prés d'un Empereur sous le vice abattu, v.1667 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- C'est un crime à punir qu'avoir trop de vertu. v.1668 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Si pour Germanicus Rome craint quelque chose, v.1669 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ce qu'il a de mérite en est la seule cause. v.1670 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Jusqu'ici cependant on ignore son sort. v.1671 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On l'ignore ! Dis tout. Germanicus est mort. v.1672 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- C'est me nier en vain ce qu'il faut que je sache : v.1673 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Jamais de ses pareils le trépas ne se cache : v.1674 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- L'univers, dont leur bras fut toujours le soutien, v.1675 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour douter de leur sort les observe trop bien : v.1676 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Par tout où les conduit l'ardeur qui les seconde, v.1677 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Ils attachent sur eux les yeux de tout le monde ; v.1678 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Et bientôt dans ce lieu le Sénat désolé v.1679 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- M'apprendra par ses pleurs, si l'on s'est immolé v.1680 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Un héros qui naguère idolâtré dans Rome, v.1681 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Entre les Dieux et lui ne voyait aucun homme. v.1682 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Me l'apprendra ! Que dis-je ? En doutai-je ? non, non, v.1683 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Les crimes de Tibère ont fait tout son renom. v.1684 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Depuis qu'à ses désirs les destins sont propices, v.1685 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il ne s'est signalé que par des injustices. v.1686 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Le lâche aura dans l'ombre, au gré de ses souhaits, v.1687 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Par le plus noir de tous couronné ses forfaits. v.1688 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il aura... Quel soupçon dans mon coeur vient de naître ? v.1689 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Serait-il vrai, grands Dieux ! que Pison fût un traître ? v.1690 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Lui de qui tant de fois le zèle peu commun... v.1691 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il m'aime, il l'a fait voir ; n'importe c'en est un. v.1692 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour venger son amour que sa rage surmonte, v.1693 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il a fait ce grand crime, et se cache de honte : v.1694 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Aux fureurs d'un tyran son désespoir s'est joint. v.1695 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Je ne m'étonne plus s'il ne se montre point : v.1696 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il me craint. Va méchant ta crainte est inutile : v.1697 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- À qui veut l'imiter César offre un asile ; v.1698 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Et tu peux hautement prétendre au Consulat, v.1699 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Après l'heureux succès d'un si noir attentat. v.1700 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Flavie, as-tu compris la grandeur de ma peine ? v.1701 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Albin de votre sort va vous rendre certaine, v.1702 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Il vient. v.1703 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Hé bien, Albin, ce que j'aimais est mort ? v.1703 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Germanicus... v.1704 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Pison a terminé son sort, v.1704 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Le perfide ! Et tu ne peux me dire v.1705 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- En quel endroit fatal l'assassin se retire ? v.1706 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- J'irais, malgré César qui se fait son appui, v.1707 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Exprimer dans son sang l'horreur que j'ai pour lui. v.1708 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- De voir sous de tels coups expirer un tel homme ! v.1710 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Ce trépas vu des Dieux ayant dû les toucher, v.1711 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Que ne le vengent-ils, s'ils n'ont pu l'empêcher ? v.1712 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Albin, pour m'accabler satisfaits mon envie : v.1713 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Comment Germanicus a-t-il perdu la vie ? v.1714 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Le Perfide Pison osa-t-il l'attaquer ? v.1715 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- De peur de m'attendrir tu n'oses t'expliquer. v.1716 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Me préservent les Dieux d'un emploi si funeste ! v.1718 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Donnez moins de créance à des rapports confus. v.1719 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Germanicus respire, et Pison ne vit plus. v.1720 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et Pison ne vit plus ! v.1721 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Non, Madame. v.1721 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'entends-je ? v.1721 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Germanicus le pleure, et peut-être le venge. v.1722 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pison en le servant a fini son destin. v.1723 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Je ne puis sans frémir en nommer l'assassin. v.1724 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pour jeter dans votre âme une horreur légitime, v.1725 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Je vais vous étaler la noirceur de son crime ; v.1726 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et de Pison mourant vous tracer un portrait, v.1727 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qui vous fasse oublier l'affront qu'il vous a fait. v.1728 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Quoi que Germanicus crût sa mort assurée, v.1729 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et qu'en le caressant l'Empereur l'eût jurée ; v.1730 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ne pouvant l'éviter s'il quittait vos appas, v.1731 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il la voyait venir, et ne la fuyait pas. v.1732 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Si de quelque douleur son âme était frappée, v.1733 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et de s'être attiré de si tendres adieux v.1735 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Sans avoir eu dessein d'abandonner ces lieux : v.1736 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Mais ce Prince, sensible à vos justes alarmes, v.1737 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Voulait en vous trompant vous épargner des larmes ; v.1738 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et par le feint départ que son coeur projetait, v.1739 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Calmer l'inquiétude où son sort vous jetait. v.1740 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- En sortant d'avec vous il fut revoir Tibère ; v.1741 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qui profanant toujours le sacré nom de père, v.1742 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- D'abord qu'il l'aperçoit lui présente la main : v.1743 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et pour hâter l'effet de son lâche dessein v.1744 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Dans un Appartement où la richesse abonde, v.1745 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Marqué dans le Palais pour l'héritier du monde, v.1746 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Le conduit avec pompe, et veut que son aspect v.1747 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il le quitte : et soudain à force d'artifices v.1749 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Contre un fils si fameux anime ses complices. v.1750 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De crainte d'éclairer le plus noir des forfaits v.1751 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- On dirait que le jour disparaît tout exprès : v.1752 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il fait place à la nuit, qu'une main criminelle v.1753 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Au premier des humains allait rendre éternelle, v.1754 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Si Pison, toujours prêt à faire son devoir, v.1755 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De la part de Drusus ne l'était venu voir, v.1756 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pour lui dire en secret que César par envie v.1757 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Armait des assassins pour attaquer sa vie : v.1758 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et pour tout rendre aisé dans l'horreur de la nuit, v.1759 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il devait le mander sans escorte, et sans bruit. v.1760 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il se retire ensuite, et défend qu'on l'éclaire. v.1762 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- À peine est-il sorti qu'un grand bruit nous surprend : v.1763 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Sans en être effrayé Germanicus l'entend : v.1764 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Sensible à ma prière, avant que de paraître v.1765 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il me permet de voir quel sujet le fait naître ; v.1766 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et Pison, dont le sang criait vengeance aux Dieux, v.1767 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Que je le plains, Albin, et que son sort me touche ! v.1769 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Je me suis à l'instant approché de sa bouche. v.1770 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Son coeur prêt d'expirer luttait contre la mort : v.1771 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Cependant à ma voix il m'a connu d'abord. v.1772 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Si pour Germanicus ta passion est forte, v.1773 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De son Appartement empêche qu'il ne sorte, v.1774 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- M'a-t-il dit. C'est à lui qu'en voulait l'assassin v.1775 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qui par un crime horrible a fini mon destin. v.1776 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De la main de mon frère... À ce mot il soupire ; v.1777 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et durant quelque temps demeure sans rien dire. v.1778 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- À la fin, quoique faible, il élève sa voix ; v.1779 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et faisant un effort pour la dernière fois : v.1780 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Mon frère, poursuit-il, à la gloire insensible, v.1781 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- A pour Germanicus une haine invincible : v.1782 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et m'ayant vu sortir de son Appartement, v.1783 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Après m'avoir dans l'ombre atteint mortellement, v.1784 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Reconnais, m'a-t-il dit, la main qui t'assassine : v.1785 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- C'est celle de Pison ; du mari de Plancine ; v.1786 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et si dans ce moment je ne t'eusse attaqué, v.1787 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Mon frère te cherchait qui ne t'eût pas manqué. v.1788 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De César, qui te hait, devenu le complice, v.1789 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Je lui fais avec joie un si grand sacrifice. v.1790 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Croyant au lieu de moi perdre Germanicus, v.1792 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Me relève de terre ; et de l'indigne épée v.1793 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Que d'un sang plus illustre il voulait voir trempée, v.1794 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Me perce en tant d'endroits, sans toucher à mon coeur, v.1796 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il semble que le sort en souffrant ma ruine, v.1797 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ait voulu respecter l'image d'Agrippine ; v.1798 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et me donner le temps d'implorer sa bonté, v.1799 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pour avoir le pardon de ma témérité. v.1800 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Apprends-lui, cher Albin, qu'il m'eût été facile v.1801 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De prolonger le cours d'une vie inutile, v.1802 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et de me garantir d'un si funeste sort ; v.1803 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Si l'aveu de mes feux n'eût mérité la mort. v.1804 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De ses justes mépris me voyant la victime, v.1805 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Un trépas immortel éternisait mon crime : v.1806 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ne pouvant de ma flamme interrompre le cours v.1807 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Puisqu'à Germanicus j'ai conservé la vie, v.1809 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- D'un bonheur assez grand ma disgrâce est suivie : v.1810 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ils sont nez l'un pour l'autre, et mes sincères voeux... v.1811 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Adieu. Le juste Ciel puisse les rendre heureux. v.1812 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ce souhait achevé d'un soupir tout de flamme, v.1813 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il prépare avec joie un passage à son âme ; v.1814 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et sûr qu'en vous servant il va perdre le jour, v.1815 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Prend les traits de la mort pour des traits de l'amour. v.1816 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Cher Pison, qui m'aimais d'une amitié si pure, v.1817 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Pardonne à mon orgueil ce qu'il t'a fait d'injure ; v.1818 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Et pour prix de tes soins dignes d'un autre sort v.1819 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Daigne accepter les pleurs que je donne à ta mort. v.1820 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Ou venez-vous, Seigneur, et quelle est votre envie ? v.1821 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- L'infortuné Pison vient de perdre la vie : v.1822 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Des desseins de César sa mort vous éclaircit. v.1823 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Fuyez, Seigneur. v.1824 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Albin m'en a fait le récit, v.1824 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Madame, et le Sénat par un ordre équitable, v.1825 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Pour venger ce trépas fait chercher le coupable. v.1826 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- César, Seigneur ! Albin vous a-t-il tout appris ? v.1828 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Que je vous plains, Seigneur, d'être si magnanime. v.1830 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Prince, il est votre père, et je perds le respect : v.1832 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Mais de sa cruauté vous avez connaissance. v.1833 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Épargnez-le, Madame, au moins en ma présence ; v.1834 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Et si quelque forfait vous le rend odieux, v.1835 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Souffrez que mon devoir en détourne mes yeux. v.1836 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- L'assassin de Pison, puisqu'il s'est fait connaître, v.1837 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- À l'aspect des tourments se dédira peut-être : v.1838 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Suspendez jusques-là votre ressentiment ; v.1839 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Et des mains de César recevez votre amant. v.1840 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Pour vous faire paraître une bonté de père v.1841 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Il me rend ma Princesse, et vous donne à mon frère : v.1842 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Pour vous en assurer il nous envoie ici. v.1843 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Il nous veut perdre tous, puisqu'il en use ainsi. v.1844 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Je le connais, Seigneur, ses bontés sont à craindre. v.1845 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Ne craignez rien ; César s'est expliqué sans feindre. v.1846 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Nous sortons du Palais, où le peuple irrité v.1847 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Redemandait mon frère, et s'était révolté : v.1848 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Il allait s'échapper à quelque violence, v.1849 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- S'il ne l'eût apaisé par sa seule présence. v.1850 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- César, qui de ce trouble a craint l'événement, v.1851 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- S'est résolu sans peine à ce grand changement : v.1852 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Et ce qu'a fait Drusus en faveur de mon frère, v.1853 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Je n'ai plus, ma Princesse, à combattre que vous. v.1855 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- César s'est déclaré ; j'ai vaincu son courroux : v.1856 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Vous seule à mon bonheur pouvez être contraire ; v.1857 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Non, Seigneur, j'ai le coeur trop sincère : v.1858 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Je vous aime : ce mot vous répond de ma foi ; v.1859 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Et je me dois à vous si l'on me rend à moi. v.1860 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- C'est dans ce lieu si saint qu'il veut tenir parole : v.1862 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Le Sénat l'accompagne ; et voici le grand jour v.1863 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Qu'avec impatience attendait notre amour. v.1864 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Puisqu'à nous rendre heureux la fortune conspire, v.1865 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Ne donnons pas au sort le temps de la dédire : v.1866 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Allons au Capitole où César nous attend ; v.1867 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Et craignons les retours de son esprit flottant. v.1868 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Vous, cependant, Albin, qui m'êtes si fidèle, v.1869 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Au père de Pison allez offrir mon zèle ; v.1870 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Parlez lui de son fils, et faites un effort, v.1871 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
LA FÊTE DE LA SEINE (1690)
- Fleuves, Rivières, Fontaines, v.1 (Acte 1, scène 1, L'OCÉAN)
- Dont les fertiles eaux v.3 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- Arrosent tant de Plaines; v.4 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- Nymphes, et demi-Dieux, soumis à mon pouvoir, v.5 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- De la Seine aujourd'hui nous célébrons la fête : v.6 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- Chantez les plus beaux Airs que vous puissiez savoir, v.7 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- Des joncs, et des roseaux couronnez votre tête; v.8 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- Et qu'à l'envi chacun s'apprête v.9 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- À la bien recevoir. v.10 (Acte 1, scène 1, L'OC?AN)
- Quelle rivière au monde v.11 (Acte 1, scène 1, THÉTIS)
- Goûte au plus grand bonheur ? v.12 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Sur ses fertiles bords on voit le Laboureur v.13 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Cultiver les guérets dans une paix profonde. v.14 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Elle ne connaît de Guerriers v.15 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Que ceux dont la valeur conserve ses rivages: v.16 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- La défendent des Orages. v.18 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Que l'on chante, que l'on danse; v.20 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Et lors qu'un plaisir finira v.21 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Qu'un autre recommence. v.22 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Néréides, Tritons, je la vois qui s'avance, v.23 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Disputez entre vous à qui la charmera. v.24 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Venez, Nymphe charmante, v.25 (Acte 1, scène 2, THÉTIS)
- Dans ces aimables lieux: v.26 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Venez remplir l'attente v.27 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Venez oüir chanter les exploits glorieux v.29 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Qui de toutes les Eaux vous rendent triomphante. v.30 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Venez, Nymphe charmante, v.31 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Dans ces aimables lieux: v.32 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Venez remplir l'attente v.33 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Le Danube, le Nil, le Pactole, et le Gange, v.35 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN)
- Viennent, des bouts de l'Univers, v.36 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Joindre leur voix aux surprenants concerts v.37 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Préparez à votre louange. v.38 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Rivières, Fontaines, Ruisseaux, v.39 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Et que mille plaisirs nouveaux v.41 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Succèdent l'un à l'autre. v.42 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Que mon sort est heureux ! v.43 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Je vois en sortant de ma Source v.44 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- D'autres Plaisirs qui préviennent mes voeux. v.47 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Que mon sort est heureux ! v.48 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Tant que dure le jour v.49 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Le rossignol sur mon rivage v.50 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Attire à ses accents les Bergers d'alentour: v.51 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Et touchez de son doux ramage v.52 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- À son exemple ils chantent leur amour v.53 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Tant que dure le jour. v.54 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Aimer et chanter sans cesse v.55 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- C'est une grande sagesse: v.56 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- D'une vie agréable on prolonge le cours. v.57 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- S'abandonner à la mélancolie v.58 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- C'est une grand folie. v.60 (Acte 1, scène 2, DEUX TRITONS)
- Jeunes coeurs, sur qui les attraits v.61 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Ont un pouvoir extrême ; v.62 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Soyez constants, et discrets : v.63 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Pour plaire à ce que l'on aime v.64 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Ce sont les meilleurs secrets. v.65 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Les Ruisseaux qui font mille tours v.66 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Pour se joindre aux Fontaines, v.67 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Fidèles dans leurs amours v.68 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Trouvent la fin de leurs peines, v.69 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Sans jamais changer leurs cours. v.70 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Le temps d'aimer est un temps admirable ; v.71 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Mais il ne dure pas assez : v.72 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Les attraits les plus doux sont bientôt effacez ; v.73 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Et l'on n'est plus aimé quand on n'est plus aimable, v.74 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Puisque ce temps s'évanouit v.75 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Lorsque la jeunesse nous quitte, v.76 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Pendant que l'on en jouit v.77 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Il est bon qu'on en profite. v.78 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Ne perdons pas un instant v.79 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Sans amour on ne vit point content, v.81 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Il faut aimer lorsque l'âge y convie : v.82 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Rien sous le Ciel n'est plus digne d'envie v.83 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Qu'un tendre amour dans un coeur bien constant. v.84 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Ne perdons pas un instant v.85 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Tout languirait sans l'Amour v.87 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Tôt ou tard chacun aime à son tour, v.89 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- C'est une loi que le destin impose : v.90 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Dans nos Jardins le Jasmin, et la Rose, v.91 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- N'aiment-ils pas les charmes d'un beau jour ? v.92 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Tout languirait sans l'Amour v.93 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- On ne voit sur nos bords que carnage, et qu'horreur : v.95 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- On ne voit que plaisirs régner sur vos rivages : v.96 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Vous goûtez de la Paix la tranquille douceur ; v.97 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Et le Ciel nous expose à mille affreux ravages. v.98 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Aimable Nymphe, apprenez-nous v.99 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Par quel bonheur, ou par quels charmes, v.100 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Vous jouissez d'un sort si doux v.101 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Pendant que l'Univers éprouve tant d'alarmes. v.102 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Le Soleil brûle nos champs : v.103 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Nos eaux sont presque taries: v.104 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Les Oiseaux nous refusent leurs chants ; v.105 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Sont si fleuries v.107 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Qu'ils réservent pour vous les airs les plus touchants. v.108 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Nous ne sentons plus l'haleine v.109 (Acte 1, scène 2, LE PACTOLE)
- Des doux, et des charmants Zéphyrs : v.110 (Acte 1, scène 2, LE PACTOLE)
- Ce n'est qu'auprès de la Seine v.111 (Acte 1, scène 2, LE PACTOLE)
- Où règnent tous les Plaisirs. v.112 (Acte 1, scène 2, LE PACTOLE)
- Le sang humain dont on voit des rivières ; v.113 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Nos prés jonchés de mourants, et de morts ; v.114 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- N'attirent plus sur nos bords v.115 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Que des Bêtes carnassières : v.116 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Et prés de vous les paisibles agneaux v.117 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Bondissent autour de leurs mères, v.118 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Pendant que les Bergers au murmure des eaux, v.119 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Chantent sur leurs Chalumeaux v.120 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Aimable Nymphe, apprenez-nous v.122 (Acte 1, scène 2, LE GANGE, LE NIL, LE PACTOLE, LE DANUBE)
- Par quel bonheur, ou par quels charmes v.123 (Acte 1, scène 2, LE GANGE, LE NIL, LE PACTOLE, LE DANUBE)
- Vous jouissez d'un sort si doux v.124 (Acte 1, scène 2, LE GANGE, LE NIL, LE PACTOLE, LE DANUBE)
- Pendant que l'Univers éprouve tant d'alarmes. v.125 (Acte 1, scène 2, LE GANGE, LE NIL, LE PACTOLE, LE DANUBE)
- Un Roi, mais le plus grand dont le Ciel a fait choix v.126 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Qui n'a point d'égal sur la Terre v.128 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Quoi que la Terre ait tant de Rois : v.129 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Un Roi qu'en tant de lieux a suivi la Victoire, v.130 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Que par toute l'Europe on arbore ses lys, v.131 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Rend mes tranquilles Eaux éclatantes de Gloire v.132 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- À l'ombre des Lauriers que son Bras a cueillis. v.133 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Au bonheur des Humains toujours l'âme occupée, v.134 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN)
- On dirait que du Monde il gouverne le sort: v.135 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Ce qu'en vingt ans ne put faire Pompée v.136 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Ne lui coûte qu'un faible effort. v.137 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Il a purgé la mer de ces monstres avides v.138 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Qui signalaient leur nom par tant de cruautés ; v.139 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Et ces Tyrans des Campagnes humides v.140 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Sont venus à genoux implorez ses bontés. v.141 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Sa valeur, son pouvoir, sa sagesse profondeLe font par tout révère ; v.142 (Acte 1, scène 2, THÉTIS)
- Des quatre coins du Monde v.143 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- On le vient admirer : v.144 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Ses actions sont parvenues v.145 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Jusqu'aux plus étranges climats ; v.146 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Et chez des Nations qui ne sont pas connues v.147 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Il n'est pas moins connu qu'en ses propres États. v.148 (Acte 1, scène 2, TH?TIS)
- Depuis que dans le Monde on voit régner la Guerre v.149 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- On n'a point encor vu de pareil conquérant ; v.150 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Quelque grandeur qu'ait la Terre v.151 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Son coeur est encor plus grand. v.152 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- De ses exploits éclatants. v.155 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Fleuves qui gémissez sous d'injustes Puissances, v.156 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Consolez-vous, vos souffrances v.157 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Ne dureront pas longtemps. v.158 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Fleuves qui gémissez sous d'injustes Puissances, v.159 (Acte 1, scène 2, ENSEMBLE)
- Consolez-vous, vos souffrances v.160 (Acte 1, scène 2, ENSEMBLE)
- Ne dureront pas longtemps. v.161 (Acte 1, scène 2, ENSEMBLE)
- Puisse le Ciel qui l'a fait naître v.162 (Acte 1, scène 2, LE GANGE et LE NIL)
- Pour affranchir du joug tant de peuples divers, v.163 (Acte 1, scène 2, LE GANGE et LE NIL)
- Le rende de l'Univers v.164 (Acte 1, scène 2, LE GANGE et LE NIL)
- Que nous serions heureux de couler sous les lois v.166 (Acte 1, scène 2, LE GANGE et LE NIL)
- Sous son empire v.168 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE, LE PACTOLE)
- On peut chanter et rire; v.169 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE, LE PACTOLE)
- Ce ne sont que plaisirs, que transports, qu'enjouements. v.170 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE, LE PACTOLE)
- Sous son empire v.172 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN, THÉTIS)
- Nul ne soupire v.173 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN, TH?TIS)
- Que pour des objets charmants. v.174 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN, TH?TIS)
- Ah ! Qu'il est doux de reconnaître v.175 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN, TH?TIS)
- Un si grand Monarque pour Maître ! v.176 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN, TH?TIS)
- Ah ! qu'il est doux de reconnaître v.179 (Acte 1, scène 2, TOUS ENSEMBLE)
- Un si grand Monarque pour Maître ! v.180 (Acte 1, scène 2, TOUS ENSEMBLE)
LES MOTS À LA MODE (1694)
- Je vous ai de ma femme appris la trahison ; v.1 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Quoiqu'il puisse arriver, j'en veux avoir raison. v.2 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Contre ce beau mémoire elle ne peut rien dire ; v.3 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et pour la condamner il suffit de le lire. v.4 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Parlons sans passion. Êtes-vous bien certain v.5 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Que ce Mémoire-là soit de sa propre main ? v.6 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- J'y trouve, comme vous, des endroits effroyables... v.7 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Si j'en suis bien certain ? Trop de « par tous les Diables ». v.8 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Oui, Monsieur, il est d'elle. Avez-vous bien ouï ? v.9 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Voilà cinq ou six fois que je vous dis que oui. v.10 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- En cherchant des papiers hier dans son armoire v.11 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Dans un coin, à l'écart, j'aperçus ce Mémoire. v.12 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Quoi qu'elle m'observât ses yeux furent déçus: v.13 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Avec subtilité je mis la main dessus. v.14 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je cherchais un prétexte à me défaire d'elle : v.15 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et je l'ai bien trouvé, puisqu'elle est infidèle. v.16 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- J'ai reçu votre plainte, et je sais tout cela : v.17 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Ne poussez point la chose, et tenez-vous en là. v.18 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Vous donner cet avis c'est vous mal satisfaire ; v.19 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Mais un sot par arrêt est difficile à faire. v.20 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Si tous ceux qui le sont intentaient des procès v.21 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Il faudrait leur créer un Tribunal exprès ; v.22 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Encore est-il certain, à bien peser les choses, v.23 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Qu'il ne pourrait suffire à juger tant de causes. v.24 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Quoi ! Pour donner à rire à tout le genre humain, v.25 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Comme fit ce Bourgeois du Faubourg Saint-Germain, v.26 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Voulez-vous, en rendant votre femme si noire, v.27 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Et quand vous serez sot, à la face de tous, v.29 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Être encor trop heureux de la revoir chez vous ? v.30 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Est-ce peu pour un sot de la douleur de l'être ? v.31 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Quelle démangeaison de le vouloir paraître ! v.32 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Hé qui, de bonne soi, croyez-vous le moins sot, v.33 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- D'un sot qui l'est assez pour n'en dire aucun mot, v.34 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Ou d'un qui se démène, et qui donne à connaître v.35 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et ne pas ressembler à tous ceux que je vois, v.38 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Qui par un mercenaire et coupable silence v.39 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Avec leurs substituts semblent d'intelligence. v.40 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Vous avez, pour ma plainte, en quatre louis d'or ; v.41 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je prétends par la suite en user mieux encor : v.42 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je sais combien d'argent vous coûte votre office ; v.43 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et comment aujourd'hui s'exerce la Justice : v.44 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- On ne la connaît plus que par son attirail ; v.45 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et qui l'achète en gros, la revend en détail. v.46 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- N'importe ce qu'il coûte à venger cet outrage. v.47 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Après les actions dont vous êtes instruit, v.49 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je sais que dans le voisinage v.51 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- On ne s'est jamais plaint qu'elle ne fût point sage : v.52 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Elle s'en fait accroire, et prend des airs trop hauts. v.54 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- On la blâme, surtout, de ce qu'elle s'infecte v.55 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- De certains mots nouveaux que sans cesse elle affecte. v.56 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Alexandre le Grand, l'exemple des Héros, v.57 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Est appelé par elle Alexandre le Gros. v.58 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Hier au soir elle-même, en parlant d'Allemagne ; v.59 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Dit que le Gros Vizir s'allait mettre en campagne. v.60 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- On ne peut là-dessus lui faire ouvrir les yeux : v.61 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- C'est un mot favori qu'elle fourre en tous lieux : v.62 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Mais de quelque façon qu'une femme s'exprime, v.63 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- C'est un entêtement, mais ce n'est pas un crime. v.64 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Aussi, suis-je chagrin, mon cher Monsieur Griffet, v.65 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Moins de ce qu'elle dit que de ce qu'elle fait. v.66 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Quoi que dans le quartier chacun se moque d'elle, v.67 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Le vice du langage est une bagatelle ; v.68 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et quant au choix des mots, il m'est indifférent, v.69 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Quel est le plus en vogue ou le Gros ou le Grand. v.70 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Le cas dont il s'agit, est un cas plus énorme. v.71 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je reviens dans une heure avec un acte en forme. v.72 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Souvenez-vous d'arrêter prisonnier v.73 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Un certain gros coquin qui sert de jardinier. v.74 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- J'ai mes raisons. v.75 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Suffit. C'est une affaire faite. v.75 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Dans quel piège ma femme elle-même se jette ! v.76 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- Quelle imprudence aussi d'écrire mot pour mot v.77 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- Tout ce qu'elle dépense à faire un mari sot ! v.78 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- En termes naturels dans ce journal font mises. v.80 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- La voici. Sa présence augmente mon courroux. v.81 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOSSE)
- Je viens vous avertir qu'il ne tiendra qu'à vous v.82 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- De donner dès ce soir des époux à vos filles. v.83 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Connaissez-vous leurs biens, leurs emplois, leurs familles ? v.84 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Leurs familles ? Eh si ! Perdez-vous la raison ? v.85 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Les voudrais-je souffrir s'ils n'étaient de maison ? v.86 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Qui vous fait présumer en moi tant de faiblesse ? v.87 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Famille est bourgeoisie, et Maison est noblesse. v.88 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Je vous les garantis nobles ; c'est un grand point. v.89 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Vous les garantissez ? v.90 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Nobles. v.90 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Je n'en veux point. v.90 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Je veux d'honnêtes gens. Par exemple un Notaire, v.91 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Un banquier, un marchand, un bonhomme d'affaire, v.92 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Gens avides de bien, et sûrs d'en amasser ; v.93 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Et non pas de ces gens faits pour en dépenser, v.94 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Qui consumant leurs jours en des chimères vaines, v.95 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Ont plus de créanciers qu'un an n'a de semaines. v.96 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Entendez-vous, ma femme ? v.97 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Oui, mon mari, j'entends. v.97 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Que dirait-on de pis chez de petites gens ? v.98 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- À moins d'être du « Peuple » on ne dit point « ma Femme », v.99 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- C'est une « Impolitesse » à faire rendre l'âme. v.100 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Cela sent le bourgeois du plus méchant « aloi ». v.101 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Hé que suis-je de plus ? Parlons net. v.102 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Noble. Et ce qui plus me touche, v.103 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Pour peu qu'on ait de « Goût » au rang où je me vois, v.105 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- On abdique aisément ce qu'on a de « Bourgeois ». v.106 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Ma femme, en un mot comme en mille, v.107 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Votre sotte noblesse est comme votre style ; v.108 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Et je ne m'accommode en aucune façon v.109 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Ni de votre fierté ni de votre jargon. v.110 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- De nobles, comme moi, d'une fabrique neuve, v.111 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Le nombre croit si fort qu'on dirait qu'il en pleuve : v.112 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Il n'est point de manant, pourvu qu'il ait de quoi, v.113 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Qui pour le même prix ne le soit comme moi. v.114 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Trêve donc, s'il vous plaît, Mademoiselle Josse, v.115 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Du ridicule orgueil qui vous rend si féroce. v.116 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Est-il charge ni rang qui puisse me cacher v.117 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Que mon père est orfèvre, et le vôtre boucher ? v.118 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Voilà pour faire un jour de célèbres familles ! v.119 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Faites-les moi venir ; et surtout pour leur bien v.121 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Quand je leur parlerai ne vous mêlez de rien. v.122 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- « Hé quelqu'un » ! Mes Laquais, montrez-vous, je vous prie. v.123 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- L'un s'appelle Champagne, et l'autre a nom la Brie. v.124 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Est-il si malaisé de se souvenir d'eux ? v.125 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Fi ! C'est montrer par-là que l'on n'en a que deux ; v.126 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Au lieu qu'en m'expliquant de manière incertaine v.127 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Je parais en avoir une demi-douzaine. v.128 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Qui voit-on aujourd'hui, distingué du commun v.129 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Appeler de ses gens, qui ne dise, « hé quelqu'un » ? v.130 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Un air noble sied bien jusques aux bagatelles. v.131 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Préparez-vous, Monsieur ; voici des Demoiselles, v.132 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Qui savent les beaux mots comme leur alphabet. v.133 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Approchez-vous, Nannette ; et vous aussi, Babet. v.134 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- C'est moi qui vous demande. v.135 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Hé, Monsieur ? Je vous prie, v.135 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Donnez-nous à chacune un nom de Seigneurie : v.136 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Je ne vois que vous seul de gens de qualité v.137 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Prendre si peu de soin de sa postérité. v.138 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Monsieur Coquerico, Marchand de Savonnettes > v.139 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Devenu gentilhomme aussi bien que vous l'êtes, v.140 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- N'a pas un de ses fils qui n'ait un nom nouveau, v.141 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Soit le nom de quelque arbre ou de quelque ruisseau : v.142 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Pour faire ses enfants nobles, en bonne forme, v.143 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- L'un est Monsieur du Rus, l'autre Monsieur de l'Orme; v.144 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Et comme le plus jeune a le dos tout courbé, v.145 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Sûr qu'il n'est bon à rien il en fait un abbé. v.146 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- S'il avait comme vous une fille bien faite v.147 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Lui ferait-il l'affront de l'appeler Nannette ? v.148 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Vous me citez, vraiment, un plaisant animal ! v.149 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Est-ce vous offenser, que citer votre égal, v.150 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Monsieur ! v.151 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Que vous m'appelassiez simplement votre père ; v.152 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- À moins que votre mère en secret, et tout bas, v.153 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Ne, vous ai fait savoir que je ne le suis pas, v.154 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Les gens de qualité, dont elle a l'honneur d'être, v.155 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Ont une extrême peine à ne pas le paraître : v.156 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Quoi que le nom de père ait de beau, de touchant, v.157 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Depuis un an ou deux cela « pue » le marchand v.158 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Un chétif Avocat par un ordre sévère, v.159 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Défend à ses enfants de l'appeler leur père. v.160 (Acte 1, scène 4, BABET)
- C'est une vérité qu'on peut vous garantir v.161 (Acte 1, scène 4, BABET)
- J'en sais bien la raison : c'est de peur de mentir. v.162 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Souvent un avocat donne toutes ses peines v.163 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Aux affaires d'autrui, pendant qu'on fait les siennes. v.164 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Mais je vous mande ici pour un autre entretien. v.165 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Je veux vous marier. Vous ne répondez rien ! v.166 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Je n'ai de volonté que pour suivre la vôtre. v.167 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Je me fais un devoir, de n'en avoir point d'autre. v.168 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Fort bien : j'aime à vous voir dans ces sentiments là. v.169 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Je dois à vos bontés beaucoup plus que cela. v.170 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Vos ordres en tout temps me sont doux et faciles. v.171 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Puisqu'à mes volontés vous êtes si dociles, v.172 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Vous aurez pour époux, dans huit jours au plus tard, v.173 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Vous, Monsieur Poussineau, vous, Monsieur Rodillard. v.174 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- L'un est un bon Marchand à grand'porte cochère, v.175 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Où l'étoffe par aulne est d'un écu plus chère ; v.176 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Car aux gros magasins comme aux grands cabarets, v.177 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- L'apparence entre en compte au mémoire de frais. v.178 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- L'autre est un homme d'ordre, un banquier d'importance, v.179 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Qui n'avait pour tout bien que mille écus d'avance ; v.180 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Et qui par son mérite est devenu puissant v.181 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- À prêter pour six mois à quatorze pour cent. v.182 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Enfin, gens sans reproche, et d'une bonne race. v.183 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Je vous baise les mains. v.184 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Et moi, je vous rends grâce. v.184 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Comment ? v.185 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Je ne veux pas me marier sitôt. v.185 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Ni moi non plus. v.186 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Non ? v.186 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Non. v.186 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Votre prétention sur ce point sera vaine. v.187 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Je ne puis. v.188 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Craignez-vous de mourir dans la peine ? v.188 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Votre mère à votre âge avait franchi ce pas : v.189 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Elle n'en est pas morte ; et vous n'en mourrez pas. v.190 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Vous nous offrez des gens d'une agréable « allure ». v.191 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Il nous faut des partis bien d'une autre « tournure ». v.192 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Puis-je prendre un époux à moins que de son chef. v.193 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Il ne soit noble, riche, et d'un « gros relief » ? v.194 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Pour moi, je n'en veux point, comme vous pouvez croire, v.195 (Acte 1, scène 4, BABET)
- S'il me fait « dérouter » du chemin de la gloire. v.196 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Je voudrais bien savoir si Monsieur Poussineau, v.197 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Peut jamais, quoi qu'il fasse, être à notre « niveau » ? v.198 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Et Monsieur Rodillard avec qui l'on m'assemble ; v.199 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Ne fera-t-il pas beau nous « faufiler » ensemble ? v.200 (Acte 1, scène 4, BABET)
- J'en sais qui sous nos lois sont prêts à se ranger, v.201 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Fais comme une peinture et jolis à manger : v.202 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Au lieu que les « amants » dont vous faites l'ébauche, v.203 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Ont un esprit si « louche » ! Un entretien si « gauche » ! v.204 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Quoique votre noblesse ait déjà près d'un mois, v.205 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Je ne vois qu'à vous seul « ces petites manières ». v.207 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Hé bien ? N'est-il pas beau de voir trois grimacières, v.208 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Qui sans le fade appas de vingt bizarres mots, v.209 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Que font des étourdis et que disent des sots, v.210 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Tant que dure le jour n'auraient rien à se dire ? v.211 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Encor n'est ce pas là ce que l'on fait de pire. v.212 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Hé, que fait-on, Monsieur ? v.213 (Acte 1, scène 4, MADAME JOSSE)
- Ce que l'on fait ? v.213 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Ce que personne ici ne doit faire que moi. v.214 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Mais je vais de ce pas y donner si bon ordre, v.215 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Qu'il sera malaisé que nous puissions nous mordre. v.216 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Moquez-vous des menaces qu'il fait : v.217 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Messieurs Coquerico sont bien mieux votre fait. v.218 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Il ne s'est jamais vu d'égalité plus grande : v.219 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Âge, rang... v.220 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Moi, banquière ! v.220 (Acte 1, scène 5, BABET)
- Moi, Marchande. v.220 (Acte 1, scène 5, NANNETTE)
- Ah, c'est vous ! Eh, mon frère, bonjour. v.221 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Bonjour, ma soeur. v.222 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- De quand êtes-vous de retour, v.222 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Monsieur l'Avocat ? v.223 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- D'hier à dix heures, je pense. v.223 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Je vous veux un « gros » mal d'une si « grosse » absence. v.224 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Depuis quinze « gros » jours ne m'avoir point écrit ! v.225 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Vous qui passez partout pour un si « gros » esprit. v.226 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- À peine un « gros » Seigneur, que le rang autorise, v.227 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Quoi ! Ma soeur, votre erreur dure jusqu'à présent ! v.229 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Laissez mourir en paix un mot agonisant. v.230 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Hors chez quelques Laquais qu'il est en étalage, v.231 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- En aucun lieu du monde il n'est plus en usage. v.232 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Laissez, encore un coup, mourir ce mot en paix. v.233 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- A moins qu'un « gros » Seigneur n'ait la taille fort grosse, v.235 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Est-il expression plus bizarre et plus fausse ? v.236 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Qui, Diable, a jamais dit depuis quinze « gros » jours ? v.237 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Ceux qui risquent ces mots pour leur faire avoir cours v.238 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Devraient être punis presque de même voie v.239 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Que ceux qui font passer de la fausse monnaie ; v.240 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- « Gros » est un mot proscrit, ma soeur. v.241 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Que l'on ne sache pas que je suis votre soeur ? v.242 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- À qui plus justement voulez-vous qu'appartienne v.243 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Oh ! Qu'à cela ne tienne. v.244 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- C'est un titre abusif que tant de femmes ont, v.245 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Qu'il ne fait plus d'honneur à celles qui le font. v.246 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- On traite également, tant on rend de justice, v.247 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Et la femme d'un Duc et celle de son Suisse ; v.248 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Et l'on distingue à peine en un même quartier, v.249 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Celle d'un président de celle d'un huissier. v.250 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Jadis un conseiller défendit à sa femme v.251 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- De souffrir que ses gens l'appelassent Madame ; v.252 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Et le Clerc de son Clerc, moins scrupuleux que lui, v.253 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Trouve bon que la sienne ait ce titre aujourd'hui. v.254 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Cette contagion s'étend avec furie ? v.255 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Particulièrement parmi la librairie : v.256 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Auprès des Mathurins j'en connais un trio, v.257 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Une Madame « in-douze », et deux « in-folio ». v.258 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Mais les gens de bon goût distinguent les espèces. v.259 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Hé bien, mariez-vous mes deux charmantes nièces ? v.260 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Vous ne pouviez choisir un plus heureux moment. v.261 (Acte 1, scène 6, NANNETTE)
- Il nous vient ce matin à chacune un amant : v.262 (Acte 1, scène 6, NANNETTE)
- Mais bien faits ! Mais d'un « goût » ! Et du rang dont nous sommes. v.263 (Acte 1, scène 6, NANNETTE)
- Madame, on vous demande. v.264 (Acte 1, scène 7, CHAMPAGNE)
- Deux gentilshommes ; v.264 (Acte 1, scène 7, CHAMPAGNE)
- Il semble que le ciel nous les envoie exprès, v.266 (Acte 1, scène 7, BABET)
- Les fils d'un parfumeur Gentilshommes ? Prodige ! v.267 (Acte 1, scène 7, MONSIEUR BRICE)
- Oui, mon frère, ils le sont. v.268 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- De l'éclat de vos yeux éblouis, pénétrés ; v.269 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Ils ne sortiront pas comme ils seront entrés. v.270 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Charmez les bien. v.271 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Et vous, respectez leur noblesse. v.271 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Et qu'il ne vous échappe aucun mot qui la blesse. v.272 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Qu'ils entrent. v.273 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Hé « quelqu'un » ! Des fauteuils. v.273 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Qui font à tout venant mettre pavillon bas, v.274 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Sûrs de tout conquérir aussitôt qu'ils se montrent, v.275 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Font autant de captifs que de cours qu'ils rencontrent. v.276 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Vers une autre beauté j'avais pris mon essor, v.277 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Mais je change. v.278 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Pour moi, mon coeur est libre encor : v.278 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Mais à voir tant d'appas pour peu qu'il persévère, v.279 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- J'appréhende bien fort qu'il ne le soit plus guère. v.280 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Quel plaisir de ranger sous l'amoureux lien v.281 (Acte 1, scène 8, NANNETTE)
- De ces cours « isolés » qui ne tiennent à rien i v.282 (Acte 1, scène 8, NANNETTE)
- Que ne puis-je causer votre première alarme ! v.283 (Acte 1, scène 8, NANNETTE)
- Qui jamais avant elle, à l'âge où la voilà, v.285 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Avec tant de justesse a placé ce mot-là ? v.286 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Franchement, « Isolés » me prend l'âme. v.287 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- « Isolés » me ravit, me pénètre, m'enflamme. v.288 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Ce qui m'en plaît le plus, c'est qu'elle s'en sert bien. v.289 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- De ces cours « Isolés » qui ne tiennent à rien ! v.290 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Quand de l'architecture on saurait la manoeuvre, v.291 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- On aurait de la peine à mieux le mettre en ouvre. v.292 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Ce mot est d'un « bon sel », et d'un excellent « goût ». v.293 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Ces fauteuils sont ici pour nous mettre à notre aise. v.295 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Hé « quelqu'un » ! Pour mon frère il ne faut qu'une chaise ; v.296 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Il n'est pas noble. v.297 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Non ; dont je rends grâce au ciel. v.297 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Ouais ! Contre la noblesse il semble avoir du fiel. v.298 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Point du tout ; je l'honore autant qu'on le peut faire : v.299 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Il n'est dans un état rien de plus nécessaire : v.300 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- À le rendre tranquille elle applique son soin ; v.301 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Mais je l'aime un peu vieille, et marquée au bon coin. v.302 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Fi ! Peut-on avouer qu'on aime la vieillesse ? v.303 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Rien n'est plus décrépit que la vieille noblesse. v.304 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Est-il un financier noble depuis un mois, v.305 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Qui n'ait son dîné sûr chez Madame Guerbois ? v.306 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Et que de vieux barons pour le leur trouvent blanque v.307 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Quand le gibier s'envole, ou que leur fusil manque ? v.308 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Monsieur parle en bourgeois des plus « invétérés ». v.309 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Les mots les plus « jolis » sont par lui censurés. v.310 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Contre celui de « gros » il jette feux et flammes, v.311 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Tant pis : il se fera lapider par les Dames. v.312 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- C'est un des mots nouveaux qu'elles aiment le plus. v.313 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Est-il rien de mieux dit que de « grosses » vertus ? v.314 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Je suis de cette phrase inséparable amie. v.315 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Vous avez contre vous toute l'Académie : v.316 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Elle, qui dans la langue a le don d'exceller. v.317 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Moi, je lui soutiens, moi, qu'on ne peut mieux parler. v.318 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Il est certains endroits où ce mot charme, enchante. v.319 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Quelle Académie est-ce ? Est-ce celle où l'on chante ? v.320 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Plaisante Académie, et dont on fait grand cas ! v.321 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Est-ce celle, où l'on fait de si bons almanachs ? v.322 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Ces gens, pour bien parler, n'ont pas l'air assez grave. v.323 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Est-ce l'Académie où l'on peint ? Où l'on grave ? v.324 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Ces gens-là sont du monde, et parlent juste. v.325 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Non. v.325 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- C'est donc l'Académie où l'on ne fait rien. v.326 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Bon ! v.326 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- C'est-là que de la langue on décide les doutes : v.328 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Là que l'on sert de règle à tous les gens d'esprit, v.329 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Par ce que l'on prononce et ce que l'on écrit : v.330 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- L'ennemie, en un mot, des sottises nouvelles. v.331 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Marote Poussineau vient voir ces Demoiselles. v.332 (Acte 1, scène 9, CHAMPAGNE)
- Voyez pour quel sujet le sot nous interrompt : v.333 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Dis qu'elles n'y sont pas. v.334 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- J'ai dit qu'elles y sont, v.334 (Acte 1, scène 9, CHAMPAGNE)
- Je ne serai pas cru, si je dis le contraire. v.335 (Acte 1, scène 9, CHAMPAGNE)
- De ces sortes de gens tâchez à vous défaire. v.336 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- C'est vers la « bourgeoisie » un reste de penchant v.337 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Que de souffrir ici la fille d'un marchand. v.338 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Elle ne connaît pas, tant elle est animale, v.339 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Combien entre elle et vous le rang met d'intervalle. v.340 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Qu'elle entre. Ces Messieurs permettront bien cela. v.341 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Pardon. v.342 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Bonjour Nannette ; à la fin te voilà ! v.342 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Je suis venue ici deux ou trois fois de suite ; v.343 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Comment te portes-tu ? J'en suis en peine. v.345 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Bien. v.345 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Je te vois du chagrin. Qu'as-tu ? v.346 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Qu'aurais-je ? Rien. v.346 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Parle-moi bonnement, et ne fais point la sotte. v.347 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Qu'as tu ? Bonjour, Madame. v.348 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Ah, ah ! Bonjour, Marote, v.348 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Bonjour. v.349 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- On me reçoit ici bien froidement ! v.349 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- D'où vient donc que Babet ne me dit rien ? Vraiment v.350 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- On me chasse ; et l'on veut que je m'en aperçoive. v.351 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Comment donc voulez-vous, dites, qu'on vous reçoive ? v.352 (Acte 1, scène 10, BABET)
- Comment ? Il semble ici qu'on me voie à regret. v.353 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Apporter pour Marote un petit tabouret. v.354 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Car je ne pense pas que votre orgueil vous porte v.355 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- À vous « équipoler » aux gens de notre sorte : v.356 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Il faut selon les rangs de la distinction ; v.357 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Et l'on nomme cela subordination. v.358 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Je veux un fauteuil, moi, s'il faut que je le dise ; v.359 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Non pour avoir l'honneur d'être un peu mieux assise ; v.360 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Mais sachant où je fuis, pour m'épargner l'affront v.361 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- De l'être un peu plus mal que les autres ne sont. v.362 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Que le monde aujourd'hui se rend peu de justice ! v.363 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Et qu'aux petites gens l'audace est un sot vice ! v.364 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Vous imaginez-vous qu'ici, non plus qu'ailleurs, v.365 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Vous ayez un fauteuil où seront ces messieurs, v.366 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Eux qui vont à la gloire avec tant de vitesse ; v.367 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Et qui, de compte fait, ont un mois de noblesse ? v.368 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Il faut de la raison et de l'ordre partout. v.369 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Ces Messieurs, où je suis, devraient être debout. v.370 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Une belle noblesse et de source bien pure, v.371 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Que celle qu'on débite à la manufacture ! v.372 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- En vous encanaillant de cette guenon-là. v.374 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Marote Poussineau ! Ce nom seul est atroce. v.375 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Marote Poussineau vaut bien Madame Josse. v.376 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Cet orgueil avec moi ne lui sied-il pas bien ? v.377 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Elle de qui le père est le boucher du mien ; v.378 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Et qui plus d'une fois eût fermé sa boutique v.379 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- S'il n'eût eu le bonheur d'avoir notre pratique ? v.380 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Je m'en vais le changer, sans y perdre un moment. v.381 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Vous l'avez repoussée, et vigoureusement. v.382 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE L'ORME)
- Je ne sais rien de mieux pour vous en bien défaire. v.383 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE L'ORME)
- Remettons-nous. Hé bien, Messieurs, qu'allez-vous faire ? v.384 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Car rien n'est plus honteux, dans ces temps divisés, v.385 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Que de voir la noblesse avoir les bras croisés : v.386 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Il faut, pour son honneur, qu'elle soit occupée. v.387 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Prenez-vous une charge où de robe ou d'épée. v.388 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- D'épée. On sent bien mieux l'homme de qualité. v.389 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Chez tous les gens d'épée aujourd'hui c'est la mode v.391 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- De passer sur le ventre à tous les gens du code. v.392 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Ce n'est pas au Palais que croissent les lauriers. v.393 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Si l'on en croit le bruit que fait la renommée, v.395 (Acte 1, scène 11, NANNETTE)
- De « jolis » officiers ornent bien une armée. v.396 (Acte 1, scène 11, NANNETTE)
- Quand ils ont à leur tête un « joli » général : v.397 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Il n'est pour les « grivois » point de plaisir égal : v.398 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Et ce qui rend la France en tous lieux formidable v.399 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- En « jolis » généraux elle est inépuisable. v.400 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Ce que nous en avons sont des gens accomplis. v.401 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Ceux que nous n'avons plus étaient bien plus « jolis ». v.402 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Quoique pour en juger mon esprit soit trop mince, v.403 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Feu Monsieur de Turenne, et feu Monsieur_le_Prince, v.404 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- L'un pour temporiser et lasser l'Allemand ; v.405 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- L'autre pour foudroyer Espagnol et Flamand ; v.406 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Ont été, selon moi, les deux plus « jolis » hommes v.407 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Que la France ait produit dans le siècle où nous sommes. v.408 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Et vous ne voulez pas que les gens soient piqués v.409 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Contre des mots si sots et si mal appliqués ! v.410 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Est-il dans l'Univers encore un Capitaine v.411 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Tel que Monsieur_le_Prince, et Monsieur de Turenne ? v.412 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Quels noms ont plus de gloire, et sont mieux établis ? v.413 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Et des gens d'un tel poids vous paraissent « jolis » ! v.414 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Vous nommez deux héros qui les effacent tous : v.417 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Il faut quand on en parle en parler à genoux ; v.418 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Et ceux qu'en pareil cas ces jolis termes tentent v.419 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Sont du moins aussi fous que ceux qui les inventent. v.420 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- On ne dit point non plus de « jolis » officiers. v.421 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- « Jolis » ne convient point à de vaillants guerriers : v.422 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Il faut que l'épithète exprime ce qu'on nomme : v.423 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Dire un « joli garçon » n'est pas dire un brave homme ; v.424 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Et le mot de « joli » n'a jamais été fait v.425 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Qu'en faveur d'un enfant, et d'un colifichet. v.426 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- J'entrevois les raisons de Monsieur votre frère : v.427 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE L'ORME)
- « Joli » ne lui plaît pas, parce qu'il ne l'est guère. v.428 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE L'ORME)
- Voilà ce qui l'oblige à s'expliquer ainsi. v.429 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE L'ORME)
- Ha ! Que mal-à-propos ma mère vient ici ! v.430 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Quel sujet vous amène en ce lieu, toute seule ? v.431 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- Je devrais y venir vous souffleter la gueule. v.432 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Vous avez par vos soins fait si bien et si beau, v.433 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Que nous ne servons plus chez Monsieur Poussineau. v.434 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Pour oser sottement se croire notre égale ? v.436 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- De la désabuser on s'est donné le soin. v.437 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- Franchement, l'insolence allait un peu trop loin. v.438 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DU RUS)
- Ces messieurs sont d'un rang... v.440 (Acte 1, scène 12, NANNETTE)
- Il vous appartient bien de dire vos raisons, v.441 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Et de mettre le nez dans ce que nous disons. v.442 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Qui demande un avis aussi sot que le vôtre ? v.443 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Eh ! De grâce, ma mère, abstenez-vous... v.444 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR BRICE)
- Qui pour être boucher ayant trop peu d'esprit v.445 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Voulut être Avocat pour nous faire dépit ; v.446 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Et de qui chaque jour la principale affaire v.447 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Est d'endosser sa housse, écouter, et se taire. v.448 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Faites-moi le plaisir de me laisser en paix : v.449 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- On vous y laisse bien tous les jours au Palais. v.450 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Ciel ! Que les vieilles gens ont un esprit revêche ! v.451 (Acte 1, scène 12, BABET)
- Entendez-vous jaser la petite pimbêche ? v.452 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Voyez : Ne faut-il pas qu'elle s'en mêle aussi ? v.453 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Les vieilles gens ! La masque, oser parler ainsi ! v.454 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Je t'apprendrai, friponne, à me morguer en face. v.455 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Vos attraits par ce mot ne font pas effacés ! v.457 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE L'ORME)
- Vous êtes encor jeune; on le voit bien. v.458 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE L'ORME)
- Pour voir votre noblesse un jour aller au peautre ; v.459 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Et vous, redevenir parfumeurs l'un et l'autre. v.460 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Mon gendre est une bête, et votre père un fou v.461 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- De chercher à monter pour se casser le cou. v.462 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Suffit d'être enrôlé dans la Gentilhommaille v.463 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Pour être convaincu de n'avoir pas la maille : v.464 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Et de tous les états où l'on est malheureux, v.465 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Le plus insupportable est d'être noble et gueux. v.466 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- D'un noble parfumeur, d'un gentilhomme orfèvre, v.468 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Si le Roi les oblige à marcher dans un an, v.469 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Comme l'autre noblesse, à quelque arrière-ban ? v.470 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Les braves gens ! v.471 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Ma mère, il vaut mieux qu'on se taise... v.471 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR BRICE)
- Jour de Dieu ! Je prétends quereller à mon aise. v.472 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Restez, Monsieur du Rus. v.476 (Acte 1, scène 12, NANNETTE)
- Restez, Monsieur de l'Orme. v.476 (Acte 1, scène 12, BABET)
- Nous prendrons notre temps pour revoir tant d'appas v.477 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE L'ORME)
- Que la mère éternelle un matin n'y soit pas. v.478 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE L'ORME)
- Votre façon d'agir, ma mère, est effroyable. v.479 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- Ils sont sortis. . v.480 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- Tant mieux : Qu'ils s'en aillent au Diable. v.480 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- J'aurai la joie au moins de gronder en repos. v.481 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Ha, ha ! Je vous rencontre ici tout à propos. v.482 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Je viens de vous chercher pour une belle affaire. v.483 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Comment donc ? Qu'est-ce ? v.484 (Acte 1, scène 13, MADAME BRICE)
- Entrez, Monsieur le Commissaire. v.484 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Un Commissaire ici ! Pourquoi faire ? v.485 (Acte 1, scène 13, MADAME JOSSE)
- Attendez. v.485 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Vous saurez assez tôt ce que vous demandez. v.486 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Je veux auparavant, sans nulle incertitude, v.487 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Informer vos parents de votre turpitude. v.488 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Autrefois, par l'hymen l'un à l'autre conjoints, v.489 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Votre fille m'aimait ; je ne l'aimais pas moins : v.490 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- J'étais jeune : un mari toujours jeune est aimable ; v.491 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Mais enfin... v.492 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Enfin, quoi ? v.492 (Acte 1, scène 13, MADAME BRICE)
- Et ma femme au plaisir immolant le devoir, v.493 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- À ses petits besoins a pris foin de pourvoir. v.494 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Imposteur ! L'impudence est extrême. v.495 (Acte 1, scène 13, MADAME JOSSE)
- Vite, à l'aide, au secours du pauvre Nicodème : v.496 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Si vous ne vous hâtez c'est fait du jardinier. v.497 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Comment ? v.498 (Acte 1, scène 14, MADAME JOSSE)
- Des pousse-culs l'arrêtent prisonnier. v.498 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Il leur donne à tretous bien du fil à retordre : v.500 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Il en viendrait à bout s'il avait de l'appui. v.501 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Le voici qu'on amène, et sa femme avec lui. v.502 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Approche gros Coquin. v.503 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- C'est fort bien dit. Peut-être v.503 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Que j'en dirais autant si j'étais votre maître. v.504 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Je ne sais que penser de tout ce que je vois. v.505 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Plus ce désordre augmente et moins je le conçois. v.506 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Fripon ! v.507 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Mordié nenni. Tout chétifs que je sommes v.507 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- J'avons été cinq ans à de vrais gentilshommes: v.508 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- À telle enseigne, ardé, qu'ils n'avions pas un sou, v.509 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et qu'ils me tapotiont tout leur diantre de faou ; v.510 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Il ne s'est jamais vu de noblesse meilleure. v.511 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Ce n'était pardié pas comme celle d'astheure. v.512 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Vous le méritez bien, Monsieur Josse. v.513 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Je sais ce qui se passe entre-eux, quelque autre et vous. v.514 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Hé, que se passe-t-il qui ne soit à ma gloire ? v.515 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Monsieur le Commissaire apportez son mémoire. v.516 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- C'est trop avoir d'égard pour son manque de foi ; v.517 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ne la ménagez plus. Parlez. v.518 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Dites-moi, sans mensonge, et sans être interdite, v.519 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Si vous reconnaissez ce mémoire ? v.520 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Plus elle a de chagrin, plus je suis réjoui. v.521 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Oui, Monsieur, ce mémoire est de moi. v.522 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Je ne sais ce que c'est que dire une imposture. v.523 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Il s'agit maintenant d'en faire la lecture. v.524 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Vous allez, j'en suis sûr, être scandalisez. v.525 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Prêtez l'oreille : et vous, Monsieur, lisez. v.526 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- « Mémoire de la Défense que j'ai faite en galanteries ». (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Voyons par quel endroit ce mémoire débute. v.527 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- « Premièrement », vingt francs pour une « Culbute »... v.528 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Pour une « Culbute » ! Oh bon Dieu ! Qu'est-ce là? v.529 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Bon ; ce n'est rien : le reste est bien pis que cela. v.530 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Poursuivez seulement, Monsieur le Commissaire. v.531 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Pour une « Culbute » avec un « Mousquetaire ». v.532 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Avec un « Mousquetaire » ! En effet, c'est bien pis. v.533 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Malheureuse ! Est-ce là ce qu'on t'avait appris ? v.534 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Faire un si grand affront à la race des Brices ! v.535 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Monsieur, de pareils coups laissent des cicatrices... v.536 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- La peste ! Un « Mousquetaire » est assez bien choisi. v.537 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Plus, pour un « Boute-en-train », et pour un « Tâtez-y », v.538 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Huit cents francs ! v.539 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Qu'est-ce qu'en bon français « Tâtez-y » signifie ? v.540 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Que signifierait-il que ce qu'on entend bien ? v.541 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Qu'avez-vous à répondre à cela, ma soeur ? v.542 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Rien. v.542 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- C'est un extravagant, qui de Paris à Rome v.543 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Aurait peine à trouver son égal. v.544 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Il est bien malaisé qu'il ait l'esprit serein v.545 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Quand il sait qu'à sa femme il faut un « Boute-en-train ». v.546 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- « Plus » pour la « Jardinière », et pour des « Engageantes » v.547 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Dont mes filles et moi nous fumes bien contentes ; v.548 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Trois cents livres. v.549 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Donner à ses enfants des leçons là-dessus ! v.550 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Qui ? Moi, Monsieur? v.551 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Oui, Chienne. v.551 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Je te tordrai le cou, suborneuse. v.552 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Adrienne, Dis-moi, v.552 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Dis-moi, sans barguigner ce que c'est que cela ? v.553 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et quelle manigance on débagoule-là. v.554 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Moi, Nicodème ? v.555 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Oui, palsandié, dégoise. v.555 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Quand on a bon renom cela vaut mieux que tout. v.557 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Je sommes, comme on dit, plus couché que debout. v.558 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Tenez, je ne fais rien, comme sait Nicodème, v.559 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Que ce que je vourois qu'on me fît à moi-même, v.560 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- J'allons tête levée, et je ne craindons rien ; v.561 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Pour cela, je sommes gens de bien : v.562 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et j'avons de l'honneur, malgré la médisance, v.563 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Plus qu'il ne nous en faut pour notre suffisance. v.564 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- J'ignorons ce que c'est que de faire faux-bon : v.565 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Ce n'est pas comme vous et Madame. v.566 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Ah, fripon ! v.566 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Tu ne t'amuses pas à voler des vétilles. v.567 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- « Plus » pour des « papillons », des « guêpes », des « chenilles », v.568 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Huit cens écus. v.569 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Maraud, qui fais l'homme de bien, v.569 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Te voilà si confus que tu ne dis plus rien ! v.570 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Tu ne présumais pas que l'on sut ton négoce. v.571 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Vendre des « papillons » une somme si grosse ! v.572 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Je prétends qu'aujourd'hui cet argent soit rendu. v.573 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ou qu'il soit dans trois jours bien et dûment pendu. v.574 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Pour un vol domestique on ne fait pas long gîte. v.575 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- On ne peut d'un voleur se défaire trop vite. v.576 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Pendez, pendez. v.577 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Crois-moi, de peur d'être étranglé, v.577 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Rends-moi ce que ta femme et toi m'avez volé : v.578 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Voilà neuf cens écus marqués en deux articles. v.579 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Volé ! Nous ? v.580 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Quand je suis échauffé, je sois pis qu'un Satan. v.581 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Si je ne vous agrée, il faut dire va-t-en. v.582 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Avec un peu d'esprit jamais on ne demeure ; v.583 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et, sans reproche à Dieu, j'en eus d'assez bonne heure, v.584 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- J'apprenais de Musa le Singulariter, v.585 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Quand je me dépétri de notre Magister : v.586 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Il me brisi, mordié, quasiment une côte, v.587 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Parce que, disi-t-il par ma chienne de faute, v.588 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Notre âne avec sa bouche un soir avait failli v.589 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- À démettre la gueule à Monsieur le Bailli. v.590 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Sans cet accident-là qui vint troubler la fête, v.591 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Moi, la bourrique et lui je n'étions qu'une tête. v.592 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Je n'avons pas toujours mangé notre pain sec. v.593 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Jamais aucun fripon n'a manqué par le bec. v.594 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ne crois pas m'éblouir par de tels artifices. v.595 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ta femme, pour ses bons et louables services, v.596 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- A reçu trois cens francs. Toi pour des « papillons », v.597 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et je ne sais combien de pareils guenillons, v.598 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Huit cents écus. v.599 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Eh si ! Si je n'étais honnête, v.599 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Je vous dirais, Monsieur, que vous êtes bien bête ; v.600 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Bien nigaud, bien butor, bien badaud de Paris: v.601 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Mais Nicodème et moi je sommes bien appris ; v.602 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Et je ne disons rien qui chagrine parsonne. v.603 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- C'est une bride à viau que Madame vous donne v.604 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Que tous les « papillons » qu'elle vous boute-là : v.605 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Elle dépense mieux son argent que cela : v.606 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Fraîche comme un gardon, droite comme une parche, v.607 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Bon, vrament, c'est bien là les bêtes qu'elle charche ! v.608 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Les femmes de Paris en savont bien plus long. v.609 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Vous m'impatientez, ma soeur. Répondez-donc. v.610 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Tout parle en sa faveur, et tout vous est contraire. v.611 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Plus, quatre louis d'or pour un « Laisse-tout-faire ». v.612 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Cela n'est point obscur et chacun l'entend bien : v.613 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Quand on laisse tout faire on ne réserve rien. v.614 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Mettez-vous en ma place. Est-ce à tort que je gronde ? v.615 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Que ne l'ai-je étouffée en la mettant au monde ! v.616 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Je n'aurais pas l'affront de voir ce que je vois. v.617 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Je ris de vous voir tous déchaînés contre moi. v.618 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- L'infâme ! Et toi, tu m'assassines. v.619 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- « Plus », pour une « effrontée », et pour deux « gourgandines », v.620 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Quinze louis. v.621 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Comment ? Tu connais ces gens-là ! v.621 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Des « gourgandines » ! Ciel ! Quelle Peste voilà ! v.622 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Il n'est pas sur la terre une plus méchante âme. v.623 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Le dangereux bétail qu'une pareille femme ! v.624 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- « Plus » pour une « innocente », onze louis. v.625 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Viens ça. v.625 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Moi ? Je ne sais ce que c'est que tout çà. v.626 (Acte 1, scène 15, NICOLE)
- J'ai toujours vu Madame une bonne vivante. v.627 (Acte 1, scène 15, NICOLE)
- La preuve de son crime est assez convaincante. v.628 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- On lui dira le reste en temps et lieu. Suffit. v.629 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Qu'avez-vous à répondre à tout ce que j'ai dit ? v.630 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Que mes filles, Monsieur, ont dur elles les pièces, v.631 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Que contient ce mémoire espèces par espèces. v.632 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- De me justifier je leur laisse le soin. v.633 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Défendez mon honneur. v.634 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Je crois qu'il est bien loin. v.634 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ce qui dans cet écrit vous paraît des injures, v.635 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Sont des noms que l'on donne aux nouvelles parures. v.636 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Une robe de chambre étalée amplement, v.637 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Qui n'a point de ceinture, et va nonchalamment, v.638 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Par certain air d'enfant qu'elle donne au visage v.639 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Est nommée « innocente », et c'est du bel usage. v.640 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Ce manteau de ma soeur si bien épanoui, v.641 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- En est une. v.642 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Cela est une « innocente » ? v.642 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Sont-ce là des sujets pour vous mettre en colère ? v.643 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Un beau noeud de brillants dont le sein est saisi, v.645 (Acte 1, scène 15, BABET)
- S'appelle un « Boute-en-train », ou bien un « Tâtez-y » v.646 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Et les habiles gens en étymologie, v.647 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Trouvent que ces deux mots ont beaucoup d'énergie. v.648 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Une longue cornette, ainsi qu'on nous en voit, v.649 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- D'une dentelle fine, et d'environ un doigt, v.650 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Est une « Jardinière » : et ces manches galantes v.651 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Laissant voir de beaux bras ont le nom d'« engageantes ». v.652 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Ce qu'on nomme aujourd'hui « guêpes » et « papillons », v.653 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Ce sont les diamants du bout de nos poinçons ; v.654 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Qui remuant toujours, et jetant mille flammes, v.655 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Paraissent voltiger dans les cheveux des Dames. v.656 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Sait qu'un « Laisse-tout-faire » est un tablier fort court : v.658 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- J'en porte un par hasard qui sans aucune glose, v.659 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Exprime de soi-même ingénument la chose. v.660 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- La coiffure en arrière, et que l'on fait exprès v.661 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Pour laisser de l'oreille entrevoir les attraits, v.662 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Sentant la jeune folle, et la tête éventée, v.663 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Est ce que par le monde on appelle « effrontée ». v.664 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Enfin, la « gourgandine » est un riche Corset, v.665 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Entrouvert par devant à l'aide d'un lacet : v.666 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Et comme il rend la taille et moins belle et moins fine, v.667 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- On a cru lui devoir le nom de « gourgandine ». v.668 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- À ce compte, mon mal n'était donc qu'une peur, v.670 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et mon front avait tort de croire son cas sale ? v.671 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Comment prétendez-vous réparer ce scandale ? v.672 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Après un tel éclat je n'ai plus d'yeux pour vous, v.673 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Et je vais tout permettre à mon juste courroux. v.674 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Qui voulait me punir mérite un sort semblable. v.675 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Le moins qu'il puisse faire est amende honorable, v.676 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Tête-nue, en chemise, avec la torche au poing: v.677 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Madame fera bien de n'en démordre point. v.678 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Vartidié ! Ce n'est pas une faute légère v.679 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Que de prendre l'honneur à ceux qui n'en ont guère. v.680 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Je ne prétends pas, moi, qu'il soit quitte pour rien, v.681 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- D'avoir, ou peu s'en faut, fait une brèche au mien. v.682 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- On ne peut de l'honneur se montrer trop friande ; v.683 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Et ce qu'il m'en a pris je veux qu'il me le rende. v.684 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Je vous l'avais bien dit d'aller moins vite. v.685 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Vous l'accusez à tort de vous manquer de foi ! v.686 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Cette brutalité n'est point du tout permise : v.687 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Et dussai-je y manger jusques à ma chemise, v.688 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Il ne sera point dit que je souffre cela. v.689 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Que pouvais-je penser de ce mémoire-là ? v.690 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- « Tâtez-y », « Boute-en-train », « Culbute », « Engageantes »; v.691 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Tout cela pour le front sont des armes parlantes ; v.692 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et je sens que le mien me démange toujours. v.693 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Voilà de vilains noms pour de si beaux atours. v.694 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Il a raison. v.695 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Lui. N'est-ce pas une honte v.695 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- De voir de la pudeur faire si peu de conte ? v.696 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Donnez, puisqu'il vous plaît d'avoir ces ornements, v.697 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- De plus honnêtes noms à vos ajustements. v.698 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Sont de droit naturel du Pont-neuf, ou des Halles. v.700 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Qui de les inventer s'ose mettre en devoir, v.701 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Sait plus d'obscénités qu'il n'est beau d'en savoir : v.702 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Rien n'est plus odieux qu'une femme immodeste ; v.703 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Et qui risque ces mots, risque aisément le reste. v.704 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Les cours bien situés font posés, retenus..... v.705 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Franchement, ces mots-là sont un peu saugrenus. v.706 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- J'ai sué de frayeur de son « Laisse-tout-faire », v.707 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Et de la « Culbute » avec un « Mousquetaire », v.708 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- En un mot, ce jargon n'est point édifiant. v.709 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Monsieur le Commissaire, en vous remerciant : v.710 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Puisque je ne suis pas ce que je croyais être. v.712 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Comment ? N'est-ce pas vous qui m'avez employé ?... v.713 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Vous. Si l'on faisait une exacte Police v.716 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- On ne souffrirait point tous ces vilains mots-là, v.717 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Non plus que la Bassette et le Jeu du Hocca ; v.718 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Et l'on condamnerait à mille écus d'amende v.719 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- L'impudent lapidaire, et l'impure marchande, v.720 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- À qui l'on entend dire avec un front d'airain v.721 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Un « Tâtez-y », Monsieur ; Madame, un « Boute-en-train »; v.722 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- « Gourgandine » à bon prix ; « Culbute » nouvelle. v.723 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Mon devoir en d'autres lieux m'appelle : v.724 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Payez-moi, je vous prie, ou bientôt un exploit... v.725 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Satisfaites Monsieur, et qu'il s'en aille. v.726 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- J'en suis quitte à bon compte, et la peine est petite. v.727 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Oh palsandié nonfait, vous n'en êtes pas quitte. v.728 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Si l'honneur de Madame a fait queuque faux pas, v.729 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- J'avons notre cas net, si le sien ne l'est pas. v.730 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- La femme de cheuz-nous n'est point une « Engageante ». v.731 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Au lieu de vingt écus je t'en donnerai trente. v.732 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- C'est payer son honneur et le tien grassement. v.733 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Eh oui-da, c'est bien honnêtement. v.734 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Les femmes d'aujourd'hui faisont bien voir aux hommes v.735 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Que l'honneur n'est pas cher dans le temps où je sommes. v.736 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Dix écus pour le mien c'est un prix assez haut. v.737 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Boutez-là votre main : je vous pardonne. Eh qu'est-ce ? v.739 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Pour des mots de travers faut-il bouder sans cesse ? v.740 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Je me charge du soin de les rapatrier. v.741 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Et l'affront qu'il m'a fait se peut-il oublier ? v.742 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Si me croire timbré c'est vous faire une offense, v.743 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- En faisant le péché, j'en ai fait pénitence : v.744 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- J'ai souffert comme un Diable. Eh, bon Dieu! Comment font v.745 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Tant de gens que je vois qui savent qu'ils le sont, v.746 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et qui de ce malheur n'étant tristes ni mornes, v.747 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Vivent dans un plein calme à l'abri de leurs cornes ? v.748 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- La patience est belle en de semblables cas : v.749 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Mais c'est un don du ciel, qu'il ne m'accorde pas. v.750 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Nommez, si vous voulez, mon imprudence extrême, v.751 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et le risque est moins grand, pour tout dire en un mot, v.753 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- D'être imprudent cent fois, que d'être une fois sot. v.754 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- S'il est vrai ce qu'on me fait connaître v.755 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Non, je ne le suis pas, mais je croyais bien l'être : v.756 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et sur une apparence égale à celle-ci, v.757 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Bien d'autres en ma place auraient cru l'être aussi. v.758 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Oublions toute chose. Y consentez-vous? v.761 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Non. v.761 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Je ne veux plus vous voir. v.762 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Moi, je le veux, Guenon, v.762 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Ce serait un ménage assez beau que le vôtre, v.763 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Le mâle d'un côté, la femelle de l'autre ! v.764 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Il faut qu'à son époux, de peur d'avoir du bruit. v.765 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Une femme obéisse en tout temps, jour et nuit. v.766 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Ce n'est point à la poule à tant lever la crête. v.767 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- À tout ce qu'il lui plaît le mien me trouve prête. v.768 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Demandez-lui plutôt si je mens. v.769 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Pardié non v.769 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Parmi bien du méchant elle a cela de bon, v.770 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Que lorsqu'il faut m'aider à de certains ouvrages v.771 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Veux-je boire deux coups, elle en veut boire trois ; v.773 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Aussi, vivons-je heureux comme de petits Rois. v.774 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- La paix est d'un logis la pièce la plus bonne. v.775 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Profitez des leçons qu'un jardinier vous donne. v.776 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- À vivre bien ensemble appliquez votre soin. v.777 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Votre sotte querelle est allée assez loin. v.778 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Surtout, qu'il ne vous sorte aucun mot de la bouche v.779 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Dont l'oreille s'indigne, et l'honneur s'effarouche. v.780 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Portez des diamants, des dentelles, de l'or, v.781 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Et, si faire se peut, plus de richesse encor ; v.782 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Mais évitez les mots dont les moeurs sont blessées, v.783 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Et qui mènent l'esprit à de sales pensées. v.784 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Chez tous les gens d'honneur ces mots sont interdits. v.785 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Je voudrais bien savoir quels vilains mots je dis. v.786 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Lisez votre mémoire ; on ne voit rien de pire, v.787 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Hé bien, mon frère, il ne faut plus les dire ; v.788 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- J'ai cru de nos bijoux pouvoir mettre les noms, v.789 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Sans attirer sur moi de si cruels affronts. v.790 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- S'ils rendent ma conduite ou douteuse, ou suspecte, v.791 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- J'y renonce à jamais, loin que je les affecte. v.792 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Je n'ai pas eu dessein de le mettre en courroux. v.793 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Si vous y renoncez, j'en fais autant que vous. v.794 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Pour les dire jamais, j'ai trop peur qu'on me gronde. v.795 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Fort bien. Nous voilà tous les plus contents du monde. v.796 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Je ne suis pas ingrat à qui me fait plaisir : v.797 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Choisissez des époux selon votre désir. v.798 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Allons nous ébaudir, et dîner tous ensemble. v.799 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Et vous, allez souper, Messieurs, si bon vous semble. v.800 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Comme en chemin faisant vous trouvez quelquefois v.801 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- D'impertinents parleurs et de nobles bourgeois, v.802 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Envoyez-les ici voir comme on accommode v.803 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- La Noblesse en détrempe, et les Mots à la Mode. v.804 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
LA COMÉDIE SANS TITRE (1694)
- Oui, la chose est certaine. v.1 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- À l'Hôtel de Touraine : v.2 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Je vous l'ai déjà dit cinq ou six fois. v.3 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Redis-le moi sans cesse, et ne t'en lasse pas. v.4 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- De me rien annoncer qui me soit plus sensible : v.6 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Vraiment, tout comme je vous vois. v.7 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Non. v.8 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Tout de bon ? v.8 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Non, ma foi ? v.8 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Car depuis le Pont-neuf où je l'ai rencontrée, v.9 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Jusqu'à ce que chez elle elle ait été rentrée, v.10 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Son père encor galant la tenant par la main, v.11 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Un mot qu'elle m'eut dit trahissait son dessein. v.12 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Sa langue s'est contrainte, et je n'ai rien su d'elle ; v.13 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Lais ses yeux plus hardis jouaient de la prunelle ; v.14 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Et si de leur jargon je suis bon truchement, v.15 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Ils s'expliquaient pour vous intelligiblement. v.16 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Quand de ce que l'on aime on a l'âme occupée, v.17 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Merlin, une parole est bientôt échappée. v.18 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Elle ne t'a rien dit pour me redire ? v.19 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Non. v.19 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Que son indifférence a de cruauté ! v.20 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Bon ! v.20 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Si vous n'étiez aimé comme vous devez l'être, v.21 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- M'aurait-elle jette ceci de sa fenêtre ? v.22 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Un quadruple. v.23 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Encor suis-je trompé, car il n'est pas de poids. v.24 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Je serai bienheureux si j'en ai trois pistoles. v.25 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Tiens, ne perds point de temps en de vaines paroles. v.26 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Prends ces quatre louis, et me fais ce présent. v.27 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Pour vous les refuser je suis trop complaisant ; v.28 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Un louis pèse plus que ce quadruple-là. v.31 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Cécile avoir sa vue en te jetant cela. v.32 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Avec autant d'esprit que j'en trouve à Cécile, v.33 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Un objet si charmant ne fait rien d'inutile ; v.34 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Et puisque son désir est de me rendre heureux... v.35 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Ah Merlin ! Je me trompe, ou ce quadruple est creux. v.36 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je ne me trompe point, il est creux ; oui, sans doute : v.37 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Et je crois qu'il enferme un Billet. Tiens, écoute. v.38 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Oui, j'entends remuer quelque chose. v.39 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Ah ! Merlin, v.39 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- D'accord ; mais il est bien malin. v.40 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- C'est en savoir beaucoup à son âge. v.41 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Son esprit me ravie, sa beauté me désarme. v.42 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Le ciel en la formant épuisa ses trésors : v.43 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Elle a l'âme, Merlin, belle comme le corps. v.44 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Plus on la considère, et plus on y découvre... v.45 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Voyez, sans perdre temps, comment sa pièce s'ouvre. v.46 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Justement. J'aperçois son billet ; le voilà. v.48 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Jusqu'ici pour mes feux tout est de bon augure : v.49 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je suis cousin germain de l'auteur du Mercure : v.50 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Et pour contribuer au succès de mes feux, v.51 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Il en use sans doute en parent généreux. v.52 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Quel zélé plus ardent peut-on faire paraître ? v.53 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- De son logis entier il me laisse le maître : v.54 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Déjà depuis trois jours, sans avoir son talent, v.55 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je passe pour l'auteur du Mercure Galant ; v.56 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Et selon l'apparence il me sera facile, v.57 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- De plaire sous ce nom au père de Cécile. v.58 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Jamais rien à mon sens ne fut mieux inventé. v.59 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- J'arrivai hier au soir à Paris avec mon père, qui est plus entêté que jamais de l'auteur du Mercure Galant. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Il ne trouve point de mérite égal au sien. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Si vous avez fait ce que je vous ai mandé par ma dernière Lettre, nos affaires font dans le meilleur état du monde. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Oui, pour vous : mais pour moi j'en suis fort dégoûté. v.60 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- La raison ? v.61 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croyez-vous ma cervelle assez bonne. v.61 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Pour résister longtemps à l'emploi qu'on me donne ? v.62 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Tant que dure le jour j'ai la plume à la main : v.63 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Je sers de Secrétaire à tout le genre humain : v.64 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Fable, Histoire, Aventure, Énigme, Idylle, Églogue, v.65 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Épigramme, Sonnet, Madrigal, Dialogue, Noces, v.66 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Noces, Concerts, Cadeaux, Fêtes, Bals, Enjouements, v.67 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Soupirs, Larmes, Clameurs, Trépas, Enterrements ; v.68 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Enfin, quoique ce soit que l'on nomme nouvelle, v.69 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Vous m'en faites garder un mémoire fidèle. v.70 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Je me tue, en un mot, puisque vous le voulez. v.71 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Crois-moi, cinq ou six jours sont bientôt écoulés. v.72 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Tu sais que Licidas, pour me rendre service, v.73 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Me fait de sa fortune un entier sacrifice : v.74 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- À son propre intérêt il préfère le mien ; v.75 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Et je serais ingrat de négliger le sien. v.76 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je te l'ai déjà dit, une de mes surprises, v.77 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- C'est de voir tant de gens dire tant de sottises ; v.78 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Qui puisse avec tant d'art démêler ce qui plaît. v.80 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Depuis deux ou trois jours que je le représente. v.81 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je ne vois que des sous d'espèce différente. v.82 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- L'un qui veut qu'on l'imprime, et n'a point d'autre but. v.83 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croit que hors du Mercure il n'est point de salut. v.84 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- L'autre dans la Musique ayant quelque science, v.85 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croit de celle du Roi mériter l'intendance. v.86 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Celui-ci d'une énigme ayant trouvé le mot, v.87 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Se croit un grand génie, et souvent n'est qu'un sot ; v.88 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Cet autre d'un Sonnet ayant donné les rimes, v.89 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croit tenir un haut rang chez les esprits sublimes. v.90 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Enfin, pour être fou, j'entends fou confirmé, v.91 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- À l'envi l'un de l'autre on veut être imprimé. v.92 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- As-tu chez le libraire appris quelques nouvelles ? v.93 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Oui, Monsieur. v.94 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- D'un Commis des Gabelles, v.94 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Qui n'ayant pas trouvé ses profits assez grands, v.95 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- A fait un petit vol de deux cens mille francs. v.96 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Qui pourrait de sa route avoir un sur mémoire, v.97 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Mille louis ? C'est un homme perdu. v.99 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Plût à Dieu les avoir, et qu'il fût bien pendu ! v.100 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Un Portrait d'une jeune Duchesse, v.101 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Qui se fait distinguer par sa délicatesse. v.102 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Un pli qui par hasard est reste dans ses draps, v.103 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Lui semble un guet-apens pour lui meurtrir les bras : v.104 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Il n'est point de repas qui pour elle ait des charmes. v.105 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Si l'on met de travers l'écusson de ses armes : v.106 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Qui lui porte un bouillon trop doux ou trop salé, v.107 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- D'auprès de sa personne est sur d'être exilé ; v.108 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Et même elle refuse, étant fort enrhumée, v.109 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- De prendre un lavement lorsqu'il sent la fumée. v.110 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Mais, chut. Un Gentilhomme entre ici. v.111 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- N'êtes-vous pas l'auteur du Mercure ? v.112 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Oui, Monsieur. v.112 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Laisse-nous. v.113 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Le Mercure est une bonne chose ! v.113 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- On y trouve de tout, Fable, Histoire, Vers, Prose, v.114 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Nouvelles de Province y et Nouvelles de cour. v.116 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Jamais Livre à mon gré ne fut plus nécessaire. v.117 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je suis ravi, Monsieur, qu'il ait l'heur de vous plaire. v.118 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Je ne le cèle point, j'ai toujours souhaité v.119 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Les applaudissements des gens de qualité. v.120 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Je ne puis exprimer le plaisir que je goûte... v.121 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Vous trouvez donc, Monsieur, que j'ai l'air grand ? v.122 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Sans doute. v.122 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Vous êtes fort bien fait ; on ne peut l'être mieux. v.123 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Pourriez-vous, en payant, me faire des aïeux ? v.124 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Écoutez, je parle avec franchise. v.125 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- J'aime depuis six mois une jeune Marquise, v.126 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Belle, bien faite, noble : et grâces à mes soins, v.127 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Si j'ai beaucoup d'amour elle n'en a pas moins. v.128 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ses parents, dont le moindre est Baron ou Vicomte, v.129 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Délicats sur l'honneur, sensibles à la honte, v.130 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Consultés tous ensemble ont approuvé mes feux, v.131 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Pourvu que mes parents soient aussi Nobles qu'eux : v.132 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et je viens vous trouver pour anoblir ma race. v.133 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Moi, Monsieur ? Et comment voulez-vous que je fasse ? v.134 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- À moins d'avoir un titre et solide et confiant, v.135 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Bon ! tous les jours vous en faites autant. v.136 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Tout vous devient possible étant ce que vous êtes. v.137 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Vos Mercures font pleins de Nobles que vous faites : v.138 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- De noms si biscornus, s'il faut dire cela, v.139 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Qu'on ne peut être Noble et porter ces noms-là. v.140 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ne me refusez pas ce que je vous demande : v.141 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- De toutes les rigueurs ce serait la plus grande ; v.142 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et mon hymen rompu me ferait enrager. v.143 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je voudrais fort, Monsieur, vous pouvoir obliger. v.144 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Je puis à la noblesse ajouter quelque lustre ; v.145 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Et rappeler de loin une famille illustre : v.146 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Mais dans tous mes écrits jamais aucun appas, v.147 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Ne m'a fait anoblir ce qui ne l'était pas. v.148 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- N'entre-voyez-vous point dans toute votre race, v.149 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Aucun de vos aïeux ne s'est-il signalé ? v.151 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Ma foi, mon Père est mort sans m'en avoir parlé : v.152 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et de tous mes aïeux, puisqu'il ne faut rien taire, v.153 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je n'en ai point connu par delà mon grand Père. v.154 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Entre nous, v.155 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Feu mon grand Père était Mousquetaire à genoux. v.156 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- En langage commun appelle Apothicaire. v.158 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Dépend-il de nous d'être de qualité ? v.159 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Quand on m'a voulu faire ai-je été consulté ? v.160 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Sans savoir ce qu'il fait le hasard nous fait naître, v.161 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et ne demande point ce que nous voulons être. v.162 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Mon Père fut d'un cran plus noble que le sien : v.163 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Il se fit Médecin ; gagna beaucoup de bien ; v.164 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- N'eut que moi seul d'enfants ; et passant mon attente, v.165 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Me laissa par sa mort cinq mille écus de rente. v.166 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Comme Paris est grand j'ai changé de quartier ; v.167 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je me fais par mes gens appeler Chevalier : v.168 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- La maison que j'occupe a beaucoup d'apparence, v.169 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et personne à présent ne sait plus ma naissance. v.170 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Faites-moi Gentilhomme, il n'est rien plus aisé. v.171 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Mais le Roi qui peut tout aurait peine à le faire. v.173 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Le Père Médecin, l'Aïeul Apothicaire, v.174 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Le Bisaïeul peut-être encore moins que cela. v.175 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Qui, diable, serait Noble à descendre de là ? v.176 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Pour remplir vos désirs il faut faire un prodige ; v.177 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Je ne puis. v.178 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Cherchez quelque Maison dont le nom soit péri ; v.179 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ajoutez une branche à quelque arbre pourri, v.180 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Enfin, pour m'obliger inventez quelque fable ; v.181 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et ce qui n'est pas vrai rendez-le vraisemblable. v.182 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Un homme comme vous doit-il être en défaut ? v.183 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et comment, s'il vous plaît, vous nommez-vous ? v.184 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Ce nom-là n'est : point noble, assurément. v.185 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Michaut ? Un Gentilhomme avoir nom de la sorte, v.186 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Cela ne se peut pas, vous dis-je. v.187 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Pourquoi non ? v.187 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Croyez-vous qu'à la Cour chacun ait son vrai nom ? v.188 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- De tant de grands Seigneurs dont le mérite brille, v.189 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Combien ont abjuré le nom de leur famille ? v.190 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Si les morts revenaient ou d'en haut ou d'en bas, v.191 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Les pères et les fils ne se connaîtraient pas. v.192 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Le Seigneur d'une terre un peu considérable, v.193 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- En préfère le nom à son nom véritable ; v.194 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ce nom de père en fils se perpétue à tort ; v.195 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et cinquante ans après on ne sait d'où l'on sort. v.196 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je n'escroquerai point vos soins ni vos paroles : v.197 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- J'ai certain Diamant de quatre-vingt pistoles... v.198 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je vous l'ai déjà dit, Monsieur, aucun appas v.199 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Ne me fera jamais dire ce qui n'est pas. v.200 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Parbleu ! tant pis pour vous d'être si formaliste. v.201 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Adieu. Je vais trouver un Généalogiste, v.202 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Qui pour quelques louis que je lui donnerai, v.203 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Me fera sur le champ venir d'où je voudrai. v.204 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Qui jamais de noblesse a vu source moins pure ? v.205 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Médecin ! v.206 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Monsieur ? v.207 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Oui ? L'aveu m'en semble bon ! v.207 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- En avez-vous besoin, Madame ! v.208 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Qui ? moi ? non. v.208 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- À moins d'être d'un goût insipide et malade, v.209 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Peut-on s'accommoder d'une chose si fade ? v.210 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Ah ! Ah ! Voici d'un style un peu rude. v.211 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Quelque rude qu'il soit il est encor trop doux. v.212 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Je crois qu'avec raison vous êtes en colère : v.213 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Mais je ne sais par où je vous ai pu déplaire. v.214 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Je m'examine en vain, et vous m'embarrassez. v.215 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Regardez mon habit, il vous en dit assez. v.216 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Ne l'entendez-vous pas ? v.217 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Non, je vous le confesse. v.217 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Ô ciel ! que vous avez l'intelligence épaisse ! v.218 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Puisqu'il faut avec vous ne rien dissimuler, v.219 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- On dit que c'est de moi dont vous vouliez, parler, v.220 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Quand certaine bourgeoise à qui la mode est douce, v.221 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Peur être en cramoisi fit défaire une housse. v.222 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'en défis une, et ne m'en cache pas ; v.223 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'avais un lit fort ample, et d'un beau taffetas : v.224 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- À force d'être large, il était incommode ; v.225 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et le tapissier Bon le remit à la mode. v.226 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Par les soins que je pris, j'eus de reste un rideau : v.227 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Le cramoisi régnant j'en fis faire un manteau : v.228 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Voilà la vérité comme elle est dans sa source, v.229 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et non que mon mari m'ait refusé sa bourse. v.230 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Pour le mot de Bourgeoise un peu trop répété, v.231 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Les Bourgeois de ma sorte ont de la qualité. v.232 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Quand vous voudrez écrire ajuster mieux vos contes ; v.233 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Quand je fis cet article, il le faut avouer. v.235 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Mon unique dessein était de me jouer : v.236 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Je ne présumais pas en contant cette fable, v.237 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Qu'elle dût par vos soins devenir véritable. v.238 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Loin de vous en blâmer, j'admire votre esprit, v.239 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- De trouver un manteau dans un rideau de lit ; v.240 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Et j'ai quelque chagrin de voir que cela vienne, v.241 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- De votre invention plutôt que de la mienne. v.242 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Jamais dans ses desseins on n'a mieux réussi : v.243 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- C'est un avantage... v.245 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- On sait que mon habit est dame vieille housse. v.246 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Que ce soit par hasard ou par malignité, v.247 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Votre indiscret Mercure a dit la vérité. v.248 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'entends à chaque pas la baste Bourgeoisie, v.249 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Qui me nomme en raillant la housse cramoisie ; v.250 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et par tout mon quartier la canaille le plaint, v.251 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Que je prends des couleurs qui font sortir le teint. v.252 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Il est vrai, le gros rouge est une couleur, sombre, v.253 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Qu'on en ait un manteau, sans ornements dessus, v.255 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Pour peu que l'on soit blanche ou le paraît bien plus : v.256 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- C'est un fard innocent, sans pommade ni drogue ; v.257 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et voilà la raison qui l'a tant mis en vogue. v.258 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Redites-moi, de grâce, un certain mot choisi v.259 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- À mon sens il a beaucoup de grâce : v.261 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Jamais le mot de gros ne fut mieux en sa place ; v.262 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Il m'est venu sans affectation. v.263 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Votre esprit est fertile en belle invention. v.264 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- J'ai de votre mérite une idée assez haute, v.265 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Pour me faire un plaisir de réparer ma faute, v.266 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Le nom de Madame est... v.267 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Parlez donc, petit sot. v.267 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Monsieur, Madame a nom Madame Guillemot. v.268 (Acte 1, scène 3, JASMIN)
- C'est assez. Vous verrez dans le premier Mercure, v.269 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Que j'aurai de la housse adouci l'aventure. v.270 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Je mettrai tout au long, par estime pour vous, v.272 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- En bon Historien, qui ne fait point de contes, v.273 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Y ferez-vous entrer mon éloge ? v.275 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Oui, vraiment. v.275 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Louez-moi, je vous prie, imperceptiblement, v.276 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'ai pour la flatterie une haine invincible. v.277 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Si louer sans flatter vous paraît impossible, v.278 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'aime mieux vous donner, si vous le souhaitez ? v.279 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Un mémoire où seront mes bonnes qualités. v.280 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'ai de la modestie, et me rendrai justice. v.281 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Adieu. Ne bougez. v.282 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Je prétends, pour finir tous débats, v.283 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Jusqu'à votre carrosse accompagner vos pas. v.284 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Voyez si mon carrosse est venu me reprendre, v.285 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'avais quelques parents qu'il est allé descendre. v.286 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Voyez donc promptement si la Fleur est là bas, v.287 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Mon cocher. v.288 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Je suis sur de ne le trouver pas, v.288 (Acte 1, scène 3, JASMIN)
- Le fripon craint d'aller dans la rue. v.289 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- C'est à pied que vous êtes venue. v.290 (Acte 1, scène 3, JASMIN)
- Ah, Coquin ! Ne bougez, pour raison. v.291 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Vous aurez le fouet en entrant au logis, v.292 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Comment ! Petite rosse, v.293 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Sans vous on aurait cru que j'avais un carrosse. v.294 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Je vous ferai sentir ce que pèsent mes coups. v.295 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Dame ! je ne sais pas si bien mentir que vous. v.296 (Acte 1, scène 3, JASMIN)
- Madame l'Auditrice est enfin apaisée. v.297 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- La louange à propos rend toute chose aisée. v.298 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Allons fermer la porte, et jusqu'après dîné, v.299 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Passons quelques moments sans être importuné. v.300 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Qui diable est l'animal qui heurte de la sorte ? v.301 (Acte 2, scène 1, MERLIN)
- Ouvre sans hésiter, et l'une et l'autre porte. v.302 (Acte 2, scène 1, ORONTE)
- Je voudrais qu'en heurtant il se rompît les bras. v.303 (Acte 2, scène 1, MERLIN)
- Est-ce ici le logis de Monsieur Licidas ? v.304 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Ah, Monsieur ! C'est Lisette, ou bien j'ai la berlue. v.305 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Lisette ! quel bonheur ! Vien que je te salue. v.306 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Comment te portes-tu, ma pauvre enfant ? v.307 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Fort bien, v.307 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Monsieur. v.308 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Je suis ravi... Comment, je n'aurai rien ? v.308 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Tu reviendras des champs sans me baiser ? v.309 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Doit avoir du respect : pour ce que Monsieur touche. v.310 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Patience ; à ton tour tu verras ma fierté. v.311 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Cécile est revenue en parfaite santé ? v.312 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Pour elle mon ardeur va jusques à l'extrême. v.313 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Et la sienne pour vous est presque tout de même. v.314 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Monsieur de Boisluisant qui brûle de vous voir, v.315 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- L'a déjà disposée à faire son devoir. v.316 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- On ne voit rien d'égal, c'est moi qui vous le jure, v.317 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- À son entêtement pour l'auteur du Mercure : v.318 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- S'il peut l'avoir pour gendre, il sera trop content. v.319 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Le fils d'un Duc et Pair ne lui plairait pas tant. v.320 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Il ne voit qu'en lui seul un mérite qui brille ; v.321 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et tout autre lui semble indigne de sa fille. v.322 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Il va dans un moment vous l'amener ici. v.323 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Cécile de frayeur en a le coeur transi. v.324 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Elle craint, et sa crainte est assez raisonnable, v.325 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Qu'elle ne soit offerte à l'Auteur véritable : v.326 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et de Monsieur son père ayant loué le choix, v.327 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Pour oser se dédire elle eût manqué de voix. v.328 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Pour détourner un coup à ses veux si contraire, v.329 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- J'ai cherché ce logis de Libraire en Libraire. v.330 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Enfin, Monsieur Blageard, qu'on a fait à dessein, v.331 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Trop petit pour un homme, et trop grand pour un nain, v.332 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Avec civilité m'en a donné l'adresse : v.333 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et par le zèle ardent que j'ai pour ma maîtresse, v.334 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- À vous trouver chez vous n'ayant pas réussi, v.335 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Je me suis hasardée à venir jusqu'ici. v.336 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Avant qu'à vous y voir elle-même s'exposé, v.337 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Apprenez-moi, Monsieur, comment va toute chose. v.338 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- De ce logis entier je suis Maître absolu. v.340 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- La plus tendre amitié qu'inspire la nature, v.341 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- M'unit étroitement à l'Auteur du Mercure. v.342 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Nous portons même nom, avons mêmes aïeux ; v.343 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Et son père et le mien étaient frères. v.344 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Tant mieux. v.344 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Pour faire le contrat qui vous est nécessaire, v.345 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- À point nommé, Monsieur, il falloir un faussaire, v.346 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Un Notaire fripon, prêt à prévariquer ; v.347 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Je sais bien qu'à Paris vous n'en pouviez manquer : v.348 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- En payant largement, sans autre inquiétude, v.349 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- On rencontre son fait en bien plus d'une étude, v.350 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Mais du gendre qu'on cherche ayant le même nom. v.351 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- De votre tricherie on n'aura nul soupçon. v.352 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Ce qui peut mettre obstacle au bien qu'on vous destine, v.353 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- C'est que pour un Auteur vous avez bonne mine : v.354 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Cette grande perruque, et ce linge et ce point, v.355 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Avec le nom d'Amour ne sympathisent point. v.356 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- J'en vois par-ci, par-là ; mais ils ont tous l'air mince : v.357 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et sous cet équipage on vous croirait un Prince, v.358 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Par là votre dessein peut être divulgué. v.359 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Songez... v.360 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Je représente un Auteur distingué ; v.360 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Rapporte tous les ans plus de dix mille livres. v.362 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Vous ne me dites pas que je m'arrête trop, v.363 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Pour regagner le temps je m'en vais au galop. v.364 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Encore une parole et puis adieu. Cécile, v.365 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Comme je vous ai dit, n'a pas l'esprit tranquille : v.366 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et pour chagrin nouveau, ce matin d'un Billet v.367 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Ayant incognito chargé votre valet, v.368 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Elle a craint qu'en chemin il ne prêtât l'oreille, v.369 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- À qui le convierait d'aller boire bouteille : v.370 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et qu'après le repas il ne fût assez sot, v.371 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Pour offrir un quadruple à payer son écot. v.372 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Celui qu'il croit avoir, et dont l'appas le touche, v.373 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Quoique marqué de même, est une boîte à mouche. v.374 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Elle enferme un Billet, à l'aide d'un ressort. v.375 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Monsieur, qui l'a reçu m'en a payé le port. v.376 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Tu peux lui demander si je mens. v.377 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Non sans doute : v.377 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Mais je l'ai mal payé, quelque prix qu'il m'en coûte. v.378 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- De la paît de Cécile un Billet m'est si doux... v.379 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Il suffit que le sien soit venu jusqu'à vous. v.380 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Dans le coeur inquiet de ma jeune maîtresse ; v.381 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Je vais diligemment reporter l'allégresse ; v.382 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- En dissiper la crainte ; y remettre l'espoir ; v.383 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et stater son amour du plaisir de vous voir. v.384 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Du feu dont vous brûlez rendez-vous bien le maître : v.385 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Gardez qu'il ne paraisse en la voyant paraître : v.386 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Monsieur de Boisluisant, le beau-père futur. v.387 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- A toujours l'oeil au guet, et n'a pas l'esprit dur. v.388 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Profitez de l'avis que mon zélé vous donne. v.389 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Adieu, Monsieur. Adieu, Monsieur Merlin. v.390 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Friponne, v.390 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Tu m'as fait un affront dont il te souviendra. v.391 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- À la première vue on le réparera ; v.392 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Prends courage. v.393 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Ne la trouves-tu pas jolie, aimable, honnête ? v.394 (Acte 2, scène 3, ORONTE)
- Assurément. v.395 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- Non, Monsieur, v.395 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- Vous prétendriez sur elle avoir droit de Seigneur ; v.396 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- Cela n'est point folie : v.397 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- Un valet marié dont la femme est jolie, v.398 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- Et de qui le Patron est bâti comme Vous, v.399 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- À de justes raisons de paraître jaloux. v.400 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- Je connais plus d'un sot que je ne veux point suivre. v.401 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
- N'est-ce pas vous, Monsieur, qui faites ce beau Livre, v.402 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qui n'est pas plutôt vieux qu'il redevient nouveau ? v.403 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Je n'ose avouer qu'il soit beau, v.404 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Mais tel qu'il soit, Monsieur, oui c'est moi. v.405 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Que par toute la France on chérit le Mercure. v.406 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- À Tours, il faut savoir quelle estime on en fait. v.407 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Passons. Que vous plaît-il ? v.408 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Vous parler en secret. v.408 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- J'ai mes raisons. v.409 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Va-t'en. v.409 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Avant que je me nomme, v.409 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Je crois en vous, Monsieur, trouver un honnête homme. v.410 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous ne trouverez point que vous vous abusiez. v.412 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Croyez-en ma parole, et n'ayez aucun doute. v.413 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Êtes-vous assuré que personne n'écoute ? v.414 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Parlez uns vous contraindre, et n'appréhendez rien. v.415 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Pour vivre en honnête homme il faut avoir du bien. v.416 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- La Vertu toute nue autrefois était belle, v.417 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais le Vice à son aise est aujourd'hui plus qu'elle ; v.418 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et de quelques talents dont on soit revêtu, v.419 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- On ne fait point fortune avec trop de vertu. v.420 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dans les divers états où l'on m'a voulu mettre. v.422 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dès mes plus jeunes ans, dans mes plus bas emplois, v.423 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- J'ai toujours eu le soin d'étendre un peu mes droits. v.424 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Cette inclination augmentant avec l'âge, v.425 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dans des pelles meilleurs je prenais davantage ; v.426 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais tous ces petits gains par leurs faibles appas, v.427 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- En datant mes délits ne les remplissaient pas. v.428 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Si bien que tout d'un coup l'occurrence étant belle. v.429 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- De deux cens mille francs j'ai fraudé la Gabelle : v.430 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- De donner dans le monde un bon tour à cela. v.432 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quand, on a comme vous, une plume si bonne... v.433 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et quel diable de tour voulez-vous que j'y donne ? v.434 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Après un vol si grand... v.435 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Comment, vol ! parlez mieux, v.435 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et ne vous servez point de ce terme odieux. v.436 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Tant pour vous que pour moi mettez-vous dans la tête. v.437 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Que frauder la Gabelle est un mot plus honnête. v.438 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est me déshonorer qu'employer de tels mots. v.439 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous vous piquez d'honneur un peu mal à propos. v.440 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Si ce mot vous fait honte, et vous semble un outrage, v.441 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- L'action qui le cause en fait bien davantage. v.442 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Un homme tel que vous en est assez instruit. v.443 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Quel grand mal ai-je fait pour tant faire de bruit ? v.444 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quel grand mal ? Trouvez-vous qu'il soit petit ? v.445 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Sans doute. v.445 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ce n'est au pis aller faire que Banqueroute. v.446 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Combien d'autres l'ont faite, et qui n'ont pas péri ? v.447 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et comptez-vous pour rien l'affront du Pilori ? v.448 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- L'affront du Pilori me paraît quelque chose ; v.449 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Je plains ceux qu'en spectacle en ce lieu l'on expose : v.450 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais combien en voit-on, banqueroutiers parfaits, v.451 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vivre du revenu des crimes qu'ils ont faits ? v.452 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Pour un à qui l'on fait ces injures atroces, v.453 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Plus de dix à Paris ont deux ou trois carrosses. v.454 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qu'un homme ait de bien clair jusqu'à cent mille écus, v.455 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- On lui prête sans peine un million, et plus : v.456 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Chacun ouvrant sa bourse à sa moindre requête, v.457 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Lui jette avec plaisir son argent à la tête ; v.458 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et quand ses créanciers redemandent leur bien, v.459 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- L'emprunteur infidèle abandonnant le sien, v.460 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- À la face des Lois fait un vol manifeste ; v.461 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et pour cent mille écus un million lui reste. v.462 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Les gens que vous citez, dont vous suivez le train, v.463 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Sont l'exécration de tout le genre humain. v.464 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Les affronts qu'on leur fait ont de si justes causes... v.465 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Trois carrosses roulants rajustent bien des choses. v.466 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et pour un million immoler son devoir, v.467 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est vendre son honneur tout ce qu'il peut valoir. v.468 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous verrez que j'en use en bien plus galant homme. v.470 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Pour Messieurs les Fermiers, qui font des gains si grands, v.471 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qu'est-ce de bonne foi que deux cens mille francs ? v.472 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Gros Seigneurs comme ils sont, ont-ils lieu de se plaindre ? v.473 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- À rien de plus modique ai-je pu me restreindre ? v.474 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et de vider ma Caisse ayant fait un serment, v.475 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Pouvais-je en conscience un user autrement ? v.476 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mettez-vous en ma place, et pensez bien... v.477 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ne me proposez point cette odieuse place. v.478 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Vous vous êtes fait riche, et n'osez vous montrer : v.480 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- De vos meilleurs amis vous craignez la présence. v.481 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Vous étiez plus heureux avec plus d'indigence. v.482 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Vous marchiez librement, sans peur d'être arrêté ; v.483 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Je sais un sur moyen de me la faire rendre. v.485 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quel moyen ? v.486 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Écoutez, et vous l'allez apprendre : v.486 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est l'unique sujet qui m'amène en ce lieu. v.487 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- De l'argent qu'on a pris fait de la peine à rendre : v.489 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais on souffre encor plus quand on se laisse pendre ; v.490 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ainsi, soit par faiblesse, ou par bonne amitié, v.491 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Des deux cens mille francs je rendrai la moitié. v.492 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ce sont cent mille francs que je perds ; mais qu'y faire ? v.493 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- J'aime quand je le puis, à conclure une affaire. v.494 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Les Fermiers Généraux voyant ma bonne foi, v.495 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Me pourront confier quelque meilleur emploi. v.496 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est ce qu'avec grand art, comme par bonté pure, v.497 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Il faut insinuer dans le premier Mercure. v.498 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Si je suis par vos soins à l'abri de la hart, v.499 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Du butin que j'ai fait vous aurez votre part : v.500 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et cent louis... v.501 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Monsieur, en m'offrant cette somme, v.501 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Vous oubliez, je crois, que je suis honnête homme ? v.502 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Et si je l'étais moins que je ne le prétends, v.503 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Vous offrez cent louis pour vous faire un asile, v.505 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Et qui vous fera prendre est sur d'en gagner mille ; v.506 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- On les donne ; on vous cherche, il n'est rien plus certain : v.507 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Et vous vous appelez Monsieur de Longuemain. v.508 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- C'est un sensible appas qu'une femme si forte : v.509 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Je n'ai pour la gagner qu'à fermer cette porte : v.510 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Mais allez, sauvez-vous ; et ne m'apprenez pas v.511 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- En quel lieu le destin va conduire vos pas. v.512 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Que sais-je si demain j'aurais encor la force v.513 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Rien ne peut vous sauver, si l'on vous pousse à bout. v.515 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Pour vous mettre en repos restituez le tout. v.516 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Mais il faut vous hâter. Si vous vous laissiez prendre, v.517 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Il ne serait plus temps de s'offrir à tout rendre : v.518 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- On vous y forcerait, et vous feriez pendu. v.519 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Ne me pendrais-je pas si j'avais tout rendu ? v.520 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Un bien de ses aïeux qu'un héritage amène, v.521 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Comme il vient sans travail peut se perdre sans peine : v.522 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais un bien étranger que le plus grand bonheur v.523 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ne peut faire acquérir qu'aux dépens de l'honneur ; v.524 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Un bien qui m'a coûté plus de soins et d'alarmes. v.525 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qu'à mes yeux éblouis il n'étalait de charmes ; v.526 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Enfin, pour expliquer la chose comme elle est, v.527 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Un bien que j'ai volé, puisque ce mot vous plaît ; v.528 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quand tout est essuyé me parler de tout rendre, v.529 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est un pire destin que de se laisser pendre. v.530 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Je renonce au secours d'un tel médiateur. v.531 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et suis de vos conseils très humble serviteur. v.532 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- S'il faut être pendu, ce n'est pas une affaire. v.533 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ce Monsieur le Commis a l'air patibulaire. v.534 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Si je ne suis trompé sa mort fera du bruit. v.535 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Monsieur, voici Cécile, et tout ce qui s'ensuit, v.536 (Acte 2, scène 5, MERLIN)
- Père, fille, soubrette et laquais vont paraître. v.537 (Acte 2, scène 5, MERLIN)
- Suis-je bien ? Ma perruque... v.538 (Acte 2, scène 5, ORONTE)
- On ne saurait mieux être. v.538 (Acte 2, scène 5, MERLIN)
- Mon abord sans doute vous surprend. v.539 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- De vos admirateurs vous voyez le plus grand. v.540 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Le bonheur de vous voir, dont j'ai l'âme ravie, v.541 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avant que de mourir je bornais mon espoir, v.543 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Au sensible plaisir que je trouve à vous voir. v.544 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Monsieur, avec respect je reçois cette grâce. v.546 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- De cet excès d'honneur tout mon coeur pénétré... v.547 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Quel mérite plus grand s'est jamais rencontré ? v.548 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avant que vous fussiez, quelles rapides plumes v.549 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Enfantaient tous les ans jusqu'à seize volumes ? v.550 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Au moindre événement qui fait un peu de bruit, v.551 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Votre fécondité va jusques à dix-huit. v.552 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- En qui tant de beauté, tant de sagesse brille ? v.554 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Oui, Monsieur. v.555 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Accordez à mon empressement v.555 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- L'honneur de saluer un objet si charmant. v.556 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Madame, pardonnez si j'ai l'âme interdite. v.557 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- C'est un charme pour moi qu'une telle visite : v.558 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Et du langage humain les termes impuissants, v.559 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Ne peuvent exprimer les transports que je sens. v.560 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Que je suis redevable à Monsieur votre Père ! v.561 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Votre joie à nous voir me paraît si sincère, v.562 (Acte 2, scène 6, CÉCILE)
- Que je répondrais mal à cet accueil si doux, v.563 (Acte 2, scène 6, C?CILE)
- Si je vous témoignais en avoir moins que vous. v.564 (Acte 2, scène 6, C?CILE)
- Quelque estime pour vous que mon père ait conçue, v.565 (Acte 2, scène 6, C?CILE)
- Je vois avec plaisir qu'elle vous est bien due : v.566 (Acte 2, scène 6, C?CILE)
- Et comme son exemple a sur moi tout pouvoir, v.567 (Acte 2, scène 6, C?CILE)
- Plus j'en montre à mon tour, mieux je fais mon devoir. v.568 (Acte 2, scène 6, C?CILE)
- Qui diable amène ici cette sotte figure ? v.570 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Adieu. Tantôt nous reviendrons. v.571 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Non, Monsieur. v.572 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Pardonnez, si je vous interromps. v.572 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Oui, Monsieur. v.573 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Que d'avoir le malheur de vous être importun, v.575 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et de ne prendre pas un moment opportun. v.576 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Monsieur, vous voulez bien me donner la licence... v.577 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Un avis d'importance, v.578 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qui doit enjoliver votre Mercure. v.579 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Hé bien ? v.579 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Ce que c'est ? C'est un bien. v.580 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mais d'une utilité si grande, si féconde, v.581 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'on vous en saura gré jusques dans l'autre monde. v.582 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- C'est un bien, grâce au ciel, et grâce à mes efforts. v.583 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Honorable aux vivants, et plus encore aux morts. v.584 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Ne perdons point de temps, Monsieur. Que faut-il faire ? v.585 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Monsieur Blageard, dont je suis le Confrère, v.586 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- M'avait promis, Monsieur, de vous faire un récit v.587 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Du dessein qui m'amène. v.588 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il ne m'en a rien dit. v.588 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Qu'il doit être content d'avoir votre pratique ! v.589 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- On ne déserte point son heureuse boutique : v.590 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Du matin jusqu'au soir il ne voit qu'acheteurs. v.591 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous n'êtes point maudit, comme certains Auteurs, v.592 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qui feraient beaucoup mieux de jamais ne rien faire, v.593 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Que de mettre à l'aumône un malheureux Libraire. v.594 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Un Livre in-folio m'a mis à l'Hôpital. v.595 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour vous dédommager d'un Livre qui va mal, v.596 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Vous savez qu'il faut que chacun meure ; v.597 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- On le voit tous les jours, on l'éprouve à toute heure ; v.598 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et jusques à ce jour on n'a pu découvrir, v.599 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- D'infaillible moyen pour jamais ne mourir. v.600 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et ce qu'on n'a point fait prétendez-vous le faire ? v.601 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Non, Monsieur. Au contraire ; v.602 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je serais bien fâché que l'on ne mourût pas : v.603 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je ne puis être heureux qu'à force de trépas. v.604 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mais, Monsieur, jusqu'ici les billets nécessaires, v.605 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour inviter le monde aux Convois mortuaires, v.606 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Ont été si mal faits qu'on souffrait à les voir ; v.607 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et pour le bien public j'ai taché d'y pourvoir, v.608 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- J'ai fait graver exprès avec des soins extrêmes, v.609 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De petits ornements de devises, d'emblèmes, v.610 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour égayer la vue, et servir d'agréments, v.611 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Aux billets destinés pour les enterrements. v.612 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous jugez bien, Monsieur, qu'embellis de la sorte, v.613 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Ils feront plus d'honneur à la personne morte ; v.614 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Au convoi de son corps viendront de toutes parts, v.616 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- À l'égard des vivants, dont l'orgueil est si vaste, v.617 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'en escortant la mort ils demandent du faste, v.618 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Tout le long d'une rue ils seront trop heureux, v.619 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De traîner à leur suite un cortège nombreux. v.620 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je vendrai ces billets trois louis d'or le mille ; v.622 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et si l'année est bonne et fertile en trépas, v.623 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je crois gagner assez pour ne me plaindre pas, v.624 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- La grâce que j'espère, et qui m'est importante, v.625 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- C'est un peu de secours d'une plume savante : v.626 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et la votre aujourd'hui par son invention, v.627 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Met ce que bon lui semble en réputation. v.628 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour être dans le monde illustre à juste titre, v.629 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il faut dans le Mercure occuper un chapitre. v.630 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous dispensez la gloire. Et si votre bonté v.631 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vouloir de mes billets montrer l'utilité, v.632 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il vaudrait mieux, Monsieur, dans le premier Mercure, v.633 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Retrancher quelque fable, ou bien quelque aventure ; v.634 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et dans un long article avertir les défunts, v.635 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De ne plus se servir de Billets si communs : v.636 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Leur bien représenter qu'il y va de leur gloire ; v.637 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'on revit dans les miens mieux que dans une Histoire ; v.638 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Le prouver par raisons ; et leur faire espérer v.639 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'ils auront du plaisir à se faire enterrer. v.640 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous voyez bien, Monsieur, que rien n'est plus facile. v.641 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour le faire valoir je n'épargnerai rien. v.643 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Dites-moi votre nom. v.644 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Boniface Chrestien, v.644 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Depuis plus de vingt ans Imprimeur et Libraire, v.645 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et je tiens ma boutique auprès de saint Hilaire. v.646 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous en souviendrez-vous, Monsieur ? v.647 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Assurément. v.647 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Votre temps vous est cher jusqu'au moindre moment. v.648 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Le Public est lésé quand on vous importune. v.649 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Adieu, ménagez-moi ma petite fortune. v.650 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je ne vous parle point de mon remerciement ; v.651 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je ferai mon devoir, n'en doutez nullement. v.652 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Si Monsieur vous est joint de sang ou d'alliance, v.653 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il peut hâter l'effet de ma reconnaissance. v.654 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Comment ? v.655 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Vous voyez bien qu'il ne peut aller loin : v.655 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il va de mes Billets avoir bientôt besoin : v.656 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et j'aurais un plaisir, que je puis dire extrême, v.657 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De pouvoir pour Monsieur les imprimer moi-même. v.658 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et s'il perdait la vie, il gagnerait d'ailleurs. v.660 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je m'oblige de plus, lorsque vous rendrez l'âme, v.661 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De les fournir gratis pour Vous et pour Madame. v.662 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mourez quand vous voudrez, et comptez là-dessus. v.663 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Des sottises d'un fat vous me voyez confus. v.664 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- À la nécessité d'écouter toute chose. v.666 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Mais pour nous dérober aux surprises des sots, v.667 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Dans mon appartement nous serons en repos. v.668 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Entrons. D'être debout à la fin on se lasse. v.669 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- C'est vous incommoder. v.670 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Non ; c'est me faire grâce. v.670 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Ne la différez point. Entrez, Madame. v.671 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Entrons. v.671 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- D'un dessein que j'ai fait nous nous entretiendrons. v.672 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Merlin, voilà ma bourse, et je connais ton zèle ; v.673 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Donne-m'en je te prie une preuve nouvelle. v.674 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Deux ou trois confiseurs sont mes proches voisins : v.675 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- De ce qu'ils ont de bon fais emplir deux bassins. v.676 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- À montrer mes talents l'occasion est belle, v.677 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
- Savoir ferrer la mule est un art où j'excelle, v.678 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
- Secrétaire banal je m'en vais essayer, v.679 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
- Puisqu'il me met en oeuvre à m'en faire payer. v.680 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
- Oui, Monsieur ; c'est sans fard qu'avec vous je m'explique. v.681 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Il n'est rien de plus propre et de plus magnifique. v.682 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Je connais quatre Ducs, et plus de vingt Marquis, v.683 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Qui n'ont pas à mon gré des meubles plus exquis. v.684 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Je n'ai vu que miroirs, que pendules, que lustres, v.685 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Que Tableaux mis au jour par des peintres illustres ; v.686 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et ce qui m'a surpris, une collation v.687 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Où la délicatesse et la profusion... v.688 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et de grâce, Monsieur, un peu plus d'indulgence ; v.689 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- J'ai sans doute abusé de votre complaisance. v.690 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Je vous en fais excuse, et vous conjure... v.691 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Hé bien ? v.691 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Puisque vous le voulez je n'en dirai plus rien. v.692 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Disons un mot ou deux sur une autre matière. v.693 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Je vous ai là dedans ouvert mon âme entière. v.694 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Vous savez le penchant qui m'entraîne vers vous ; v.695 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et ma fille, en un met, n'est plus si près de nous. v.696 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Peut-être que contraint par l'aspect de Cécile, v.697 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Un refus à ses yeux vous semblait difficile. v.698 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Pendant que votre aveu peut être rétracté, v.699 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Ne vous contraignez point ; parlez en liberté. v.700 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Dites-moi franchement si votre coeur chancelé. v.701 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Tout ce qu'on peut sentir mon coeur le sent pour elle. v.702 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Charmé de vos bontés comme de ses attraits, v.703 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- À vous plaire, à l'aimer je borne mes souhaits ; v.704 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Et quoique mon amour ne fasse que de naître, v.705 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Il est dans un état à ne pouvoir plus croître. v.706 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Puisqu'à me rendre heureux vous vous intéressez. v.707 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Je vous donne ma foi que jamais... v.708 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Vous pouvez librement entretenir Cécile, v.709 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Pendant une heure ou deux que je vais par la Ville. v.710 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- J'aime mieux la laisser à vos soins obligeants, v.711 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Qu'en un Hôtel garni, rempli de mille gens. v.712 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Pénétrez si pour vous elle aura le coeur tendre. v.713 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Quand j'aurai fait mon tour, je viendra la reprendre. v.714 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Adieu. Si vous m'aimez traitez-moi sans façon. v.715 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Monsieur de Boisluisant est-il dehors ? v.716 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Bon. v.716 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Il est sorti, Madame. Avancez. v.717 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Je puis donc à la fin vous parler de ma flamme. v.718 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Je puis dans le transport dont je suis animé, v.719 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- M'expliquer sans contrainte aux yeux qui m'ont charmé. v.720 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Mon aimable Cécile ! v.721 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Hé bien, mon cher Oronte ! v.721 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Oui ; j'en fais l'aveu sans honte. v.722 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Si j'ai quelque chagrin dans cet heureux instant, v.723 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- C'est d'abuser mon père, et de lui devoir tant. v.724 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- Prévenu, comme il est, pour l'Auteur du Mercure, v.725 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- Nous pardonnera-t-il cette douce imposture ? v.726 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- Je crains... v.727 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- À cela près hâtez le conjungo. v.727 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Tous deux jeunes, bien faits, vous vivrez à gogo. v.728 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- N'êtes-vous pas soumise à tout ce qu'il désire ? v.730 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- C'est lui qui dans ce lieu vient de vous amener ; v.731 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- À Monsieur qu'il y trouve il prétend vous donner ; v.732 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Loin de blâmer son choix vous en êtes contente ; v.733 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Et vous taupez à tout en fille obéissante. v.734 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Êtes-vous obligée à savoir si Monsieur v.735 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Est Auteur véritable, ou bien façon d'Auteur ? v.736 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Vous soupçonnera-t-il d'être d'intelligence ? v.737 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Oronte, là-dessus, ne dit point ce qu'il pense ? v.738 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Je pensais être aimé plus que je ne le suis, v.739 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Je vous aime autant que je le puis. v.740 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Vous n'en pouvez douter sans me faire un outrage ; v.741 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- Et comment serait-on pour aimer davantage ? v.742 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- Hé bien ; si vous m'aimez n'appréhendez plus rien. v.743 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Le reste me regarde, et j'en sortirai bien. v.744 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Qui n'eût pas accepté comme je viens de faire, v.745 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- L'inestimable bien que m'offre votre Père ? v.746 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Fallait-il renoncer à vos divins appas, v.747 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Parce qu'il me croyait ce que je ne suis pas ? v.748 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- N'êtes-vous pas, Madame, une assez belle excuse ? v.750 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Reposez-vous sur moi de tout l'événement. v.751 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- J'entends monter quelqu'un ; parlez plus doucement. v.752 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Une Dame paraît dont j'admire la mine. v.753 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Elle a grand air. v.754 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- C'est vous, ma charmante cousine v.754 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- À quand la Noce ? v.755 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- À quand ? Tout est rompu. v.755 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Comment ? v.755 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Peut-on se marier quand on n'a plus d'amant ? v.756 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Parlez-moi sans énigme ; êtes-vous mariée ? v.757 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Répondez. v.758 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Non, vous dis-je ; on m'a répudié v.758 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Je viens en avertir mon Cousin Licidas. v.759 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Vous aurez le chagrin de ne le trouver pas. v.760 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Il est à Saint Germain, pour quelques jours peut-être. v.761 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Et de tout son logis il m'a laisse le maître. v.762 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Voyez, en son absence, à quoi je vous suis bon. v.763 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- J'aurai le même zèle ayant le même nom : v.764 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Et cette Dame enfin que j'estime et respecte, v.765 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Ne doit ni vous gêner, ni vous être suspecte. v.766 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Elle entre comme moi dans tous vos intérêts. v.767 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- J'en suis sur. v.768 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Mon Cousin, je n'ai point de secrets. v.768 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- On m'avait accordée à Monsieur de la Motte : v.769 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Il en est de moins fous que je crois qu'on garrotte. v.770 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Dénué de cervelle, il fait l'esprit profond ; v.771 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Ne s'habille jamais comme les autres font ; v.772 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Et pour tout dire enfin, il semble qu'il se pique v.773 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- D'être dans son espèce un animal unique. v.774 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Mais comme il est fort riche, et que j'ai peu de bien. v.775 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- On lui promit ma foi sans, que j'en susse rien. v.776 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- La semaine passée, avec une Compagne, v.777 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Je fus voir au Plessis sa maison de Campagne : v.778 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Et ce sur de son mieux qu'il nous y régala. v.780 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Comme jeudi dernier j'étais un peu malade, v.781 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Seul mon bourru d'amant fut à la promenade : v.782 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Je ne sais si c'est-là qu'on m'a volé son coeur ; v.783 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Mais quand il en revint je le trouvai rêveur. v.784 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Le soir, en confidence, il me dit que son âge v.785 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- N'était plus guère propre au joug du mariage ; v.786 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Qu'il avoir cinquante ans ; et qu'avec un vieillard, v.787 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- L'hymen de ses plaisirs me serait peu de part. v.788 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Le lendemain matin, sans garder de mesure, v.789 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Il revint brusquement me parler de rupture ; v.790 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Voilà ce que je sais, sans en savoir la cause. v.793 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Perdre un pareil amant, c'est perdre peu de chose. v.794 (Acte 3, scène 3, CÉCILE)
- Belle, bien faite, jeune, et sans aucun défaut, v.795 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Un homme à cinquante ans n'est pas ce qu'il vous faut. v.796 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Qu'en feriez-vous ? À vingt la ressource est plus grande. v.797 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Il m'a fait un présent qu'il faut que je lui rende. v.798 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Puisqu'il rompt sans sujet je n'en suis pas d'avis. v.799 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Et de combien est-il ? v.800 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- II vous les a donnés ? v.801 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- À moi-même en personne. v.801 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Le bien le mieux acquis est celui que l'on donne : v.802 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Ils sont à vous. v.803 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Pour moi, je ne les rendrais pas. v.803 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Il va, je crois, monter ; je l'ai laisse là-bas. v.804 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Je l'entends. v.805 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Croyez-vous qu'il en aime quelqu'autre ? v.805 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Je ne sais. v.806 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Serviteur, Monsieur. v.806 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Le bonheur de vous voir m'est un plaisir bien doux. v.807 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- D'où vient ? v.808 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mademoiselle est ma cousine. v.808 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Tout de bon ? v.809 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Oui, Monsieur. v.809 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- J'en suis vraiment bien aise. v.809 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et moi je suis ravi, Monsieur, qu'elle vous plaise. v.810 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Quel jour avez-vous pris pour un hymen si beau ? v.811 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Bon ! la paille est rompue, et tout est à vau-l'eau. v.812 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Vous le savez, fort bien, fin matois que vous êtes. v.813 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Vous, Monsieur, savez-vous quelle faute vous faites ? v.814 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Eh oui ! Par cet hymen je m'étais figuré, v.815 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que j'aurais des enfants qui m'en sauraient bon gré : v.816 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- J'entends, par des raisons que moi-même je forge, v.817 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que ma postérité se plaint que je l'égorge ; v.818 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et frappé quelquefois par de tristes accents, v.819 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je pense massacrer de petits innocents. v.820 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais tout dût-il crever, que tout crève n'importe, v.821 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- La raison opposée est toujours la plus forte. v.822 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et quelle est la raison qui vous fait hésiter, v.823 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Monsieur ? v.824 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Ai-je par ma conduite attiré votre haine ? v.825 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Je n'ai rien à répondre, et c'est ce qui me gène. v.826 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Croyez-vous que son sang soit indigne de vous ? v.827 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- A-t-elle quelque amant dont vous soyez jaloux ? v.828 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- À vos yeux détrompés ne parais-je plus belle ? v.829 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Ce n'est point tout cela, ma chère Demoiselle. v.830 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Vous a-t-elle engagé par d'indignes moyens ? v.831 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Vous a-t-on déguisé sa naissance et ses biens ? v.832 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- Ai-je trahi la foi que je vous ai donnée ? v.833 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Non ; vous êtes en tout bien conditionnée ; v.834 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Il plaît à mon destin que je vous plante-là. v.836 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Laissez-moi, pour raison, m'excuser fut mon âge ; v.837 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et ne me forcez pas d'en dire davantage. v.838 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Non, Monsieur ; dites tout, ne soyez point contraint ; v.839 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Vous laissez des soupçons dont ma vertu se plaint. v.840 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Elle a raison ; parlez. Que voulez-vous qu'on pense ? v.841 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Mais je vais l'offenser, si je romps le silence. v.842 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pour n'en pas venir-là je fais ce que je puis. v.843 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Rendez-moi seulement mes deux mille louis, v.844 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et bonjour. v.845 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pour cela, c'est un autre chapitre. v.845 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Je les prétends à moi par un assez bon titre : v.846 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- En m'en faisant un don vous en fîtes mon bien. v.847 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Mais vidons l'autre affaire, et ne confondons rien. v.848 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Dussiez-vous m'offenser, expliquez-vous. v.849 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Sans doute. v.849 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Je saurai de Monsieur quel affront il redoute : v.850 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Il ne sortira point qu'il ne m'ait convaincu... v.851 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Puisqu'il faut m'expliquer, je crains d'être cocu. v.852 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Impudent ! v.853 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Mon prétendu Cousin, chacun sait ses affaires. v.854 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mademoiselle est sage, a de l'honneur. v.856 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- Ses manières, son air, sa pudeur naturelle. v.857 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Ce sont des cautions qui vous répondent d'elle. v.858 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Elle a plus de vertus encore que d'appas, v.859 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- C'est je crois dire assez qu'elle n'en manque pas. v.860 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- De quelqu'autre que moi qu'elle soit la conquête, v.861 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Des dangers de l'hymen je garantis sa tête : v.862 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais tout ce que j'entends, et tout ce que je vois, v.863 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pour m'appeler Cocu semble prendre une voix. v.864 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Écoutez quatre mots, sans aucune incartade, v.865 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ce fut Jeudi dernier que l'enfer en courroux, v.867 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Déchaîna contre moi tout ce qu'il crut capable, v.869 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- De pouvoir me contraindre à me donner au diable. v.870 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ayant beaucoup marché sans dessein et sans choix, v.872 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je fus me reposer vers des bornes de pierre, v.873 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Qui d'un jaloux voisin ont séparé ma terre ; v.874 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pour rêver à mon aise au moment bienheureux, v.875 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Où l'amour dans vos bras remplirait tous mes voeux. v.876 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- À peine étais-je assis sur une de ces bornes, v.877 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que deux gros limaçons me présentent les cornes ; v.878 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Plus je donnai de coups pour les faire rentrer, v.879 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Plus ils prirent de peine à me les mieux montrer ; v.880 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et de leur insolence ayant pris quelque ombrage, v.881 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Étant persuadé qu'à moins d'un prompt trépas, v.883 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Les affronts à l'honneur ne se réparent pas. v.884 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je venais en Héros de venger mon injure, v.885 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Quand par méchanceté, pour confirmer l'augure, v.886 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Une misérable oiseau pensa me rendre fou, v.887 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Enragé contre lui, mon fusil sur l'épaule, v.889 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- J'entre dans la forêt, et je cherche le drôle, v.890 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Fortement résolu pour venger mes soupçons, v.891 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- De lui faire éprouver le sort des limaçons. v.892 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais zeste ! Le coquin de branchage en branchage, v.893 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- De son maudit coucou redoubla le ramage ; v.894 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et quatre coups en l'air, loin de l'épouvanter, v.895 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Lui servirent d'appas pour le faire chanter. v.896 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Limaçons et coucou, mon âge et votre sexe ? v.897 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Tout rendait à l'envi ma pauvre âme perplexe, v.898 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Lorsque dans mon chemin, et presque sous mes pas, v.899 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je trouve un bois de Cerf fraîchement mis à bas ; v.900 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et vois un peu plus loin cette maligne bête, v.901 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Qui semblait m'annoncer que c'était pour ma tête, v.902 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Vous en aurez, menti, malheureux animaux, v.903 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je rendrai malgré vous tous vos présages faux, v.904 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- M'écriai-je, et soudain je gagnai ma chaumière, v.905 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Sans vouloir regarder ni devant ni derrière, v.906 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ainsi vous avez beau menacer ou prier, v.907 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Eh ! Monsieur, donnez-nous des raisons plus honnêtes. v.909 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Ma Cousine est croyable un peu plus que vos bêtes : v.910 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Que des les vouloir croire, et ne la croire pas. v.912 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Je suis las de souffrir un si cruel outrage. v.913 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Mais si l'astre s'en mêle, et veut me voir cocu, v.915 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pensez-vous que par elle il puisse être vaincu ? v.916 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ce qu'avec un autre homme elle aurait d'innocence, v.917 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Deviendra contre moi fidèle à l'influence ; v.918 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et moins par son penchant que pour remplir mon sort, v.919 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je me verrai cocu, sans qu'elle ait aucun tort. v.920 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Elle me touche assez pour ne vouloir point d'elle. v.922 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- S'il faut être cocu, c'est par un autre choix v.923 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pour l'honneur de mon front et de votre mérite, v.925 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Rendez-moi mon argent, et sortons quitte à quitte. v.926 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Puisque par ses raisons Monsieur est convaincu, v.927 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Qu'on lui rendra justice en le faisant cocu, v.928 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- La rupture qu'il cherche est une preuve insigne, v.929 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Que de remplir son sort il ne vous croit pas digne. v.930 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Vous n'auriez pas l'esprit de lui manquer de foi. v.931 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Finissez. Quel argent lui devez-vous ? v.932 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Rien du tout. v.933 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- En trois mots, c'est me payer ma somme. v.933 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que me demandez-vous ? Parlez en honnête homme. v.934 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- L'argent que vous me retenez. v.935 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Les deux mille louis que je vous ai donnés. v.936 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- À moi, Monsieur ? v.937 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- À vous. Pourquoi tant de grimaces ? v.937 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Lorsque je les reçus je vous en rendis grâces. v.938 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Me les ayant donnés, ils ne sont plus à vous. v.939 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Jamais félicité ne me parut plus haute. v.941 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Si vous ne l'êtes pas, Monsieur, est-ce ma faute ? v.942 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Tous les dons qu'en m'aimant vous pouvez m'avoir faits, v.943 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Me sont trop précieux pour les rendre jamais. v.944 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Ce refus obligeant que fait Mademoiselle, v.945 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- Marque pour un volage une bonté nouvelle : v.946 (Acte 3, scène 4, C?CILE)
- Retenir vos présents c'est vous aimer encor. v.947 (Acte 3, scène 4, C?CILE)
- Je renonce à l'amour qu'on vend au poids de l'or. v.948 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Quand je fis ce présent elle m'était acquise. v.949 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je n'ai fait avec elle aucune autre sottise. v.950 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Demandez-lui plutôt si jamais... v.951 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- (Aussi bien suis-je sûr que vous en doutez) v.952 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- C'est par mon ordre exprès qu'on n'a rien à vous rendre ; v.953 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Et si vous l'ignorez je veux bien vous l'apprendre. v.954 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Épousez ma Cousine, ou ne prétendez pas... v.955 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Quand je serai cocu, qu'il sera bien plus gras ! v.956 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Sachez, petit Cousin, qui par votre menace v.957 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Prétendez m'ajouter aux cocus de ma race, v.958 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que malgré mon étoile et malgré vos leçons, v.959 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je veux faire mentir, Cerf, Coucou, Limaçons. v.960 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et fuir le mariage un peu plus que la peste. v.961 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Licidas à l'instant va décider du reste : v.962 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Nos communs intérêts sont remis en sa main ; v.963 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- N'est-il pas ici ? v.964 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Non ; il est à Saint Germain. v.964 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Pour longtemps ? v.965 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- On ne sait. v.965 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Attendons qu'il revienne : v.965 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Il entendra plaider votre cause et la mienne. v.966 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- De mes prétentions quel_que_soit le succès, v.967 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ne me pas marier c'est gagner mon procès : v.968 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Combien devant nos yeux en voyons-nous paraître, v.969 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Qui pour bien plus d'argent voudraient ne le pas être ? v.970 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Tant ils sont assurés de trouver au logis, v.971 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ou leur femme qui gronde, ou quelquefois bien pis. v.972 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Quel amant pour une belle amante ! v.973 (Acte 3, scène 5, CÉCILE)
- Je n'en voudrons point, moi, qui ne suis que servante ; v.974 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
- Je crois que son Coucou dirait la vérité. v.976 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
- Consolez-vous, Cousine ; il en viendra quelqu'autre. v.977 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Apprenez mon destin, puisque je sais le vôtre. v.978 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Je vous prie à mon tour de ma noce. v.979 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Comment ! v.979 (Acte 3, scène 5, CLAIRE)
- Nous sommes mieux unis que vous et votre amant. v.980 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Ma Maîtresse ni moi nous ne voulons pas rompre. v.981 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Mais j'aperçois quelqu'un qui nous vient interrompre. v.982 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Passez dans l'autre chambre, où bientôt je vous sui. v.983 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Monsieur, je suis perdu si je n'ai votre appui. v.984 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qu'est-ce, Monsieur ? Parlez, Quel sujet vous oblige... v.985 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Si je n'ai votre appui je suis perdu, vous dis-je. v.986 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Vous est-il arrivé quelque accident fâcheux ? v.987 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Il n'est point sous le ciel d'homme plus malheureux. v.988 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Avez-vous sur les bras quelque méchante affaire ? v.989 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Êtes-vous assassin, empoisonneur, faussaire ? v.990 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Moi, Monsieur ? v.991 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Ai-je l'air d'un faussaire, ou d'un empoisonneur ? v.992 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Vous a-t-on dérobé quelque somme un peu forte ? v.993 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Non, Monsieur. v.994 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- N'est-ce point que votre femme est morte ? v.994 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Dites donc quel obstacle est contraire à vos voeux. v.996 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- J'écoute : mais surtout, point de longue harangue. v.997 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Force gens à Paris enseignent quelque langue. v.998 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Celui-là l'Espagnol, celui-ci le Latin ; v.999 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et sans autre secours ils subsistent enfin. v.1000 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- J'en connais deux ou trois tellement à leur aise, v.1001 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Que depuis quelque temps ils ne vont plus qu'en chaise : v.1002 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et cherchant un emploi que l'on ne pût m'ôter, v.1003 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je crus pour m'enrichir les devoir imiter. v.1004 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je pris dans un Faubourg une maison fort grande, v.1005 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et mis un écriteau pour la Langue Normande ; v.1006 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- M'offrant de l'enseigner avec affection v.1007 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Avec les tons, l'accent, dans sa perfection. v.1008 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant le premier mois il ne me vint personne. v.1009 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Quoi ! Pas un écolier ! v.1010 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Pas un. v.1010 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je m'en étonne. v.1010 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Un succès plus, heureux devoir suivre vos soins. v.1011 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Le second mois, sans doute, alla bien ? v.1012 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Encor moins. v.1012 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pour me manifester, tant aux pauvres qu'aux riches, v.1013 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et par tous les endroits où j'étais affiché, v.1015 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- je voyais en passant force monde attaché. v.1016 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- J'en conçus de la joie, et la chose étant sue, v.1017 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je me tins assuré d'en avoir bonne issue, v.1018 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et crus que ma maison crèverait d'écoliers ; v.1019 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pas une âme ne vint. Je disais à moi-même, v.1021 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- En songeant quelquefois à mon malheur extrême, v.1022 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Tous les gens de commerce ont affaire à Rouen, v.1023 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- À Bayeux, à Falaise, à Dieppe, au Havre, à Caen, v.1024 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Peu de gens ont affaire, à Florence, à Venise : v.1025 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et c'est par conséquent une grande sottise, v.1026 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- D'ignorer le Normand et de savoir si bien v.1027 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- L'extravagant Jargon qu'on nomme Italien, v.1028 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- L'un est infructueux, et l'autre fort utile. v.1029 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Comme on a vers l'espoir une pente facile, v.1030 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qu'à la fin mon dessein aurait un grand succès. v.1032 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je faisais afficher de nouveau ; mais ma peine v.1033 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant quatorze mois a toujours été vaine ; v.1034 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et quoique cette Langue ait de particulier, v.1035 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je n'ai pas eu l'honneur d'avoir un Écolier. v.1036 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Moi ? non ; cela n'est pas croyable. v.1037 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Rien n'est plus vrai pourtant, ou je me donne au Diable. v.1038 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pas un seul n'a paru pendant quatorze mois : v.1039 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Tant il est vrai qu'en France on fait peu de bons choix ! v.1040 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et que puis-je pour vous en semblable occurrence : v.1041 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Monsieur ? v.1042 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Réprimander la Noblesse de France, v.1042 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui parle Italien, Espagnol, Allemand, v.1043 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et qui ne peut parler le langage Normand : v.1044 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui sait parfaitement deux ou trois langues mortes. v.1045 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et qui n'en sait pas une usitée à ses portes ; v.1046 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui sans avoir dessein d'aller jamais fort loin, v.1047 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Des pays étrangers apprend le baragouin ; v.1048 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et qui par une erreur que le bon sens condamne, v.1049 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Aime mieux Signorsi, que voire, ou Dieu me damne. v.1050 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Vous voyez cependant quelle comparaison ? v.1051 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Il est vrai ; je vois bien que vous avez raison. v.1052 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Mais comme à ce dessein la fortune s'oppose, v.1053 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Je vous conseillerais de tenter autre chose. v.1054 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Quand on veut se tirer d'un fâcheux embarras, v.1055 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Il est bon qu'avec elle on ne s'obstine pas. v.1056 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Non, Monsieur, tôt ou tard on me rendra justice. v.1058 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- De quoi que l'on se mêle en un même quartier, v.1059 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Quarante quelquefois sont d'un pareil métier ; v.1060 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et par cette raison, que je crois pertinente, v.1061 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Ce qu'un seul gagnerait se partage à quarante : v.1062 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Mais par l'heureux effet de mon invention, v.1063 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je suis seul à Paris de ma profession. v.1064 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Publiez mes talents dans le premier Mercure, v.1065 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Si le Roi par hasard en faisait la lecture, v.1066 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Bienfaisant comme il est par inclination, v.1067 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Doutez-vous que bientôt je n'eusse pension ? v.1068 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Comme de mes pareils la nature est avare, v.1069 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- On a quelques égards pour un homme si rare. v.1070 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pour rare, il est certain : on ne peut l'être plus. v.1071 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Me louer devant moi, c'est me rendre confus : v.1072 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je suis déconcerté d'une louange en face ; v.1073 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et votre honnêteté me fait quitter la place. v.1074 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Adieu ; le mois prochain parlez si bien de moi, v.1075 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Que de voir mon visage il prenne envie au Roi. v.1076 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- C'est la grâce qu'espère et que vous recommande v.1077 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Du Mesnil, Professeur de la langue Normande. v.1078 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Juste ciel ! que ces fous qui fatiguent mes yeux, v.1079 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Volent à mon amour de moments précieux ! v.1080 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Demeurez, mon Cousin, vous avez compagnie. v.1081 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Je vous quitte aujourd'hui de la cérémonie. v.1082 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Et moi, qui suis ravi d'accompagner vos pas, v.1083 (Acte 4, scène 1, ORONTE)
- De votre sentiment je ne vous quitte pas. v.1084 (Acte 4, scène 1, ORONTE)
- Comment la trouvez-vous ? Ai-je fait un bon choix ? v.1087 (Acte 4, scène 1, ORONTE)
- Son teint, son air, sa taille, en un mot tout m'enchante ; v.1089 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Et de la tête aux pieds, elle est toute charmante. v.1090 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Jamais d'un pareil choix on ne peut vous blâmer. v.1091 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Eh ! Comment feriez-vous pour ne la pas aimer ? v.1092 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Une Dame qui vient m'empêche de poursuivre. v.1093 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Adieu. Je vous défends de songer à me suivre. v.1094 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Un pas que vous feriez me mettrait en courroux : v.1095 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Et ce serait bannir tout commerce entre nous. v.1096 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- À ce que vous voulez il faut que je consente. v.1097 (Acte 4, scène 1, ORONTE)
- Monsieur, je suis votre servante. v.1098 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Je vous suis inconnue et redevable. v.1099 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Oui, Monsieur, à vous-même. v.1100 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- En quelle occasion la fortune propice, v.1101 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- M'a-t-elle offert l'honneur de vous rendre service ? v.1102 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- En trois occasions, où vous avez appris, v.1103 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Mais galamment, la mort de trois de mes Maris, v.1104 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- En lisant ces endroits j'eus un plaisir extrême. v.1105 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Et comme je fis hier enterrer le quatrième, v.1106 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- J'offre cette matière à votre heureux talent, v.1107 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Pour en faire un article au Mercure Galant. v.1108 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Pour un Mari défunt c'est montrer bien du zèle. v.1110 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Je ne m'étonne pas après cette action, v.1111 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Qu'on brigue avec chaleur votre possession. v.1112 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- C'est de votre mérite une assez grande preuve. v.1114 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Sur un si bel exemple on se doit écrier. v.1115 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- On me parle déjà de me remarier : v.1116 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Mais je tiens au défunt par de si fortes chaînes, v.1117 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Que je n'y veux penser de plus de trois semaines, v.1118 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Il verra si pour lui mes feux étaient constants. v.1119 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Quoi ! Vous vous résoudrez à pâtir si longtemps, v.1120 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Madame ? Je vous plains : cet effort est pénible. v.1121 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- J'aimais feu mon Mari ; l'amour rend tout possible. v.1122 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Qui croirait qu'une Dame aussi jeune que vous, v.1123 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Comment ont fait vos yeux pour conserver leurs charmes, v.1125 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Après s'être occupés à verser tant de larmes ? v.1126 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Voir mourir ce qu'on aime est un sort si fatal... v.1127 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- De tous les maux du monde il n'en est point d'égal. v.1128 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Il faut pour en parler en avoir fait l'épreuve, v.1129 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- J'avouerai cependant, moi qui suis souvent veuve, v.1130 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Qu'au lieu de quatre fois j'aime mieux l'être neuf, v.1131 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Que d'avoir le chagrin de faire un mari veuf. v.1132 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Je sais bien au surplus ce qu'il faut que je fasse : v.1133 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- J'ai pleuré le défunt avec assez de grâce. v.1134 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Fendant qu'il se mourait, fidèle à mon devoir, v.1135 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- J'apprenais à pleurer devant un grand miroir. v.1136 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Pour pleurer un Mari d'une manière honnête, v.1137 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Il faut négligemment savoir pencher la tête ; v.1138 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Avoir la gorge nue, et laisser à dessein v.1139 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Couler par-ci, par-là, des larmes sur son sein, v.1140 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Éviter les hauts cris que la canaille jette ; v.1141 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Avoir un air stupide ; une douleur muette ; v.1142 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Regarder son malheur avec tranquillité. v.1143 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Voila comme l'on pleure en gens de qualité ; v.1144 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Osait pleurer de même, on se moquerait d'elle. v.1146 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- On va briguer l'honneur de mourir votre époux. v.1148 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Comment le nommait-on ? v.1149 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Vous serez au Mercure avec distinction. v.1151 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Marquez-y bien l'excès de mon affliction. v.1152 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Comme une tourterelle à tous moments je pleure... v.1153 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Si je me remarie, et que mon mari meure, v.1154 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Je viendrai vous l'apprendre, et n'y manquerai pas. v.1155 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Mais pendant qu'en ce lieu je me trouve tranquille, v.1157 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Mon coeur impatient de rejoindre Cécile... v.1158 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Ciel ! On vient mettre obstacle à mon expressément. v.1159 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Monsieur, vous allez faire un mauvais jugement. v.1160 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Sans doute. v.1161 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Moi, Madame ? En tout ce que vous faites, v.1161 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Vous n'avez point de peine à montrer qui vous êtes : v.1162 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- On découvre d'abord un mérite si grand... v.1163 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Nous savons bien, Monsieur, que vous êtes galant. v.1164 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- On ne voit point d'écrits comparables aux vôtres : v.1165 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Que d'éloges charmants cousus les uns aux autres ! v.1166 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- D'agréables objets sont aisés à louer. v.1168 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Vos manières, votre air... v.1169 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Brisons-là, je vous prie ; v.1169 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- La louange affectée est une raillerie. v.1170 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Tirez-nous seulement d'une grossière erreur, v.1171 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Sitôt qu'un mois commence on m'apporte un Mercure. v.1173 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- C'est mon plaisir d'élite et ma chère lecture ; v.1174 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et depuis qu'il paraît, ce qui m'en a déplu, v.1175 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- C'est qu'il est trop petit, et qu'on la trop tôt lu. v.1176 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Mais un des plus charmants que l'on vous ait vu faire, v.1177 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- C'en est un où j'ai vu le grand art de se taire : v.1178 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Art qui pour notre sexe est plein d'utilité, v.1179 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et dont ma soeur et moi nous avons profité. v.1180 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Nous avons toutes deux purifié nos âmes, v.1181 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- D'un défaut qui partout déshonore les femmes ; v.1182 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et nous faisons un voeu qui sans doute tiendra, v.1183 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- De ne parler jamais que lorsqu'il le faudra. v.1184 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- N'est-il pas juste aussi que des femmes se taisent ? v.1185 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Leurs discours éternels fatiguent et déplaisent. v.1186 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Qu'un silence modeste est plus beau mille fois. v.1188 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- S'il n'était des rubans, des jupes, des dentelles, v.1189 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Tant que dure le jour de quoi parleraient-elles ? v.1190 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Je sèche de chagrin lorsque j'entends cela. v.1191 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et qui pourrait tenir à ces sottises-là ? v.1192 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Est-ce un si grand effort qu'être femme et se taire, v.1193 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Qu'aucune autre que nous n'ait encor pu le faire ? v.1194 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- (Car ma soeur franchement, nous pourrions avouer, v.1195 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- N'était qu'il est honteux de vouloir se louer, v.1196 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Que l'on ne voit que nous se faire violence, v.1197 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Et trouver du plaisir à garder le silence.) v.1198 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Mais je ne comprends point par quelle injuste loi, v.1199 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Vous prétendez, ma soeur, vous mieux taire que moi. v.1200 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Depuis six mois entiers que j'apprends à me taire, v.1201 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Et dans ce grand dessein je vous suis d'assez près, v.1203 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Pour devoir me flatter d'un semblable progrès. v.1204 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Je consens comme vous, que Monsieur en décide. v.1205 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Monsieur, soyez juge rigide. v.1206 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Ma soeur, me voilà prête à vous faire un aveu, v.1207 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que vous ne parlez point, ou que vous parler peu ; v.1208 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que vous avez sur vous un merveilleux empire ; v.1209 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que vous ne dites rien que vous ne deviez dire ; v.1210 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que le don de vous taire est l'effet de vos soins ; v.1211 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Mais avouez aussi que je parle encor moins : v.1212 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Si ce n'est par devoir, que ce soit par tendresse. v.1213 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Ma soeur ; mais sur cela ne me demandez rien. v.1215 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Je donnerais pour vous tout mon sang, tout mon bien. v.1216 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Mais je ne puis celer que la gloire m'est chère : v.1217 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Eh ! Quelle gloire encor ? Être fille et se taire ! v.1218 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Non, ma soeur ; je ne puis souffrir d'égalité. v.1220 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Je parle moins que vous, j'en suis sûre. v.1221 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Au contraire. v.1221 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Si vous en jugez bien, vous savez moins vous taire. v.1222 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Je vous appris cet art. Sans moi vous l'ignoriez. v.1223 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous m'en avez appris plus que vous n'en saviez. v.1224 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Monsieur est sur ce point plus éclairé que d'autres : v.1225 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Prions-le d'écouter mes raisons et les vôtres. v.1226 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Nous verrons sur le champ notre doute éclairci. v.1227 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- J'en conjure Monsieur. v.1228 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Je l'en conjure aussi. v.1228 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Je me fais un bonheur du désir de vous plaire : v.1229 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Mais comment en parlant montrer qu'on sait se taire ? v.1230 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Écoutez mes raisons ; et j'espère... v.1231 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- L'une de nous, ma soeur, doit parler la première. v.1234 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et par mon droit d'aînesse il me semble devoir... v.1235 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- La qualité d'aînée est ici sans pouvoir. v.1236 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Quittez l'opinion où cette erreur vous jette ; v.1237 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Une aînée en tous lieux parle avant sa cadette. v.1238 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Je sais bien qu'en tous lieux et qu'en toute saison, v.1239 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- C'est un droit de l'aînée alors qu'elle a raison : v.1240 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Mais si j'ai raison, moi, qu'ai-je affaire de l'âge ? v.1241 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Apprenez que sur vous j'ai ce double avantage : v.1242 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que l'âge et la raison sont pour moi contre vous ; v.1243 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et que votre sottise excite mon courroux. v.1244 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Ah ! Que par le babil vous êtes encor fille, v.1246 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- À votre pétulance offre un faible secours v.1248 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Et cependant, ma soeur, quoique vous la soyez, v.1251 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Je ne vous en dis rien comme vous le voyez. v.1252 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Je sais dans quel respect la cadette doit être. v.1253 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- L'aînée entre nous deux est aisée à connaître. v.1254 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous avez quelque esprit, quelque rayon de feu ; v.1255 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Mais pour du jugement vous en avez si peu, v.1256 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Qu'en voulant faire voir que vous savez vous taire, v.1257 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous parlez aujourd'hui plus qu'à votre ordinaire. v.1258 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Monsieur en est le juge, il n'a qu'à prononcer. v.1259 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- J'ai la bonté pour vous de ne l'en pas presser. v.1260 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Pour comble de bonté faites-moi grâce entière ; v.1261 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Permettez qu'à Monsieur je parle la première. v.1262 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Vous ? Me faire l'affront de parler avant moi ! v.1263 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous ne le ferez point, et j'en jure ma foi. v.1264 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Ni vous aussi, ma soeur, et j'en jure la mienne. v.1265 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Je vous interromprai, sans que rien me retienne. v.1266 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Non, Monsieur ; je veux le premier pas. v.1267 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Non, Monsieur ; je n'en démordrai pas. v.1268 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Montrez-vous son aînée, et considérez bien... v.1271 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Pour la faire enrager je n'épargnerai rien. v.1272 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Montrez-vous sa cadette, et cherchez une voie... v.1273 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- À la contrecarrer je mets toute ma joie. v.1274 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- En vain de vous juger vous m'imposez la loi. v.1275 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Que sais-je qui des deux parle le moins ? v.1276 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Et par bonnes raisons je m'en vais vous l'apprendre. v.1277 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et pour en être instruit vous n'avez qu'à m'entendre. v.1278 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- C'est moi qui la première ai formé le dessein. v.1279 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- J'ai pour les grands parleurs conçu tant de dédain. v.1280 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- De captiver ma langue et d'être distinguée. v.1281 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que du moindre discours j'ai l'âme fatiguée. v.1282 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Pour peu qu'on me fréquente on admire cela. v.1283 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Pour peu qu'on me regarde on devine cela. v.1283 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Vous taisez-vous souvent de cette force-là ? v.1284 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Tout franc, je ne vois goutte en toutes vos manières. v.1285 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Je ne vous croyais pas de si courtes lumières. v.1286 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- C'est pour un grand génie avoir peu de lumières. v.1286 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Pour juger qui de nous était digne du prix. v.1287 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous ne deviez pas craindre en me donnant le prix. v.1288 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Je ne sais que vous seul qui put s'être mépris. v.1289 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que l'on vous soupçonnât de vous être mépris. v.1290 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Adieu, Monsieur. v.1291 (Acte 4, scène 3, ORIANE, ÉLISE)
- Ma foi, voilà deux soeurs bien folles ! v.1291 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Quel rapide torrent d'inutiles paroles, v.1292 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Pour me persuader qu'elles ne parlent point ! v.1293 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Jamais extravagance alla-t-elle à ce point ? v.1294 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Et peut-on faire voir par un trait plus sensible, v.1295 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Qu'être fille et se taire est chose incompatible ? v.1296 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- À force de babil elles m'ont enivré. v.1297 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Mais enfin par bonheur m'en voilà délivré. v.1298 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Holà, Merlin ! v.1299 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Monsieur. v.1299 (Acte 4, scène 5, MERLIN)
- Non cher Merlin, de grâce, v.1299 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
- Pendant quelques moments occupe ici ma place, v.1300 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
- Si l'on me vient chercher, dis que je n'y suis pas. v.1302 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
- Je me passerais bien d'une pareille aubade ; v.1303 (Acte 4, scène 5, MERLIN)
- Bonjour, mon Camarade. v.1304 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'entre sans dire gare, et cherche à m'informer v.1305 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Où demeure un Monsieur que je ne puis nommer. v.1306 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Un bon vivant ; allègre : v.1307 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Qui n'est grand ni petit, noir ni blanc, gras ni maigre. v.1308 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'ai su de son libraire, où souvent je le vois, v.1309 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Qu'il fait jeter en moule un Livre tous les mois. v.1310 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- C'est un vrai Juif errant, qui jamais ne repose. v.1311 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- L'homme que vous cherchez est mon maître. v.1313 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Non. v.1314 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Tant pis. Je voulais lui parler. v.1314 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- L'un vaut l'autre. Je tiens un registre fidèle, v.1315 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Où chaque heure du jour j'écris quelque nouvelle : v.1316 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Fable, Histoire, Aventure, enfin quoi que ce soit, v.1317 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Par ordre alphabétique est mis en son endroit. v.1318 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Je voudrais bien être dans le Mercure : v.1319 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'y ferais, que je crois, une bonne figure. v.1320 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Tout à l'heure, en buvant, j'ai fait réflexion v.1321 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Que je fis autrefois une belle action, v.1322 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Si le Roi la savait j'en aurais de quoi vivre. v.1323 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- La guerre est un métier que je suis las de suivre. v.1324 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Mon Capitaine, instruit du courage que j'ai, v.1325 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Ne saurait se résoudre à me donner congé. v.1326 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'en enrage. v.1327 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Il fait bien ; donnez-vous patience... v.1327 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Mordié je ne saurais avoir ma subsistance. v.1328 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Il est vrai, le pauvre homme ! il fait compassion. v.1329 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Or donc, pour en venir à ma belle action, v.1330 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Et brave sur la mer autant que sur la terre. v.1332 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'étais sur un vaisseau quand Ruyter fut tué ; v.1333 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Et j'ai même à sa mort le plus contribué : v.1334 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Je fus chercher le feu que l'on mit à l'amorce v.1335 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Du canon qui lui fit rendre l'âme par force. v.1336 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Lui mort, les Hollandais souffrirent bien des mals ! v.1337 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- On fit couler à fond les deux Vice-Amirals. v.1338 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Les Vice-Amiraux donc ne pouvant plus nous mordre, v.1340 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Nos coups aux ennemis furent des coups fataux. v.1341 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Nous gagnâmes sur eux quatre combats navaux. v.1342 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Il faut dire fatals, et navals. C'est la règle. v.1343 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Les Hollandais réduits à du biscuit de seigle, v.1344 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Ayant connu qu'en nombre ils étaient inégals, v.1345 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Firent prendre la fuite aux Vaisseaux principals. v.1346 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Il faut dire inégaux, principaux. C'est le terme. v.1347 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Enfin, après cela nous fûmes à Palerme. v.1348 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Les bourgeois à l'envi nous firent des régaux : v.1349 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Les huit jours qu'on y fut furent huit Carnavaux. v.1350 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Il faut dire régals et Carnavals. v.1351 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- M'interrompre à tous coups, c'est me chiffonner l'âme, v.1352 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Franchement. v.1353 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Parlez bien. On ne dit point navaux, v.1353 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Ni fataux, ni régaux, non plus que Carnavaux. v.1354 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Vouloir parler ainsi, c'est faire une sottise. v.1355 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Eh ! Mordié ; comment donc voulez-vous que je dise ? v.1356 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Si vous me reprenez lorsque je dis des mals, v.1357 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Inégals, principals, et des Vice-Amirals ; v.1358 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Lorsqu'un moment après pour mieux me faire entendre, v.1359 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Je dis fataux, navaux, devez-vous me reprendre ? v.1360 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'enrage de bon coeur quand je trouve un trigaud, v.1361 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Qui souffle tout ensemble et le froid et le chaud. v.1362 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- J'ai la raison pour moi qui me fait vous reprendre, v.1363 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Et je vais clairement vous le faire comprendre. v.1364 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Al est un singulier dont le pluriel fait Aux. v.1365 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- On dit, c'est mon égal, et ce sont mes égaux. v.1366 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- L'usage ? Hé bien soit. Je l'accepte. v.1367 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Fatal, naval, régal, sont des mots qu'on excepte. v.1368 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Pour peu qu'on ait de sens, ou d'érudition, v.1369 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- On sait que chaque règle a son exception. v.1370 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Par conséquent on voit par cette raison seule... v.1371 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- J'ai des démangeaisons de te casser la gueule. v.1372 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Oui, palsandié moi : je n'aime point du tout v.1373 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Qu'on me berce d'un conte à dormir tout debout ; v.1374 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Lorsqu'on veut me railler je donne sur la face. v.1375 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Et tu crois au Mercure occuper une place, v.1376 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Toi ? Tu n'y seras point, je t'en donne ma foi. v.1377 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Pour vous faire dépit tant à toi qu'à ton Maître, v.1379 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Je déclare à tous deux que je n'y veux pas être : v.1380 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Plus de mille Soldats en auraient acheté, v.1381 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Pour voir en quel endroit la Rissole eût été : v.1382 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- C'était argent comptant ; j'en avais leur parole. v.1383 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Adieu, Pays. C'est moi qu'on nomme la Rissole. v.1384 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Ces bras te deviendront ou fatals, ou fataux. v.1385 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Adieu, Guerrier fameux par tes Combats navaux. v.1386 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Je viens te relayer ; Cécile me l'ordonne. v.1387 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- N'as-tu rien à m'apprendre ? Est-il venu personne ? v.1388 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- Un soldat, dont j'ai su les exploits éclatants ; v.1389 (Acte 5, scène 1, MERLIN)
- Un brave homme. v.1390 (Acte 5, scène 1, MERLIN)
- Pardon, si j'ai mis si longtemps, v.1390 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Mon cher Monsieur. Hé bien ! vous sera-t-il facile v.1391 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Je ne puis en juger que suivant vos bontés v.1393 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- Ce sont vos seuls désirs qui font ses volontés. v.1394 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- Si c'est moi qu'elle en croit, qu'on appelle ma fille. v.1395 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- J'ai l'esprit éclairci touchant votre famille : v.1396 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Mon devoir le voulait, je m'en suis acquitté : v.1397 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- On m'a dit de quel sang vous avez, reçu l'être : v.1399 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Enfin je suis content tout ce qu'on le peut être. v.1400 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Si douze mille francs d'un revenu certain, v.1401 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Qui doivent de ma fille accompagner la main, v.1402 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Peuvent contribuer à vous la rendre chère, v.1403 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Ah ! Monsieur, quels devoirs m'acquitteront jamais... v.1405 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- Ma fille, vos désirs seront-ils satisfaits, v.1406 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Si demain de Monsieur vous devenez la femme ? v.1407 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avez-vous du penchant à l'aimer ? v.1408 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Vous ne répondez rien ! Que dois-je croire, hélas ! v.1409 (Acte 5, scène 3, ORONTE)
- Si je vous haïssais je ne me tairais pas. v.1410 (Acte 5, scène 3, CÉCILE)
- C'est dire en peu de mots tout ce que je souhaite. v.1411 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Dites-moi, s'il vous plaît : que deviendra Lisette, v.1412 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Madame ? Il me souvient qu'autrefois vous disiez v.1413 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Quand on vous marierait que vous me marieriez ; v.1414 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Vous allez devenir Madame la Mercure, v.1415 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Pendant que je serai Lisette toute pure. v.1416 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Tâter un peu de tout ne me déplairait pas. v.1417 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Eh, quoi ! te lasses-tu d'accompagner mes pas ? v.1418 (Acte 5, scène 3, CÉCILE)
- Non, je suis toute à vous, et mon sort tient au vôtre : v.1419 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Mais je voudrais, Madame, être encore à quelqu'autre. v.1420 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Tant qu'on demeure fille on n'est point en repos ; v.1421 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Et quoiqu'on soit suivante on est de chair et d'os. v.1422 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Un tronc semble maudit s'il n'en sort quelque branche. v.1423 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Et si Merlin penchait du côté que je penche... v.1424 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Tu me parais jolie, à parler tout de bon, v.1425 (Acte 5, scène 3, MERLIN)
- Je te trouve un certain air fripon... v.1426 (Acte 5, scène 3, MERLIN)
- Je ne sais si mon air est fripon ou modeste ; v.1427 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Mais jusqu'à ce moment je te réponds du reste. v.1428 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Pour leur tendre la main dans un pas si glissant, v.1429 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Je donne cent louis. v.1430 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et moi cent. v.1430 (Acte 5, scène 3, CÉCILE)
- Et moi cent. v.1430 (Acte 5, scène 3, ORONTE)
- Trois cens louis ! Messieurs, je l'épouse au plus vite. v.1431 (Acte 5, scène 3, MERLIN)
- Demain nous nous verrons au gîte. v.1432 (Acte 5, scène 3, MERLIN)
- Serviteur. Vous voyez un Marquis distingué, v.1433 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Que les plus grands emplois n'ont jamais fatigué. v.1434 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Du Mercure Galant adorateur fidèle, v.1435 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- J'ai fait un air nouveau sur la saison nouvelle. v.1436 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Ah ! Je croyais parler à Monsieur Licidas. v.1437 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Non, Monsieur ; mais il n'importe pas : v.1438 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- Je tiens ici sa place, et sais la tablature. v.1439 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- S'il a ce grand débit dont chacun s'aperçoit, v.1441 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- À parler entre nous c'est à moi qu'il le doit. v.1442 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- L'éclat que je lui donne en est la seule cause. v.1443 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Qui ne veut que des Airs achète un Opéra. v.1445 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- Parbleu ! je vais gager tout ce que l'on voudra, v.1446 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Que dans tout Phaéton, quelque bruit qu'on en fasse, v.1447 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- On ne verra point d'Air que celui-ci n'efface. v.1448 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Vous vous y connaissez ; et cela me suffit. v.1449 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- D'ailleurs ce que je dis ne s'est point encor dit : v.1450 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- La route que je tiens est fraîchement tracée : v.1451 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Tout y sera nouveau jusques à la pensée ; v.1452 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Et comme c'est un Air à demi goguenard. v.1453 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Je l'ai pris sur un ton entre doux et hagard. v.1454 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Je voudrais qu'en cet art Madame fût congrue ; v.1455 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Il serait mal aisé qu'elle n'eût l'âme émue. v.1456 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Pour tous les Airs nouveaux j'ai de la passion ; v.1457 (Acte 5, scène 4, CÉCILE)
- Et je vais écouter avec attention. v.1458 (Acte 5, scène 4, C?CILE)
- Je vous demande à tous une équitable oreille. v.1459 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Les paroles et l'Air n'ont coûté qu'une veille. v.1460 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Tant que l'hiver a duré v.1461 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Mon coeur n'a point murmuré v.1463 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- De voir le sien tout de glace. v.1464 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais le Printemps de retour v.1465 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Elle doit changer de note ; v.1466 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Ou bientôt avec la sotte v.1467 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- J'enverrai paître l'Amour. v.1468 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Comment le trouvez-vous ? v.1469 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Fort nouveau. v.1471 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- D'avoir dans l'univers peu d'égaux en Musique. v.1472 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Outre qu'avec plaisir les tons sont variés, v.1473 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Les paroles et l'air sont si bien mariés, v.1474 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Qu'il semble qu'on ait fait, sans préceptes frivoles, v.1475 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Vous faites tous des voeux pour un second couplet. v.1477 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- J'en suis sûr. v.1478 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Le plaisir en serait plus complet. v.1478 (Acte 5, scène 4, CÉCILE)
- Pour vous refuser rien je vous trouve trop belle. v.1479 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Prêtez-moi, je vous prie, attention nouvelle. v.1480 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Avant le temps des frimas v.1481 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Dans une grotte champêtre, v.1482 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- De ses plus charmants appas v.1483 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Et je prétends dès ce jour v.1485 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- La ramener dans la grotte ; v.1486 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Ou bientôt avec la sotte v.1487 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- J'enverrai paître l'Amour. v.1488 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Hé bien ! que vous en semble ? v.1489 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Il faut le faire entrer dans le premier Mercure, v.1492 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Il est vrai. L'avez-vous tout noté, v.1493 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- Monsieur ? v.1494 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- Assurément. Et de plus cacheté. v.1494 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- À Monsieur Licidas, à son accoutumée v.1495 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Substitut de la Renommée. v.1496 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Mon Air aura pour lui des appas éclatants. v.1497 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Adieu, mon cher. v.1498 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Monsieur, ménageons ces instants. v.1498 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Nous chanterions ici sur de meilleures notes v.1499 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avec des Conseillers surnommés Gardenotes. v.1500 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Va chercher un Notaire, et reviens promptement. v.1501 (Acte 5, scène 5, ORONTE)
- J'en crois voir un, qui vient de quelque enterrement. v.1502 (Acte 5, scène 5, MERLIN)
- En Robe ? v.1503 (Acte 5, scène 5, ORONTE)
- C'est ainsi qu'ils sont mis d'ordinaire, v.1503 (Acte 5, scène 5, MERLIN)
- Quand ils vont d'un défunt mendier l'Inventaire. v.1504 (Acte 5, scène 5, MERLIN)
- Nous vous croyons Notaire, il en faut un ici. v.1505 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Dieu m'en garde. Je suis Procureur, Dieu merci : v.1506 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et ma Communauté près de vous me députe. v.1507 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- La vertu d'ordinaire est ce qu'on persécute : v.1508 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et elle est aujourd'hui la licence des moeurs, v.1509 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Que des hommes de bien, comme des Procureurs, v.1510 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Qui de tant d'opprimés embrassent la défense, v.1511 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ne sont pas à couvert contre la médisance, v.1512 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Depuis que dans le monde Arlequin Procureur, v.1513 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pour un Corps si célèbre a donné tant d'horreur. v.1514 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Mais ce n'est point, Monsieur, comme on se le figure, v.1515 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- De ceux du Châtelet dont on fait la peinture : v.1516 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Nous savons de l'Auteur qui mit la pièce au jour, v.1517 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Qu'il ne prétend parler que de ceux de la Cour ; v.1518 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et ma Communauté par ma voix vous conjure, v.1519 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- D'en instruire Paris dans le première Mercure. v.1520 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Mais, Monsieur, est-ce ici votre Procureur ? v.1521 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Non, v.1521 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Je ne le connais pas seulement. v.1522 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Tout de bon ? v.1522 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Je n'impose jamais de la moindre syllabe. v.1523 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- De tout le Parlement c'est le plus grand Arabe. v.1524 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pour piller le plaideur lui seul en vaut un cent. v.1525 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Monsieur, votre très humble et très obéissant. v.1526 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ma personne, je crois, ne vous est pas connue ? v.1527 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Non, Monsieur, par malheur. v.1528 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Je me nomme Sangsue, v.1528 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Monsieur, v.1529 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Je vous rends sur ce point grâce de tout mon coeur. v.1530 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Savez-vous quel dessein en ce lieu me fait rendre ? v.1531 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Non, Monsieur. v.1532 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- En trois mots je m'en vais vous l'apprendre : v.1532 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Voici le fait. En l'an six cens quatre-vingt deux, v.1533 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Pour divertissement d'un Théâtre fameux, v.1534 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Contre les Procureurs on fit une Satyre, v.1535 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ou presque tout Paris pensa pâmer de rire : v.1536 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Mais l'Auteur qui l'a faite a dit publiquement, v.1537 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Qu'il n'entend point toucher à ceux du Parlement ; v.1538 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et je viens tour exprès pour braver l'imposture, v.1539 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Vous en demander Acte en un coin du Mercure, v.1540 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- En s'attaquant à nous, quel opprobre eût-ce été ? v.1541 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- C'était jouer la foi, l'honneur, la probité : v.1542 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Mais ceux qu'on a choisis méritent qu'on les berne. v.1543 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ce font des procureurs d'un ordre subalterne, v.1544 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Comme ceux des consuls, du Châtelet... v.1545 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Maître Sangsue, ou bien... v.1546 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Quoi ! Maître Brigandeau, v.1546 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Prétendez-vous nier ce que je dis ? v.1547 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Sans doute. v.1547 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et moi y-devant Monsieur, qui tous deux nous écoute, v.1548 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Je m'offre à le prouver en cas de déni. v.1549 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Sauf correction, vous imposez. v.1550 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Si vous voulez parler, point d'aigreur, je vous prie. v.1551 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Entrons dans le détail de la friponnerie. v.1552 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Souvent au Châtelet un même Procureur, v.1553 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Est pour le Demandeur et pour le Défendeur : v.1554 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- À la sourdine encor il occupe pour elle. v.1556 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Combien au Parlement, et des plus renommés, v.1557 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Sont pour les appelants et pour les Intimés, v.1558 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et savent les forcer par divers stratagèmes, v.1559 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- À se manger les os pour les ronger eux-mêmes ? v.1560 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et quand dans cette Pièce on voit un Procureur, v.1561 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Qui trouve le secret de voler un Voleur, v.1562 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Dis-moi qui de nous deux on prétend contrefaire ? v.1563 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- C'était au Châtelet que pendait cette affaire. v.1564 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et quand un Scélérat, qui l'est avec excès, v.1565 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Moyennant pension éternise un procès, v.1566 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- De qui veut-on parler ? Dis-le-moi, si tu l'oses. v.1567 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ce n'est qu'au Parlement où sont ces grandes causes. v.1568 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Lorsque d'un Chapelier on attrape un Chapeau, v.1569 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et que d'un Pâtissier on escroque un gâteau ; v.1570 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ne m'avoueras tu pas, comme chacun l'avoue, v.1571 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Que c'est un Procureur du Châtelet qu'on joue ? v.1572 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- C'est à toi le premier à me faire un aveu, v.1573 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Que ceux du Parlement ne prennent point si peu ; v.1574 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et que leur main crochue, à voler toujours prête, v.1575 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Aime mieux écorcher que de tondre la bête. v.1576 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Je vais devant Monsieur dire ce que j'en croi : v.1577 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- On grappille chez nous, et l'on pille chez toi. v.1578 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ce que tu fais bâtir au Faubourg saint Antoine, v.1579 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Est-ce de grappiller, ou de ton patrimoine ? v.1580 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ton père était aveugle, et jouait du Hautbois. v.1581 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et tes quatre maisons du quartier Quinquempoix ; v.1582 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- A-ce été tes aïeux qui les ont là plantées ? v.1583 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Du sang de tes Clients elles sont cimentées. v.1584 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Il n'entre aucune pierre en leur construction, v.1585 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Qui ne te coûte au moins une vexation : v.1586 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et quand tu seras mort ces honteux édifices, v.1587 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Publieront après toi toutes tes injustices. v.1588 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Au mois de Juin dernier un mémoire de frais, v.1589 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Pensa dans un cachot te faire mettre au frais. v.1590 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Tu l'avais fait monter à sept cens trente livres ; v.1591 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et ton papier volant tel que tu le délivres, v.1592 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Étant vu de Messieurs, trois des plus apparents, v.1593 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Réduisirent le tout à trente-quatre francs : v.1594 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Encore dirent-ils que dans cette occurrence, v.1595 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ils te passaient cent fois contre leur conscience. v.1596 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et l'hiver précèdent, toi qui fais l'entendu, v.1597 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Saris un peu de saveur n'étais-tu pas pendu ? v.1598 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Tu pris quinze cens francs, dont on a tes quittances, v.1599 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pour avoir obtenu deux arrêts de défenses. v.1600 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- De dire l'un de l'autre ainsi les vérités. v.1602 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Pour rompre un entretien qui me fait de la peine, v.1603 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Adieu. Je sais, Messieurs, quel dessein vous amène. v.1604 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Votre voyage ici n'aura pas été vain. v.1605 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Vous aurez tous deux place au Mercure prochain. v.1606 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Procureur de la Cour, j'entends qu'on me discerne, v.1607 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- D'un méchant Procureur du Chatelet moderne. v.1608 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Je ferai mon devoir, je vous le promets. v.1609 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Bon. v.1609 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ne me confondez pas avec un tel fripon. v.1610 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Tout Paris sait, Monsieur, de quel air je m'acquitte... v.1611 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Je prétends vous traiter selon votre mérite : v.1612 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Laissez-moi faire. Hé bien ! vous avez tout ouï ? v.1613 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- On se plaint de leurs tours, mais ils m'ont réjoui. v.1614 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- J'avais à les entendre une joie infinie. v.1615 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Serviteur à l'illustre et belle Compagnie. v.1616 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Que je n'ai pas l'honneur d'être connu de vous. v.1618 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Puis-je vous être utile, et vous rendre service, v.1619 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Monsieur ? v.1620 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Non. Je viens, moi, vous rendre un bon office. v.1620 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Je viens vous faire voir que j'ai quelque talent. v.1621 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Je viens-vous réciter un ouvrage excellent. v.1622 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Qu'est-ce, Monsieur ? Voyons. v.1623 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Une Énigme si belle v.1623 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Qu'elle fera du bruit dans plus d'une ruelle. v.1624 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- C'est un effort d'esprit, mais si rempli d'attraits, v.1625 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Qu'il n'a point eu d'égal, et n'en aura jamais. v.1626 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Écoutons, je vous prie. Une Énigme me charme. v.1627 (Acte 5, scène 8, CÉCILE)
- L'Énigme qui jadis causa tant de vacarme ; v.1628 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Fit verser tant de sang ; ouvrit tant de tombeaux ; v.1629 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Des Monarques Thébains mit le trône en lambeaux ; v.1630 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- De faire des enfants à Madame sa Mère : v.1632 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Cette Énigme, en un mot, qui fit tant de fracas, v.1633 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Vous en allez juger : mais je veux par avance v.1635 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Que vous me promettiez d'être sans complaisance. v.1636 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Je suis un invisible Corps, v.1637 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Qui de bas lieu tire mon être ; v.1638 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et je n'ose faire connaître v.1639 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Ni qui je suis ni d'où je sors. v.1640 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Quand on m'ôte la liberté, v.1641 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et deviens femelle traîtresse, v.1643 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Ces vers là me semblent bien tournés. v.1645 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Devinez. v.1647 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Soit manque de lumière, ou de bonne fortune, v.1647 (Acte 5, scène 8, CÉCILE)
- Je n'ai pu de ma vie en deviner aucune. v.1648 (Acte 5, scène 8, C?CILE)
- Et Monsieur ? v.1649 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Sur ce point je demande quartier, v.1649 (Acte 5, scène 8, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- J'y rêverais gratis au moins un siècle entier. v.1650 (Acte 5, scène 8, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et vous, Monsieur ? v.1651 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Ma foi, je ne la puis comprendre. v.1651 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Je ne l'entends, ni je ne veux l'entendre, v.1652 (Acte 5, scène 8, LISETTE)
- Enfin, vous ne l'entendez pas ? v.1653 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Non. Qu'est-ce ? v.1654 (Acte 5, scène 8, CÉCILE)
- C'est un vent échappé par en bas. v.1654 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Vous vous regardez tous, et j'en sais bien la cause. v.1655 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Tous ceux qui l'ont ouïe ont fait la même chose. v.1656 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Sur un sujet si faible un ouvrage si beau, v.1657 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Paraît à tout le monde un prodige nouveau. v.1658 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Mais pour voir si les Vers cadrent à la matière, v.1659 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Faisons-en, vous et moi, l'anatomie entière, v.1660 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Je suis un invisible Corps. v.1661 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Qui de bas lieu tire mon être : v.1662 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et je n'ose faire connaître v.1663 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Ni qui je suis ni d'où je sors. v.1664 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Est-il rien de plus juste et de mieux rencontre ? v.1665 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Jamais dans son sujet homme est-il mieux entré ? v.1666 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Il semble que ce Vent ait de la connaissance, v.1667 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et qu'il n'ose avouer son nom ni sa naissance. v.1668 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Rien n'est plus singulier que cette énigme-là. v.1669 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Il faut avoir bon nez pour deviner cela. v.1670 (Acte 5, scène 8, LISETTE)
- Il n'est rien plus galant que votre énigme. v.1671 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Je le sais bien. Passons à l'examen du reste. v.1672 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Quand on m'ôte la liberté, v.1673 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et deviens femelle traîtresse v.1675 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Jamais dans une Énigme a-t-on rien vu de tel ? v.1677 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Qu'est-il de plus coulant et de plus naturel ? v.1678 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Loin que ce que je dis blesse la vraisemblance, v.1679 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- On en fait tous les jours la rude expérience : v.1680 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et quelqu'un en ce lieu, qui ne s'en vante pas, v.1681 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Des injures du temps mon nom n'a rien à craindre. v.1683 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- J'ai peint ce qu'un pinceau ne pourra jamais peindre. v.1684 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et je suis étonné, quand je songe à cela, v.1685 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Comment l'esprit humain peut aller jusques-là. v.1686 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Je vais recommencer... v.1687 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Non ; je vous en supplie, v.1687 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Nous avons de vos Vers la mémoire remplie ; v.1688 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Votre nom à l'Énigme ajouterait du poids. v.1689 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- La Nature prudente eut soin d'en faire choix ; v.1690 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Et de mes Vers nombreux prévoyant l'harmonie. v.1691 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Me doua tout exprès du nom de Beaugénie. v.1692 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Je vous laisse l'Énigme avec mon nom au bas : v.1693 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Ornez-la d'un prélude, et vantez, ses appas. v.1694 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Les Vers en sont si beaux, la matière si belle, v.1695 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Que vous n'en direz rien qui soit au dessus d'elle. v.1696 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- C'est assez ; vos désirs seront tous satisfaits. v.1697 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Adieu ; je me retire, et je vous laisse en paix. v.1698 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Puisqu'il nous laisse en paix, nous ne pouvons mieux faire, v.1699 (Acte 5, scène 9, ORONTE)
- Que d'envoyer Merlin nous chercher un Notaire. v.1700 (Acte 5, scène 9, ORONTE)
- Montre-moi ton amour par ton empressement : v.1701 (Acte 5, scène 9, LISETTE)
- Allons l'attendre en votre appartement : v.1702 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et conduisons si bien cette heureuse aventure, v.1703 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Qu'elle fasse du bruit dans le premier Mercure. v.1704 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
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LE PORTRAIT DU PEINTRE (1663)
- Ma Cousine s'habille, et je viens vous apprendre v.1 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Qu'elle a bien du regret de vous tant faire attendre ; v.2 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Car de votre présence elle aura du plaisir ; v.3 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Pour venir vous le dire elle a su me choisir. v.4 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- La charmante Clitie est toujours elle-même, v.6 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Toujours l'âme sensible, et le coeur obligeant, v.7 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Il ne sort de sa bouche aucun mot affligeant. v.8 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Plût au Ciel qu'en revanche une fille si belle v.9 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- En semblable rencontre eût besoin de mon zèle ! v.10 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Il n'est soins ni devoirs que ne dût éprouver... v.11 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Patience ; Il n'est rien qui ne puisse arriver, v.12 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Je me sens dans un âge à ne plus guère attendre, v.13 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Vous avez un cousin dont le coeur paraît tendre, v.14 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et s'il était d'humeur à languir sous ma loi v.15 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Quand ma cousine aussi daigne ouïr ma harangue v.17 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- À lui parler de vous je prépare ma langue ; v.18 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- De mon zèle assidu son esprit est confus ; v.19 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Eussiez-vous des défauts, j'en ferais des vertus ; v.20 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Qu'on oblige une fille en louant ce qu'elle aime, v.22 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et que lorsqu'un amant s'est rangé sous nos lois, v.23 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Qui nous vante sa grâce applaudit notre choix.) v.24 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- J'ai cent fois d'Amarante affermi la tendresse, v.25 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Peut-être en amour n'est pas bon, v.27 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Vous m'aimeriez peut-être, et peut-être que non : v.28 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Quand d'un coeur une fois l'amour s'est rendu maître, v.29 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Il ne veut rien devoir au secours d'un peut-être, v.30 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Et quand d'une maîtresse on souhaite la main, v.31 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Un bonheur dont on doute est un malheur certain. v.32 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- De ma chère Amarante un semblable peut-être... v.33 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Amarante vous aime, et j'ai su le connaître, v.34 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Vous n'aurez point de peine, ou vous en aurez peu : v.36 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Adieu mon cher ; souffrez qu'un moment je vous laisse, v.37 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Je viendrai vous rejoindre avec votre maîtresse, v.38 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- À certaine Marquise elle donne à dîner v.39 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et touchant ce repas j'ai quelque ordre à donner : v.40 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Entre amis tout s'excuse, et chacun s'accommode... v.41 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Je m'en vais ; je vois bien que je suis incommode, v.42 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Sur le soir Amarante aura plus de loisir... v.43 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Vous n'auriez qu'à nous faire un pareil déplaisir, v.44 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Ma charmante cousine en serait si surprise... v.45 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Mais paraître en désordre auprès d'une Marquise, v.46 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Si Damis l'appréhende il ne la connaît pas : v.48 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Vous ne vîtes jamais dame plus incommode, v.49 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Jusqu'au ton de la voix elle observe la mode, v.50 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- À la nature même elle impose des lois, v.51 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- En user autrement c'est sentir le bourgeois, v.52 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Jamais ce qui vous plaît n'a l'honneur de lui plaire, v.53 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Ce qu'on croit naturel lui paraît trop vulgaire, v.54 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et c'est à cette belle une espèce d'affront v.55 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Que de boire et manger comme les autres font. v.56 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Aussi quoi qu'elle fasse à toute heure on la joue, v.57 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Mais alors qu'on la raille elle croit qu'on la loue, v.58 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Elle tourne à son gré tous les mots qu'on lui dit, v.59 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Si l'on rit de la voir c'est que l'on l'applaudit, v.60 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Quand on la contrefait elle croit qu'on l'imite, v.61 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et comme si son âme agissait par ressorts v.63 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Son esprit se démonte aussi bien que son corps. v.64 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Sur tout ce qui la choque on sait bien qu'elle glose, v.65 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Mais lui plaire, et déplaire est une même chose, v.66 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Vos soupirs à ses yeux ne sont pas adressés, v.67 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Amarante vous aime, et cela c'est assez. v.68 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Ma joie est enfin apparente... v.69 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Oh quelqu'un, fait-il jour chez la belle Amarante ? v.70 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Ah, Ah, c'est toi Baron, ne fais pas le surpris ; v.71 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Et depuis quand, mon cher, es-tu donc à Paris ? v.72 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Parbleu de ton voyage il faut dire la cause ; v.73 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Entrons. v.74 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Tu peux entrer, mais pour moi je ne l'ose. v.74 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On habille Amarante, et je viens de savoir v.75 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Que dans quelques moments j'aurai l'heur de la voir, v.76 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Par respect l'un et l'autre attendons qu'elle sorte. v.77 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mais peut-on me connaître à me voir de la sorte ? v.78 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Parbleu, Baron, tout autre y serait attrapé ; v.79 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Te voilà Dieu me damne, assez bien équipé, v.80 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Têtebleu ! Des collets de dentelle de Flandre ! v.81 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Parbleu, je ne veux pas t'entendre, v.82 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Justice, Baron. v.83 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Si tu m'en crois, Mon cher, ne va pas chez le Roi, v.84 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Tu n'entrerais jamais dans la Salle des Gardes v.85 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Qu'il ne plût sur ton nez plus de mille nasardes. v.86 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Baron, moi qui te parle, moi, v.87 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Je te dis en ami, si tu vas chez le Roi v.88 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Que tu n'entreras point sans un point de Venise. v.89 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Et s'il arrivait donc que par une surprise... v.90 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Quelque sot ! Sur mon âme on ne me surprend point, v.91 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- J'ai parbleu dépensé dix mille écus en point. v.92 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais le bon de cela, Baron, quand je m'ajuste v.93 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Que parbleu, notre ami, chez les gens comme toi v.95 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Quand la mode commence elle est vieille pour moi. v.96 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il me serait beau voir les dentelles de Flandres ! v.97 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- N'ai-je que ce défaut que tu puisses reprendre ? v.98 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Aussi bien comme toi j'ai moyen d'en avoir : v.100 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mais dis-moi dans Paris n'a-t-on pas la franchise ? v.101 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Ce qui fait l'honnête homme est-ce un point de Venise ? v.102 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- C'est un faible avantage à ces gens du bel air v.103 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Qu'emprunter du secours pour se tirer du pair : v.104 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Quand d'un sang assez bon nous avons l'heur de naître v.105 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Notre éclat naturel nous doit faire paraître : v.106 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- C'est mon sentiment, Comte, et tu dois m'avouer... v.107 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Dieu me damne, Baron, tu te feras jouer, v.108 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Prends garde à toi. v.109 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Daigne me dire... v.109 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Par ma foi cher Baron, ton pourquoi me faire rire, v.110 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il est bon. v.111 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Continue. v.111 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Apprends-moi... v.111 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On te jouera, te dis-je, Hé demande pourquoi v.112 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Je t'en prie, Allons donc, soutiens ton caractère. v.113 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Ou sois plus raisonnable, ou bien songe à te taire. v.114 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On te jouera. v.115 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Dis donc quel sujet on aura... v.115 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On te jouera, Morbleu, parce qu'on te jouera. v.116 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais prends garde à toi, car nous avons un homme v.117 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Qui fait mieux des portraits que les peintres de Rome ; v.118 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il vous dépeint, Morbleu, mais je dis traits pour traits ; v.119 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il est vrai, quelques sots ne s'en doutent jamais ; v.120 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Quoi que des spectateurs tous les traits y paraissent, v.121 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Plus ils sont ressemblants, moins ils les reconnaissent ; v.122 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Ce qu'on a fait pour eux leur paraît pour autrui, v.123 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Et tel y rit souvent de voir rire de lui. v.124 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- À ce compte, ce peintre en badins vous érige ? v.125 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mais se voit-on jouer sans que l'on se corrige ? v.126 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- En est-il d'assez sots pour ne pas s'abstenir... v.127 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- S'il est des sots, ma foi tu m'en fais souvenir v.128 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Des sots ; Pour t'en montrer, et de plus d'une espèce. v.129 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Si tu veux dès tantôt nous irons voir sa pièce, v.130 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais il faut, notre Cher, me promettre ce point v.131 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Si tu vas autre part que tu ne riras point. v.132 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Pourquoi ? Je ne puis te le dire, v.133 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On m'a dit seulement que c'est là qu'on va rire, v.134 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Et j'ai fait, têtebleu, des serments qui tiendront v.135 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- De ne rire jamais qu'où les autres riront. v.136 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Moi qui hais ta manière, et qui suis équitable, v.137 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Je ris quand j'ai de rire un sujet raisonnable, v.138 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Et je tiens que tout homme à moins d'être brutal v.139 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Doit rire de la chose, et non pas du signal. v.140 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Et de quoi donc Baron, prétends-tu que je rie ? v.142 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- De quelque endroit risible où paraisse l'esprit. v.143 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Parbleu l'endroit risible est l'endroit où l'on rit, v.144 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Je le soutiens. v.145 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Soutiens, je suis prêt d'y souscrire ; v.145 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mais rit-on de l'endroit quand on rit d'y voir rire ? v.146 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Pour juger d'un ouvrage il faut lire... v.147 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- En effet ; v.147 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Et voit-on en lisant les grimaces qu'on fait ? v.148 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Ma foi j'en ai fait deux lectures, v.149 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais je n'y puis trouver ces plaisantes postures, v.150 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Eh, parlez, dépêchez, vite, promptement, tôt. v.151 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On appelle cela réciter comme il faut. v.152 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Verra-t-on en lisant, fût-on grand philosophe, v.153 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Ce que veut dire un « Ouf » qui fait la catastrophe ? v.154 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Baron « Ouf » ! Que dis-tu de ce « Ouf », placé là ? v.155 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Par ma foi, cher Baron, il faut voir tout cela, v.156 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Viens-y tantôt, mon fils, tu verras si j'impose. v.157 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais venons au voyage, et m'en apprends la cause, v.158 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On habille Amarante, et tu peux en deux mots... v.159 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Sa divine beauté m'a ravi le repos, v.160 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Chacun sait qu'à Damis Amarante est promise. v.162 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Et depuis mon départ jusques à mon retour v.163 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mille écrits de sa main ont flatté mon amour. v.164 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Demeurez pour nous donner des sièges. v.165 (Acte 1, scène 3, AMARANTE)
- Notre ami le Baron est tombé dans vos pièges, v.166 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Comment Diable, il vous aime, et vous n'en disiez rien, v.167 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Finette ! v.168 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Je croyais que vous le saviez bien. v.168 (Acte 1, scène 3, AMARANTE)
- Damis m'aime, je l'aime ; en est-ce assez ? v.169 (Acte 1, scène 3, AMARANTE)
- Cousine v.169 (Acte 1, scène 3, CLITIE)
- Il n'appartient qu'à lui d'aimer à la sourdine ; v.170 (Acte 1, scène 3, CLITIE)
- La Marquise d'Oriane a des appas si doux... v.171 (Acte 1, scène 3, CLITIE)
- À propos d'Oriane, elle dîne chez vous, v.172 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- J'y dîne aussi, ma chère, et je suis de la bande, v.173 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Sans façon. v.174 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Trop d'honneur. v.174 (Acte 1, scène 3, AMARANTE)
- Madame, on vous demande. v.174 (Acte 1, scène 4, PETIT-JEAN)
- Nous voulons être seuls, retourne sur tes pas, v.175 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Si c'est quelque fâcheux dis que je n'y suis pas. v.176 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- La voit-on, Madame ? v.177 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Oui, mais je crains qu'elle crie. v.177 (Acte 1, scène 4, PETIT-JEAN)
- Dis que c'est Oriane. v.179 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Attendez donc un peu, v.179 (Acte 1, scène 4, PETIT-JEAN)
- Voilà qui c'est Madame, entrera-t-elle ? v.180 (Acte 1, scène 4, PETIT JEAN)
- Servante à ma toute adorable. v.181 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Holà, qu'on se dépêche et qu'on couvre la table, v.182 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Chacun se sied. v.184 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Quel est ce gentilhomme, il est fait à ravir ? v.184 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- C'est le Baron Damis. v.185 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Ah, je veux le connaître. v.186 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- N'eût été que j'ai craint de vous être suspect v.187 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- J'eusse précipité l'offre de mon respect, v.188 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Madame, et désormais je prétends que mon zèle... v.189 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Certes sa miniature est parfaitement belle. v.190 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Miniature ! Mon_Dieu que ce mot est bien dit, v.191 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Et qu'il faut pour le dire avoir bien de l'esprit ! v.192 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Je suis au désespoir de ne pas le comprendre. v.193 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Elle n'aperçoit pas ta dentelle de Flandres, v.194 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Baron. v.195 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Oh mon_Dieu fi ! Chez le monde choisi v.195 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- La plus claire dentelle est la plus en usage, v.197 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Et le point de Venise assaisonne un visage. v.198 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Cousine, que Madame a de jolis détours, v.199 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Et que cet assaisonne assaisonne un discours ! v.200 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- En effet, fi ! Votre âme est une malapprise ; v.201 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Comment, faire l'amour sans un point de Venise ! v.202 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Pour être en galant homme il faut donc de ce point. v.203 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Je l'ai dit, Dieu me damne, et ne m'en dédis point, v.204 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Il en faut pour paraître, et de plus notre singe v.205 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Fait un nouveau tableau qui sera tout de linge. v.206 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je ne t'en avertis que de peur d'accidents, v.207 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- S'il te voit sur mon âme il te mettra dedans. v.208 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Rien n'échappe à sa plume, et dedans sa critique v.209 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Il n'est point de gros dos que sa langue ne pique : v.210 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- À jouer tout le monde il a tant de penchant... v.211 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Que vous êtes méchant v.212 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Monsieur_le_Comte ? v.213 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Je n'en puis plus, vous dis-je. v.213 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Oh quelqu'un. v.214 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Ne bougez. v.214 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- J'ai peur qu'on vous néglige, v.214 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Un si prompt accident vous peut être fatal. v.215 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Il m'a fait souvenir que je me porte mal. v.216 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Hier dans une visite il se trouva des Dames v.217 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Qu'Alcidon régala de L'École des Femmes ; v.218 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Et qui d'intelligence avecque mon destin v.219 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Ne voulurent jamais en entendre la fin : v.220 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Comme si pour me perdre elles eussent fait pacte v.221 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- On fit cesser la pièce après le second acte, v.222 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Et je ne remarquai des risibles endroits v.223 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Que celui de la soupe où l'on trempe les doigts. v.224 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Dans un chagrin mortel ce caprice me plonge. v.225 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Voyez, comme les maux viennent sans qu'on y songe. v.226 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Dans mon âme j'enrage. v.227 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- La Marquise y courait pour voir le « Le » d'Agnès. v.228 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je l'ai vu, que je l'aime, et que j'en suis contente ! v.229 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Ce « Le » c'est une chose horriblement touchante ; v.230 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Il m'a pris « Le »... ce « Le » fait qu'on ouvre les yeux. v.231 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Oui, ce « Le » Dieu me damne est un « Le » merveilleux : v.232 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Quand je vis que l'actrice y faisait une pose v.233 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je crus que l'innocence allait dire autre chose. v.234 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Et le ruban, ma foi je ne l'attendais pas. v.235 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- J'en dirais mon avis en pouvant m'en défendre, v.237 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Mais qui s'en ressouvient prit plaisir à l'entendre ; v.238 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Et moi de qui l'esprit s'en est peu soucié v.239 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- À peine l'eus-je appris que je l'eus oublié. v.240 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Ce « Le » toute la nuit m'a tenu dans la tête v.242 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Ma chère ; aussi ce « Le » charme tous les galants. v.243 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- En effet, j'en vois peu qui ne donnent dedans, v.244 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- La beauté de ce « Le » n'eut jamais de seconde. v.245 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Il est vrai que ce « Le » contente bien du monde ; v.246 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- C'est un « Le » fait exprès pour les gens délicats. v.247 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Elle est maligne, au moins, ne vous y fiez pas. v.248 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Il est vrai, ma Cousine, il me semble effroyable, v.250 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Mais ce « Le » par Madame est si bien appuyé v.251 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Que je meurs de regret qu'il nous ait ennuyé, v.252 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Le parti qu'elle prend est celui que j'embrasse, v.253 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Tout ce que dit Madame est de si bonne grâce v.254 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Que je veux la prier de ne pas s'irriter v.255 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Si je fais mes efforts pour la bien imiter. v.256 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Sa galante façon s'insinue en mon âme. v.257 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Quoi me railler chez vous, Madame, ah je vois bien... v.259 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Vous le dites, Madame, et vous n'en croyez rien. v.260 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Assurément Madame... v.261 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Assurément... v.261 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Savez-vous quelles gens le matois satirise ? v.262 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je t'en vais montrer trois chapitres comme il faut ; v.264 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Oh ! Mes Laquais, Picard, Béarnais, la Ramée. v.266 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je croyais, palsembleu, mériter ta croyance v.269 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Baron. v.270 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Quand une chose a si peu d'apparence... v.270 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Incrédule Baron tu seras éclairci. v.272 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Mais quoi ? Du Critique on connaît la coutume. v.273 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- À ma Muse peut-être il donne un coup de plume ; v.274 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Avouez ; vous riez, je le verrai bientôt. v.275 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- « Et femme qui compose en sait plus qu'il ne faut », v.276 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Ce n'est pas qu'il m'importe, v.277 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Mais l'Auteur est hardi d'en user de la sorte, v.278 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Un monsieur est là-bas qui demande à vous voir, v.280 (Acte 1, scène 5, PETIT-JEAN)
- Quel est-il, ce Monsieur ? v.281 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- C'est un homme. v.281 (Acte 1, scène 5, PETIT-JEAN)
- Et ne t'a-t-il pas dit comme c'est qu'on le nomme ? v.282 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Qui Dorante ? v.283 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Qu'il entre. v.284 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Il vous connaît ? v.284 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Est-ce le Baron ? v.286 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Comment te portes-tu, vieil ami ? touche-là. v.287 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tu viens incognito voir l'objet que voilà ? v.288 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Dieu me damne il est beau comme un ange. v.289 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Chevalier, mon_Dieu, point de louange, v.290 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Un homme comme vous Critique au dernier point v.291 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Fait assez de plaisir quand il ne médit point. v.292 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ce que vous blâmez là, tout le monde le loue, v.294 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il est vrai, je critique, et je m'en trouve bien, v.295 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- De bien faire ma Cour c'est l'unique moyen ; v.296 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- La Satire est en règne et le point de Venise, v.297 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et le reste on le nomme une pure sottise. v.298 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et pour plaire à présent il ne faut en ce cas... v.299 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Que de la médisance, et de riches rabats. v.300 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Si je plais ! Ce Collet est le moindre que j'aie, v.302 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- J'ai ma foi chez le Roi de secrets ennemis v.303 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mutinés contre moi de me voir si bien mis : v.304 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Moi qui vois leur envie, et qui sais leur bêtise v.305 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- J'achète si souvent quelque point de Venise v.306 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Que pour mieux les punir d'avoir cru m'outrager v.307 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je me ruine exprès pour les faire enrager, v.308 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Dieu me damne. Vois donc si je plais. Pour médire v.309 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tu te peux informer si Dorante s'en tire. v.310 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- On me craint, sur mon âme, et je passe en tous lieux v.311 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Pour un des Courtisans qui critiquent le mieux : v.312 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mais aussi, je fréquente et je joue à la paume v.313 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Avec le médisant le meilleur du Royaume : v.314 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le compère vous drape, et vous mord en riant, v.315 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- C'est de nos courtisans le démon foudroyant, v.316 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- À la fin craint-il point qu'on s'en choque ? v.317 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- J'en sais un enragé dont souvent il se moque ; v.318 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- À son meilleur ami je veux bien l'avouer. v.319 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- J'en sais vingt trop heureux de se laisser jouer : v.320 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Oui, j'en sais de ravis qu'on leur fasse la guerre ; v.321 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Témoins trois l'autre jour qu'on nommait du Parterre, v.322 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et qui dans une Loge où chacun les voyait v.323 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Riaient comme des fous de ce qu'on les jouait. v.324 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Aussi loin qu'au Critique aucune âme s'oppose v.325 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- On ne peut l'attaquer sans en être marri ; v.327 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- De tous nos Turlupins c'est un homme chéri ; v.328 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Contre qui que ce soit ils prendront sa défense. v.329 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et ces sortes de gens vous imposent silence ? v.330 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Des Turlupins... v.332 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Baron, tu pourrais parler mieux, v.332 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- J'en suis un. v.333 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Et oui, oui. Dans la Clef de L'École des Femmes v.334 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Tu verras qui de nous a le plus de raison ; v.335 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Je suis le Turlupin de la moindre Maison, v.336 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Tous les autres... Mais tiens, mon Laquais me l'apporte. v.337 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Je n'ai point vu de Clef que la clef de la porte. v.338 (Acte 1, scène 7, LA-RAMÉE)
- Je te jure Baron qu'elle est en ce lieu-là. v.340 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Je gage que non. v.341 (Acte 1, scène 7, LA-RAMÉE)
- Crois-moi, Comte, allons, gage ! v.341 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- L'un de nous deux, Laquais, est un sot personnage. v.342 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Ce n'est pas moi, Monsieur. v.343 (Acte 1, scène 7, LA-RAMÉE)
- Tais-toi donc, s'il te plaît. v.343 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Que vous en semble ? v.346 (Acte 1, scène 7, AMARANTE)
- Comment la trouves-tu, Comte ? v.347 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- Entre nous ? v.348 (Acte 1, scène 7, AMARANTE)
- Entre nous. v.348 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- Mais là, sans vous trahir, la trouvez-vous passable ? v.349 (Acte 1, scène 7, AMARANTE)
- Admirable, Monsieur, du dernier admirable. v.350 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- Je puis, sans l'avoir vue en dire autant que toi ; v.351 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Quand on loue une Pièce il faut dire pourquoi, v.352 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Et tu dois nous donner une raison valable. v.353 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Par plus de vingt raisons je la trouve admirable. v.354 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- Par plus de trente. v.355 (Acte 1, scène 7, CLITIE)
- Écoute, on te croit si tu veux, v.355 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Mais de tant de raisons j'en dirais une, ou deux. v.356 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Ta raison est bonne. v.359 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Il s'en faut rapporter à Monsieur que voici, v.360 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- C'est un Auteur. v.361 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- Mon cher, pour contenter ces Dames v.361 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Donnez-nous votre avis sur L'École des Femmes : v.362 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Oui, jugez-en. v.364 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Madame, on ne m'en croirait pas ; v.364 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et puis, d'en bien juger je ne suis pas capable. v.365 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Ah, Monsieur Lisidor vous êtes un fin Diable, v.366 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Au succès de l'Auteur vous prenez trop de part. v.367 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Point, Monsieur Lisidor est un homme sans fard. v.368 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- J'en croirai bonnement ce qu'il en voudra dire. v.369 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- On déteste sa Pièce, et chacun la déchire ; v.370 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Pour moi qui n'y vois rien que de bien assorti v.371 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Contre tous ces Messieurs je soutiens son parti. v.372 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ils ont beau l'abhorrer je la trouve admirable. v.373 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Votre parti, Madame est le plus raisonnable. v.374 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Ce que vous soutenez tout Paris le soutient. v.375 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Bon, ma foi, c'est bien fait la Connaisseuse en tient. v.376 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Comme tu dis, bon. v.377 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Bon. v.377 (Acte 1, scène 6, CLITIE)
- J'en parais peu marrie. v.377 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il vous vient de payer de votre raillerie. v.378 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le Seigneur Lisidor est un homme d'esprit. v.379 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mais Monsieur Lisidor doit prouver ce qu'il dit. v.380 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- S'il l'a fait trouver bonne il sera fort habile. v.381 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- En vérité, Madame, il n'est rien si facile. v.382 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Jamais scène plaisante eût-elle tant d'appâts v.383 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Que la Scène d'Arnolphe à qui l'on n'ouvre pas ? v.384 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- N'a-t-on pas pour Alain une estime secrète v.385 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quand pour ouvrir la porte il appelle Georgette ? v.386 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Il entend son métier. v.387 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Point de quartier, v.388 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Allons, Allons. v.389 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Ensuite, Est-il rien qui ne plaise v.389 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Dans ce que dit Arnolphe à la fille niaise ? v.390 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Rien de plus innocent se peut-il faire voir ? v.391 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Si durant son absence elle s'est bien portée ; v.393 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- « Hors les Puces la nuit qui m'ont inquiétée » v.394 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Répond Agnès. Voyez ce qu'elle adresse à l'auteur, v.395 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Comme il sait finement réveiller l'auditeur. v.396 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- De peur que le sommeil ne s'en rendît le maître v.397 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Jamais plus à propos vit-on puces paraître ? v.398 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- D'aucun trait plus galant se peut-on souvenir ? v.399 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et ne dormait-on pas qu'il n'en eût fait venir ? v.400 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- C'est raisonner. v.401 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Divinement. v.401 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Diable ! Qu'un tel ami fait valoir un ouvrage ! v.402 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je t'en réponds. v.403 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Le Grès, n'est-il pas étonnant ? v.403 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Voit-on rien de si preste, et de si surprenant ? v.404 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Aucun des auditeurs osait-il se promettre v.405 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Qu'Agnès sût seulement ce que c'est qu'une lettre ? v.406 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et pour la lettre seule où l'on voit tant d'amour v.407 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Faut-il pas que l'auteur ait rêvé plus d'un jour ? v.408 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Cependant dans une heure une innocente extrême v.409 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- La compose, l'écrit, et la rend elle-même, v.410 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quoi qu'Arnolphe l'éclaire avec un oeil perçant ; v.411 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Un pareil procédé n'est-il pas innocent ? v.412 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Lui voit-on démentir son niais caractère ? v.413 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- On ne saurait mieux faire. v.414 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Mais Dorante il pouvait s'affranchir... v.415 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Hé Baron ! v.416 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Ma foi, tu ne fais que blanchir. v.416 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Près d'un homme si docte on fait mieux de se taire. v.417 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Est-il rien de si beau que l'endroit du Notaire ? v.418 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et cet endroit charmant qu'on a tant admiré v.419 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Le petit Dialogue est d'une adresse extrême ; v.421 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Car ce que dit Arnolphe il le dit en lui-même, v.422 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et les moins délicats sont d'accord de ce point v.423 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Qu'on ne peut pas répondre à ce qu'on n'entend point ; v.424 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Cependant par un jeu dont l'éclat doit surprendre v.425 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- L'un ne veut pas répondre à ce qu'il doit entendre ; v.426 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- L'autre répond sans peine à ce qu'il n'entend pas. v.428 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Fort bien. v.429 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Le Seigneur Lisidor comme il se mortifie. v.430 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je pourrais lui répondre, et je crois entre nous... v.431 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Dieu me damne, Madame, il en sait plus que vous, v.432 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Des raisons qu'il vous dit nulle n'est contestable. v.433 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Enfin le dénouement n'est-il pas admirable ! v.434 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Le voyage d'Oronte est-il pas assuré ? v.435 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et le retour d'Enrique est-il pas préparé ? v.436 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Vous m'allez alléguer que touchant cet Enrique v.437 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- On le tire aux cheveux pour quitter l'Amérique ; v.438 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et que durant la Pièce en aucun des endrets v.439 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- On ne s'aperçoit point qu'il soit père d'Agnès ; v.440 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Mais il n'est point d'auteurs dont la plume m'apprenne v.441 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Que dans ce qu'on attend il n'est rien qui surprenne ; v.442 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Au contraire on croit beau ce qu'on trouve étonnant ; v.443 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et ce qu'on n'attend pas est toujours surprenant. v.444 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- De s'en mieux démêler je dépite le Diable. v.445 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Répondez, Madame. v.446 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Elle ! Il est insurmontable. v.446 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il oublie un endroit effroyablement bon v.447 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Où l'on parle d'Agnès qui joue au Corbillon ; v.448 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Pour moi quand je l'ouis mon plaisir fut extrême. v.449 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Pour moi, je ne vois rien qui me charme de même. v.453 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Moi ? Rien. « Tarte à la crème » v.454 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il faut répondre, et je voudrais du moins v.455 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Que de bonnes raisons appuyassent mes soins, v.456 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Car enfin pour l'auteur votre zèle est extrême. v.457 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quoi qu'il en pense il nous doit être égal, v.459 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il aime trop l'auteur pour en dire du mal. v.460 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je soutiens, sans l'aimer, quoi que l'envie oppose v.461 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Que sa Pièce tragique est une belle chose. v.462 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je n'ai jamais rien vu de tragique de lui. v.464 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ni moi. v.465 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Ni moi. v.465 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Ni moi. v.465 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Qu'est-ce qu'il représente ? v.465 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Nommez-vous Tragédie une pièce plaisante ? v.466 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Tu te moques de nous, Chevalier. v.467 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Bon ; v.467 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Appelle-t-on tragique un poème bouffon ? v.468 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Vous blâmez justement ce qu'il faut qu'on admire, v.469 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Quoi, Morbleu du tragique où l'on crève de rire, v.470 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- C'est cela qu'on appelle un mélange d'appas. v.471 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mais le tragique est noble, et n'a rien de si bas. v.472 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Mais je sais le Théâtre, et j'en lis la Pratique ; v.473 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Quand la scène est sanglante une pièce est tragique. v.474 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Sans doute. v.475 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Sans contredit. v.475 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Dans celle que je dis, « Le petit Chat est mort ». v.476 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- C'est le bien prendre ! v.477 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Sa remarque est certaine. v.477 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Quoi ? Le trépas d'un chat ensanglante la scène ? v.478 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Dans une tragédie un Prince meurt, un Roi. v.479 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- « Nous sommes tous mortels, et chacun est pour soi », v.480 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et je tiens qu'une pièce est également bonne. v.481 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Quand un matou trépasse, ou quelque autre personne. v.482 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Son langage est profond. v.483 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Mais réponds, réponds, réponds, réponds, réponds. v.484 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Réponds donc Baron. v.485 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Tu penses me confondre, v.485 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Par ma foi, tu ne saurais répondre. v.486 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Je ne le puis de vrai tant que tu parleras, v.487 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Mais enfin si... v.488 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Ma foi, si tant que tu voudras. v.488 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Sa raison... v.489 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Sa raison est aisée à combattre. v.489 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il est vrai que l'auteur n'entend pas le théâtre. v.490 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mais ce n'est pas l'entendre, après tout. v.491 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Oh que non ; v.491 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Quand un homme en burlesque a su faire un sermon, v.492 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il me semble pourtant qu'on n'est pas malhabile ; v.493 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- L'Auteur prend l'agréable, et le joint à l'utile ; v.494 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- À ce que veut le peuple il se rend complaisant ; v.495 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et le force de rire en le catéchisant. v.496 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tudieu ! Tu l'entends. v.497 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Tu n'as rien dit qui vaille. v.497 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Pourquoi Baron ? v.498 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Pourquoi ? Retournons la médaille. v.498 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Outre qu'un Satirique est un homme suspect, v.499 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Au seul mot de Sermon nous devons du respect : v.500 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- C'est une vérité qu'on ne peut contredire ; v.501 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Un Sermon touche l'âme, et jamais ne fait rire ; v.502 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- De qui croit le contraire on se doit défier ; v.503 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Et qui veut qu'on en rie en a ri le premier. v.504 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- C'est mal répondre ! v.505 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Dites donc ce que c'est que d'être satirique ? v.506 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Ainsi pour l'obliger quoi que vous puissiez dire, v.509 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Votre ami du Sermon nous a fait la Satire ; v.510 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Et de quelque façon que le sens en soit pris, v.511 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Pour ce que l'on respecte on n'a point de mépris. v.512 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Mais Comte, après tout je m'engage... v.513 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Je serais bien fâché de t'ouïr davantage, v.514 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Tu m'as trop fatigué par tes sottes raisons. v.515 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Il ne peut rien répondre à ce que nous disons ; v.516 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Mais Dorante sait bien qu'on ne peut mettre en doute. v.517 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Moi ; Je n'écoute pas si le Comte n'écoute. v.518 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Je n'entends pas. v.519 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Ni moi non plus. v.519 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Ma foi vous me rendez confus. v.520 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Car il faut de ceci faire une Comédie ; v.522 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je crois que dans son genre elle aurait ses appâts. v.523 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- À ce dessein, ma foi, je ne m'oppose pas, v.524 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Car je sais que mon rôle y serait raisonnable. v.525 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le mien y serait court, mais assez agréable. v.526 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Et le mien, ce me semble y serait assez bon. v.527 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Pour Damis, à merveille il ferait le bouffon, v.528 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- La Sottise en sa bouche est placée en son centre. v.529 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Moi ? Diantre, v.530 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je n'ai garde. v.531 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Et qui donc, la fera comme il faut ? v.531 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Un garçon que je sais qu'on appelle Boursault... v.532 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je le connais, Pécore. v.533 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Il est bien chez la Muse. v.533 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Mais les vers de Boursault sont assez bien choisis. v.535 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je le soutiens, Madame, un Butor parisis, v.536 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Une grosse pécore, une pure mazette. v.537 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Mais où la jouerait-on quand Boursault l'aurait faite ? v.538 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- À l'Hôtel de Bourgogne, où les plus délicats... v.539 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ah, Je vous promets bien qu'on ne l'y jouera pas : v.540 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le Critique est à craindre, on a peur qu'il n'éclate, v.541 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et l'Hôtel de Bourgogne a passé sous sa patte. v.542 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- S'ils étaient avisés de vouloir le bourrer, v.543 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Où les pauvres acteurs pourraient-ils se fourrer ? v.544 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Toute la Normandie a-t-elle assez de pommes v.545 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Ils ne le feront pas, je te le dis encor, v.547 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Dieu me damne. v.548 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Écoutez, je connais Floridor, v.548 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Je prendrai son avis si cela se peut faire, v.549 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Et je vous l'enverrai s'il vous est nécessaire. v.550 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Un petit dénouement est utile à cela, v.551 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- On a servi, Madame. v.552 (Acte 1, scène 8, PETIT-JEAN)
- Je le donne à l'épreuve au plus grand Satirique, v.553 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
- C'est de cette façon que finit la Critique, v.554 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
- Et les plus dégoûtés trouveront des appâts v.555 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
- Quand après du comique ils auront un repas. v.556 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX (1665)
- Me trompais-je, Jacinte, est-ce là sa demeure ? v.1 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Et tu dis qu'il viendra tout à l'heure ? v.3 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Ah, Jacinte ! v.3 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Et quoi donc... v.3 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Je me plains, v.3 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Ce que je souhaitais, à présent je le crains : v.4 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- D'une fille en aimant le mal-heur est extrême v.5 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Et que l'Objet charmant qui la comble d'ennui v.7 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- A donné de l'amour sans en prendre pour lui. v.8 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Mais Jacinte au moment... v.10 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Au moment, quoi Madame ? v.10 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Mais je ne crois pas que j'en parle jamais. v.12 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Courage ; quand la chose est si bien préparée, v.13 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Faire la scrupuleuse, et la sainte sucrée ? v.14 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Et que lui direz-vous, car il vient sur mes pas ? v.15 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- En ne lui disant rien, que ne dirai-je pas ? v.16 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Quand on voit ce qui plaît quoi qu'une âme projette v.17 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Les yeux ont une voix si la langue est muette, v.18 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Et pour bien découvrir son aimable tourment v.19 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Affecter le silence est parler clairement. v.20 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Et de cette façon vous croyez faire entendre... v.21 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Je vous le disais bien j'aperçois ce Nicandre, v.22 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Il avance. v.23 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Madame, il doit m'être bien doux v.23 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De jouir du bonheur qui m'approche de vous ; v.24 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De vous mieux obéir découvrez une voie, v.26 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ma maîtresse, Monsieur, parle sans dire mot. v.28 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Dites-moi, sans frayeur ce que c'est qui vous touche, v.29 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous croyez que me dire un secret v.31 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Nicandre, éloignez ce valet. v.32 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Dans une heure au plus tard tu viendras me reprendre. v.33 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Sors te dis-je, et te va faire pendre. v.34 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Et votre honneur, Monsieur, il est fort en danger, v.35 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Quand on n'en a plus guère il le faut ménager. v.36 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Qu'elle est belle ! Vois-tu ? J'en ai l'âme surprise. v.37 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Déjà de son honneur tout le reste agonise. v.38 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Sors donc. v.39 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Encor une fois ? v.39 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Adieu l'honneur. v.40 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Nicandre, et mes yeux, et ma voix... v.40 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Je me sens interdite, et le charme qui brille... v.41 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Quand on est inquiète, et qu'on est une fille... v.42 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Le mérite sublime a pour moi tant d'appas... v.43 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- J'ose... le trouble... Et quoi, ne m'entendez-vous pas ? v.44 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Jacinte, il ne veut pas m'entendre. v.45 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Parlez sans façonner, et vous faites comprendre v.46 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Aussi ; car le moyen jusqu'ici qu'il ait pu ? v.47 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Si vous dites deux mots c'est en bâton rompu ; v.48 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Laissez moi lui parler je suis bien plus hardie. v.49 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Permettez, ô Monsieur qu'à présent je vous die. v.50 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Quand on est en son âge, et qu'on rêve toujours... v.52 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Je ne puis deviner, mais enfin je suis sûre... v.53 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- À tous ses mouvements j'aperçois qu'elle est mûre... v.54 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Je ne sais quoi pour elle a des charmes si doux... v.55 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Dites-moi, s'il vous plaît, Monsieur, m'entendez-vous ? v.56 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- À quoi tant de façons ? Ma maîtresse vous aime. v.58 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Dame, ô Dieux, je ne puis niaiser. v.59 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Il n'est plus temps de vous rien déguiser. v.60 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Je vous aime ; ce mot est sans doute blâmable ; v.61 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- De vos rares bontés je me sens interdit, v.64 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ce mais pourra bien la confondre. v.65 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Mais enfin... v.66 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Mais enfin, je ne puis y répondre. v.66 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Justement. v.67 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- M'exposer à ce honteux mépris, v.67 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- De vos appas je connais tout le prix, v.68 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais un serment horrible à mon bonheur s'oppose : v.70 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Pour ne pas en douter écoutez seulement. v.71 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Écoutons. v.72 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- D'où je sors on vivait noblement. v.72 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ma mère est morte, aussi bien que mon père. v.73 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De parents je n'ai plus qu'un seul frère. v.74 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Hé bien. v.75 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Qu'en est-il ? v.76 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Tous ses traits à mes traits sont égaux. v.76 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Pour nos moeurs il en est tout de même. v.77 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- À la fin ? v.78 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Entre nous tout paraît si commun v.79 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Que pour voir tous les deux il ne faut en voir qu'un. v.80 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ne l'interromps plus qu'au plus vite il achève. v.81 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- D'avoir dit mon secret je déteste. v.82 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Il se pâme de joie à présent qu'il sait tout, v.83 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Voyez vous du depuis comme il tient son bon bout, v.84 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Le manoeuvre ? v.85 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Jacinte, est-ce là ta conduite ? v.85 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- De mon âpre malheur pour apprendre la suite, v.86 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De ce frère si cher dont j'ignore le sort, v.87 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De ce frère, en un mot qui si fort me ressemble v.89 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'on nous prend l'un pour l'autre à nous voir être ensemble ; v.90 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- D'un frère... v.91 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Et foin du frère, et du frère éternel, v.91 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Concluez. v.92 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- De mon frère un serment solennel v.92 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De ce frère un serment vous engage... v.93 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Depuis plus de six ans je voyage, il voyage, v.94 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais en nous séparant nous jurâmes tous deux v.95 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De jamais à l'Hymen ne contraindre nos voeux v.96 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Que de l'un, ou de l'autre une bouche fidèle v.97 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De la mort ou la vie eut appris la nouvelle. v.98 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Voyez donc à mon sort quelle peine se joint, v.99 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Je le cherche, il me cherche, et ne nous trouvons point61 ; v.100 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Je ne puis deviner quel endroit le recèle : v.101 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'il fallait que mon coeur qu'Hipolite asservit v.103 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ou jamais ne jurât, ou jamais ne vous vid62. v.104 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Hé bien, que dis-tu ? v.105 (Acte 1, scène 4, HIPOLITE)
- Moi, j'enrage. v.105 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Le serment qu'il a fait de jamais... v.106 (Acte 1, scène 4, HIPOLITE)
- Badinage. v.106 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Tout de bon. v.107 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Lui ? Tarare pompon. v.108 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Je m'en suis aperçue, il biaise, il bricole, v.109 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Quand il parle de frère il vous fiche la colle ; v.110 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Je vous le garantis franc donneur de canards. v.111 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Tu crois donc que quelqu'autre ait surpris ses regards ? v.112 (Acte 1, scène 4, HIPOLITE)
- Si je le crois ? Vraiment ; ce matois, ce Nicandre... v.113 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Nicandre ! Le serait-ce ? Essayons de l'apprendre. v.114 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Ce Nicandre, Madame, à mon coeur est bien cher, v.115 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Hé Monsieur, vous pouvez le chercher v.116 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Dépêchez, que Monsieur se recouche, v.118 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Il déplaît, c'est tant pis, et s'il plaît, c'est tant mieux. v.119 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Ce n'est pas sans raison que je suis curieux ; v.120 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Selon. v.123 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Sera-t-il son époux ? v.123 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- C'est selon. v.124 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Vous en êtes jaloux ? v.124 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- L'infidèle ! v.127 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Ce que c'est que nos yeux qui s'étaient fourvoyés ; v.128 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Ah le joli garçon par la superficie ! v.130 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- L'infidèle Nicandre.... v.133 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Achevez, l'infidèle... v.133 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Dans Lyon à ses yeux je parus assez belle, v.134 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Je lui plus, il me plut, et dans un même jour v.135 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Je donnai tout ensemble et reçus de l'amour. v.136 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il me voit, me demande, et m'obtient de mon père, v.137 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- On nous veut épouser, et le traître diffère, v.138 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Et pour toutes raisons parle confusément v.139 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Et de frère semblable, et d'horrible serment : v.140 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Me soutient qu'il m'adore, ardemment me conjure v.141 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- De ne pas endurer qu'il devienne parjure, v.142 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Et d'une âme charmée, et qui l'aime toujours v.143 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Pour rejoindre ce frère il exige huit jours ; v.144 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il me quitte, le traître, et j'en sens mille peines, v.145 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Cependant du depuis j'ai compté huit semaines, v.146 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Et tel est de mon sort le cruel traitement v.147 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Que je trouve Nicandre, et je perds mon amant. v.148 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- D'où naissait le refus qui si fort vous afflige ? v.149 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Apprends... v.150 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Mon courroux... v.150 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Et ne lui dites rien qui nourrisse ses feux. v.151 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Il vous peut à son aise adresser tous ses voeux ; v.152 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Demander son logis serait perdre ma peine, v.153 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Redoutez seulement la présence d'Ismène ; v.154 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- De rivale à rivale on ne s'accorde rien, v.155 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Mais je puis le trouver par un autre moyen. v.156 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il me hait, l'infidèle. v.157 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Vous devez au Seigneur une belle chandelle, v.158 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Madame, il a pour vous une grande amitié ; v.159 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Je ne me défends pas d'en payer la moitié, v.160 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Car enfin la nature est aisée à surprendre ; v.161 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Et si pour votre époux vous aviez eu Nicandre v.162 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Avecque son valet qui n'a point mauvais air v.163 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Mon honneur eut pu faire un méchant pas de Clerc. v.164 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Haïssez désormais, aussi bien cette fille... v.165 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Elle est belle, bien faite, et paraît de famille, v.166 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Elle cherche Nicandre, et j'en ai du souci ; v.167 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Que Nicandre l'adore, ou Nicandre l'abuse, v.169 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Qui n'a point de mérite a du moins de la ruse, v.170 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Madame, il revient dans ce lieu. v.171 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- À la fin votre frère est trouvé. v.172 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Madame, êtes-vous Ange ? Ou bien êtes-vous Diable ? v.174 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Quoi, sans vous dire mot vous savez nos secrets ? v.175 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Il est vrai que tous deux nous avons mêmes traits, v.176 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Comme il fait l'innocent quatrième ! v.178 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Vous le connaissez donc, ce frère ? v.180 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Ah, la bonne bigote ! v.181 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Dirait-on qu'elle y touche ? v.182 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Un valet vous ballotte, v.182 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Et je pense... Madame admirez ce bâtier v.183 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Ce n'est pas son valet que ce galefretier : v.184 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Avec cette finesse il prétend qu'on s'embourbe. v.185 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Ainsi... v.186 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Levez le masque, on connaît votre fourbe, v.186 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Et vous vous y prenez de mauvaise façon. v.187 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Parbleu, pas tant bigote, elle change de ton. v.188 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Qui vous aimait a pour vous de la haine. v.189 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- On me hait ! Mais Madame... v.190 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- On connaît votre Ismène. v.190 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Mon Ismène ! v.191 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Bon, bon ; mordez vous-en les doigts ; v.191 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Il demande huit jours, et demeure deux mois. v.192 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Mon Ismène, bons Dieux ! Ô parole cruelle ! v.193 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- St, st, une autrefois battez moins la semelle v.194 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Monsieur. v.195 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Il enrage tout vif de se voir découvert, v.196 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Il ne se doutait pas qu'on eut pu tout apprendre. v.197 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Et comment croyez-vous qu'on me nomme ? v.198 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Nicandre. v.198 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Puis qu'il ne répond rien, d'accord des qualités. v.200 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Il est vrai qu'à l'amour je n'ai pu satisfaire, v.201 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Mais par votre moyen si je trouve mon frère v.202 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Pour rendre un juste hommage à de rares appas v.203 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Ismène... v.204 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Dites donc que vous ne l'aimez pas v.204 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- J'ai des civilités et non pas de l'amour. v.208 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Son intérêt vous touche, et je vous en rends grâce, v.209 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Vous saurez l'intérêt que j'embrasse, v.210 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Comme Ismène me touche, et ce que je lui suis. v.212 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Vous verrez qu'à l'outrage une fille est sensible, v.213 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Qu'à ses voeux méprisés il n'est rien d'impossible ; v.214 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Ainsi que votre nom je sais votre logis, v.216 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Pensez-y bien. v.217 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- De grâce, ayez plus de tendresse, v.217 (Acte 1, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Dites-moi qui des deux est suivante ou maîtresse ; v.218 (Acte 1, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Je vous trouve bien faite, est-ce vous qu'elle sert ? v.219 (Acte 1, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Elles sont de concert v.220 (Acte 1, scène 8, ROBIN)
- Madame, écoutez, en revanche... v.221 (Acte 1, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Voyez-vous cette main au fin bout de ma manche ? v.222 (Acte 1, scène 8, JACINTE)
- Allez vous-en chercher votre frère jumeau ; v.224 (Acte 1, scène 8, JACINTE)
- Ou dessus cette joue un puissant cataplasme... v.225 (Acte 1, scène 8, JACINTE)
- Connaissez-vous cette bonne Madame ? v.226 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Nullement. v.227 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Nullement ? v.227 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Je ne la vis jamais. v.227 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Songez bien. v.228 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Plus j'y songe, et moins je la remets, v.228 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je ne la vis jamais en aucune manière. v.229 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- À la première vue elle est bien familière. v.230 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Tu m'en vois tout surpris. v.231 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- D'hier au soir seulement j'arrivai dans Paris. v.232 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- De la nuit noire en Diable il était plus d'une heure. v.233 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Et déjà toutes deux ont appris ma demeure v.234 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Robin. v.235 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Les Pousse-culs sont de vilaines gens, v.235 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Gare après votre queue un troupeau de sergents, v.236 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Et si votre personne est par eux attrapée, v.237 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Vous aurez une femme, ou la tête coupée. v.238 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Ce n'est pas qu'entre nous je ne sache fort bien v.239 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Qu'avec une maîtresse on ne fait souvent rien ; v.240 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Mais à votre prison pour donner une cause v.241 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Et vous en sortirez si le Ciel vous y met v.243 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Pour aller à la noce, ou du moins au gibet. v.244 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Quoi, tu penses qu'Ismène ait si peu de constance... v.245 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je ne sais par ma foi ce qu'il faut que je pense ; v.246 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Il faut bien vous aimer pour attendre toujours, v.247 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Et je trouve deux mois bien plus longs que huit jours. v.248 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- En laissant à Lyon cette belle lionne, v.249 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Tu me crèves le coeur, disiez-vous, ma pouponne, v.250 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Mais enfin mon départ ne doit pas t'irriter, v.251 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Je te quitte un moment pour ne plus te quitter ; v.252 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Laisse agir mon amour, je te tire de peine, v.253 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Ou je me donne au Diable, et dans une semaine v.254 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Mon Fanfan ; de mon frère, ou la vie ou la mort v.255 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Me remet le pouvoir de conclure mon sort ; v.256 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- De quelqu'un que je crois j'en aurai la nouvelle, v.257 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Depuis à vous attendre elle fait sentinelle, v.258 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Tandis qu'en galopant et par vaux et par monts v.259 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Nous passons vous et moi pour de francs vagabonds. v.260 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Voyez si la Donzelle a sujet de bien rire. v.261 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Ah Robin ! De ce frère on n'a pu me rien dire, v.262 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je m'en meurs. Cependant va dedans mon logis, v.263 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- On me veut faire pièce, et j'ai peur d'être pris : v.264 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Dis qu'il n'est pas besoin qu'aujourd'hui l'on m'attende. v.265 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Si je suis pris pour vous, et qu'après on me pende v.266 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Te pendre ! À tort on l'aurait prétendu. v.267 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et qu'importe comment on puisse être pendu ? v.268 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Soit à tort, soit à droit, n'est-ce pas toujours l'être ? v.269 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Tu te moques, te dis-je, obéis à ton maître. v.270 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je t'attends en ce lieu. v.271 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Mais, Monsieur... v.271 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Daignez donc pour le moins me répondre de moi, v.272 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Car enfin... v.273 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Va te dis-je, et retient cette place. v.273 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Attendant qu'il revienne allons voir Clidimace, v.274 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Comme dans cette ville il a bien du crédit v.275 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je reviens comme vous m'avez dit, v.276 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Je reviens. v.277 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Dites en conscience, ai-je mis plus d'une heure ? v.278 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Que veux-tu, mon ami ? Dis le moi. v.279 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Je reviens. v.279 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Accordons un peu mieux tes discours et les miens, v.280 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- À tout ce que tu dis je ne puis rien comprendre. v.281 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Il ne vous souvient pas que je viens vous reprendre ? v.282 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Le secret de la Dame à la fin est-il su ? v.283 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Mon enfant, je ne t'ai jamais vu, v.284 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Ragotin. v.286 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Ragotin, je ne puis te connaître, v.286 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Passe ton chemin, passe. v.287 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Moi je vous connais. v.288 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Toi me connaître ? v.288 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Tu t'abuses, mon cher, ton erreur est extrême v.289 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Il n'est donc pas vrai que vous êtes vous-même v.290 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Je commence à beaucoup m'ennuyer. v.291 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- En gambades je pense il prétend me payer. v.292 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Hé nenni. v.293 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Payez-moi donc, et sortons quitte à quitte. v.294 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Je te dois quelque chose ! Insolent, je vois bien... v.295 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Si vous me devez ! Non, vous ne me devez rien. v.296 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Et qui peut me devoir quinze mois de mes gages ? v.297 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Laisse là ta sottise, en un mot tu m'outrages, v.298 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Je me fais violence, et je dois de ce pas... v.299 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Vous devez, il est vrai, mais vous ne payez pas. v.300 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Sais-tu bien, goguenard qu'à bons coups de nasardes v.301 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Si tu railles encore, et que tu goguenardes, v.302 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Que de tes mots bouffons tu me fasses l'objet... v.303 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Je bouffonne ! Vraiment j'en ai bien du sujet ! v.304 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Mis dehors, pas le sou, ne savoir chez qui vivre... v.305 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Quoi, vous vous en allez ? v.306 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Et tu penses me suivre ? v.306 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Je le pense, et repense. v.307 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Et tu ne penses pas v.307 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Que si tu l'entreprends je te casse les bras. v.308 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Suis-moi donc si tu veux, viens, tu n'as rien à craindre. v.309 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Il ne faut que cela pour m'achever de peindre. v.310 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Peu courtois courtisan en chassant ton valet v.311 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Qu'au fin fond des Enfers le grand diable te plonge. v.313 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Mais j'enrage de faim, à propos, quand j'y songe, v.314 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Pour branler la mâchoire, et nous faire laquais v.315 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Allons chercher fortune aux degrés du Palais. v.316 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- La charmante Hipolite a pour moi de l'estime, v.317 (Acte 2, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Et je n'ose répondre au beau feu qui l'anime ! v.318 (Acte 2, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- À mon cruel serment tous mes sens occupés... v.319 (Acte 2, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Ou je vois l'infidèle ou mes yeux sont trompés. v.320 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- C'est lui-même, le traître. À quoi rêve Nicandre ? v.321 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Et par quelle raison souhaiter de l'apprendre ? v.322 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Si je vous ai connu, j'ai bien pu vous aimer ; v.324 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Où vous ai-je pu voir ? Tirez moi d'une peine. v.325 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- À Lyon. v.326 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- À Lyon ! Votre nom c'est... v.326 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Ismène. v.326 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- J'ai beau pour vous connaître employer mes efforts... v.327 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je ne vous parois pas ce que j'étais alors, v.328 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Vous savez que l'on change. v.329 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Il est indubitable, v.329 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais c'est beaucoup changer qu'être méconnaissable ; v.330 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- À Lyon j'ai pu faire un passable séjour, v.331 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais quoi qu'il en soit vous rêviez à l'amour ? v.332 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- J'y rêvais, je l'avoue, une Dame si belle... v.333 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Ingrat, c'est le paraître, et c'est ne l'être pas ; v.336 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Monsieur... v.337 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Dis mon nom, si tu l'oses, v.337 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- De ton frère, perfide, as-tu su quelques choses ? v.338 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Un langage si haut me rend tout interdit... v.339 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Ta maîtresse, infidèle, est dessous cet habit ; v.340 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Vois Ismène, vois traître, et que l'oeil te dessille. v.341 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Quoi dessous cet habit j'aperçois une fille ! v.342 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Ta honteuse inconstance a trahi ma vertu : v.344 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Sont-ce là ces huit jours ? Est-ce là cette flamme... v.345 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Expliquez cette énigme, et de grâce Madame... v.346 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Cet énigme, volage, ah cruel, plût aux Dieux ! v.347 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Mais ton crime visible a-t-il rien de douteux v.348 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Infidèle ? v.349 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Mon crime ! v.349 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Est-ce donc ta vertu que trahir ta maîtresse ? v.350 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Je ne vous connais pas, et j'ignore pourquoi... v.352 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Tu ne me connais pas ? Toi perfide ? Toi traître ? v.353 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Hé bien, je veux t'apprendre à pouvoir me connaître, v.354 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Que tu m'as oubliée, et n'ai pu t'oublier. v.356 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- Prends-y garde. v.357 (Acte 2, scène 2, ISM?NE)
- J'ignore à quoi tend sa querelle v.357 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- À l'entendre, autrefois je soupirai pour elle : v.358 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Moi bon Dieux ! Moi pour elle avoir pu soupirer ! v.359 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Je ne la vis jamais, et ne puis pénétrer... v.360 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais à quoi je m'amuse ? À quoi songe mon âme ? v.361 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Si j'ai quelques moments je les dois à ma flamme ; v.362 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Hipolite... Jacinte en ce lieu se fait voir ; v.363 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Jacinte... v.364 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Il dit mon nom ! Qui vous l'a fait savoir ? v.364 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Dites-moi qui des deux est suivante ou maîtresse ? v.366 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Je vous trouve bien faite, est-ce vous qu'elle sert ? v.367 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Parlez plus clairement, avez-vous découvert... v.368 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Rien du tout. v.369 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- D'où vient donc que je comprends à peine... v.369 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- On connaît... v.370 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Quoi ? Parlez, qui connaît-on ? v.370 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Ismène. v.370 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Je vous entends Jacinte, Hipolite sait bien... v.371 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Que gens faits comme vous ne vaudront jamais rien, v.372 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Adieu, passe-volant. v.373 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Au malheureux Nicandre apprenez une chose, v.374 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- C'est bien fait. v.376 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Oui, sans doute, je crois. v.376 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Je crois si vous osez dans sa chambre paraître v.377 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Que vous n'en sortirez que par une fenêtre. v.378 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Non, qui donc ? Moi ? v.379 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Votre... je ne sais quoi, v.380 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Vos discours outrageants, votre langue qui joue... v.381 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Ma langue est imprudente, et je la désavoue ; v.382 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Non, je ne prétends pas qu'elle parle jamais v.383 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- S'il ne faut d'Hipolite applaudir les attraits. v.384 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Me hait-elle, Jacinte, avouez ? v.385 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Pour vous aimer encore est peut être assez sotte, v.386 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Mais si j'en étais crue... v.387 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Elle ne me hait pas ! v.387 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Pour me bien obliger retournez sur vos pas, v.388 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Allez ailleurs chercher une menteuse, v.390 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Monsieur. v.391 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Mentir justement comme il faut. v.392 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Offrez-moi le moyen de le dire moi même, v.394 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'un moment... v.396 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- J'ai bien peur de me laisser aller. v.396 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Qui dit courtisan dit toujours fort en gueule ; v.398 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- De vous croire moi-même en secret je rougis ; v.399 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Cependant sans façon je retourne au logis : v.400 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- J'allais faire un message, et pour vous je diffère ; v.401 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- À propos, Hipolite accompagne son père, v.402 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Mais il peut la quitter, il ne faut qu'un instant... v.403 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- À la prochaine rue un intime m'attend ; v.404 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Je m'en vais le trouver, où vous dois-je reprendre ? v.405 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Dans une petite heure ayez soin de vous rendre... v.406 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Où dirai-je ? Ici même, en ce coin à l'écart. v.407 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Téméraire serment sors de cette mémoire, v.409 (Acte 2, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Ne fais pas un obstacle à l'excès de ma gloire, v.410 (Acte 2, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Depuis plus de six ans je me suis défendu... v.411 (Acte 2, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Monsieur, vous ne serez ni roué, ni pendu, v.412 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Je n'ai vu ni records, ni bourreau, ni charrette, v.413 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Tout va bien. v.414 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Dans la peur que j'avais d'être pris au collet v.416 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- J'ai joué de finesse, et l'ai mis dans ma poche v.417 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Voyez vous ? Pour l'hôtesse elle tourne la broche, v.418 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Elle dit qu'en tout cas votre lit sera prêt, v.419 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- À cela, je n'ai point d'intérêt. v.420 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Où vas-tu ? D'où viens-tu ? Dis le moi toute à l'heure v.421 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Je ne vais, ni ne viens, je demeure. v.422 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Comme il fait le gausseur, d'où je viens, me dit-il, v.423 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Et qu'en vrais pas-de-loup je venais le surprendre. v.425 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Sais-tu, mon ami, qu'on me nomme Nicandre, v.426 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Et que l'on me déplaît quand on fait le badin ? v.427 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Savez-vous bien, Monsieur, qu'on m'appelle Robin ? v.428 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Moi, je saurais ton nom ? v.429 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Et nous nous connAissons aussi bien l'un que l'autre. v.430 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Mon cher maître, avouez que vous êtes bien fou. v.432 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Moi ton maître ? v.433 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Et qui donc ? v.433 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Il a pu se méprendre. v.433 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Je t'ai dit, mon ami, qu'on m'appelle Nicandre v.434 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'un sot conte me choque, et qu'enfin... v.435 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Et qu'enfin... v.435 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Je vous ai répondu qu'on me nomme Robin. v.436 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Et ce nom de Robin suffira pour m'apprendre... v.437 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Tout comme il me suffit de celui de Nicandre. v.438 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Mais de bien te connaître offre moi le moyen, v.439 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Mon_Dieu, je ne suis rien ; v.440 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Et je ne voudrais pas ne pas être moi-même, v.442 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Je me garantis tel. v.443 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Puisque vous êtes vous, je puis bien être moi. v.444 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Mon valet... v.445 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Et je pense... v.447 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Et si je n'avais hâte insolent... Où vas-tu ? v.448 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Où vous même allez-vous ? J'accompagne mon maître. v.449 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Il t'en faut une preuve impudent, la voilà. v.451 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Il a parbleu raison, il le prouve par là. v.452 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Le secret est joli pour se bien faire croire ! v.453 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- De sa chienne de patte enfoncer ma mâchoire v.454 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Et souffrir sans souffler qu'il me donne un soufflet, v.455 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- C'est bien être le maître, et Robin le valet. v.456 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Quelle peste de preuve il me force de prendre ! v.457 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Ce bon frère frappart est sans doute Nicandre v.458 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Ce sont là de ses coups je les sens à leur poids, v.459 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- J'en reçois règlement prés de cent tous les mois v.460 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Et de tous ses soufflets ce n'est pas là le moindre ; v.461 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Mais où Diable à présent le pourrai-je rejoindre ? v.462 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Sa valise restée au logis d'où je viens v.463 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Où parmi ses habits sont aussi tous les miens v.464 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- En tout cas... Le voici la gueule enfarinée v.465 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Le bon traître ! v.466 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Qu'heureuse est pour moi la journée ! v.466 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Ah Robin ! Un ami généreux, bien faisant, v.467 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Et non pas un ami comme ceux d'à présent, v.468 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Dont la langue est dorée, et dont l'âme est de boue ; v.469 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Mais un ami sincère, obligeant... v.470 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- De me voir Clidimace a les sens tous ravis, v.471 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Dans sa propre maison il me donne un logis, v.472 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- À tous mes intérêts tout entier il se voue, v.473 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Quel sujet te fait plaindre, et pourquoi le cacher ? v.475 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- C'est peut être une dent qu'il te faut arracher, v.476 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Une dent peut suffire à gâter une bouche, v.477 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Songes-y. Mais répond sur le fait qui me touche, v.478 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- As-tu vu mon hôtesse, aura-t-elle tout prêt... v.479 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- À cela, mon ami, je n'ai point d'intérêt ; v.480 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Où vas-tu ? D'où viens-tu ? Dis-le moi tout à l'heure. v.481 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Que me dit ce Coquin ? Je t'assomme ou je meure, v.482 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Parle ; dois-je tout craindre, ou ne redouter rien ? v.483 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Mais de bien te connaître offre moi le moyen, v.484 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Je puis facilement te le faire connaître, v.486 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Et sans avoir besoin d'être si retenu... v.487 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Ah démantibuleur je l'ai trop reconnu. v.488 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- De ne pas l'ignorer à présent je me pique, v.489 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Et ma joue en peut être un témoin authentique. v.490 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Faire pleine recette à deux doigts de mon nez v.491 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- D'un soufflet plantureux, et des mieux assenés, v.492 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- D'un soufflet qu'une main bien plus noire que blanche v.493 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Depuis plus de six mois mitonnait dans sa manche, v.494 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- D'un soufflet qui par terre quasi a répandu... v.495 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Si vous ne le payez je veux être pendu. v.496 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Est-ce pure gageure ? Ou bien si tu déterres... v.497 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- On m'en donne des erres. v.498 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Voyez-vous ? Mon cadet... Là, là, là, là, là, là. v.499 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Il vous attend Madame, et c'est lui que voila, v.500 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Avancez. v.501 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- À vous voir je l'ai fait condescendre, v.501 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Prés d'une heure Hipolite a voulu s'en défendre, v.502 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Mais j'ai tant de vos feux appuyé le parti, v.503 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- J'ai tant dit que mes soins vous avaient pressenti, v.504 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Tant de fois répété que toujours pour Ismène v.505 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Loin d'avoir de l'amour vous auriez de la haine... v.506 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- De la haine pour elle, ah ! Je brûle d'amour, v.507 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Non, non... v.508 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je l'ai su de Jacinte, Ismène est pourtant belle. v.509 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Elle est toute charmante, et je n'adore qu'elle, v.510 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Son aimable visage a des charmes si doux... v.511 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Il se moque, Madame, il n'adore que vous v.512 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- En parlant de ma flamme v.513 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Loin de vous avoir dit que j'adore Madame... v.514 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Quoi, vous n'avez pas dit à moi même, en ce lieu... v.515 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Rien du tout. v.516 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Rien ! Madame il offense bien Dieu v.516 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Le méchant homme ! v.517 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Quand vous êtes venu pour lui rendre visite... v.518 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Moi visite ! Robin pourra dire au besoin... v.519 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je vous sers de valet, et non pas de témoin. v.520 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je ne sais si je sais quelque chose, v.521 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Tu vois où ton zèle m'expose v.522 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- À ton rapport sans doute il n'a pas consenti. v.523 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- J'ai dit vrai, je vous jure, et Nicandre a menti, v.524 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Je n'ai pas grâce à Dieu, la mémoire débile, v.525 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Il fallait que pour lors son valet fut en ville v.526 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Lui seul en cette place il faisait l'idiot. v.527 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Quand vous m'avez parlé j'étais seul ! Réponds. v.528 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Où donc, lors que Jacinte a commencé sa guerre v.529 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Dans le Monde. v.530 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- En quel lieu ? v.530 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- L'endroit, c'est... v.531 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Dans la France, à Paris, que je crois. v.531 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- En présence... v.532 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- En présence ? En présence de moi. v.532 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Mais perfide Robin le dessein où tu butes... v.533 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Il ressouvient toujours à Robin de ses flûtes. v.534 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Ils s'entendent, Madame, un indice trop grand... v.535 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Si je lui déchargeais un bon moule de gant, v.536 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Ne prends point de conseil que celui de ta tête ; v.538 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- J'en suis de moitié rosse. v.539 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Enfin, il m'est honteux v.539 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- D'avoir pu vous apprendre où j'adresse mes voeux ; v.540 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Ne vous souvenez pas qu'Hipolite vous aime, v.541 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Ingrat, et ma faiblesse est allée à ce point... v.543 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- En vérité, Madame, il ne m'en souvient point. v.544 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Une feinte si basse, et m'outrage, et m'irrite, v.546 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Je ne suis pas Jacinte, et vous vous méprenez... v.547 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Paumez-lui moi la gueule, et lui cassez le nez, v.548 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Faut-il tant de façons ? J'en enrage d'envie, v.549 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Son valet qui me pousse à cela me convie. v.550 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Tu la pousses, perfide, et ton coeur est si bas... v.551 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Moi loin de la pousser je lui retiens le bras, v.552 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Elle a menti. v.553 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Le valet se goberge aussi bien que le maître ; v.554 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Oses-tu ?... Voyez-vous, il fait signe des yeux... v.555 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Vous mentez comme un Diable impudente. v.556 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- C'est le compte tout rond, et ma joue aplatie... v.557 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Ah maîtresse coureuse, ou du moins apprentie... v.558 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- La belle, il faut moins s'émouvoir v.559 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Votre sexe, et Madame ont ici tout pouvoir, v.560 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Essayez ma petite à vous rendre plus sage : v.561 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et de peur qu'il n'arrive un semblable malheur v.564 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je sors aussi, mais avant que je sorte v.565 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- À ton peste de bras qui n'a pas la main morte v.566 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je souhaite la gale, et qui mine ton corps ; v.567 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- À ta jambe une ulcère ; à ta cuisse une goutte ; v.569 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Que de toi désormais tout chacun se dégoûte ; v.570 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je souhaite à ton ventre une canine faim, v.571 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Et que pas un mortel ne te donne du pain ; v.572 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Loin d'avoir des appas, et des charmes qui brillent, v.573 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je souhaite à ton sein des tétons qui brandillent ; v.574 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- À ton bas de visage un menton fort pointu ; v.575 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- À tes dents une brèche à passer tout vêtu ; v.576 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- A ton nez la roupie ; aux yeux cire, au front crasse ; v.577 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Et que de tes cheveux dont tu tires ta grâce v.578 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- On fasse des licous au bourreau de Paris v.579 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Pour pendre les laquais qui sont au Paradis. v.580 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Peste de cagne. v.581 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Hé bien ? v.581 (Acte 2, scène 10, HIPOLITE)
- Sans perdre une parole v.581 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Dépêchez vitement de jouer votre rôle. v.582 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Au secours, à la force, embrassez l'intérêt... v.583 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Tout va le mieux du monde, Isidore paraît, v.584 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Il s'exhibe où le cri prend son être v.585 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Comme un éclair il vient de disparaître ; v.586 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Il faut qu'assurément il vous ait entendu. v.587 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Éclaircis ta matière à mon individu ; v.588 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- À ma mémoire active à comprendre la chose v.589 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- De sa voix attractive incorpore la cause, v.590 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Puis après de la cause on descend à l'effet. v.592 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Déduits ta malencontre en manière succincte. v.593 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Il est venu... Monsieur, demandez à Jacinte. v.594 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Oculaire témoin du malheur qu'elle tait, v.595 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Toi, qui peut à son père inculquer son secret, v.596 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- De le développer j'interpelle ton âme. v.597 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Il est venu... Monsieur, demandez à Madame. v.598 (Acte 2, scène 11, JACINTE)
- J'appréhende si fort de vous voir indigné v.599 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Qu'enfin... v.600 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Ma géniture, aurais-tu forligné ? v.600 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Dieux des savants, l'une et l'autre soupire ! v.601 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Et puisqu'un prompt remède est ici de saison v.603 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Vous forcerez le traître à m'en faire raison. v.604 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Enfin de mon mal-heur vous avez connaissance, v.605 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Je vous ai de ma honte assez fait confidence, v.606 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et le nom et l'ingrat qu'à présent je poursuis : v.608 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Mais tout ingrat qu'il est, comme il a du courage v.609 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Il peut vous outrager, et je crains qu'on l'outrage ; v.610 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Car enfin, à la haine il a beau m'animer, v.611 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Mon naturel usage est l'usage d'aimer : v.612 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- En m'ôtant son amour, il retient ma tendresse ; v.613 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Ainsi pour s'en saisir il faut user d'adresse, v.614 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Soit qu'ils viennent de lui, soit qu'ils viennent de vous. v.616 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Vous craignez vainement qu'il se puisse défendre, v.617 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Jusques dans son logis on le peut aller prendre, v.618 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Et quinze ou seize archers aux captures forts prompts... v.619 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Ah ! De grâce, à Nicandre épargnons ces affronts, v.620 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- L'ingrat m'est toujours cher, tout cruel qu'il puisse être ; v.621 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et quoi qu'il soit éteint, son amour peut renaître : v.622 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Je lui fais un appel, et je prends rendez-vous ; v.624 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Je m'en dis offensé, sans lui dire autre chose ; v.625 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Je lui mande qu'au Cours il en saura la cause ; v.626 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Que je suis gentilhomme aussi noble que lui ; v.627 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et sur votre parole il aura l'assurance... v.629 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Il a tant de courage et si peu de prudence, v.630 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Qu'à sa seule valeur osant trop se fier v.631 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Dans le Cours de la Reine il sera le premier. v.632 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Là, vous et vos archers ayez soin de vous rendre, v.633 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et sous un faux-semblant de vouloir nous défendre, v.634 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Nous ayant désarmés par votre autorité, v.635 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Mais enfin d'une femme il verra l'écriture, v.638 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Et d'un coeur amoureux prévenant le dessein... v.639 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Vous croyez mon cartel fabriqué de ma main ? v.640 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Une main empruntée a pris soin de l'écrire ; v.641 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et pour en peu de mots achever de tout dire, v.642 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Un valet que j'ai pris aux degrés du Palais v.643 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Servira ma colère, et fera mon message ; v.645 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Vous de votre côté commencez votre ouvrage, v.646 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Amassez tous vos gens, et selon mon espoir v.647 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Faites-les rendre au Cours à six heures du soir : v.648 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et tandis qu'au Courrier mon valet va remettre... v.650 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Il revient, il me cherche, allez tout dépêcher, v.651 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- N'est-ce pas vous que je viens rechercher v.652 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Car je ne doute point que tu ne sois fidèle, v.654 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Et de ta part enfin je crains peu d'accidents. v.655 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- N'ai-je pas dans Paris cinq ou six Répondants v.656 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Pour me cautionner s'ils me sont nécessaires ? v.657 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- J'ai trois laquais, un page, et deux clercs de notaires, v.658 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Diable je suis connu par d'honnêtes Messieurs ! v.659 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- J'ai l'honneur, qui plus est, d'être aimé de plusieurs, v.660 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Et je conte cela mon plus bel avantage. v.661 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Il est grand, mais écoute, as-tu bien du courage ? v.662 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Du courage ! J'en crève... En mon juste courroux... v.663 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Produisez quelques-uns qui me tâtent le poux, v.664 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Vous, Monsieur ? v.666 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Pour vous mon respect est extrême, v.666 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Mais enfin... v.667 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Mon_Dieu, mais v.667 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- C'est un point chatouilleux que l'honneur d'un laquais, v.668 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Je suis plein de courage, et n'en fus jamais vide, v.669 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Mais j'aurais du regret de faire un maîtricide : v.670 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Vous ne l'ignorez pas les honnêtes chrétiens... v.671 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Tu conçois à rebours le discours que je tiens, v.672 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Et je veux éprouver à quel point va ton zèle : v.674 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Pour porter un cartel de toi seul j'ai fait choix. v.675 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Donnez-vous bien souvent de semblables emplois ? v.676 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Selon. v.677 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Dites-moi donc sans donner de bricole v.677 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Si c'est que je me loue, ou bien si je m'enrôle ? v.678 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Moi ? Non, mais... v.679 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Mais point tant de façon, v.679 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Si tu sens de la peur tu peux le dire. v.680 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Et... non, v.680 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Voila le cartel, prends le soin de le rendre, v.681 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Tu liras le dessus, il s'adresse à Nicandre. v.682 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- À Nicandre ? v.683 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- À Nicandre, il demeure ici près ; v.683 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- À ce nom tu frémis que je crois ? v.684 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Moi ? Non, mais... v.684 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- S'il demande le nom de celui qui t'envoie, v.685 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Je vais dans mon logis, rue aux Ours, au Dauphin, v.687 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- De ce jour ennuyeux attendre le déclin, v.688 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Cela fait dans ce lieu tu viendras me reprendre, v.689 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Je vais porter un cartel à Nicandre ! v.690 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Ah Nicandre, ma foi tu seras Nicandré ! v.692 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Tu t'en vas étrenner mon épée. Il avance, v.693 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Mais il ne songe pas à ceci que je pense ; v.694 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Dieu sait si le cartel le va rendre éperdu ! v.695 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Jacinte assurément m'aura trop attendu ; v.696 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Il m'a trop retenu cet ami, j'en déteste. v.697 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Où pourrai-je à présent la trouver ? Ah, ah. v.698 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Tu reviens à belle heure, et tu penses qu'au cas... v.699 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Oui, je pense, pourquoi ne penserais-je pas ? v.700 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Je veux penser. v.701 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Coquin, je puis t'être funeste, v.701 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Et si tu fais le fou tu ne doute[s] pas... v.702 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- J'ai mon droit comme vous sur le pavé du Roi, v.704 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- De quoi vous mêlez-vous ? Qu'est-ce donc ? J'y veux être. v.705 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Mais à qui donc es-tu ? v.706 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Moi je suis à mon maître, v.706 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Avec autre que vous on se trouve un peu mieux ; v.707 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Tenez quasi défunt, jetez ici les yeux, v.708 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Puis après au Seigneur recommandez votre âme. v.709 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Cet infâme... v.710 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Tantôt vous aurez de l'infâme ; v.710 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Vous en mourrez, beau Sire, et mourrez intestat, v.712 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Sans que je me nomme, v.713 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Nicandre vous saurez que je suis Gentilhomme, v.714 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Qui l'épée à la main ai dessein de vous voir, v.715 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Du sujet que j'en ai j'ose tout me promettre : v.716 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- C'est au Cours de la Reine à six heures du soir ; v.717 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Et j'aurai le second qui vous rend cette Lettre. v.718 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Tu ne me sers donc plus, Ragotin ? v.719 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Non ma foi. v.719 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Je n'en murmure point, cela dépend de toi, v.720 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Tu te rends le second de celui qui m'appelle ? v.721 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Tu le dois, c'est ton maître, et j'admire ton zèle ; v.722 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Voyons si ta valeur à ton zèle répond. v.723 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Que ne suis-je premier aussi bien que second ! v.724 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Voyez-vous de courroux comme le nez me fronce ? v.725 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Quoi tu crains... v.726 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Écoutez je vais vous rendre réponse ; v.726 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Si vous vouliez m'attendre un moment dans ce lieu ? v.727 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Mettez là votre main. Sans adieu, v.728 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- C'est assez, si j'y viens que le Diable m'emporte. v.729 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Ciel vous m'êtes propice, et l'on ouvre la porte ; v.730 (Acte 3, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Le bonheur de vous voir va donc m'être accordé v.731 (Acte 3, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Hipolite, Jacinte, ai-je point trop tardé ? v.732 (Acte 3, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Allez vous-en au peautre, à qui vous êtes. v.734 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Quoi Jacinte me laisse, et dans cet embarras... v.735 (Acte 3, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Allez vous-en au Diable, et ne me touchez pas v.736 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Mais Jacinte, il me semble... v.737 (Acte 3, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'on ne vaut pas la peste alors qu'on vous ressemble, v.738 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Méchant comme la grêle, insolent suborneur, v.740 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- C'est de votre peinture une légère idée ; v.742 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Mais au moins... v.743 (Acte 3, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Au moins mais... v.743 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Et de plus laissez-moi, j'ai des mains, je dévore. v.745 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Ah ! Je le voudrais bien. v.747 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- Attendez. v.748 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Vous pouvez par le même moyen... v.748 (Acte 3, scène 7, LE PREMIER NICANDRE)
- À tout ce procédé, je ne puis rien comprendre, v.749 (Acte 3, scène 7, LE PREMIER NICANDRE)
- Jacinte... v.750 (Acte 3, scène 7, LE PREMIER NICANDRE)
- Ou je m'abuse, ou je vois le Nicandre, v.750 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- Je le vois, c'est lui même. À la fin je te tiens, v.751 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- C'est en vain que tes bras sont plus forts que les miens. v.752 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- Isidore ! Allons vite. v.753 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Tenez ferme, tenez ; car il faut qu'on le gifle. v.754 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Monsieur lâchez-moi de ce pas, v.755 (Acte 3, scène 7, LE PREMIER NICANDRE)
- Ou du moins... v.756 (Acte 3, scène 7, LE PREMIER NICANDRE)
- Tenez ferme, et ne le lâchez pas ; v.756 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Son filou de caquet m'a su rendre éblouie. v.757 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Une voix transcendante a percé mon ouïe. v.758 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Monsieur, venez vite au secours, v.759 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Vénérable vieillard, tenez ferme toujours, v.760 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- D'une fille de bien, de famille assez grande v.761 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Ayant pris tout l'honneur, il faut qu'il me le rende v.762 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- De rage, il m'en voit tout en feu v.763 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Est-ce conte ? Est-ce jeu ? v.764 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Quoi Jacinte elle même aura donc de la joie... v.765 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Venez vite, Monsieur, vous saisir de la proie, v.766 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- C'est Nicandre. v.767 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Il est vrai, mais confus... v.767 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Rendons-en grâce, et Ios à Jupin de la sus. v.768 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Ô malin Tereus de qui l'âme trop noire v.769 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- D'une Philomella contamines la gloire ; v.770 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Toi qui dans le vrai centre où l'on prend les plaisirs, v.771 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Un saut patibulaire est le prix que j'annexe v.773 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Aux torrides souhaits dont l'outrage me vexe ; v.774 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Et par un sort tragique âprement avancé v.775 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Prenez l'occasion qu'un bon Ange vous offre, v.777 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Tandis qu'il est ici permettez qu'on le coffre, v.778 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Je m'en vais au plus vite amener le Coffreur. v.779 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Quoi, de l'un et de l'autre éprouver la fureur ! v.780 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- D'un courroux si bizarre apprenez-moi la cause ; v.781 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- De qui m'ose arrêter que je sache le nom, v.783 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Une fille effleurée est un grand vitupère. v.785 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Et cela de bien prés touche un malheureux père. v.786 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Isidore ! Hé vous me connaissez ? v.787 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Je ne vous ai point vu depuis dix ans passez, v.788 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Un tel temps a rendu ma mémoire affaiblie, v.789 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Cependant de vos traits elle est toute remplie ; v.790 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Eutrope ! Ah parangon des fidèles amis ! v.792 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Charissime Collègue incapable de noises, v.793 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Relégué par le sort aux rives Lyonnaises, v.794 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Si vous êtes fertile en tendresses pour moi, v.795 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Étreignez Isidore, et plaignez son émoi : v.796 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Mais ma joie Isidore est pourtant imparfaite, v.798 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Une fille abusée... v.799 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Destin v.799 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Je suis débarrassé de leurs mains à la fin ; v.800 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Si le triste Nicandre est haï d'Hipolite ; v.802 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Elle est seule chez elle, allons-y de ce pas. v.803 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- Ah ! Que déménager est un rude tracas ! v.804 (Acte 3, scène 9, ROBIN)
- Peste soit la valise, elle est diablement lourde, v.805 (Acte 3, scène 9, ROBIN)
- Haie ! Au meurtre ! Ah l'échine ! v.806 (Acte 3, scène 9, ROBIN)
- Ce coquin... Dieux Eutrope ! Il paraît désolé : v.808 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Quoi le père d'Ismene est dedans cette ville ! v.809 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- À la première porte attrapons un asile, v.810 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Fuyons. v.811 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Est-ce pour rire, ou du moins es-tu fou ? v.811 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Oui vraiment c'est pour rire ; on se casse le cou v.812 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Pour rire. C'est Eutrope, il faudra qu'on achève... v.813 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Monsieur ! Je crois ma foi que le Diable l'enlève, v.814 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Ho, Nicandre ! Il fait gille, et je suis retenu ; v.815 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Dites-moi, s'il vous plaît ce qu'il est devenu v.816 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Il nous a fait tomber pour faire fuir son maître : v.818 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Quoi perfide Robin, oses-tu nous choquer ? v.819 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Dans la prison prochaine il le faut colloquer, v.820 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- Et que touchant son maître une réminiscence... v.821 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- Moi, Messieurs, en prison ? Vous raillez que je pense. v.822 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Dis l'endroit qui le cache, ou du moins nous le rend. v.823 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Si le Diable l'emporte, en puis-je être garant v.824 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Laisse la feinte et paraît plus sincère, v.825 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Le malheur d'une fille émeut l'âme d'un père ; v.826 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Peut-être est-elle grosse, et je sais le moyen... v.827 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Ma foi grosse ou menue il n'y va rien du mien. v.828 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- De ce qu'à cette fille on peut dire les causes, v.829 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Et ne pas se méprendre en faisant choix des choses : v.830 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Si dedans un cachot je me voyais caché v.831 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Je ferais pénitence, et je n'ai pas péché ; v.832 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- De quoi que mon étoile aujourd'hui me menace v.833 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Ou souffrez que je pèche, ou qu'un autre le fasse ; v.834 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Je ferais à regret pénitence gratis. v.835 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Empêchons que nos voeux ne soient pas mi-partis, v.836 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- Themis veut qu'on le tolle, et s'il ratiocine... v.837 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- En son chien de patois qu'est-ce qu'il baragouine ? v.838 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Ma mort est résolue, il le dit en Hébreu. v.839 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- À condamner Robin différez tant soit peu v.840 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Et qu'un jour à venir le bon Dieu vous le rende v.841 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Charitables Messieurs qui voulez qu'on me pende, v.842 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Et qui tous acharnés sur un pauvre garçon... v.843 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Mais que voici des gens de méchante façon ; v.844 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Ah ! Combien les bourreaux ont de valets de Chambre ! v.845 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Messieurs, de la Justice ayant l'heur d'être membre... v.846 (Acte 3, scène 11, LE SERGENT)
- On dirait qu'à vos voeux toutes choses réponde[nt], v.849 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Ces Messieurs tous ensemble attendaient d'autre monde, v.850 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Et Nicandre... Le traître où s'est-il retiré ? v.851 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Imperceptiblement il s'est évaporé ; v.852 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Mais voila qui le pleige, il faut qu'on l'appréhende ; v.853 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Que dedans une Chartres après on le descende ; v.854 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Et son procès en suite étant fait, et parfait v.855 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Qu'il serve d'holocauste à mon sang putrefait. v.856 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Votre sang, dites-vous ? C'est le mien qu'on outrage. v.857 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- C'est le mien. v.858 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- C'est le mien. v.858 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- J'ai le dos bon, courage. v.858 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Votre fille à ce compte a perdu son honneur ? v.859 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Et le tien ? v.861 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Car si tu ne l'as plus il faut bien que je l'aie ; v.862 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Crois-moi tâtes-y, tâte, et ne déguise rien, v.863 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Tu peux parmi le leur faire passer le tien ; v.864 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Cependant que d'honneur tout le monde me charge, v.865 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Signe au bas de la feuille, et te mets à la marge. v.866 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Ton honneur, si tu l'as... v.867 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Si ? Comment si fripon ? v.867 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Moi, si j'ai mon honneur ? Si je l'ai ? v.868 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Que sait-on ? v.868 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- On te voit du grand monde imiter la méthode, v.869 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Tu veux comme ce monde enchérir sur la mode, v.870 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Ce qu'il fait tu le fais, et pour cette raison v.871 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Le Si, dont je te parle est assez de saison. v.872 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Si donc... v.873 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Si de mon ministère il vous plaît quelque chose, v.874 (Acte 3, scène 11, LE SERGENT)
- C'est ce pendard qu'il faut prendre. v.875 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Prenez. v.876 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Vrais suppôts de Satan, effroyable couvée... v.877 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Il me va mener pendre, il n'est rien si constant ; v.879 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Membre qui démembrez ne me tirez pas tant. v.880 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous petits membrillons dont je crains la présence, v.881 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous, qui du Maître-Membre accroissez la puissance, v.882 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Happes-chairs de mon âme, ah ne permettez point v.883 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Que de pierre de taille on me fasse un pourpoint. v.884 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Je suis valet de bien, et c'est pure malice. v.885 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- D'un méchant ravisseur c'est l'infâme complice, v.886 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Et l'honneur d'une fille a rendu désolé... v.887 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Eh Monsieur qu'on me fouille on verra si je l'ai. v.888 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- L'honneur est nécessaire en de bonnes familles, v.889 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Et j'en voudrais avoir pour donner à vos filles. v.890 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Si pour prendre le mien dans ce lieu l'on m'a pris v.891 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous le tenez in manibus vestris, v.892 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Suffecit ; Domine vous saurez m'en répondre, v.893 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Dans un sombre manoir vous devez le profondre, v.894 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Puis quand dans la prison vous l'aurez intégré, v.895 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- L'hôtel de Nicandre vous sera démontré. v.896 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Sur tout vers sa demeure ayez soin qu'on se muce, v.897 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- L'amiable Hyacinte ira guider vos pas. v.899 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Vous Eutrope in domum venez prendre un repas, v.900 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Et lors qu'à vos douleurs vous aurez donné trêve v.901 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Venez. v.903 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Débonnaires Messieurs vous serez satisfaits ; v.904 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Mais au traître Robin daignez joindre Nicandre. v.905 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Membre, nous sommes seuls, on ne peut nous entendre, v.906 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- Dites-moi, puis-je pas un moment vous parler ? v.907 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- Tu le peux un moment, que veux-tu ? v.908 (Acte 3, scène 12, LE SERGENT)
- M'en aller, v.908 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- Il raisonne, on dirait qu'il méprise... v.909 (Acte 3, scène 12, LE SERGENT)
- Menez donc à ma suite en prison la valise v.910 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- Ô Gigot de Justice, et traînez avec moi v.911 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- Mon malheureux paquet dans la Maison du Roi. v.912 (Acte 3, scène 12, ROBIN)
- D'une indigne faiblesse à ma gloire mortelle v.913 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Tu viens de recevoir une preuve nouvelle ; v.914 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Je voulais qu'on te prit, et j'ai su te cacher : v.916 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Je sais qu'il est honteux que mon sexe soupire, v.917 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Mais tel est de l'amour l'inévitable empire ; v.918 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Et le feu qu'en son âme une fille ressent v.919 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Pour être plus contraint n'en est pas moins puissant. v.920 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- C'est en vain que d'un coeur où l'amour a pris place v.921 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- La pudeur en tumulte autorise l'audace ; v.922 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- N'aimer rien que d'aimable est un faible si doux... v.923 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Ah que ce faible est beau quand on brûle pour vous ! v.924 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Pour convaincre d'erreur une bouche si belle : v.926 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Pourtant quelques respects dont je sois combattu v.927 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Ce que vous nommez faible est toute ma vertu. v.928 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous avez tant d'appas, je mérite si peu, v.931 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'un équitable doute accompagne mon feu : v.932 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Je dois à l'apparence un amour qui m'honore, v.933 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- En voyant mes défauts m'aimerez-vous encore ? v.934 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Consultez-vous, Madame, et sans précipiter... v.935 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Toi-même, ingrat, toi-même ose te consulter. v.936 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Avoue ingénument que tu ne peux sans peine v.937 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Pour aimer Hipolite abandonner Ismène ; v.938 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Et que de mes bontés l'injurieux excès v.939 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Afin que ton destin à mon destin s'attache v.941 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- J'ai su faire moi-même à moi-même une tâche ; v.942 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- On me croit abusée, on te croit suborneur, v.943 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Et l'on doit te contraindre à me rendre l'honneur. v.944 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Je te l'ai déjà dit, et ton âme est instruite... v.945 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Je l'avais oublié généreuse Hipolite, v.946 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais il m'en ressouvient, et d'un coeur amoureux v.947 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- L'obligeante imposture a rempli tous mes voeux. v.948 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- De mon amour aussi daignez être certaine, v.949 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Je soupire pour vous, et non pas pour Ismène, v.950 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- De vos seules beautés je connais le pouvoir, v.951 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- On me croit abusée, et l'honneur te convie... v.953 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Je vous entends, Madame, et j'en brûle d'envie, v.954 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Je dois à votre feinte accorder mon aveu ; v.955 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais l'endroit est mal propre à parler de mon feu. v.956 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Apaisez votre père en faveur de ma flamme, v.958 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Dés demain je m'apprête au bonheur de le voir v.959 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- J'y ferai mon pouvoir, v.960 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Donc à ma flamme il n'est rien de contraire... v.961 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Si je fais mon pouvoir je pourrai beaucoup faire, v.962 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Ne sois plus un obstacle aux douceurs de mon sort v.964 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Mon frère, et souffre au moins qu'une flamme si belle... v.965 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais au Cours de la Reine enfin l'heure m'appelle : v.966 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Je n'ai point de Second, mais du moins j'ai du coeur, v.967 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Et de plus mon épée est de bonne longueur. v.968 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Il est vrai qu'assez faible est le bras qui seconde... v.969 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Ah mon bon Dieu ! Pourtant je ne vois point de monde. v.970 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Ces maudits houspilleurs comme ils m'ont fait driller. v.971 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Autre chasse-coquin qui m'entend babiller ; v.972 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Il me lorgne. Ah c'est vous, ô Messire Nicandre, v.973 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Bonjour. v.974 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Dis promptement ce que tu veux m'apprendre, v.974 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je ne puis faire ici qu'un moment de séjour, v.975 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Bonjour. v.976 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Des mains de la Justice est-ce ainsi qu'on s'arrache ? v.977 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Eh que si le bonhomme eût trouvé votre cache ! v.978 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Si je me cache ou non que t'importe ? v.979 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Faudra-t-il point que je vous rende grâce v.981 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- De ce qu'au lieu de vous en prison on m'enchasse ? v.982 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- On t'a mis en prison ! v.983 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Et bien mis, qui plus est, v.983 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- C'est, dis-tu, pour mon seul intérêt ? v.984 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Nenni, c'est pour le mien ; je suborne des filles ; v.985 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Et je suis en amour grand abatteur de quilles. v.986 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Ne veux-tu me donner que de sottes raisons ? v.987 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Ne vous souvient-il pas des deux chiens de grisons v.988 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Votre futur beau-père, et son cher maigre-échine ? v.989 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Hé bien. v.990 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Tudieu, Monsieur, la méchante vermine ! v.990 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- À peine de leur vue étiez-vous échappé v.991 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Qu'un gros peste de Membre aussitôt m'a grippé ; v.992 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- L'un et l'autre grison ne savait où se prendre ; v.993 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Moi n'ayant point d'honneur que je pusse leur rendre v.994 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Au redoutable son d'un seul, De par le Roi v.995 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Cinq ou six pousse-culs se sont jetez sur moi, v.996 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Et par tant de côtés m'ont fait coure si vite v.997 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Qu'à la fin, grâce aux Dieux ils m'ont mis dans le gîte. v.998 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- On nous croit de concert, et l'on s'est fourvoyé. v.999 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Voyant ton innocence on t'a donc renvoyé ? v.1000 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- On s'est donc aperçu de cette erreur extrême ? v.1001 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je m'en suis, par ma foi, revenu de moi-même. v.1002 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Considérez le tour que je viens de jouer ; v.1003 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Avaient mis à la porte un niais à merveille ; v.1005 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Moi trouvant sur un banc cette chère bouteille v.1006 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- D'une joie effrontée étouffant mon chagrin v.1007 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Je lui suis allé dire, Où vend-on de bon vin ? v.1008 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- J'ai céans des amis que je veux faire boire. v.1009 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- À la belle épousée, ou bien à la Croix noire, v.1010 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Me répond bonnement mon niais d'apprenti ; v.1011 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Puis plus vite qu'un Basque enfilant la venelle v.1013 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Passant d'une ruelle en une autre ruelle, v.1014 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- J'ai tant fait qu'à la fin j'ai trouvé le moyen... v.1015 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Mais, ô Monsieur, Monsieur... Ne bougez, ce n'est rien. v.1016 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Votre bourreau d'amour à cent craintes m'expose. v.1017 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- De ton dernier malheur je suis la seule cause, v.1018 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais n'appréhende plus de t'y voir exposé, v.1019 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Ma maîtresse est contente, et son père apaisé. v.1020 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- On m'attend de ce pas dans le Cours de la Reine, v.1021 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je veux à mon retour reconnaître ta peine ; v.1022 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je reviens dans une heure, attend-moi dans ce lieu. v.1023 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Désormais de sergents ne crains nulle surprise. v.1025 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Il n'a pas dit le mot concernant sa valise, v.1026 (Acte 4, scène 3, ROBIN)
- Elle est pourtant restée, et puissai-je mourir v.1027 (Acte 4, scène 3, ROBIN)
- Si jamais j'ai dessein de l'aller requérir. v.1028 (Acte 4, scène 3, ROBIN)
- (Ou du moins s'il n'est vrai, fille soi-disant telle ; v.1030 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Car d'oser en jurer j'aurais peu de raison.) v.1031 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Le perfide, il est hors de prison ! v.1032 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Te voici donc, te dis-je et te voici toi seule ; v.1033 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Ta carogne de main m'a baillé sur la gueule, v.1034 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Et bien oui, je le sais. v.1035 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Et sais-tu bien aussi que j'en suis offensé v.1036 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Moi ? Non. v.1037 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Tu me nommes pucelle, et prétends te moquer v.1039 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Je le vois ; mais apprend si tu m'oses choquer v.1040 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Sache qu'en ma furie acharnée à ta peau v.1043 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- J'en saurai de chaque ongle arracher un lambeau : v.1044 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Et si plus en raillant tu me nommes pucelle v.1045 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Pour te mieux faire voir qu'en effet je suis telle, v.1046 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Sache que mon courroux qu'on ne peut égaler... v.1047 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Si ce n'est que cela n'ayons point de querelle, v.1049 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Qui peut empuceler aisément dépucelle ; v.1050 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Et si tu sens de l'être une démangeaison... v.1051 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- À la fin je te quitte, ô propice maison. v.1052 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Eutrope en me voyant m'aurait fait de la peine, v.1053 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Mais enfin... v.1054 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Je vous cherche, ô l'esclave d'Ismene. v.1054 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Dieux ! Jacinte me cherche ! Aurait-on prévenu... v.1055 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Que du Cours de la Reine il est tôt revenu ! v.1056 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Baste ; mais gardez bien de l'appeler pucelle, v.1058 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Traître... Enfin dites-moi donc... v.1059 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Vous me paierez ma peine, et paierez tout du long ; v.1060 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Celle qui vous aimait est si fort en colère v.1061 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Que de vous faire prendre elle a prié son père. v.1062 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Me croit-elle volage ? Elle dont le pouvoir... v.1063 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Mon_Dieu, ce qu'on vous croit vous pourrez le savoir, v.1064 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Et si tantôt son père avait eu la puissance... v.1065 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- J'ai pris soin, il est vrai, d'éviter sa présence ; v.1066 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Mais il n'était pas seul, et je n'ai pas osé... v.1067 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- La maîtresse est contente, et le père apaisé. v.1068 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Ah ! Le menteur. v.1069 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Ta langue un peu trop s'émancipe. v.1069 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Si le membre repasse, et que l'on me regripe ? v.1070 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- L'insolence d'un traître ira donc jusqu'au point... v.1071 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- C'est de l'honneur qu'on cherche, et vous n'en avez point. v.1072 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Tu mens traître, j'en ai, mais si tu n'appréhendes... v.1073 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- En aurez-vous assez pour deux filles friandes ? v.1074 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Si de les contenter vous n'avez le moyen v.1075 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Ayant pris votre honneur elles prendront le mien. v.1076 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Elle même est d'honneur tellement amoureuse v.1077 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Que vous n'en aurez pas pour sa seule dent creuse ; v.1078 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Ainsi quoi que l'on fasse en un tel embarras v.1079 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Deux honneurs si petits ne leur suffiront pas. v.1080 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Pensez-y bien. v.1081 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Perfide, ainsi donc ton audace... v.1081 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Mais laissez moi, Jacinte, et daignez... v.1082 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Point de grâce. v.1082 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Celle qui vous aimait a le seul intérêt... v.1083 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Venez vite, Madame, autrement il m'échappe, v.1085 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Il faut faire si bien que Mendoce l'attrape ; v.1086 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Je le viens de quitter qu'il attend le retour... v.1087 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Ce qu'il avait dans l'âme il l'a su mettre au jour. v.1088 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je ne suis plus, Jacinte, Hipolite irritée, v.1089 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je donne ma tendresse à qui l'a méritée, v.1090 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Et de peur que mon père entendit vos discours v.1091 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je suis venue en hâte embrasser son secours. v.1092 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Qui l'outrage m'outrage, et mon âme et la sienne... v.1093 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je veux t'aimer aussi bonne peste de chienne. v.1094 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Toi m'aimer ? Tu veux donc oublier le soufflet... v.1095 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Je mets tout sous les pieds, et je suis ton valet. v.1096 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Mon_Dieu, je ne cours pas grand risque, v.1097 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Si je suis ton mari je reprendrai ma bisque, v.1098 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Et dessus ton visage appliquant tous mes doigts v.1099 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Pour un soufflet reçu je t'en donnerai trois. v.1100 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Quelles grâces, Madame, ai-je droit de vous rendre ? v.1101 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Hipolite elle même a voulu me défendre ! v.1102 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Que ferai-je pour vous qui réponde jamais... v.1103 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Vous savez le moyen de remplir mes souhaits. v.1104 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- C'est cela qu'il faut faire, et j'attends de Nicandre... v.1105 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Robin, que me dit-elle ? Et que viens-je d'entendre ? v.1106 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Moi, je sais le moyen de remplir ses souhaits ! v.1107 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Que ferai-je ? Pour faire une chose qui plaise... v.1109 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Et que fait-on ? Pour faire une fille bien aise, v.1110 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Vous servir m'est un bien précieux, v.1111 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Mais daignez vous résoudre à vous expliquer mieux ; v.1112 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Vous avez, Nicandre, une faible mémoire, v.1114 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- N'attendez plus pourtant de si libres propos, v.1115 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Concevez-vous ce que disent ces mots : v.1116 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Expliquez aussi votre pensée. v.1117 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Son honneur la suffoque, elle en est si pressée v.1118 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Car si vous le vouliez vous seriez honoré. v.1120 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Mais je ne comprends pas quel sera le service... v.1121 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Vous ne comprenez pas, mais c'est pure malice, v.1122 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Car il ne tient qu'à vous de comprendre. v.1123 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Madame, comprenons, si comprendre se peut... v.1124 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Impertinent... De grâce, excusez si ce traître... v.1125 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Le valet ne fait rien qu'à l'exemple du maître. v.1126 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Vit-on jamais Jacinte un si volage amant ? v.1127 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Pourquoi vous fiez vous à ce chien de Normand v.1128 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Si je savais qui vous met en colère v.1129 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- En ta faveur j'eusse apaisé mon père, v.1130 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- (Car tu viens de sortir de ce même logis.) v.1131 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Il est vrai que j'en sors, mais au moins... v.1132 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- De ce qu'un infidèle en a fait son asile. v.1133 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Il m'a donné, Madame, une retraite utile ; v.1134 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Mais insensiblement je m'y suis égaré. v.1135 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Une cour dérobée où j'étais retiré... v.1136 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Cum licence, ôtez-moi d'une peine v.1137 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Monsieur, en quelle rue est le Cours de la Reine ? v.1138 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Vous en venez, vous devez le savoir. v.1139 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Dans ce même logis tu n'as donc pu me voir ? v.1140 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Toi qui mens avec tant d'assurance ? v.1141 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Toi qui d'un galant homme as la seule apparence. v.1142 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Toi qu'un sang assez bon semble avoir élevé, v.1143 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Et qui n'est cependant qu'un perfide achevé. v.1144 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Je t'ai de ce logis aplani la sortie. v.1145 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Moi traître, et ton âme l'oublie. v.1146 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Quoi qu'il en soit j'en prends peu de souci, v.1147 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Je me retire. Adieu trop charmante Hipolite, v.1149 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Ce n'est pas sans regret que Nicandre vous quitte : v.1150 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Mais Ismène elle seule a droit de me charmer, v.1151 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Je me retire, et pourtant, ô friponne, v.1153 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Ce n'est pas sans regret que Robin t'abandonne ; v.1154 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Car quand dés ce matin je t'ai vue en ce lieu... v.1155 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- C'est ma foi plutôt fait de ne dire qu'Adieu188. v.1156 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Si jamais tu m'aimas, cours après ce Nicandre, v.1157 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Fais si bien par tes soins qu'on le puisse surprendre, v.1158 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Il s'en va du côté que Mendoce l'attend. v.1159 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Cours vite, et ne parle point tant ; v.1160 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Vole s'il est possible, et fais qu'on le saisisse. v.1161 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Il vous aime Nicandre, et me fait un affront v.1163 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- L'ingrat. v.1164 (Acte 4, scène 8, ISM?NE)
- S'il m'aime, il fait ce que bien d'autres font. v.1164 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- À donner coeur pour coeur vous avez été prompte. v.1165 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- Je n'ai pas entrepris de vous en rendre compte. v.1166 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- De ses premiers liens vous l'avez arraché. v.1167 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- Donc assez faiblement il était attaché. v.1168 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- D'accord. Mais vos appas ont de telles amorces... v.1169 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- S'ils vous ont fait trembler ils ont assez de forces. v.1170 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Non sans votre soupçon que je crusse en avoir ; v.1171 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Mais qui les appréhende en connaît le pouvoir. v.1172 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Jugez-en mieux, Madame, un honteux artifice v.1173 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- Qui charme sans appas n'a pas manque d'esprit. v.1176 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Je le crois. Savez-vous le destin de Nicandre ? v.1177 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- Non je ne le sais pas : mais on va me l'apprendre. v.1178 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Écoutez ma Suivante, elle vient droit ici. v.1179 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Point Madame, vous-même écoutez celui-ci ; v.1180 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- Ayez-en l'âme atteinte. v.1181 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Hé bien cher Ragotin ? v.1182 (Acte 4, scène 9, ISMENE)
- Hé bien chère Jacinte ? v.1182 (Acte 4, scène 9, HIPOLITE)
- Il est enseveli dans le grand Châtelet. v.1183 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- En ma propre présence on l'a pris au collet. v.1184 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Je l'ai vu dans la Morgue, où je crois qu'il enrage. v.1185 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Pour apprendre à chanter on l'a mis dans la cage. v.1186 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Il ne présumait pas qu'on lui fit cet affront. v.1187 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Il ne se doutait pas d'un orage si prompt. v.1188 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Il vous nomme perfide. v.1189 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Il vous nomme cruelle. v.1189 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Vous le voyez, Madame, on l'a mis en lieu sûr. v.1191 (Acte 4, scène 9, ISMÈNE)
- A qui vient de si loin cela semble assez dur : v.1192 (Acte 4, scène 9, HIPOLITE)
- Mais plaignez son malheur, soupirez sans rien craindre. v.1193 (Acte 4, scène 9, HIPOLITE)
- Je ne l'ai pas fait prendre à dessein de le plaindre, v.1194 (Acte 4, scène 9, ISMÈNE)
- On l'a pris par mon ordre, v.1195 (Acte 4, scène 9, ISM?NE)
- On l'a pris par le mien. v.1195 (Acte 4, scène 9, HIPOLITE)
- Bien. v.1196 (Acte 4, scène 9, HIPOLITE)
- C'est par l'ordre à Monsieur. v.1197 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Effrontée. v.1198 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Arrogant. v.1198 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Impertinente. v.1198 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Infâme. v.1198 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Ne raisonne pas tant, je t'en prie. v.1199 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Si dans ma fureur je me jette sur toi v.1200 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Aiguillon de vipère. v.1201 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Croyez-m'en Hipolite, appelons votre père, v.1202 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- C'est le présent du verbe Audire. v.1204 (Acte 4, scène 10, ISIDORE)
- Qui, Monsieur ? v.1205 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Ragotin ma surprise est extrême. v.1205 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Ce l'est, c'est mon père lui-même. v.1206 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Définis-moi la cause, et dis-moi la raison... v.1207 (Acte 4, scène 10, ISIDORE)
- La cause est que Nicandre est dans une prison : v.1208 (Acte 4, scène 10, JACINTE)
- Mais ce demi Monsieur qui dessous sa jaquette... v.1209 (Acte 4, scène 10, JACINTE)
- Ne passe plus outre impudente Soubrette, v.1210 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Découvrant qui je suis tu prétends me punir, v.1211 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Pour te punir toi-même il te faut prévenir. v.1212 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Un aveu légitime autorise ma flamme, v.1213 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Je suis demi Monsieur ; mais entière Madame, v.1214 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Ce vieillard est mon père, et c'est tout mon bon heur, v.1215 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Vous êtes donc une fille, Monsieur ? v.1216 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Mon père ! v.1217 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- As-tu pu me connaître. v.1217 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- Je couchais d'ordinaire aux côtés de mon maître, v.1218 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Il était si peureux que j'étais son appui ; v.1219 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- N'êtes-vous point peureuse aussi bien comme lui ? v.1220 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Je partis de Lyon sans vous en rien apprendre, v.1221 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Pour venger mon injure, et pour perdre Nicandre ; v.1222 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- J'ai trouvé que Madame en a fait son amant ; v.1223 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Mais sa lâche inconstance aura son châtiment, v.1224 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Vous savez ce que m'a fait Nicandre. v.1225 (Acte 4, scène 10, HIPOLITE)
- À la fin je l'ai su faire prendre ; v.1226 (Acte 4, scène 10, HIPOLITE)
- Mais il faut que mon père en secret m'interroge, v.1229 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Allons où vous logez, ou venez où je loge, v.1230 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Si jamais la tendresse ébranla votre coeur, v.1231 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Tu sais bien que j'ai peu de rigueur. v.1232 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- Et vous quoi que pour moi votre bonté paroisse, v.1233 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- N'attendez nullement que je la reconnaisse, v.1234 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- Puis que quoi que Nicandre ait commis contre vous, v.1235 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- Je veux que de ma fille il devienne l'époux : v.1236 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- C'est être ingrat ami, mais c'est être bon père. v.1237 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- J'ai trop eu pour Eutrope indulgence plénière, v.1238 (Acte 4, scène 10, ISIDORE)
- Mon esprit se gendarme à l'encontre de lui, v.1240 (Acte 4, scène 10, ISIDORE)
- Consolez-vous, vous pouvez tout prétendre, v.1241 (Acte 4, scène 10, HIPOLITE)
- Demain dans la prison vous reverrez Nicandre. v.1242 (Acte 4, scène 10, HIPOLITE)
- Vous dites vrai, Madame, et ce qui m'est bien doux, v.1243 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Vous le verrez aussi sans qu'il puisse être à vous. v.1244 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Adieu donc voyageuse. v.1245 (Acte 4, scène 10, JACINTE)
- Adieu bonne rusée v.1245 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Intrigueuse. v.1246 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Adieu donc fille garçonnisée. v.1246 (Acte 4, scène 10, JACINTE)
- Elle garçonnisée, instruits-moi de son sens ? v.1247 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Et tu l'es par dedans. v.1248 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- À voir de mon amour l'aventure bizarre, v.1249 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- On dirait que le sort contre moi se déclare ; v.1250 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Moi coucher en Prison ! Moi qui sais le moyen... v.1251 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Moi qui crois vous valoir, Monsieur, j'y couche bien. v.1252 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Dites-moi, votre gîte est-ce un gîte passable ? v.1253 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- On n'a dans la prison point de chambre agréable ; v.1254 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Mais l'endroit où je couche est pourtant assez beau. v.1255 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- C'est dans la Chambre-neuve. v.1256 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Et moi dans le Berceau : v.1256 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Le bon peste de gîte ! On dirait d'une cave ; v.1257 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- D'une vieille muraille on ramasse la bave, v.1258 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et de soin tout pourri les petits brins épars v.1259 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Sont sans cesse traînés par Messieurs les piquarts. v.1260 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Mais d'où vient que si tard ta personne est si nue ? v.1261 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- On m'a pris mes habits pour ma bonne venue, v.1262 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et tous mes compagnons, les filous de céans, v.1263 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- (Qu'au filoutage prés je trouve braves gens ; v.1264 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Car ils sont si bénins que de peur de rancune v.1265 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ils ont pris mon bagage au défaut de pécune.) v.1266 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Tes habits sont mangés ? v.1267 (Acte 5, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Oui, Monsieur. v.1267 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Est-ce ainsi... v.1267 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- S'ils m'avaient pu manger ils l'auraient fait aussi : v.1268 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Peste, ces affamés sont de vrais fripe-sausses. v.1269 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Quoi, tu n'as ni pourpoint ? Ni casaque ? Ni chausses ? v.1270 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Ils ont tout avalé sans rien mettre à l'écart ? v.1271 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Nenni pas tout à fait, j'en ai mangé ma part. v.1272 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Mais ce qui me contente ils ont l'âme assez franche, v.1273 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Outre qu'ils m'ont promis que j'aurais ma revanche, v.1274 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ils souffrent bonnement que je rie avec eux, v.1275 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- J'y ferai bien mon compte. v.1277 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et comment, Ridicule ? v.1277 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Et par le petit trou quand on ferre la mule. v.1278 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ah que j'aurai bientôt regagné mon habit. v.1279 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- On n'y met rien. v.1280 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Ma foi, l'on me l'a déjà dit. v.1280 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Mais si l'on m'y mettait c'était bien mon affaire. v.1281 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ce n'est certes qu'à moi que le sort est contraire v.1282 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Mais sortons de ce lieu, je vais faire un écrit... v.1283 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- N'en sortons point, Monsieur, que je n'aie un habit, v.1284 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Je vous en prie. v.1285 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Écoute, en cas qu'on me demande v.1285 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Tu viendras me quérir, et diras qu'on m'attende, v.1286 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Ou du moins si tu veux tu pourras m'appeler. v.1287 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Il a le Diable au corps de vouloir s'en aller. v.1288 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Du fidèle Robin le bonheur l'importune, v.1289 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Il mourrait de regret si je faisais fortune, v.1290 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Et de sortir d'ici le bourreau n'a dessein v.1291 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Qu'à cause qu'à présent il me voit dans le gain. v.1292 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Mais l'on ouvre ; l'on entre ; allons faire la quête. v.1293 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Mettez-vite, Monsieur, de l'argent dans la boîte. v.1294 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Une autre fois. v.1295 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Mettez ; on n'a point de crédit. v.1295 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Mais l'ami... J'ai besoin d'un habit v.1296 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Monsieur. v.1297 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Ou je me trompe, ou je crois te connaître. v.1297 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Receveur (Il est vrai qu'à ne vous celer rien v.1299 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- La recette est petite, et ne va pas trop bien ; v.1300 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Mais faut-il de regret que je m'en aille pendre ?) v.1301 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Je t'ai vu dans Lyon souvent suivre Nicandre. v.1302 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Tu ne me connais pas ? v.1304 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- À remettre vos traits j'ai pourtant de la peine ; v.1305 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Ne vous nommez-vous pas Monsieur, Madame Ismene ? v.1306 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Oui, Robin, c'est Ismène. Et ton maître, l'ingrat ? v.1307 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Mon maître ? Il est fort délicat. v.1308 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- J'ai peur dans la prison qu'il n'amasse du rhume. v.1309 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Va, sa flamme l'échauffe, et l'amour le consume ; v.1310 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Mais voila deux Louis, reçois-les de ma main, v.1311 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Et du traître Nicandre apprends-moi le dessein. v.1312 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- N'a-t-il point de regret de ce qu'il m'a perdue ? v.1313 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Ne veut-il pas me rendre une foi qui m'est due ? v.1314 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Agis. Par ton moyen si l'ingrat se résout... v.1315 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Je suis trop malheureux pour en venir à bout. v.1316 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Toi qui sers cet ingrat, ne peux-tu faire en sorte, v.1317 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Robin... v.1318 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Tu ne le peux ? Le traître a donc bien du mépris v.1319 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- D'un amour réciproque il dédaigne le prix ; v.1320 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Croyant à son départ qu'il m'adorait dans l'âme v.1321 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- J'ai mis tous mes plaisirs à répondre à sa flamme ; v.1322 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- J'ai mis tous mes plaisirs au bonheur d'être unis ; v.1323 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Que veux-tu ? Je l'aimais ; il me semblait sincère, v.1325 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- À son volage coeur je croyais être chère ; v.1326 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- J'avais en sa faveur des sentiments si doux, v.1327 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Robin... v.1328 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Vous voulez voir mon maître, ayez soin de m'attendre. v.1329 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Non, ne m'attendez pas, je l'appelle. Nicandre ! v.1330 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Et qui donc est-ce là que je vois avec toi ? v.1332 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Et qui donc ? Dis. v.1333 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Qui que ce soit n'importe, il suffit qu'on m'appelle. v.1334 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Je descends. v.1335 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Que dis-tu, de la peine qu'il a ? v.1335 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- N'as-tu pas aperçu... Mais l'ingrat le voilà. v.1336 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Hé bien, Nicandre ? v.1337 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Hé bien, Madame, êtes-vous lasse v.1337 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Quels appas avez-vous qui puissent me charmer ? v.1339 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Y suis-je obligé, moi ? Voulez-vous m'y contraindre ? v.1341 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Si tu n'as pu m'aimer volage, as-tu dû feindre ? v.1342 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Et ne fallait-il pas pour le bien de mes jours v.1343 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Ou ne m'aimer jamais, ou bien m'aimer toujours ? v.1344 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Mais écoute, il est temps que tu m'ouvres ton âme, v.1345 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Et sans perdre un moment en propos superflus, v.1347 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Depuis quand donc ne l'adorez-vous plus v.1348 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Notre cher ? v.1349 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Dis-tu moi ? J'ai plutôt de la haine... v.1349 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Que diable dites vous étourdi ? C'est Ismène v.1350 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Que vous aimez tant. v.1351 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Moi ? Je n'ai jamais pensé... v.1351 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- C'est Ismène, vous dis-je, êtes-vous insensé ? v.1352 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Elle qui dans Lyon arrêta votre course... v.1353 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Moi qui de son bonheur voulais être la source. v.1354 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- De publier sa honte on m'épargne le soin, v.1355 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Dans son propre valet je rencontre un témoin, v.1356 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Et par un procédé qui sent l'âme de boue v.1357 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Il fait un désaveu qu'un valet désavoue. v.1358 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Poursuis, Robin, poursuis, et d'un maître pareil... v.1359 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Il a suivi, Madame un si rare conseil. v.1360 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous l'aviez bien payé pour m'appeler son maître, v.1361 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais par mal-heur pour vous je n'ai pu le connaître. v.1362 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Ah justes Dieux, le maudit renégat ! v.1364 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- C'est donc quand il vous plaît que vous êtes mon maître ? v.1365 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Jamais je ne le fus, et ne veux jamais l'être. v.1366 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- J'aurais trop de regret si la moindre union... v.1367 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Et qui donc te servait quand tu vins à Lyon ? v.1368 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Mais tu n'y fus jamais, tu le vas faire accroire. v.1369 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- J'ai trop peu de faiblesse, et trop bonne mémoire. v.1370 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- On m'a vu dans Lyon faire assez de séjour, v.1371 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais ce n'est qu'à Paris que j'ai pris de l'amour. v.1372 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Ah méchant ! v.1373 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Moi méchant ! C'est me faire injustice. v.1373 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Renier un valet c'est un beau petit vice. v.1374 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Il appelle cela des chansons v.1375 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Épargne à mon amour le regret de te nuire, v.1377 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- J'oublierai ton forfait si tu veux t'en dédire, v.1378 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Et pour mieux te contraindre à paraître surpris v.1379 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- J'aurai plus de bonté que tu n'as de mépris. v.1380 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Et moi qui suis sensible, et qui vois qu'on m'abuse v.1381 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- J'aurai plus de mépris que vous n'aurez de ruse ; v.1382 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- De ce lâche coquin je fuirai l'entretien ; v.1383 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Il me dira son maître, et je n'en croirai rien ; v.1384 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Dédaignant les défauts, honorant le mérite, v.1385 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Et n'était votre sexe, eût-on dû m'en blâmer, v.1387 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous seriez en état de jamais ne m'aimer. v.1388 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Pardonne ingrat ma visite obligeante. v.1389 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Au reste agonisant d'un amitié mourante, v.1390 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Qui pour ton intérêt augmentant de moitié v.1391 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Arrachait un avis à ma lâche pitié ; v.1392 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Tu ne m'écoutes pas, mais redoute mon père, v.1393 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Dans assez peu de temps nous serons en ce lieu. v.1395 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Vous voila justement, comme il plaît au bon Dieu. v.1396 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Vous venez là de faire un bon chien de ménage. v.1397 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Continuez, l'ami. v.1398 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- J'enrage, v.1398 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Et je souhaiterais que chacun souhaitât v.1399 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Qu'au milieu de la grève on vous décapitât. v.1400 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Un tendron l'idolâtre, et Monsieur le néglige ; v.1401 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Une Ismène l'adore, et Monsieur... v.1402 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Ou bien si de ta voix rien n'arrête le cours v.1403 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Dis-le nom d'Hipolite, et m'en parle toujours : v.1404 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Su tu veux que pour toi mon courroux se désarme v.1405 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Détruis un nom haï, par un nom qui me charme, v.1406 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Et pour l'un et pour l'autre agissant tour à tour v.1407 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- En approuvant ma haine applaudi mon amour. v.1408 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Là-dessus, cher ami le Seigneur te console, v.1409 (Acte 5, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Fou des plus achevés, dont les sens abêtis v.1411 (Acte 5, scène 6, ROBIN)
- Pensent... Mais des verrous j'entends le cliquetis, v.1412 (Acte 5, scène 6, ROBIN)
- Quelqu'un entre. v.1413 (Acte 5, scène 6, ROBIN)
- Bonjour. v.1413 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- A voir ce que je porte on connaît que je quête ; v.1414 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Tout questeur que je sois si tu fais un souhait v.1415 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Tu peux tendre ta boîte, et je donne mon fait v.1416 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Il n'est pas temps encore v.1417 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Je viens voir... v.1418 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Vois traîtresse un Robin qui t'adore, v.1418 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et qui pour t'avoir vue un peu plus qu'il ne faut, v.1419 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- N'est vêtu que de toile, et s'il brûle de chaud. v.1420 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Je viens dire... v.1421 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Dis-moi, femelle insecourable v.1421 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Si l'on peut longtemps vivre, et brûler comme un Diable ; v.1422 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et si tu n'agis pas d'une ingrate façon v.1423 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- De me voir être braise, et que tu sois glaçon. v.1424 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Je viens faire... v.1425 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Toi faire ? Hé bien fille mauvaise, v.1425 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Il ne tiendra qu'à toi de me faire bien aise ; v.1426 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Ou du moins connaissant que tu m'aimes si peu v.1427 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Souffre glace pour glace, ou me rend feu pour feu. v.1428 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Je viens pour... v.1429 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Tu viens pour ? Ce n'est pas assez dire ; v.1429 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Viens-tu pour m'obliger, ou viens-tu pour me nuire ? v.1430 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et puisque assurément dans ce lieu tu viens pour, v.1431 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Dis-moi si c'est pour haine, ou si c'est pour amour. v.1432 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- C'est pour amour. Ton maître en a-t-il l'âme atteinte. v.1433 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Le maître aime Hipolite, et le valet Jacinte. v.1434 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Tu te railles, peut-être, et te moques de nous, v.1435 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Car Ismène... v.1436 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Elle vient de sortir qui déteste Nicandre, v.1437 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- De lui-même à lui-même elle a dit pis que pendre v.1438 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Il avait le dessein de lui rompre le cou. v.1439 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Il en est parbleu fou. v.1440 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Quand on parle d'Ismene on le choque, on l'irrite, v.1441 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- On le touche on le charme en parlant d'Hipolite, v.1442 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et ce nom par lui-même est si fort répété... v.1443 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Attend, mon cher Robin, tu seras contenté. v.1444 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Voyons dans la geôle, Hipolite y doit être, v.1445 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Elle m'a fait entrer pour pressentir ton maître, v.1446 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Et puisqu'enfin Nicandre à l'aimer se résout v.1447 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Disons-lui qu'elle vienne, et l'informe de tout. v.1448 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Allons-donc, paresseuse, v.1449 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- Nicandre est amoureux, comme vous amoureuse ; v.1450 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- Et Robin que voila qui soupire pour moi v.1451 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- M'en répond corps pour corps, et m'en jure sa foi. v.1452 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- En est-il bien certain ? v.1454 (Acte 5, scène 8, HIPOLITE)
- Oui, je me donne au Diable. v.1454 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Mais Ismène l'adore, elle veut recouvrer211... v.1455 (Acte 5, scène 8, HIPOLITE)
- En ma propre présence il la vient de sevrer. v.1456 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Mais voyez, on dirait que le Ciel nous l'envoie. v.1457 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Si tu penses... v.1458 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- Jacinte, il va mourir de joie ; v.1458 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Je le sais de science, et je t'en donne avis ; v.1459 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Jamais nul amoureux n'eut les sens si ravis ; v.1460 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Ma lettre à la fin est écrite, v.1461 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Mais que vois-je, ô bons Dieux ! N'est-ce pas Hipolite ? v.1462 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Hipolite elle-même, avancez, mal ému. v.1463 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Que disais-je ? De joie il est si prévenu v.1464 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Qu'il a changé de note au moment qu'il a vue. v.1465 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Madame, à votre aspect je me sens l'âme émue... v.1466 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- L'âme émue ! Entends-tu ? Sans amour l'aurait-on ? v.1467 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Que t'en semble ? v.1468 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il le dit d'un assez vilain ton. v.1468 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Si d'un coeur qui vous aime on vous fait une offrande... v.1469 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Je veux dans une fille une vertu plus grande ; v.1470 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et quand d'autres que vous ne me charmeraient pas v.1471 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- A ne pas vous connaître et voir votre visage v.1473 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Mais fussai-je volage, à vous connaître mieux v.1475 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Vous seriez la dernière à surprendre mes yeux. v.1476 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Robin ! v.1478 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Je suis penaud comme un fondeur de cloches. v.1478 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Je disais ; mais je ne dis plus rien. v.1479 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il est fou, ne le vois-tu pas bien, v.1480 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il fait bon se fier à de semblables drilles ? v.1481 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Est-ce comme cela que l'on traite des filles ? v.1482 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Ton brutal procédé rend mon coeur interdit... v.1484 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Et le vôtre me choque, et le vôtre m'étonne, v.1485 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je suis honteux pour vous de ce qu'on m'emprisonne v.1486 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je ne suis dans ce lieu que par votre moyen, v.1487 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Mais vous ne valez rien. v.1488 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- J'ai de la quereller un sujet raisonnable, v.1489 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Que les menteurs sont les enfants du Diable, v.1490 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Et pour cette raison je vous fais à sçavoir215 v.1491 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Que Monsieur votre père est un père fort noir, v.1492 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- C'est Ismène en ce lieu qui vous a fait conduire v.1493 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Menteur. v.1494 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Point, c'est moi-même et je cherche à lui nuire ; v.1494 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Loin de le déguiser j'en demeure d'accord. v.1495 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Un habile fauteur pour le craindre si fort v.1496 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Je t'ai fait prendre, et non pas ton Ismène v.1497 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Elle est trop bonne, et vous êtes trop vaine ; v.1498 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Mon sort est déplorable, et mon sort serait doux v.1499 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Si c'était mon Ismène aussi bien que c'est vous v.1500 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Méchante. v.1501 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Feu Judas prés de lui n'eut été qu'un novice ; v.1502 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- S'ils se fussent connus celui-ci l'eut forcé v.1503 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- À venir de sa bouche écouter l'A, B, C. v.1504 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il a fait tout son cours à l'école traîtresse, v.1505 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- D'autres nomment trahir ce qu'il appelle adresse ; v.1506 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Au plus tard dans trois jours je serais Maître ès Arts. v.1508 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il est savant. v.1509 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Apprends-moi... v.1510 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Dans vos mains je pourrais voir la foudre v.1510 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- En redouter la chute, en sentir les éclats, v.1511 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et la peur de périr ne m'ébranlerait pas. v.1512 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- J'aime Ismène, je l'aime, et non pas Hipolite, v.1513 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- J'aime Ismène... v.1514 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- C'est trop, ton audace m'irrite, v.1514 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Traître. Tu sais Jacinte où mon père m'attend ? v.1515 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Oui je le sais Madame, et je vais à l'instant... v.1516 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Il prévient mon voyage, et le voila qu'il entre. v.1517 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Des forfaiteurs c'est donc ici le centre ? v.1518 (Acte 5, scène 10, ISIDORE)
- Nicandre... v.1519 (Acte 5, scène 10, ISIDORE)
- De l'ingrat le mépris est trop grand, v.1519 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- À toute ma tendresse il est indifférent, v.1520 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- De son perfide coeur la fierté me ravale, v.1521 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- Elle vient. v.1523 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- Infidèle, il est temps de parler. v.1523 (Acte 5, scène 11, ISMÈNE)
- Volage, il n'est plus temps de rien dissimuler. v.1524 (Acte 5, scène 11, HIPOLITE)
- S'il s'en peut démêler il n'est pas malhabile. v.1525 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Monsieur... v.1526 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- Tu cherches, traître, une ruse inutile ; v.1526 (Acte 5, scène 11, ISMÈNE)
- Tu n'abuseras plus ni mon père, ni moi. v.1527 (Acte 5, scène 11, ISM?NE)
- Est-ce Ismène ! v.1529 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- Nenni, c'est une autre. Ah le traître ! v.1529 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Est-ce Ismène ! v.1530 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- Tu feins de ne pas me connaître v.1530 (Acte 5, scène 11, ISMÈNE)
- C'est un fin merle, il sait bien d'autres tours. v.1531 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Sois mon Gener, Immond, ou descends au sépulcre, v.1533 (Acte 5, scène 11, ISIDORE)
- Tu vois bien que ma fille est passablement pulcre ; v.1534 (Acte 5, scène 11, ISIDORE)
- Sois mon Gener, sinon... v.1535 (Acte 5, scène 11, ISIDORE)
- Non. v.1537 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- Non traître ! Oses-tu... v.1537 (Acte 5, scène 11, HIPOLITE)
- Effronté. v.1539 (Acte 5, scène 11, ISMÈNE)
- Vous, Madame ? Ô grands Dieux qu'est-ceci ! v.1539 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- Si pas un de ceux là ne vous semble croyable, v.1541 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Je le sais aussi, moi, témoin irréprochable, v.1542 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Quoi Robin, quoi j'aurais consenti... v.1543 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- C'est dire en mots couverts tout le monde a menti. v.1544 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Tu n'as point de raison, car tu dois faire entendre... v.1545 (Acte 5, scène 11, LE SECOND NICANDRE)
- J'aurai tort si ce lieu loge plus d'un Nicandre. v.1546 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Voyons. v.1547 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Mais voyons. Ho Nicandre ! J'ai tort v.1547 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Comme il répond. Nicandre ! Est-ce pas assez fort ? v.1548 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Ho Nicandre ! Écoutez caterreuse cervelle, v.1549 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Qui donc encor est-ce là qui m'appelle ? v.1550 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Qui Diable est celui-ci qui s'en vient droit à nous ? v.1551 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Quoi mon frère est ici ! v.1553 (Acte 5, scène 12, LE SECOND NICANDRE)
- Dites-moi s'il vous plaît qui des deux est mon maître. v.1554 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Dites-moi qui des deux m'a fait don de sa foi. v.1555 (Acte 5, scène 12, ISMÈNE)
- Dites-moi qui des deux s'est pu donner à moi. v.1556 (Acte 5, scène 12, HIPOLITE)
- Est-ce vous ? Est-ce vous ? Rendez m'en plus instruite, v.1557 (Acte 5, scène 12, HIPOLITE)
- C'est moi qui dans l'espoir de me voir vôtre époux... v.1559 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Hé bien, suis-je Madame infidèle pour vous ? v.1560 (Acte 5, scène 12, LE SECOND NICANDRE)
- Rendez-moi vôtre amour, reprenez votre haine. v.1561 (Acte 5, scène 12, LE SECOND NICANDRE)
- Mais lorsqu'on vous a pris dans le Cours de la Reine... v.1562 (Acte 5, scène 12, ISMÈNE)
- Lui Madame ? C'est moi qu'on a pris dans ce lieu. v.1563 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Tout va le mieux du monde, ou je me donne à Dieu ; v.1564 (Acte 5, scène 12, JACINTE)
- Car aucun contre aucun n'aura sujet de plainte. v.1565 (Acte 5, scène 12, JACINTE)
- Puisqu'Ismene est aimée, Hipolite, et Jacinte, v.1566 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Sans nous embarrasser d'aucune autre raison v.1567 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Prenons chacun la nôtre, et sortons de prison. v.1568 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Que dis-tu de l'avis, dis-moi donc ma petite ? v.1569 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Pour moi, j'adore Ismène. v.1570 (Acte 5, scène 12, LE SECOND NICANDRE)
- Pourrons nous être à vous, et souffrirez vous bien. v.1571 (Acte 5, scène 12, LE SECOND NICANDRE)
- Demandez à mon père. v.1572 (Acte 5, scène 12, ISMÈNE)
- Et demandez au mien. v.1572 (Acte 5, scène 12, HIPOLITE)
- Puis qu'il est si sincère, il a droit de prétendre v.1573 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Et le nom de mon fils, et le nom de mon gendre ; v.1574 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Et si touchant sa fille Isidore m'en croit v.1575 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Envers l'autre Nicandre il fera ce qu'il doit. v.1576 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Que Nicandre la Sponde, et foi de Philosophe, v.1577 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
- Je serai bénévole envers sa catastrophe ; v.1578 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
- Ex abundantia cordis os loquitur. v.1580 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
- Quelles grâces vous rendre ! Une gloire parfaite... v.1581 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Tournez-moi les talons, votre besogne est faite v.1582 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Monsieur. Toi que dis-tu ? v.1583 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Je t'aime bien, et toi ? v.1584 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Moi ? Je ne te hais pas. v.1584 (Acte 5, scène 12, JACINTE)
- Je me veux marier aussi bien que mon maître, v.1585 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Je te veux, me veux-tu ? Concluons tout ici. v.1587 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Ma foi, si tu me veux, je te veux bien aussi. v.1588 (Acte 5, scène 12, JACINTE)
- Tiens. v.1589 (Acte 5, scène 12, JACINTE)
- Et vous avant votre sortie v.1589 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Allez dans une chambre y conter votre vie, v.1590 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Et faites qu'en tous lieux on vous loue en ce point v.1591 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Qu'on vous a crû MENTEURS, et vous ne MENTIEZ POINT. v.1592 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
LE JALOUX ENDORMI (1662)
- Je vous l'avais bien dit pour calmer votre effroi, v.1 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et qu'assez de trésors vous auriez en partage, v.3 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si de me posséder vous aviez l'avantage ; v.4 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Mentais-je ? Et le repos vous est-il assuré, v.5 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Ayant eu le bonheur de m'avoir rencontré ! v.6 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- De semblables profits auriez-vous à prétendre, v.7 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si l'on vous eut laissée au pouvoir de Cléandre, v.8 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et si, par un destin à vos voeux pas trop doux, v.9 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- J'eusse jeté les yeux sur une autre que vous ? v.10 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quand je songe au malheur où je suis condamnée, v.11 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- J'ai regret d'être à vous par les noeuds d'Hyménée, v.12 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Et j'éprouve du sort les plus sensibles coups, v.13 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Puisqu'il m'a fait tomber dans les mains d'un jaloux, v.14 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Qu'est-ce que de ma part votre coeur appréhende ? v.15 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Mon honneur m'est trop cher pour vouloir. v.16 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Ah friande ! v.16 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- L'honneur dont vous parlez deviendrait casuel ; v.18 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que sachant les tours dont les femmes sont dignes, v.19 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- On nous prendrait bientôt dans le Ciel pour des Signes, v.20 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Puisque de vos plaisirs un bon Frère garni v.21 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Produirait Capricorne, et ferait Gemini ! v.22 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sachez que de tout temps j'appréhende le blâme, v.23 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Qu'au gré de mon désir je gouverne ma femme, v.24 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que sans en murmurer il faut suivre ma loi, v.25 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que quand je vous pris ce ne fut que pour moi. v.26 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que si votre Mari dans ce lieu vous enferme, v.27 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- C'est qu'il croit votre honneur n'être pas assez ferme, v.28 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que ne pas souffrir qu'on vous puisse approcher, v.29 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- C'est ôter à vos sens les moyens de pêcher. v.30 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Vous, Monsieur, apprenez qu'un discours incommode, v.31 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- D'un crime qu'on ignore enseigne la méthode, v.32 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Et que pour confirmer vos injustes soupçons, v.33 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- D'un prétexte inutile on se fait des leçons : v.34 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Pour épargner du trouble à votre âme alarmée, v.35 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Peut-être avec raison m'avez-vous enfermée, v.36 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Car de la liberté si j'usais pleinement, v.37 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Qui doute de ma foi douterait justement. v.38 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Voyez-vous qu'en effet d'autres fassent paraître. v.39 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Les autres sont des sots et je ne veux pas l'être ; v.40 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Nous savons mieux que vous ce que ces autres font, v.41 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et ne prétendons pas devenir ce qu'ils sont. v.42 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Faut-il point pour vous plaire à l'exemple d'un autre, v.43 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Souffrir en mon absence un Galant qui soit vôtre, v.44 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et qu'après qu'en honneur cinquante ans j'ai vécu. v.45 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Je sois d'intelligence à me faire Cocu ? v.46 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Faut-il point, dis-je encore, que moi-même je brigue ? v.47 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que je pousse à la roue, et conduise l'intrigue ? v.48 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et sur vos passions conformant mes désirs, v.49 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que l'époux ait la peine, et l'Amant les plaisirs ? v.50 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quand on vient pour vous voir, faut-il point que je sorte ? v.51 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que sous mon aveu vous ayez le moyen v.53 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- D'acheter du Brocart d'autre argent que du mien ? v.54 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Voilà ce qu'aujourd'hui tous ces autres observent, v.55 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Ils se font des Amis dont leurs femmes se servent, v.56 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et ne murmurent pas quand pour faire l'amour, v.57 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Elles courent la nuit, et reposent le jour. v.58 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Ah ! qu'il vaudrait bien mieux que du nombre assez ample, v.59 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- De ces Martyrisés je devinsse l'exemple ! v.60 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que si l'on enfermait chaque femme qui court v.61 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Avec six cadenas, elle aurait le nez court ! v.62 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Qu'on verrait de Maris marcher tête levée, v.63 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si ma règle par eux était bien observée ! v.64 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et que de quantité le destin serait doux, v.65 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si leur plus grand malheur était d'être jaloux ! v.66 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et de tous les malheurs en est-il un plus rude v.67 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Monsieur ! v.68 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Et qui de la sagesse a le moindre rayon, v.69 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Préfère un sort d'Argus au destin d'Actéon. v.70 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quiconque peut avoir un rayon de sagesse, v.71 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Dans les maux d'une femme à jamais s'intéresse, v.72 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Et loin qu'à l'outrager il puisse être contraint, v.73 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Il s'en veut faire aimer, et n'en pas être craint. v.74 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Qui d'avoir des soupçons ne pouvait se défendre, v.75 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Devait m'abandonner à l'amour de Cléandre, v.76 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Et par l'éclat d'un bien dont je ne puis jouir, v.77 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- N'abusez pas mon Père, et ne pas l'éblouir. v.78 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Il vous plaisait beaucoup ce Cléandre ? v.79 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sans doute. v.80 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Encore même, il l'a toute. v.80 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Mon sort. v.82 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- On dit bien vrai que l'amour n'a point d'yeux ! v.82 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Vous aurez donc regret de vous voir ma conquête v.83 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Madame la Mignonne ? v.84 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- En effet. v.84 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Bonne bête ! v.84 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- De vos mauvais desseins c'est assez m'avertir, v.85 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Vous voudriez être gueuse, et vous bien divertir. v.86 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Il vous faut un Mari de nouvelle fabrique, v.88 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Qui redoute une femme, et de crainte du choc, v.89 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Laisse chanter la Poule, et plus haut que le Coq. v.90 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Il vous faut un Mari qui crut faire un grand crime, v.91 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- S'il ne donnait de quoi pour jouer à la Prime, v.92 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et qui ne laisse pas de paraître gaillard, v.93 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si l'on quitte la Prime, et qu'on joue au Billard. v.94 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Il vous faut un Mari qui confonde sa rente, v.95 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Qui soit brave quatre ans, et gredin plus de trente, v.96 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et sur qui l'on saisisse au profit des Marchands, v.97 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et maisons de la ville, et revenus des champs. v.98 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si vos débordements ne trouvaient une écluse, v.100 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et du moins dans mes biens vous verriez des appâts, v.101 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sans les doubles ressorts de mes six cadenas ; v.102 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Mais quoique contre moi votre coeur se propose, v.103 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sachez qu'avant la nuit j'en veux croître la dose, v.104 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et dussiez-vous cent fois vous en mettre en courroux, v.105 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- À vos six cadenas joindre autant de verrous, v.106 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Rentrez ; car aussi bien je vois un Gentillâtre, v.107 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- De vos yeux bien fendus il serait idolâtre, v.108 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Rentrez donc. v.109 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Rentrez, sans vous embarrasser. v.109 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Diable ! que j'ai bien fait de la cadenasser. v.110 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Monsieur, vous savez bien qu'on me nomme Cléandre ? v.111 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Vous ne savez pas ce que j'ose prétendre ? v.112 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Non. v.113 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Mais il vous souvient que je fus amoureux ? v.113 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Que je ne fus pas un amant fort heureux ? v.114 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Non. v.115 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Que votre mérite emporta la balance ? v.115 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Qu'enfin mon ardeur n'eut point de récompense ? v.116 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Non. v.117 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Ainsi donc, Monsieur, ne trouvez pas mauvais v.117 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Si je viens. v.118 (Acte 1, scène 2, CL?ANDRE)
- Vous, Monsieur, trouvez bon si je vais. v.118 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Un si grand préambule est suspect à mon âme, v.119 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Mais Monsieur. v.120 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Mais Monsieur, mais Madame, v.120 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- J'ai des soins à donner autre part que vers vous, v.121 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Avec mes cadenas j'ai besoin de verrous, v.122 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Près de mon Serrurier il est temps de me rendre ; v.123 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Pour pouvoir me parler il ne faut que m'attendre, v.124 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Si je trouve mon fait, je reviens sur mes pas, v.125 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Si je ne trouve rien, je ne reviendrai pas. v.126 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Bonjour. v.127 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- De ce qu'il fait j'aurai tort de me plaindre, v.127 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Avec moins de faiblesse il serait plus à craindre, v.128 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- En vain à le tromper je serai préparé. v.130 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Mais je sais que son âme est sans cesse assoupie, v.132 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Et quand secrètement j'ose agir contre lui, v.133 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- De sa brutalité je me fais un appui. v.134 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Quoique des cadenas il observe l'usage, v.136 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Si pour votre malheur il advient que ce fou, v.137 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Si d'un sensible affront se sentant l'âme outrée, v.139 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- De ce trou favorable il occupe l'entrée, v.140 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Et que de son pouvoir se servant à propos, v.141 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- De coups drus comme grêle il nous brise les os ? v.142 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Non, Spadarille a la tête trop sèche, v.143 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Je n'appréhende pas qu'il découvre ma brèche, v.144 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Si pour voir Olimpie en un coin fort obscur, v.145 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- On a fait de ma chambre une entrée à son mur, v.146 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Tu sais qu'un lit superbe à ma flamme propice, v.147 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Pour me favoriser cache mon artifice. v.148 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- D'ailleurs notre vaisseau sur la fin de ce jour, v.149 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Cet anneau d'Olimpie est la marque secrète, v.151 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Et que pour accomplir d'équitables desseins, v.153 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Par l'avis de son Père elle a mis dans mes mains. v.154 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Ainsi de mon Rival le défaut effroyable. v.155 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Je sais que Spadarille est puant comme un Diable, v.156 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Et que de son haleine il infecte tous ceux v.157 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Qui de parler à lui sont assez malheureux ; v.158 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Mais il est Gouverneur, et c'est dont je frissonne, v.159 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Car son train. v.160 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- À sa suite il n'a nulle personne, v.160 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- De peur que de sa femme on pût voir les attraits, v.161 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Son âme scrupuleuse, et toujours défiante v.163 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Ne peut près d'Olimpie endurer de servante, v.164 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Dans la crainte qu'il a que l'on eut supposé, v.165 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Sous l'habit d'une fille un garçon déguisé. v.166 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Si bien. mais il écoute, évitons ses reproches. v.167 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Qu'ils s'y viennent frotter, ces mignons, ces poudrés. v.169 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Quoi l'on ose ?. v.170 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Oui l'on ose, et ce sont des Madrés, v.170 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Qui voudraient sur ma terre usurper droit de chasse, v.171 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Vous qui d'un Chien couchant affectez la grimace, v.172 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Êtes-vous point aussi quelque Amant aux yeux doux, v.173 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Qui pour plaire à l'épouse entretienne l'époux ? v.174 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Ne craignez rien de la part d'Olimpie, v.175 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Tous mes voeux sont bornés à chérir sa copie. v.176 (Acte 1, scène 4, CL?ANDRE)
- Oui, Monsieur. v.177 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Bon, il semble à ce fat, v.177 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Qu'on copie une femme aussi bien qu'un contrat. v.178 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et vous vous en allez ? v.179 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Avec une patente v.179 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Je vous puis rendre l'âme contente. v.180 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Mais dans ce petit doigt vous avez un anneau v.181 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Qui vous sied assez bien, et me semble fort beau ; v.182 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Vous êtes étrange, v.183 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Pour le voir un moment croyez-vous qu'on le mange ? v.184 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Non, Monsieur, mais. v.185 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Répondez hardiment, et mentez comme un Diable. v.187 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- Parlez vite, ô l'Amant trop aimable, v.188 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Où donc l'avez-vous pris ? v.189 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Où prend-on les bijoux ? v.189 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Et j'ai tort, mon Cadet, de paraître Jaloux, v.190 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Je ne sais s'il se peut qu'Olimpie. v.191 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Et moi je sais fort bien qu'Olimpie est impie, v.192 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et sans les cadenas à sa porte attachés, v.193 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Qu'elle ferait souvent d'agréables pêchés. v.194 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Quelque doux traitement qu'à ce sexe on prépare, v.195 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Une femme fidèle en ce temps est bien rare, v.196 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et qui peut s'en servir doit s'attendre à ce coup, v.197 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- D'acquérir peu d'honneur, et d'en perdre beaucoup ! v.198 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- N'espérez, cependant, passeport ni Patente, v.199 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Ou soyez résolu de remplir mon attente ; v.200 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et d'un Original que je dois soupçonner, v.201 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Donnez-moi la Copie à collationner, v.202 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Sinon. v.203 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Par ce commandement ce Jaloux vous oblige, v.204 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- Avant qu'il ait ouvert cinq ou six cadenas, v.205 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- L'anneau. v.206 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- C'est ma pensée, et j'y vais de ce pas. v.206 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Puisqu'il vous plaît, Monsieur, d'admirer ma Maîtresse, v.207 (Acte 1, scène 4, CL?ANDRE)
- Je vous tiens, ô la double traîtresse, v.208 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Qui dans l'âpre dessein d'acquérir du renom, v.209 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Avez l'air d'une Sainte, et l'esprit d'un Démon. v.210 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- J'aperçois tous les tours que votre esprit enfante. v.211 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Vous donnez librement des faveurs par la fente ; v.212 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Mais malgré vos desseins contre moi conjurés, v.213 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Les ais de votre porte en seront resserrés. v.214 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Voyons un peu sa mine. v.215 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Dont la vertu s'altère, et l'honneur s'apprivoise, v.216 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Moi ? Rien ; v.217 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Je viens voir seulement si vous vous portez bien. v.218 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Quoi, se peut-il, Monsieur, que mon malheur vous touche ? v.219 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Vous n'en savez donc rien, ô la Sainte-Nitouche ! v.220 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Non, daignez m'expliquer vos bizarres desseins. v.221 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Je viens de voir Cléandre, il vous baise les mains. v.222 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Quoi Cléandre est ici ? v.223 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Point du tout, je me moque, v.223 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Je l'ai pris pour un autre, et c'est une équivoque. v.224 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Pourquoi donc voulez-vous. v.225 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Belzébuth incarné, v.225 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Démon acariâtre à me nuire obstiné, v.226 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- C'est à tort à présent que ton âme biaise ; v.227 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Je sais pour me trahir que tu fais la niaise, v.228 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Et que de ton honneur prévoyant l'abandon. v.229 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- À vos yeux je demande pardon ! v.230 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Quelque soit le forfait dont mon coeur vous soupçonne, v.231 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- C'est vous faire une injure, équitable friponne ; v.232 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Et parmi votre sexe outrageux à chacun, v.233 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Faire un mari Cocu c'est le vice commun. v.234 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Enfin, expliquez-vous, qu'avez-vous à m'apprendre ? v.235 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Rien ; sinon que j'ai vu l'un des doigts de Cléandre. v.236 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Un des doigts de Cléandre ? v.237 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Un des doigts. v.237 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Un des doigts ! v.237 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Si vous m'en assurez, aisément je le crois, v.238 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Mais qu'en concluez-vous ? v.239 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Et qu'en peut-on conclure ? v.239 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Fin contre fin n'est pas bon à faire doublure v.240 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- La belle, et dans mon âge, il vous sied assez mal v.241 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- De vouloir me charger d'un brevet d'animal. v.242 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Ce langage confus. v.243 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Vous rend l'âme éperdue, v.243 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Et je suis confondu de vous voir confondue. v.244 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Je ne puis rien comprendre à tout votre discours. v.245 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Les anneaux désormais n'iront plus en campagne, v.247 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Et vous êtes sevrée, amoureuse compagne. v.248 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Finissez ces discours, ils sont extravagants. v.249 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Je suis donc fou ? v.250 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Du moins on le croit. v.250 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Bas les gants. v.250 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Quoi, Monsieur. v.251 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Bas les gants. v.251 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Mais au moins. v.251 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Encore, quel dessein vous oblige. v.252 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Bas, vous dis-je, et tantôt votre esprit éclairci. v.253 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Que cet anneau ressemble à celui de Cléandre ! v.255 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Ils sont bas. v.256 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Sur ma foi je n'y puis rien comprendre, v.256 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Et ces anneaux tous deux ont un rapport si grand, v.257 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Que plus on les regarde, et plus on s'y méprend. v.258 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Vous pouvez cependant, réchauffer la mitaine, v.259 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Puis après de rentrer il faut prendre la peine, v.260 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Aussi bien un vieillard adresse ici ses pas. v.261 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Entrez, entrez, et ne raisonnez pas. v.262 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Monsieur le Gouverneur dont je suis le beau-père, v.263 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Je viens. v.264 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Beau-père, ou non, laissez-nous un peu faire, v.264 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Quand votre huis une fois sera clos à plaisir, v.265 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- De vous voir pleinement nous aurons le loisir ; v.266 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Taisez-vous donc. v.267 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Monsieur, mais. v.267 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Mais Monsieur vous-même, v.267 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Dont le morne visage est passablement blême. v.268 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Je prétendais de vous qu'en faveur de mes soins. v.269 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Un peu trop prétendant, prétendez un peu moins, v.270 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Et souffrez, s'il vous plaît, qu'à mon tour je prétende. v.271 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Mais Monsieur. v.272 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Hé bien donc, ô Diseur de Légende, v.272 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Dont je suis obligé d'enfermer le présent, v.273 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Si le coeur vous en dit, raisonnez à présent. v.274 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- L'heur dont votre alliance a comblé ma famille, v.275 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Fait que je viens ici m'informer de ma fille, v.276 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Dites-moi donc comment elle se porte. v.277 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Bien. v.277 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Et de ses mours, Monsieur, ne m'apprendrez-vous rien ? v.278 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Dites-moi, si parfois son humeur vous contente, v.279 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Si parfois cette humeur est pour vous complaisante ; v.280 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Tirez-moi de souci, comment vit-elle ? v.281 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Mal, bon Dieu ! ce malheur est pour moi sans égal. v.282 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Où peut-elle avoir pris de mauvaise teinture, v.283 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Elle, que de ses dons a comblé la nature ? v.284 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Pour me faire un outrage elle a donc le sang. v.285 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- C'est l'amour chaud sans doute, et plus chaud qu'il ne faut : v.286 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Mais n'est-ce point à tort qu'envers vous je la blâme ? v.287 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Ne lui faites-vous rien qui chagrine son âme ? v.288 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Lors que vous la voyez, quel est son accueil ? v.289 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- D'en user de la sorte elle a bien peu de droit. v.290 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- D'accord ; mais de vous deux, moi l'époux et le Gendre, v.291 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Qui pour faire l'Amant pris le droit de Cléandre, v.292 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Cléandre, oserait-il suborner. v.295 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Il aime, à ce qu'il dit, seulement la copie ; v.296 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Cependant d'un anneau je le trouve pourvu ; v.297 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Autre part qu'en ses doigts je le crois avoir vu ; v.298 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- À mes aigres propos contrefait la troublée ; v.300 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Veut voir par mes discours son esprit éclairci ; v.301 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Fait semblant d'ignorer que Cléandre est ici ; v.302 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Me soutient à mon nez que souvent j'extravague ; v.303 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Puis soudain se dégante, et me montre sa bague ; v.304 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Et je crois là-dessus, consultant mon cerveau, v.305 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Que qui la copia copia son Anneau. v.306 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- De Cléandre pourtant je crains peu la finesse, v.307 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Il doit en ce lieu même amener sa Maîtresse, v.308 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Je l'attends, nous verrons ; mais tenez je les vois. v.309 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Il amène Olimpie. v.310 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- En effet, je le crois. v.310 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Ce l'est ; quelle erreur vous domine ? v.311 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Ma foi, si ce ne l'est, elle en a bien la mine. v.312 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Ah Cléandre ! v.313 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Ah daignez tenir bon, v.313 (Acte 1, scène 8, CLÉANDRE)
- Ou je me trompe, ou j'aurai du bâton. v.314 (Acte 1, scène 8, CASCARET)
- Olimpie ! Ah j'enrage. v.315 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Vous me parliez tantôt de m'envoyer en Ville v.316 (Acte 1, scène 8, CASCARET)
- Monsieur. v.317 (Acte 1, scène 8, CASCARET)
- Poltron fieffé. v.317 (Acte 1, scène 8, CLÉANDRE)
- Tout ceci me confond. v.317 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Olimpie ! écoutez comme elle me répond ! v.318 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- De ce tracas, Beau-père, en un mot que vous semble. v.319 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- J'ai peur que ce ne soit Olimpie. v.320 (Acte 1, scène 8, ALCIDOR)
- Et j'en tremble : v.320 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Mais on pourrait sortir aussitôt de l'Enfer, v.321 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Sa cheminée est close, et de grilles de fer, v.322 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- J'ai de même matière étoffée sa fenêtre, v.323 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- S'il est vrai, ce ne peut donc pas l'être. v.324 (Acte 1, scène 8, ALCIDOR)
- Assez adroitement je la vais pressentir ; v.325 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Je vous crois Olimpie, et ne crois pas mentir, v.326 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Si vous ne l'êtes pas pour le moins sa jumelle, v.327 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Daignez quelque moment discourir avec elle ; v.328 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Entrez jusqu'en sa chambre, et trouvez à propos. v.329 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Monsieur. v.330 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Vous lui direz seulement quatre mots, v.330 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Je vous en prie. v.331 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Il ne faut autre chose. v.331 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Des plaintes d'Olimpie elle ignore la case, v.332 (Acte 1, scène 8, CLÉANDRE)
- Ainsi. v.333 (Acte 1, scène 8, CL?ANDRE)
- Mon_Dieu, Monsieur, parlez à votre écho. v.333 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Ce n'est pas. v.334 (Acte 1, scène 8, ALCIDOR)
- Pour moi, Monsieur, le Ciel me deviendrait propice, v.335 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- S'il m'offrait un moyen de vous rendre service ; v.336 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Mais enfin sur le point de partir. v.337 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Vous entrerez, Madame, ou vous direz pourquoi. v.338 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Entrez, vous dis-je, ou bien point de patente. v.339 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Vous pouvoir obliger c'est me rendre contente ; v.340 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Mais envers Olimpie agréez mon respect, v.341 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Un visage inconnu lui peut être suspect, v.342 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Durant donc un adieu qu'à l'instant je vais faire, v.343 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Et tandis que Cléandre attendra mon retour. v.345 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- C'est fort bien dit, allez. v.346 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Je prépare un détour, v.346 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Et quoi que de ma part ce perfide prétende. v.347 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Je lui dis qu'il m'attende. v.348 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Bon cela. v.349 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- J'obéis, et n'y contredis pas. v.349 (Acte 1, scène 8, CLÉANDRE)
- Cascaret, d'Aspasie accompagne les pas. v.350 (Acte 1, scène 8, CL?ANDRE)
- Or ça, notre Beau-père, et vous Sire Cléandre, v.351 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Qui jadis malgré lui vouliez être son gendre, v.352 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Je vais vous faire voir Olimpie à l'instant. v.353 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Si j'en suis cru, Monsieur, ne vous hâtez pas tant. v.354 (Acte 1, scène 9, ALCIDOR)
- Tout l'amour que Cléandre eut pour elle v.355 (Acte 1, scène 9, ALCIDOR)
- En effet la beauté que je vous ai fait voir, v.357 (Acte 1, scène 9, CLÉANDRE)
- Et s'il faut que mon âme à vos yeux se découvre, v.359 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- Rien ne m'est échappé que mon coeur ne recouvre, v.360 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- Puisqu'à l'objet que j'aime avec tant de raison v.361 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- Pour paraître Olimpie il ne faut que le nom. v.362 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- C'est pour ce seul objet qu'en secret je soupire, v.363 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- Pour sa seule pensée je languis. v.364 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- Et pour l'amour de vous je m'en vais de ce pas v.365 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Réveiller les ressorts de mes six cadenas. v.366 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Parlons bas. Enfin brave Cléandre v.367 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- Ma fille en peu de temps en vos bras se va rendre : v.368 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- Si d'avec ce brutal son hymen se détruit, v.369 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- De vos soins généreux vous aurez tout le fruit. v.370 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- Mais surtout que l'honneur. v.371 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- Je vois peu d'apparence v.371 (Acte 1, scène 10, CLÉANDRE)
- À pouvoir franchir d'une injuste puissance ; v.372 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- Mais enfin quelque effet qui succède à mes yeux, v.373 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- L'intérêt d'Olimpie est plus fort que mes feux. v.374 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- Nul espoir ne me flatte, et mon coeur avec joie, v.375 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- La dérobe aux tourments dont le sien est la proie ; v.376 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- Et c'est le moindre effort qu'en semblable danger v.377 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- Ainsi. v.379 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- Mes cadenas sont ouverts. Hola la Belle, v.379 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Venez ça. Pourquoi donc se frotter la prunelle ? v.380 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Assoupissent mon âme, et me sillent les yeux ; v.382 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Depuis une heure ou deux, leur douceur pour confondre. v.383 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Elle avait bien raison de ne pas me répondre v.384 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Vraiment ! ça la dormeuse au sommeil un peu dur, v.385 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Qui n'avez pu m'entendre à travers de ce mur, v.386 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Mon Père ! ô destin quelle grâce ! v.387 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Et celui-ci, Bel enfant, qui sera-ce ? v.388 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Et que de cet objet je devienne jaloux ; v.390 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Je crois voir Aspasie, et mon Âme confuse v.391 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Le tour est bon ; peste soit de la Buse. v.392 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- C'est un peu vainement que vous êtes surpris, v.393 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Il veut sans doute égayer nos esprits, v.394 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- De quoi, de la part de Cléandre, v.395 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Est-ce là tout l'accueil que j'ai droit de prétendre ? v.396 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Aspasie est-ce vous dont les yeux éclatants. v.397 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Quand les gens sont si sots, ils le sont pour longtemps, v.398 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Je le trouve bouffon avec sa jalousie. v.399 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Daignez donc me répondre, est-ce vous Aspasie ? v.400 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Dissipez le chagrin qui me rend assoupi, v.401 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Et pour le moins. v.402 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Quoi, vous n'en riez point ? v.403 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Éclaircissez mon âme, v.403 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Monsieur, ne l'est-ce pas ? v.404 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Non ma foi, c'est ma femme. v.404 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Veuillez donc m'excuser si pour m'être mépris. v.405 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- À votre indifférence ajouter le mépris, v.406 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Cléandre, et feindre ici de ne pas me connaître ? v.407 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- J'ai toujours tout l'amour que vos yeux firent naître ; v.408 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Mais si mon coeur soupire, apprenez qu'il m'est doux v.409 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- De le voir soupirer pour une autre que vous : v.410 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- De ce coeur enflammé la langueur est extrême, v.411 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Mais cette autre que vous est une autre vous-même ; v.412 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Et mon amour éteint serait tout consumé, v.413 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Si vos mêmes appâts ne l'avaient rallumé. v.414 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Quel niais compliment ce badin lui va faire ! v.415 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Quelque objet a donc l'heur de vous plaire ? v.416 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Oui, Madame, et de plus cet objet plein d'appâts v.417 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- En mérite, en vertu ne vous céderait pas : v.418 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Quelque chose de plus est dans celle que j'aime, v.419 (Acte 1, scène 11, CL?ANDRE)
- Ne disons point plus ; mais disons tout de même. v.420 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Et quoi, pour vous venger du refus qu'on vous fit, v.421 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- J'ai raison d'oser dire. v.422 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Je connais vos desseins, et vous êtes un lâche, v.423 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Dont l'indigne mépris, et me choque, et me fâche : v.424 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Ne croyez pas pourtant que l'outrage soit grand, v.425 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Votre amour, votre choix, tout m'est indifférent : v.426 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Et ne présumez pas. v.427 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Vous avez pu m'aimer, et m'osez méconnaître ? v.428 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Et prétendez me faire un outrage odieux, v.429 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Qu'installer par mépris votre choix à mes yeux ? v.430 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je dédaigne à mon tour vos indignes approches, v.431 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Il est penaud comme un fondeur de cloches. v.432 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Mais je veux vous montrer à l'objet de son feu : v.434 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Bientôt dans cet endroit nous aurons sa présence. v.435 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Moi, Monsieur, me résoudre à cette complaisance ? v.436 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Mon_Dieu, forcez-vous de la voir, v.437 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Sur mes sens j'ai trop peu de pouvoir, v.438 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- À m'expliquer ainsi son dédain m'autorise, v.439 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- J'ai peu de complaisance envers qui me méprise ; v.440 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Et quoique mon époux, c'est avoir le coeur bas v.441 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Qu'exiger de mon âme un respect qu'il n'a pas. v.442 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Mais enfin Aspasie. v.443 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Aspasie ou Cléandre, v.443 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je ne veux ni les voir, ni jamais les entendre, v.444 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Et préfère aux dédains de ce couple outrageux v.445 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- L'inflexible rigueur d'un époux soupçonneux. v.446 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Renfermez-moi. v.447 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Mon Père, v.447 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je ne fais rien ici qui ne soit nécessaire. v.448 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- De Cléandre en un mot je connais le désir, v.449 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Dans ce lieu de me voir il a peu de plaisir : v.450 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- De ses voeux mes souhaits précipitent le terme, v.451 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- C'est assez l'obliger que vouloir qu'on m'enferme ; v.452 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- C'est priver mes regards d'un Objet odieux. v.454 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je vous le dis encore, Aspasie ou Cléandre, à Spadarille v.455 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je ne veux ni les voir, ni jamais les entendre, v.456 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Souscrivez sans murmure aux plus doux de mes voeux, v.457 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Pauvre Galant te voilà bien chanceux ! v.458 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Oui, Monsieur, je vois ce qui se passe : v.459 (Acte 1, scène 12, CLÉANDRE)
- Si je m'en repentais j'aurai l'âme trop basse. v.460 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- J'ai sujet de goûter une joie assez pleine, v.463 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- Si l'une a de l'amour quand l'autre a de la haine ; v.464 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- Ou plutôt j'aurai tort de me plaindre à mon tour, v.465 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- Quand des preuves de haine ont des marques d'amour. v.466 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- À présent pour vous plaire v.467 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- Sur ce que j'ai promis je vous viens satisfaire. v.468 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- Je puis voir Olimpie, et je suis sur le point v.469 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- De lui rendre. v.470 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- À présent, vous ne la verrez point, v.470 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Vous voilà ce me semble assez bien attrapée. v.471 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Vous rendez en effet mon attente trompée, v.472 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- Me manquer de parole, et depuis un instant. v.473 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- Olimpie en un mot, ne vous aime pas tant, v.474 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Si vous ne m'en croyez pas, demandez à Cléandre. v.475 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Il pourra vous l'apprendre. v.476 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- De vous écouter je n'ai pas le loisir, v.477 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Partez, ou demeurez, vous n'avez qu'à choisir. v.478 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Tant de discours me font mal à la tête, v.479 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Mais la Patente est prête, v.480 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Et qui plus est pour vous je la donne gratis, v.481 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Tenez. v.482 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Puisqu'il vous plaît, nous voilà donc partis, v.482 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- N'affectons point d'importunes grimaces, v.484 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Notre Beau-père et moi sommes vos serviteurs, v.486 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- L'occasion ne peut être plus belle, v.487 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- Allons. v.488 (Acte 1, scène 13, CL?ANDRE)
- Le pauvre Diable ! Il n'a plus de femelle, v.488 (Acte 1, scène 13, CASCARET)
- Je le donne en dix coups à qui fourbera mieux. v.489 (Acte 1, scène 13, CASCARET)
- Mais mon Père, il fait signe des yeux, v.490 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- S'il n'est hors de ses mains, mon souci n'est pas moindre. v.491 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- N'es soyez point en peine, il saura nous rejoindre, v.492 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- Nous avons rendez-vous, et j'en suis avoué, v.493 (Acte 1, scène 13, CL?ANDRE)
- Allons. v.494 (Acte 1, scène 13, CL?ANDRE)
- De tout ceci le bon Dieu soit loué ! v.494 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- J'ai hors du pied, Beau-père, une vilaine épine ; v.495 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- De me tromper Cléandre avait toute la mine, v.496 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il faisait tout exprès le petit complaisant ; v.497 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Dieu sait si votre fille est joyeuse à présent. v.498 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Et si, loin de l'objet, qui lui porte bissêtre, v.499 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Ses transports d'allégresse auront lieu de paraître ! v.500 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Du départ de Cléandre allons la réjouir, v.501 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Allons. v.502 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- De son erreur je le laisse jouir, v.502 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Il n'est plus ici ce Cléandre, Ma Mie, v.503 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Venez, venez. v.504 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Beau-père ; elle s'est rendormie. v.504 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Je ne la vis jamais si souvent sommeiller ; v.505 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Mais entrons l'un et l'autre, et l'allons réveiller, v.506 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Loin d'en être marrie, elle aura de la joie, v.507 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Entrons. v.508 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- De me venger je découvre une voie ; v.508 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Je tiens. v.509 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Sus, Beau-père, entrez donc. v.509 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Ah ! Monsieur, v.509 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Je sais trop qu'on me doit de l'honneur, v.510 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Mais entrez. v.511 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Moi commettre une faute si grande ! v.511 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Entrez, vous dis-je. v.512 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Mais je vous le commande. v.512 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Obéissez, Courtisan mal éclos. v.513 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Monsieur. v.514 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- S'il en fait rien qu'on me brise les os. v.514 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Ce que je suis, Monsieur, me permet de vous rendre. v.515 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Vous êtes mon Beau-père, et je suis votre Gendre, v.516 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Avec vos pieds de veau, passez donc. v.517 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Sans tant dire de si, ni de car, ni de mais, v.518 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Pour me faire enrager vouloir faire gambade, v.520 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Entrez. v.521 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Mais quand je songe aux respects que je dois. v.521 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Respectueux Beau-père, entrez donc après moi, v.522 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Puisqu'en vos sentiments vous demeurez si ferme. v.523 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Un cadenas sans clef aisément se referme, v.524 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Suivez donc. v.525 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Je n'ai pas le loisir. v.525 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Vous m'enfermez ! v.526 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Pour mon plaisir. v.526 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Ah trigaud malfaisant, si je sors je te jure. v.527 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Tu ne sortiras pas, c'est moi qui t'en assure ; v.528 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais sans tenir ici d'inutiles propos, v.529 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Tu peux par ta fenêtre écouter quatre mots. v.530 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Exécrable Barbon que ne puis-je descendre, v.531 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Olimpie est aux mains de Cléandre, v.532 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais de quelques désirs dont il soit combattu, v.533 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Il est trop généreux pour fouiller sa vertu. v.534 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Gueux par moi revêtu, que Dieu puisse confondre, v.535 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- En ses mains ! v.536 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- En ses mains, et je puis t'en répondre, v.536 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais l'horrible défaut que chacun connaît bien, v.537 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Pour rompre un mariage est un trop sûr moyen. v.538 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- La cruelle fureur dont tu l'as poursuivie, v.539 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- De l'ôter des mains m'a fait naître l'ennui ; v.540 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Est de voir qu'un barbare ait le titre d'époux. v.542 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- En entrant le premier tu m'as mis hors de peine, v.543 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Tu t'en vas donc, Marchand de Chair humaine, v.544 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il court comme un beau Diable, et je suis attrapé. v.546 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Jamais futé Renard dans sa propre tanière, v.547 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Se vit-il enfermé de semblable manière ? v.548 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Et peut-on en finesse égaler ce Grison, v.549 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Qui m'enlève sa fille, et me met en prison ? v.550 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Si la meilleure femme en malice est féconde, v.551 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Peuples qui m'écoutez, laissez périr le Monde ; v.552 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Et disant à ce sexe un éternel adieu, v.553 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Songez que qui s'en passe est bien-aimé de Dieu. v.554 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 12 textes (soit une présence dans 0,63 % des textes) dans lesquels il y a 13408 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 1 117,33 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Prologue | Total |
1 | MARIE STUARD | 342 | 268 | 343 | 296 | 312 | 0 | 1561 |
2 | ÉSOPE À LA COUR | 473 | 456 | 513 | 493 | 368 | 45 | 2348 |
3 | LA SATIRE DES SATIRES | 843 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 843 |
4 | LE MÉDECIN VOLANT | 560 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 560 |
5 | LE MORT VIVANT | 350 | 343 | 255 | 0 | 0 | 0 | 948 |
6 | GERMANICUS | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
7 | GERMANICUS | 386 | 352 | 383 | 325 | 312 | 0 | 1758 |
8 | LA FÊTE DE LA SEINE | 157 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 157 |
9 | LES MOTS ? LA MODE | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
10 | LES MOTS À LA MODE | 814 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 814 |
11 | LA COM?DIE SANS TITRE | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 |
12 | LA COMÉDIE SANS TITRE | 301 | 383 | 405 | 289 | 317 | 0 | 1695 |
13 | LE PORTRAIT DU PEINTRE | 560 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 560 |
14 | LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX | 318 | 285 | 297 | 322 | 352 | 0 | 1574 |
15 | LE JALOUX ENDORMI | 585 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 585 |
Total | 5694 | 2087 | 2196 | 1725 | 1661 | 45 | 13408 |